Économie des Émirats arabes unis

Économie des Émirats arabes unis
Émirats arabes unis
Indicateurs économiques
Monnaie Dirham des Émirats arabes unis
Année fiscale calendaire
Organisations internationales Conseil de coopération du Golfe
Statistiques
Produit intérieur brut (parité nominale) $ 168 milliards
Produit intérieur brut en PPA $ 129.4 milliards
Rang pour le PIB en PPA 38
Croissance du PIB 10.2
PIB par habitant en PPA $ 49 700
PIB par secteur agriculture : 2,3
industrie : 61,9
services : 35,8
Inflation (IPC) 10,9 % (2007)
Pop. sous le seuil de pauvreté 19,5%
Indice de développement humain (IDH)
Population active 3 millions
Population active par secteur agriculture : 7
industrie : 78
services : 15
Taux de chômage entre 2 et 15%[1]
Principales industries pétrole, gaz naturel, raffinage, pétrochimie, fonderie d'aluminium, pêche
Commerce extérieur
Exportations $ 137 milliards
Biens exportés pétrole
Principaux clients
Importations $ 88 milliards
Biens importés biens intermédiaires et finis
Principaux fournisseurs
Finances publiques
Dette publique 9% du PNB
Dette extérieure
Recettes publiques $ 60 milliards
Dépenses publiques $ 35 milliards
Déficit public
Aide au développement
Sources :
CIA World factbook
Sauf mention contraire, tous les chiffres sont exprimés en dollars des États-Unis

L’économie des Émirats arabes unis, fondée au début du siècle sur la pêche perlière et le commerce maritime, a été transformée par l'exploitation pétrolière. L'augmentation récente des prix du pétrole et la baisse du cout du crédit a provoqué la hausse des prix des biens mobiliers (actions échangées sur le marché local) et immobiliers. Ceci, en retour, a érodé l'attractivité des Émirats auprès des investisseurs. Dubaï, en particulier, est un centre financier régional pour beaucoup de multinationales.

L'économie dépend pour une large part de la main d'œuvre immigrée.

Sommaire

Le système économique

A l'origine, les Émirats, sous protectorat de l'Empire britannique, étaient de petits États traditionnels dont l'économie dépendait du commerce avec l'intérieur de l'Arabie, avec les Indes et la Perse par la mer (Boutres), et de la pêche des perles. La découverte des hydrocarbures entraîna un développement rapide du territoire fédéral, sous la forme d'une rente pétrolière, avec une conservation de la société traditionnelle, en parallèle avec une forte immigration. Le prince Cheikh Khalifa Bin Zayed Al Nahyan succéda à son père en 2004 et décida de multiplier les réformes structurelles, sur le plan de la culture, de l'éducation, des télécommunications[2]. Avec 80 550 km² sur un total de 83 600 km² au total, l'émirat d'Abou Dabi domine la fédération par sa superficie et ses richesses. De son côté, Dubaï parie sur le tourisme.

Le secteur des hydrocarbures

Un géant des hydrocarbures

L'exploitation pétrolière a commencé en 1962, dans le territoire de l'émirat d'Abou Dabi qui demeure le principal producteur de la fédération. Aux importantes réserves de pétrole s'ajoutent celles de gaz naturel. En 2003, les Émirats ont produit 2,3 millions de barils de pétrole par jour.

L'émirat d'Abou Dabi représente environ 90% des réserves de la fédération, soit l'équivalent de 10% des réserves mondiales de pétrole, le reste se partageant entre Dubaï et Charjah. On estime que Dubaï a encore dix ans de réserves pétrolières et que Charjah en a encore moins. Les réserves gazières sont également limitées dans ces deux émirats[2].

Un centre industriel dynamique

La fortune pétrolière s'est traduite par une modernisation accélérée : urbanisation et industrialisation (métallurgie, chimie et pétrochimie, dessalement de l'eau de mer, chantiers navals). Dubaï abrite l'une des plus grandes fonderies d'aluminium du monde[3]., activité gourmande en énergie, qui y bénéficie du bas cout de l'électricité.

L'après-pétrole

Les Émirats arabes unis, chose rare parmi les pays pétroliers, anticipent l'après-pétrole en cherchant de nouvelles ressources économiques autre que le pétrole. En cherchant à réduire la dépendance du pétrole, les émirats visent à parvenir à une plus grande diversification de l’économie locale, afin d’assurer la future croissance économique du pays. En 2008, les secteurs non pétroliers ont représenté 63 % du PIB, ce qui correspond à une contribution de 590 milliards de dollars à l’économie, même si les prix du pétrole et du gaz se sont élevés. Dans les 15 prochaines années, les responsables visent à réduire la contribution du secteur des hydrocarbures à environ 20 %. En même temps, il est prévu de favoriser la croissance des autres secteurs économiques. Avec sa Vision économique 2030, l’émirat d‘Abu Dhabi, présentait en 2009 son plan qui vise à permettre une plus grande diversification économique, par exemple par une réduction de la dépendance d’Abu Dhabi du secteur pétrolier comme secteur économique. Par contre, le plan favorise que le développement économique se concentre d’avantage sur des industries fondées sur le savoir[4]. Dans ce développement pour transformer l’économie des E.A.U., le secteur industriel joue un rôle important, s’appuyant sur des secteurs dynamiques, comme par exemple la fabrication d’aluminium, de la céramique et de produits pharmaceutiques. L’acquisition par l’Advanced Technology Investment Company (ATIC) d’Abu Dhabi de Chartered Semiconductor Manufacturing, annoncé en 2009, a marqué une étape importante pour parvenir à cet objectif, comme cette acquisition a résulté en la création d’un des fabricants de puces électroniques plus grands dans le monde[5]. En 2010 Chartered Semiconductor a fusionné avec Globalfoundries, une société de fabrication de puces électroniques qu’ATIC gère dans le cadre d’une coentreprise créée avec la société américaine AMD[6]. En outre, l’émirat vise aussi à se développer comme un des principaux centres de fabrication aérospatiale. La branche d’investissement stratégique du gouvernement d’Abu Dhabi, Mubadala Development Company, planifie de mettre en service une usine aérospatiale en cours de construction jusqu’à la fin 2010. Mubadala aussi fait des progrès dans la mise en place d’une coentreprise de 8 milliards de dollars avec GE, le conglomérat américain. Celui devrait permettre un apport de capitaux commerciaux dans la région[7],[8],[9]. La vision de diversifier l’économie nationale naturellement influence aussi le développement des autres émirats. Dans ce domaine, par exemple, en décembre 2009 la Direction de l’investissement de Ra’s al- Khaimah (RAKIA) a annoncé son plan pour un nouveau concept de zones industrielles à thème. Ainsi on vise à créer des groupements d’installations manufacturières à Ra’s al- Khaimah. Les groupements proposés sont prévus de couvrir de différents secteurs, y compris l’alimentation, des produits chimiques, des matières plastiques et du caoutchouc, des minéraux, des métaux, des équipements électriques, du transport et de la logistique[10].

Dans l’émirat de Fujaïrah, on a créé la première zone franche virtuelle aux E.A.U. Cette « Virtuzone » qui fait partie de la zone franche de Creative City à Fujaïrah. Dans cette zone franche virtuelle, les compagnies détenues par des sociétés internationales peuvent exercer les activités commerciales à un coût moins élevé que dans les zones franches traditionnelles. Les entrepreneurs internationaux inscrits dans cette zone peuvent ainsi opérer à partir de n’importe quel endroit aux E.A.U., y compris de bureaux et de résidences privées[11]. L’émirat d’Abu Dhabi dispose de respectivement 95 pour cent et 92 pour cent des réserves de pétrole et de gaz existant au pays. Au futur, l’émirat ambitionne à investir les revenus issus des hydrocarbures dans l’augmentation de la production d’énergie à partir de sources renouvelables L’objectif du gouvernement de l’émirat est alors de satisfaire à 7 % des besoins énergétiques d’Abu Dhabi par des sources renouvelables jusqu’à 2020[12]. La société publique Masdar est spécialisée dans les énergies du futur et devrait jouer un rôle capital pour réaliser cet objectif, avec des investissements et aussi en travaillant au développement de solutions d‘énergie faible en carbone.

Le projet Masdar City comprend la création d’une écoville qui devrait être une des villes les plus durables du monde dans l’émirat pour un coût de 55 milliards de dirhams. La première phase du projet devrait être terminée en 2015[13],[14].Finalement, elle devrait abriter 40.000 résidents et offrir de l’espace pour quelque 1 500 sociétés spécialisées dans les énergies propres qui devraient employer approximativement 50.000 personnes. En outre, Masdar investit fortement dans la technologie des cellules photovoltaïques en couche mince. Pour cela, on construit à Abu Dhabi une usine capable de fabriquer chaque année un nombre de cellules suffisant pour produire 130 MW[15],[16].

Par ailleurs, le secteur financier est toujours de grande importance pour l’économie des émirats, malgré l’impact de la crise financière mondiale. Ce secteur est de grande importance notamment à Dubaï, où le Centre financier international et la bourse, ensemble avec la bourse nationale d’Abu Dhabi, continuent de stimuler la croissance future dans ce secteur. En outre, le gouvernement émirien vise à préparer une loi industrielle, qui devrait faciliter la création d’industries nationales.

Le tourisme

Le tourisme international (et pas seulement arabo-musulman) devient de plus en plus important grâce à l'accumulation de projets pharaoniques parmi lesquels l'hôtel Burj-Al-Arab, la piste de ski Dubaï entièrement couverte aux abords du désert ou encore le célèbre Palm Islands. Il est vrai que les Emirats ne sont pas égaux face à la ressource en hydrocarbures. Le tourisme constitue un secteur de croissance important de l’économie sur l’ensemble des E.A.U. Après le récent re-branding d’Abu Dhabi, les hôtels et stations de loisirs prennent une importance croissante dans le pays, comme par exemple l’île de Sir Bani Yas à l’ouest d’Abu Dhabi et des différents lieux de villégiature situés dans le désert comme Qasr Al Sarab dans le Liwa et Al Maha et Bab al-Shams à Dubaï. Beaucoup de différentes stations balnéaires se trouvent au bord de la mer où des hôtels et édifices emblématiques sont situés, comme par exemple l’Emirates Palace Hotel, le Burj al-Arab et Madinat Jumeirah . Le pays attendait d’accueillir 11,2 millions de touristes en 2010, ce qui aiderait à assurer le succès des efforts visant à augmenter les investissements dans le secteur de l’hôtellerie et de la restauration[17].

Le secteur économico-financier

Mis à part dans les zones franches, le code de commerce impose que le capital des sociétés soit détenu en majorité (51%) par un sujet des Emirats. Cette loi devrait être modifiée et la clause de propriété sera sans doute abandonnée pour se conformer aux règles de l'Organisation mondiale du commerce.

Le Centre financier mondial de Dubaï a été fondé en septembre 2004 et a été rapidement un pôle du système financier mondial. 218 entreprises de services financiers s'y sont installées en 4 ans. Sur 130 gérants d'actifs, 64 ont un centre de décision aux Emirats[18].

Le Fonds souverain de l'émirat d'Abou Dabi, Atic, dispose par exemple d'importantes réserves qui lui permettent d'intervenir sur les marchés comme un acteur financier à part entière, y compris pendant la crise financière de l'automne 2008. Il intervient par exemple pour sauver de la faillite le groupe américain Advanced Micro Devices (AMD), n°2 mondial du secteur des microprocesseurs, dont Abou Dabi est déjà actionnaire à hauteur de 8,1% depuis 2007. L'émirat devrait porter sa participation au capital à hauteur de 19,3% au début 2009, investir plus de 2 milliards de dollars, réduire la dette d'AMD d'1/4, et encourager par de nouveaux investissements le développement de l'entreprise[19].

L'économie de la culture et de la communication

Les Émirats Arabes Unis ont-ils pour ambition de devenir un des pôles mondiaux de la culture ? La multiplication des projets à Abou Dabi comme à Dubaï le laisse de plus en plus imaginer. La rente pétrolière, ajoutée à une lente diversification de l'économie, autorise des projets très spectaculaires. Cependant, le contre-choc pétrolier de la fin de l'année 2008 annonce peut-être une période moins frénétique[20].

  • L'émirat d'Abou Dabi a décidé d'investir 1 milliard de dollars entre 2008 et 2013, dans des productions cinématographiques, en collaboration avec d'autres sociétés de production, dont certaines d'Hollywood[21].
  • Une antenne de la Sorbonne, et bientôt un institut d'art de l'Université Yale, s'installent à Abou Dabi.
  • Le Louvre Abou Dabi ouvrira ses portes en 2013, ce sera peut-être un des principaux musées du monde.
  • Le parc des musées d'Abou Dabi comprendra plusieurs grands musées, dont le plus grand musée Guggenheim du monde (32 000 m²).
  • L'opéra de Dubaï, œuvre de l'architecte Zaha Hadid, sera inauguré en 2013.

La société

Selon le ministère de l’Economie, en 2007, les émirats avaient 4,488 millions d’habitants. 80 % de la population des Émirats sont des immigrés, continuant à dominer par rapport aux citoyens émiriens. De plus, la population a augmenté énormément, de 74,8%, entre 1995 et 2005, selon le dernier recensement. En 2007, 864,000 citoyens émiriens et 3,62 millions d’expatriés vivaient dans le pays, la population nationale ayant augmenté de 2,9% en 2006, et la population des expatriés de 6,9%. Abu Dhabi était le plus peuplé des émirats à la fin 2007, avec un total de 1,493 million d’habitants, suivi par Dubaï, avec environ 1,478 million d’habitants, puis par Sharjah, où vivaient près de 882 000 d’habitants. Comme la plupart des milliers d’immigrants arrivant dans le pays chaque année sont des hommes, ils représentent une significativement plus grande partie de la population par rapport aux femmes[22].

La main d’œuvre

La majorité des emplois aux EAU se trouvait au secteur privé, soit, près de 63,3 % de l’ensemble des travailleurs en 2008[23]. Selon bureau national des statistiques aux E.A.U., le taux de chômage s’élevait à environ 4% en 2008[24].En 2007, la population active représentait environ 63,2% des 4,488 millions d’habitants constituant le total de la population aux émirats. En 2008 une légère augmentation à 63,9% a été notée[25]. La majorité des employés émiriens travaillent dans le secteur public fédéral, qui représente 45% de la main-d’œuvre totale du pays, d’après des données du ministère de l’économie. Selon les estimations du ministère du Travail, 3,11 millions en 2007 de travailleurs expatriés employés ont été enregistrés en 2007 et 4,07 millions en 2008, ce qui correspond à une augmentation annuelle de 31%.

L'emploi national

Les expatriés occupent 99% des emplois dans le secteur privé et 91% des emplois de ceux des services publics. Les autorités craignent de ne trouver que 4% d’émiriens dans la population active en 2020, si la tendance actuellement observée continue à l’avenir. Chaque année 800.000 emplois sont créés dans le pays, dont la majorité fait part du secteur privé. Malgré cela, chaque année jusqu'à 10 % des émiriens qui travaillent démissionnent à cause de problèmes sur le lieu de travail[26]. C’est pour cela qu’on a décidé d’introduire de nouvelles initiatives qui devraient résulter en une meilleure représentation d’émiriens, surtout dans le secteur privé. Dénommé «émiratisation», ce dispositif politique constitue un des principaux domaines de préoccupation du gouvernement. Ainsi, un nombre croissant de sociétés émiriennes a commencé à adopter des mesures pour augmenter le nombre d’émiriens qu’ils emploient. Une difficulté est pourtant de créer une réserve de candidats dotés de qualifications et de la formation nécessaires pour leur permettre de prendre des responsabilités requises[27].

Les échanges internationaux

Les principaux partenaires commerciaux sont le Japon, les États-Unis et l'Union européenne En 2007, le chiffre d’affaires total du commerce du pays était 1,01 billion de dirhams (275,1 milliards de dollars), ce qui représente 22,2% de la valeur totale des échanges commerciaux arabes qui s’élève a 1,234 billion de dollars, même si la population émirienne ne représente que 1,4% de la population arabe totale. Cette forte augmentation du commerce a été attribué à une montée des exportations de pétrole brut et de gaz, à la croissance des exportations non pétrolières des zone franches et d’autres secteurs et à l’augmentation constante des réexportations, ainsi qu’à une hausse importante d'importations causée par la forte demande intérieure. Au total, les chiffres du commerce pour l’ensemble des E.A.U. montrent une augmentation des activités. La valeur du commerce extérieur directe du secteur non-pétrolier de Dubaï, par exemple, a grimpé de 54,3% au cours du premier semestre 2008, atteignant 296,6 milliards de dirhams (environ 80,8 milliards de dollars), contre 192,2 milliards de dirhams (52,3 milliards de dollars) durant la même période en 2007. Parmi les principaux partenaires commerciaux de Dubaï, l’Inde occupe la première place de la liste, suivie de la Chine et des Etats-Unis en troisième place. En ce qui concerne les exportations émiriennes, l’Inde était également sur la première place au premier semestre de l’année 2008, suivie par la Suisse qui avait avancé à la deuxième position de la cinquante-quatrième qu’elle occupait avant. La valeur du commerce bilatéral de Dubaï avec la Suisse est passée de 24,7 millions de dirhams 1,5 milliard. L’Inde était aussi le principal partenaire de Dubaï dans le premier semestre 2008 dans le commerce de réexportation, suivie par l’Iran et la Suisse[28].

Notes et références

  1. 80% de la population active est immigrée. Sans emploi ni permis de travail, un travailleur immigré se voit contraint de quitter le territoire. Une estimation (officieuse) du chômage donne 15% parmi la population émirienne.
  2. a et b Les Échos, 30/05/08, p10
  3. Dubai Aluminium
  4. The Abu Dhabi Economic Vision, Department of Economic Development
  5. ATIC’s Acquisition of Chartered Becomes Effective Today
  6. GlobalFoundries completes Chartered merger
  7. http://mubadala.ae/sectors/aerospace/
  8. http://mubadala.ae/sectors/aerospace/partners/ge
  9. Revue annuelle, e.a.u. 2010, p.64
  10. http://www.rak-ia.com/en/rakia-industrial-park/rakia-industrial-park.aspx
  11. Virtuzone Introduces UAE to Doing Business Virtually
  12. Revue annuelle, e.a.u. 2010, p.66
  13. Masdar Revises Zero-Carbon Plan, Delays Phase One
  14. Masdar To Delay Final Completion Until At Least 2020
  15. http://www.masdar.ae/en/home/index.aspx
  16. http://www.masdar.ae/en/Menu/Index.aspx?MenuID=48&mnu=Pri
  17. Revue annuelle, e.a.u. 2010, p.68
  18. Dubaï attire les sociétés de gestion, Les Echos, 12/09/08, p30
  19. L'émirat d'Abu Dhabi vole au secours d'AMD, Les Echos, 08/10/08, p26
  20. Abu Dhabi - Dubaï: le match de la culture, Les Echos, 30/05/08, p10
  21. Le Figaro économie, 04/09/08
  22. Revue annuelle des émirats arabes unis 2009, p.209
  23. Revue annuelle, e.a.u. 2010, p.154
  24. http://www.uaestatistics.gov.ae/PublicationEN/tabid/187/Default.aspx?MenuId=2
  25. UAE in figures 2009
  26. Revue annuelle des emirats arabes unis 2009, p.209
  27. Emiratisation of workforce 'pillar of growth'
  28. Revue annuelle des emirats arabes unis 2009, p.98

Articles connexes

Liens externes


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