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Économie du Sénégal
Sénégal Données générales Monnaie 1 franc CFA = 0,001525 € Année fiscale année calendaire Organisations économiques Banque mondiale, OMC, UEMOA Statistiques [2] Classement IDH 156 sur 177[1] (2007) PIB (milliards) $ 13.897 [3] (2008) Classement PIB à parité de pouvoir d'achat par volume : e ()
per capita : ()PIB par habitant $ 1,110.072 ((2008) [4]) Croissance 4.346[5] % (2008) Inflation 5,4 % (2007) Chômage 48% (estim. 2001) PIB par secteur agriculture : 18,3%
industrie : 19,2%
services : 62,5% (estim. 2006)Population active (millions) 4,85 (estim. 2007) Population active par secteur agriculture : 77%
industrie : %
services : % (estim. 1990)Pop. sous le seuil de pauvreté 54% (estim. 2001) Industries principales industries agroalimentaires et conserveries, mines de phosphate, production d'engrais, raffinage de pétrole, matériaux de construction, constructions navales Partenaires commerciaux Exportations (milliards) $ 1 587 (estim. 2007) Principaux partenaires Royaume-Uni, Mali, France, Inde, Gambie, Espagne Importations (milliards) $ 3,253 (estim. 2007) Principaux partenaires Italie, France, Royaume-Uni, Thaïlande, Chine Finances publiques Dette 16,1% du PIB Dette externe (millions) $ 1 604 Aide (millions) $ 689,3 (estim. 2005) n/d= non déterminé(e) Le Sénégal possède la quatrieme économie de la sous-région ouest africaine après le Nigéria la Côte d'Ivoire et le Ghana. Il fait cependant partie des Pays les moins avancés (PMA), son économie est très tournée vers l'Europe et l'Inde. Ses principaux partenaires économiques sont la France, l'Inde et l'Italie.
Comparé aux autres pays du continent africain, le Sénégal est très pauvre en ressources naturelles. Ses principales recettes provenant de la pêche et du tourisme. Mais compte-tenu de sa situation géographique et de sa stabilité politique, le Sénégal fait partie des pays africains les plus industrialisés avec la présence de multinationales majoritairement d'origine française et dans une moindre mesure américaine.
Le secteur agricole emploie environ 70% de la population sénégalaise. Cependant la part du secteur primaire dans le Produit intérieur brut (PIB) ne cesse de décroître. La diminution de la pluviométrie et la crise du secteur de l'arachide, principale culture de rente du pays, ont réduit la contribution de l'agriculture à moins de 20% du PIB. La pêche qui reste cependant un secteur clé de l'économie familiale sénégalaise subit également les conséquences de la dégradation des ressources halieutiques (surexploitées) et de l'augmentation récente de la facture énergétique. L'essentiel de la richesse produite se concentre dans les services et la construction et se localise à Dakar et dans sa périphérie.
Par ailleurs, les transferts financiers venus de la diaspora sénégalaise (l'émigration en Europe et aux USA) représentent aujourd'hui une rente non négligeable. On estime que le flux financier généré par l'émigration sénégalaise est au moins égal au volume d'aides de la coopération internationale (soit 37 dollars par habitant et par an).
Le Sénégal est membre notamment de la Banque mondiale, de l'Organisation mondiale du commerce et de l'Union économique et monétaire ouest-africaine.
Sommaire
Infrastructures
Transport
Article détaillé : Transport au Sénégal.L'aéroport international de Dakar-Léopold Sédar Senghor est le principal point d'entrée aérien vers le Sénégal. Le 25 mai 1971, l'avion supersonique Concorde fait un premier vol de démonstration Paris-Dakar en 2h52mn (dont 2h07 en vol supersonique) et le 21 janvier 1976 ouvre pour la première fois sa ligne commerciale Paris-Dakar-Rio. Le président Senghor assiste à son arrivée à l’aéroport de Dakar ainsi que les premiers passagers supersoniques de l'histoire de l'aviation. Le 1er avril 1982, c'est la fin de la liaison Paris-Rio.
Depuis le 23 février 2001, la compagnie aérienne Air Sénégal International, filiale du groupe Royal Air Maroc, propose des destinations vers l'Europe et l'Afrique. Elle a été sacrée meilleure compagnie aérienne africaine en 2003. Elle est membre de l’IATA depuis le 28 mai 2002[2].
Le réseau routier est bon à l'ouest, mais se dégrade en allant de plus en plus profondément dans le pays. Le réseau de transport est bien développé dans les grandes villes avec les taxis, les bus[3] ou les « cars rapides » plus ou moins en bon état (dans les banlieues et villes secondaires, ce sont des taxis clandos collectifs ou des charrettes). À l'intérieur du pays, ce sont des grands cars blancs Ndiaga Ndiaye et taxis-brousse.
La gare de Dakar est la plus ancienne du Sénégal. Elle n'offre plus qu'une seule destination pour les voyageurs, Bamako au Mali – la liaison avec Saint-Louis étant désormais réservée au transport de marchandises.
Le transport maritime est constitué soit de chaloupes pour rejoindre l'île de Gorée à partir de Dakar, soit de bateaux pour des croisières sur le fleuve Sénégal, soit de gros bateaux de transport de marchandises qui bénéficient de l'un des 3 ports en eau profonde de l'Afrique et d'un terminal pour les containers.
Les limites
Données Valeurs Aéroports (2006) avec piste goudronnée : 9
avec piste en terre : 11
Total = 20Gares ferroviaires :
Réseau ferré (2005) :20
906 kmPort avec un terminal :
Voies navigables (2005) :Dakar
1000 kmRoutes (2003) goudronnées : 3 972 km
dont 7 km d'autoroute
non goudronnées : 9 604 km
Total = 13 576 kmPipeline gaz (2006) : 43 km Sources : CIA World Factbook[4] Les réseaux sont plus denses à l'Ouest du pays le long du littoral mais la circulation des marchandises et des personnes est particulièrement difficile vers Dakar et la presqu'île du Cap-Vert. Les infrastructures sont plus rares dans le Sénégal oriental et le désenclavement de ces régions constitue également un défi car les moyens de transport restent souvent traditionnels à l'intérieur du pays.
De gros efforts sont effectués au niveau des équipements. Ainsi de nombreux projets sont en cours :
- construction d'une autoroute à péage entre Dakar et Diamniadio ;
- nouvel aéroport international Blaise Diagne ;
- aménagement de Saint-Louis pour en faire un port de cabotage[5] ;
- aménagement du port de Ziguinchor pour recevoir des containers[6].
L'aéroport international de Dakar-Léopold Sédar Senghor est le principal point d'entrée aérien vers le Sénégal. Le 25 mai 1971, l'avion supersonique Concorde fait un premier vol de démonstration Paris-Dakar en 2h52mn (dont 2h07 en vol supersonique) et le 21 janvier 1976 ouvre pour la première fois sa ligne commerciale Paris-Dakar-Rio. Le président Senghor assiste à son arrivée à l’aéroport de Dakar ainsi que les premiers passagers supersoniques de l'histoire de l'aviation. Le 1er avril 1982, c'est la fin de la liaison Paris-Rio.
Depuis le 23 février 2001, la compagnie aérienne Air Sénégal International, filiale du groupe Royal Air Maroc, propose des destinations vers l'Europe et l'Afrique. Elle a été sacrée meilleure compagnie aérienne africaine en 2003. Elle est membre de l’IATA depuis le 28 mai 2002[7].
Le réseau routier est bon à l'ouest, mais se dégrade en allant de plus en plus profondément dans le pays. Le réseau de transport est bien développé dans les grandes villes avec les taxis, les bus[8] ou les « cars rapides » plus ou moins en bon état (dans les banlieues et villes secondaires, ce sont des taxis clandos collectifs ou des charrettes). À l'intérieur du pays, ce sont des grands cars blancs Ndiaga Ndiaye et taxis-brousse.
La gare de Dakar est la plus ancienne du Sénégal. Elle n'offre plus qu'une seule destination pour les voyageurs, Bamako au Mali – la liaison avec Saint-Louis étant désormais réservée au transport de marchandises.
Le transport maritime est constitué soit de chaloupes pour rejoindre l'île de Gorée à partir de Dakar, soit de bateaux pour des croisières sur le fleuve Sénégal, soit de gros bateaux de transport de marchandises qui bénéficient de l'un des 3 ports en eau profonde de l'Afrique et d'un terminal pour les containers.
Secteur primaire
Agriculture
Avec l'exode rural qui draine tant de Sénégalais vers la presqu'île du Cap-Vert désormais engorgée, le nombre de paysans a diminué. Aujourd'hui les ruraux ne représentent plus que 55% de la population totale du Sénégal[9].
Les principales productions agricoles sont les céréales – principalement le mil et le sorgho, mais aussi le riz en Casamance –, l'arachide qui a perdu la position de monoculture qu'elle a longtemps détenue, ainsi que les fruits et légumes, notamment dans la zone horticole des Niayes qui approvisionne l'agglomération dakaroise en produits frais, tels que tomates ou légumes verts.
Élevage
Le cheptel se compose principalement d'ovins (4 497 000 têtes), de caprins (3 833 000 têtes) et de bovins (2 927 000 têtes), auxquels il faut ajouter la volaille industrielle (22 987 000 têtes)[10].
Pêche
Secteur secondaire
Au moment de son accession à l'indépendance en 1960, le Sénégal était le pays le plus industrialisé d'Afrique noire francophone et sa croissance s'est poursuivie jusqu'au milieu des années 1970[11]. Aujourd'hui le secteur secondaire est en crise, notamment faute de maîtrise des énergies.
Ressources énergétiques et minières
Le Sénégal n'a pas de charbon et peu d'hydrocarbures. La raffinerie de pétrole installée à Mbao en 1963 alimente les centrales de Bel-Air et du Cap des Biches, contrôlées par la Senelec.
Au Nord, le fleuve Sénégal a fait l'objet d'aménagements dans le cadre de l'Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS), surtout dans la basse vallée. Le barrage de Diama a pour mission de réguler le fleuve, et la mise en service de la centrale hydroélectrique du barrage de Manantali au Mali en 2002 a ouvert de nouvelles perspectives.
Quant à l'utilisation d'énergies renouvelables, elle reste balbutiante[12].
Le pays possède du phosphate de chaux, de l'acide phosphorique, des phosphates d'alumine, du fer, des schistes bitumeux, du pétrole (off-shore), du sel marin (Sine-Saloum et Lac Rose)[13].
Industries agroalimentaires
Les deux sociétés les plus importantes[14] sont Suneor (ex-Sonacos) pour la filière arachide et les Grands moulins de Dakar, auxquelles il faut ajouter la Compagnie sucrière sénégalaise et la Société des brasseries de l'Ouest africain.
Services
Banques, finances
Comme dans d'autres pays de l'Union économique et monétaire ouest-africaine, le nombre de banques s'est accru de manière significative au Sénégal : en 2007 on y compte 17 établissements agréés contre seulement 11 il y a cinq ans[15].
Les plus importantes sont la Société générale de banques au Sénégal (SGBS), la Compagnie bancaire de l'Afrique occidentale (CBAO), la Banque internationale pour le commerce et l’industrie du Sénégal (BICIS), la Banque de l’habitat du Sénégal (BHS), le Crédit lyonnais Sénégal (CLS), la Banque sénégalo-tunisienne (BST) et la Caisse nationale de crédit agricole du Sénégal (CNCAS) qui figurent toutes dans le palmarès 2007 des 200 premières banques africaines[16].
Les sièges sociaux de ces banques se trouvent dans la capitale, le plus souvent à Dakar-Plateau.
Secteur informel
Article détaillé : Secteur informel au Sénégal.Échappant à tout type de dénombrement ou de contrôle, ce secteur est particulièrement développé au Sénégal, surtout dans les secteurs de la pêche, du petit commerce et de l'artisanat. Avec l'État, c'est le principal pourvoyeur d'emplois et la première source de revenus.
Rôle de l'Etat
Partenariats économiques
Son économie est principalement tournée vers l'Europe et l'Inde. Ses principaux partenaires économiques sont la France, l'Inde, l'Italie. Cependant, depuis plusieurs années, la Chine est un partenaire de plus en plus grandissant comme en témoigne les sommets Chine-Afrique.
Le Sénégal est membre de l'Union économique et monétaire ouest-africaine
Produits commerciaux
Comparé aux autres pays du continent africain, le Sénégal est très pauvre en ressources naturelles, ses principales recettes provenant de la pêche et du tourisme :
- la pêche constitue la principale source de devises au Sénégal. Depuis la réduction de la taxe de douane, cela a dopé l'exportation au détriment de l'écosystème des fonds marins[17] ;
- le tourisme est développé essentiellement sur le littoral avec de grands complexes hôteliers internationaux et des hôtels locaux de grande qualité.
Les difficultés économiques
Le poids de la dette extérieure de ce pays pauvre très endetté (PPTE) et le secteur agricole qui emploie à peu près 70 % de la population sénégalaise laisse peu de marge pour un décollage économique. De plus, l'agriculture sénégalaise est très sensible aux aléas climatiques et aux invasions acridiennes.
En 1994, la monnaie est dévaluée et une politique de libéralisation est activement menée. Le Sénégal essaye de rentrer dans les conditions requises par le Fonds monétaire international (FMI) afin de bénéficier d'un allègement de la dette pour le développement du pays. Depuis 2006, le Sénégal est dans la liste des pays éligibles[18].Données Valeurs Produit intérieur brut 21,54 milliards de dollars (2006) Produit intérieur brut par habitant 1 800 dollars (2006) Main d'œuvre par secteurs (2006) agriculture : 18,3 %
industrie : 19,2 %
services : 62,5 %Taux de chômage 48 % (2006) et 40 % de jeunes citadins Dette extérieure 17,8 % du PNB (2006) Indicateur de développement humain 166e (2009) Population sous le seuil de pauvreté 54 % (2005) Coefficient de Gini 41,3 (1995) Sources : CIA World Factbook[19] Notes
- ↑ Indice de développement humain : classement 2007-2008 [1]
- ↑ (fr) Air Sénégal International
- ↑ (fr) Bus de la société Dakar Dem Dikk : Dakar va-et-vient
- ↑ (en) Statistiques économiques du Sénégal (CIA World Factbook)
- ↑ (fr) Annonce d'un système de cabotage
- ↑ (fr) Inauguration de la gare maritime en 2006
- ↑ (fr) Air Sénégal International
- ↑ (fr) Bus de la société Dakar Dem Dikk : Dakar va-et-vient
- ↑ « L'agriculture sénégalaise en chiffres », Le Sénégal au Salon international de l'agriculture de Paris, Ministère de l'Agriculture, des Biocarburants et de la Sécurité alimentaire, 2007
- ↑ « L'agriculture sénégalaise en chiffres », loc. cit.
- ↑ Serigne Modou Fall, « Énergie, mines et industries » in Atlas du Sénégal, Paris, Éditions du Jaguar, 2007, p. 90-93
- ↑ Serigne Modou Fall, « Énergie, mines et industries », loc. cit.
- ↑ Christian Saglio, Sénégal, Clairvaux, 2005, p. 323
- ↑ The Africa Report, n° 6, avril-juin 2007, p. 98
- ↑ « Les 200 premières banques africaines », Jeune Afrique, Hors-Série n° 16, 2007, p. 29
- ↑ « Les 200 premières banques africaines », loc. cit., p. 111-116
- ↑ (fr) GREENPEACE dénonce la libéralisation du marché des produits de la mer
- ↑ (fr) Allégements de dette au titre de l'initiative en faveur des pays pauvres très endettés (PPTE)
- ↑ (en) Statistiques économiques du Sénégal (CIA World Factbook)
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des ministres de l'Économie et des Finances du Sénégal
- Agence nationale de la statistique et de la démographie
- Liste d'entreprises sénégalaises
- Secteur informel au Sénégal
- Navétanes
- Transport au Sénégal
- Environnement au Sénégal
Bibliographie
- (en) Cheikh Oumar Ba, Joshua Bishop, Moustapha Deme, Hamet Diaw Diadhiou, Alioune B. Dieng, Omar Diop, Pedro Andres Garzon, Bara Gueye, Moustapha Kebe et Oumou K. Ly, The Economic Value of Wild Resources in Senegal, IUCN, 2006, 73 p. (ISBN 2831709385)
- (fr) Boubacar Ba, Agriculture et sécurite alimentaire au Sénégal, L'Harmattan, Paris, 2008, 350 p. (ISBN 2296059031)
- (fr) Pierre Biarnès, La fin des cacahouètes, Paris, L'Harmattan, 2005, 126 p. (ISBN 2747592669)
- (fr) Papa Amadou Fall, Industrialisation et mutations sociales en AOF, le cas du Sénégal (1920-1946), Paris, Université de Paris VII, 1981, 635 p. (Thèse de 3e cycle)
- (fr) Mamadou Keita, Evolution de la population et de la production agricole du Sénégal (1920-1968), Dakar, Université de Dakar, Faculté de Droit, 1970 (Diplôme d’Études Supérieures).
- (fr) Laurence Marfaing, Évolution du commerce au Sénégal : 1820-1930, Paris, L’Harmattan, 1991, 320 p. (ISBN 2738411959)
- (fr) Jean-Paul Minvielle, Amadou Diop et Aminata Niang, La pauvreté au Sénégal : des statistiques à la réalité, Paris, Karthala, 2005, (ISBN 2845866062)
- (fr) Abdoulaye Ndao, Le commerce extérieur du Sénégal de 1961 à 1965, Dakar, Univ. de Dakar, 1978 (Mémoire de Maîtrise)
- (fr) A.K. Ndiaye, Le problème de la commercialisation de l’arachide au Sénégal, Grenoble, Université de Grenoble, 1957, 219 p. (Thèse d’Université)
- (fr) Roger Pasquier, Le Sénégal au milieu du XIXe siècle. La crise économique et sociale, Paris, Université de Paris IV, 1987 (Thèse d’État)
- (fr) Daniel Thiéba, Agriculture et accumulation au Sénégal. Le cas de la Basse-Casamance. Paris, Université de Paris I, 1985, 449 p. (Thèse de 3e cycle)
- (fr) Régine Nguyen Van Chi-Bonnardel, Vie de relations au Sénégal : la circulation des biens, Université de Dakar-IFAN, Dakar, 1978, 927 p. + 40 pl. (Thèse d’État Paris VII, publiée)
- (fr) Xavier Van der Stappen, Sénégal, l'homme et la mer, Réunion des musées nationaux, Paris, 2007, 40 p. (ISBN 2711853721) (édité à l'occasion de l'exposition Sénégal, l'homme et la mer présentée à l'Aquarium du palais de la Porte Dorée du 18 décembre 2007 au 22 juin 2008)
- (fr) Lionel Zinsou-Derlin, De la banque du Sénégal à la BAO (1855-1955) ou cent ans de Banque en Afrique, Paris, Université de Paris VII, 1976, 146 p. (Mémoire de Maîtrise)
Liens externes
- (fr) Perspectives économiques en Afrique : Sénégal (Dossier BAfD/OCDE 2007)
- (fr) Le guide pratique de vos affaires au Sénégal (Portail IZF)
- Portail du Sénégal
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