- Voice of America
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Voice of America (VOA), ou en français La Voix de l'Amérique, est le service de diffusion internationale par radio et télévision du gouvernement américain. Contrairement à la Deutsche Welle, Radio France Internationale ou BBC World Service, VOA est directement contrôlé par l’État. Son organisme de tutelle est l’International Broadcasting Bureau. Il y a aussi plusieurs stations de radio affiliées ou engagées avec VOA qui diffusent ses programmes. Ceux-ci sont également disponibles sur Internet. VOA fut d'abord installé à Union Township (aujourd’hui : West Chester Township), dans l’État de l’Ohio. Parmi d’autres sites de VOA se trouvent ceux de Dixon (Californie), Hawaï, Okinawa, le Libéria, le Costa Rica et le Belize. L'auditoire de Voice of America dépasserait 116 millions d'auditeurs et de téléspectateurs en 2006, contre 163 millions pour BBC World Service et 44 millions pour RFI.
Sommaire
Objectifs
Les buts de V.O.A. sont définis dans une charte établie en 1960 et devenue loi le 12 juillet 1976 (Public Law 94-350)[1]. Ils sont au nombre de trois :
- Être une source fiable d’information, avec précision et objectivité.
- Présenter la société américaine, ses modes de pensée et ses institutions.
- Présenter avec clarté la politique américaine.
Histoire
La seconde guerre mondiale
En matière de diffusion radiophonique internationale les États-Unis ont fait preuve de retard : dans les années 1930, ils sont le seul grand pays à ne pas disposer de radio publique émettant vers l’étranger. Seule une douzaine d’émetteurs ondes courtes de faible puissance et appartenant au secteur privé existent alors dans ce pays. En 1941, plusieurs d’entre eux sont loués par la Coordination for Inter-American Affairs (C.I.A.A.) pour diffuser des programmes vers l’Amérique Latine. Au milieu de 1941, le président américain Roosevelt crée le Foreign Information Service (F.I.S.) chargé d’émettre vers l’étranger. L’entrée en guerre des États-Unis contre le Japon et l’Allemagne à la fin de cette même année facilite les choses. Dès décembre 1941, le F.I.S. lance ses premières émissions à destination de l’Asie. Le 24 février 1942, le F.I.S. débute sa diffusion vers l’Europe grâce aux émetteurs à ondes courtes de la BBC. En juin 1942, Voice of America est placée sous l’autorité de l’Office of War Information (O.W.I.)[2].
Avec la fin de la guerre, Voice of America ferme plusieurs de ses services en langues étrangères. A la fin de 1945, un comité désigné par le gouvernement des États-Unis et présidé par Arthur McMahon de l’université de Columbia lui demande de prêter plus d’attention à V.O.A. Ainsi la station, de même que la C.I.A.A. passe sous le contrôle du Département d’État le 31 décembre 1945.
Le début de la Guerre Froide : 1947 – 1953
L’apparition de la Guerre froide en 1947 donne une nouvelle justification à l’existence de Voice of America : faire entendre la voix de l’Amérique face à celle de l’Union soviétique. En 1948 est voté le Smith-Mundt Act qui fait dépendre les services de diffusion à l’étranger de l’Office of International Information of Department of State.
La Voix de l’Amérique connaît une grave crise en 1953. C’est à partir du 16 février 1953 que le sénateur Joseph McCarthy s’intéresse à V.O.A., dont il accuse certains employés de ‘‘négligence favorisant le communisme’’. Plusieurs salariés doivent démissionner ou sont licenciés, le budget de la station est diminué, passant de 21 à 16 millions de dollars, le projet de construction d’émetteurs est arrêté, et plusieurs services en langues étrangères sont supprimés[3].
La suite de la Guerre froide : 1953 – 1990
La même année une commission désignée par le président Eisenhower conclut que les services d’information destinés à l’étranger ne doivent plus être contrôlés par le Département d’État. Aussi l’United States Information Agency (U.S.I.A.) est créée le 1er août 1953, dont dépend Voice of America. De plus, la station déménage de New-York à Washington.
En 1960, le directeur de l’U.S.I.A. adopte la charte de Voice of America qui établit les principes guidant la station de radio. En 1969, elle connaît sa meilleure audience : 800 millions de personnes suivent sa retransmission des premiers pas de l’être humain sur la Lune. Le 12 juillet 1976, la charte de V.O.A. devient loi fédérale (Public Law 94-350). En 1977, la station devient le premier diffuseur international à utiliser en permanence le satellite pour transmettre des émissions.
Au cours des années 1980, VOA lance ses programmes de télévision. En 1983, elle initie un programme de reconstruction et de modernisation de ses équipements techniques, devenus obsolètes[4].
Les années 1990
En 1997, le gouvernement albanais coupe la diffusion des programmes de Voice of America par des stations locales. La même année les diffuseurs américains vers l’international accèdent au satellite AsiaSat 2. Un changement important a lieu avec le Foreign Affairs Reform and Restructuring Act de 1998 qui, le 21 octobre 1998, place les diffuseurs publics non-militaires de programmes destinés à l’étranger sous la tutelle du Broadcasting Board of Directors, composé de neuf membres[5].
Voice of America après le 11 septembre 2001
Dès les mois suivant les attentats du 11 septembre 2001, Voice of America subit d’importantes pressions de la part du gouvernement américain pour ne pas diffuser d’interviews de personnes liées au terrorisme[6].
La volonté du gouvernement américain de renforcer ses médias à l’étranger se traduit par une augmentation de 30,96 % des crédits alloués à la Voix de l’Amérique entre 2001 et 2002, ainsi que par le maintien en 2002 d’un effectif important[7]. Depuis lors, le nombre d’employés a diminué mais le budget de la station de radio et de télévision ne cesse d’augmenter (166 millions de dollars en 2006). Les troubles agitant la Somalie en 2006 et 2007 incitent la Voix de l'Amérique a relancer ses programmes en somali[8]. Le nouveau budget pour 2008, pas encore approuvé par le Congrès, entrainera l'abandon des 14 heures quotidiennes de VOA NewsNow English et l'abandon de la diffusion radiophonique en cantonais, ouzbek, croate, grec, hindi et russe. Les programmes destinés à la Corée du Nord, à Cuba et au Venezuela devraient connaître une augmentation de leur volume[9].
Langues
Actuellement
La Voix de l’Amérique émet actuellement en 45 langues pour ses émissions radiophoniques et en 24 pour la télévision (marqués avec un astérisque)[10]:
Histoire
Le nombre de langues diffusées a diminué en 2004. De 52 langues en 1998, VOA passe à 55 en 2003 puis descend à 44 l’année suivante[11].
Langues diffusées Langue Dates Afan Oromo Depuis 1996 Afrikaans 1942 à 1949 Albanais 1943 à 1945; Depuis 1951 Allemand 1942 à 1960; 1991 à 1993 Amharic Depuis 1982 Amoy 1941 à 1945; 1951 à 1963 Anglais Depuis 1942 Arabe 1942 à 1945; 1950 à 2002 ; puis Radio Sawa Arménien Depuis 1951 Azéri 1951 à 1953; depuis 1982 Bangali depuis 1958 Bosniaque Depuis 1996 Bulgare 1942 à 2004 Birman 1943 à 1945; depuis 1951 Biélorusse 1956 à 1957 Cantonnais 1941 à 1945; 1949 à 1963; depuis 1987 Coréen Depuis 1942 Créole Depuis 1987 Croate Depuis 1943 Danois 1942 à 1945 Dari Depuis 1980 Espagnol (Amérique latine) 1941 à 1945; 1946 à 1948; 1953 à 1956 (via radios privées); depuis 1960
Espagnol (Radio Martí) Depuis 1985 Espagnol (TV Martí) Depuis 1990 Espagnol (Espagne) 1942 à 1955 ; 1955 à 1993 (via radios locales) Estonien 1951 à 2004 Finlandais 1942 à 1945; 1951 à 1953 Flamand 1942 à 1945 Français (Afrique) Depuis 1960 Français (France) 1942 à 1961; depuis 2010(via WRN) Géorgien Depuis 1951 Grec Depuis 1942 Gujarati 1956 à 1958 Hakka 1951 à 1954 Haoussa Depuis 1979 Hébreu 1951 à 1953 Hindi 1951 à 1953 ; depuis 1954 Hongrois 1942 à 2004 Indonésien Depuis 1942 Islandais 1944 Italien 1942 à 1945; 1951 à 1957 Japonais 1942 à 1945; 1951 à 1962 Khmer 1955 à 1957; depuis 1962 Kirundi Depuis 1996 Kinyarwanda Depuis 1996 Kurde Depuis 1992 Laotien Depuis 1962 Letton 1951 à 2004 Lituanien 1951 à 2004 Malaisien 1951 à 1955 Malayalam 1956 à 1961 Macédonien Depuis 1999 Mandarin Depuis 1941 Ndebele Depuis 2003 Néerlandais 1944 à 1945 Népalais 1992 à 1993 Norvégien 1942 à 1945 Ourdou 1951 à 1953 ; depuis 1954 Ouzbèk 1958 ; depuis 1972 Pashtoun Depuis 1982 Persan 1942 à 1945; 1949 à 1960; 1964 à 1966; depuis 1979
Portugais (Afrique) Depuis 1976 Portugais (Amérique latine) 1941 à 1945; 1946 à 1948 (via radios privées); 1961 à 2001
Portugais (Portugal) 1942 à 1945; 1951 à 1953; 1976 à 1987; 1987 à 1993 (via radios privées)
Roumain 1942 à 2004 Russe Depuis 1947 Serbe Depuis 1943 Shanghai (Wu) 1944 à 1946 Shona Depuis 2003 Slovaque 1942 à 2004 Slovène 1944 à 1945 ; 1949 à 2004 Somali 1992 à 1995 ; depuis 2007 Swahili Depuis 1962 Swatow 1952 à 1953 Suédois 1943 à 1945 Tagalog 1941 à 1946 Tamoul 1954 à 1970 Tatar 1951 à 1953 Tchèque 1942 à 2004 Telegu 1956 à 1958 Thaï 1942 à 1958; 1962 à 1988; depuis 1988 Tibétain Années 1950(dans les émissions en mandarin); depuis 1991
Tigrigna Depuis 1996 Turc 1942 à 1945 ; depuis 1948 Ukrainien Depuis 1949 Vietnamien 1943 à 1946 ; depuis 1951 Nombre d'heures de diffusion
En 2007, Voice of America diffusait 1473 heures de programmes, contre 881 en 1998.
Nombre d’heures de diffusion hebdomadaire 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 Nombre d’heures par semaine 881 912 1012 ou 1059[12] 1043 Inconnu Inconnu 1137,55 1176 1370 1473 Sources : rapports annuels du Broadcasting Board of Governors de 1997 à 2007. Audience
Pour 2009 elle s'élèverait à quelque 125 millions d'auditeurs et de téléspectateurs[13]. Elle est donc en progression car en 1999 elle était de 91 millions de personnes[14].
Organisation
Lois régissant VOA et l’IBB
Le Smith-Mundt Act de 1948 interdit à Voice of America d’émettre directement pour les citoyens américains. Le but originel de cette loi est d’éviter que le gouvernement américain ait un impact direct sur sa population, au contraire de nombreux pays d’Europe. Dans certains cas l’approbation du Congrès a été sollicitée pour diffuser des programmes aux États-Unis, comme pour l’émission télévisée Let Poland be Poland. V.O.A. est audible en ondes courtes et sur internet, ce dernier moyen permettant aux américains d’écouter cette station.
Tutelle
L’organisme de tutelle de V.O.A. est l’International Broadcasting Bureau (I.B.B.), lui-même dépendant du Broadcasting Board of Governors(B.B.G.). Le directeur de l’I.B.B. est nommé par le président des États-Unis[15]. Bien que l’I.B.B. ait fait figure de mur protégeant V.O.A. et les autres diffuseurs à vocation mondiale de toute interférence politique, des critiques se sont élevées ces dernières années pour remettre en question le degré d’indépendance des programmes d’information de V.O.A. par rapport à la politique gouvernementale. Ainsi en 2001, Voice of America a subi les pressions directes du gouvernement américain : en septembre 2001 le département d’Etat américain demande à la Voix de l’Amérique de ne pas retransmettre l'interview qu’un de ses journalistes avait fait du mollah Omar, mais elle est tout de même diffusée le 25 septembre 2001. Deux mois plus tard, le directeur de la radio demande à ses rédactions de respecter une loi américaine imposant de ne pas diffuser d’interviews de personnes ou de gouvernants liés au terrorisme[16].
Le Broadcasting Board of Governors (B.B.G.) est un organisme composé de neuf personnes. Huit sont désignées par le président des États-Unis d’Amérique, leur nomination étant confirmée ou infirmée par le Sénat. Le Secrétaire d’État est membre d’office de cet organisme[17]. Ces membres appartiennent aux deux partis les plus importants aux États-Unis, le parti démocrate et le parti républicain. C’est l’organisme qui dirige les diffuseurs d’État américains émettant pour l’étranger. En plus de V.O.A., il a sous sa responsabilité Radio Martí et TV Martí, destinés à Cuba. D'autres entreprises publiques dépendent du B.B.G., comme Radio Sawa destinée aux jeunes arabes, Radio Free Europe et Radio Free Asia.
En 2005, le budget de l’IBB et du B.B.G. s’élevait à 248 millions de dollars, contre 233 millions en 2004[18].
Organisation interne
Le directeur gère les différents départements et services composant la Voix de l’Amérique. Voici la liste des directeurs[19] :
Liste des directeurs Directeur Dates John Houseman Février 1942 – Juillet 1943 Louis G. Cowan Juillet 1943 – Août 1945 John Ogilvie Septembre 1945 – Janvier 1946 Charles Thayer Janvier 1948 – Octobre 1949 Foy David Kohler Octobre 1949 – Septembre 1952 Alfred Morton Octobre 1952 – Avril 1953 Leonard Erikson Juillet 1953 – Avril 1954 John R. Poppele Mai 1954 – Juillet 1956 Robert E. Button Juillet 1956 - Juillet 1958 Henry Loomis Juillet 1958 à Mars 1965 John Chancellor Août 1965 – Juin 1967 John Charles Daly Septembre 1967 – Juin 1968 Kenneth R. Giddens Septembre 1969 – Avril 1977 R. Peter Straus Juillet 1977 – Octobre 1979 Mary Bitterman Mars 1980 – Janvier 1981 James Conkling Août 1981 – Mars 1982 John Hughes Mars – Août 1982 Kenneth Tomlinson Décembre 1982 – Septembre 1984 Gene Pell Juin – Octobre 1985 Richard W. Carlson Novembre 1986 – Septembre 1991 Charles Untermeyer Septembre 1991 – Janvier 1993 Geoffrey Cowan Mars 1994 – Novembre 1996 Evelyn S. Lieberman Mars 1997 – Mai 1999 Sanford J. Ungar Juin 1999 – Juillet 2001 Robert R. Reilly Octobre 2001 – Août 2002 David S. Jackson Septembre 2002 – Octobre 2006 Danforth W. Austin Depuis octobre 2006 Voice of America comptait, en 2005, 1149 employés, un chiffre comparable à celui de 1998, qui s’élevait à 1143. Toutefois, il est possible de distinguer trois périodes dans l’évolution du nombre de salariés : de 1998 à 2000, l’effectif est stable, et diminue même de 1999 à 2000, passant de 1152 à 1118 personnes[20]. En 2001 l’effectif s’accroît pour passer à 1353. Conséquence des attentats du 11 septembre, le nombre de personnes travaillant à VOA reste stable l’année suivante (1353). Puis il diminue passant de 1353 en 2002 à 1212 en 2003 et 1149 en 2005[21].
Évolution du nombre d’employés de Voice of America 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 Nombre d'employés 1143 1152 1106 ou 1118[22] 1353 1353 1212 1163 1149 1173 1199 Sources : rapports annuels du Broadcasting Board of Governors de 1997 à 2007. Budget
Voice of America fonctionne grâce aux crédits alloués par le Congrès des États-Unis. En 2006, le budget s’élève à 166 millions de dollars, soit 124,7 millions d'euros ou 195,2 millions de dollars canadiens [23]. Le budget de VOA augmente constamment de 1998 à 2006[24]. De 1998 à 2001, il passe de 102,478 à 112,7 millions de dollars. Les attentats du 11 septembre 2001 incitent le gouvernement à renforcer la puissance d’action de V.O.A. qui voit son budget augmenter de 30,96% entre 2001 et 2002. Entre 2002 et 2006, il s’est accru de 12,48%, passant de 147,588 à 166 millions de dollars.
Évolution du budget de V.O.A. 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 Montant en millions de dollars 102,478 106,378 107,412[25] 112,7 147,588 146,1 152,2 158 166 172,8 Sources : rapports annuels du Broadcasting Board of Governors de 1997 à 2007. Les montants sont exprimés en millions de dollars Controverses
Souveraineté nationale
Il a parfois été suggéré que le gouvernement américain violait la souveraineté nationale des pays étrangers en y diffusant des émissions[26]. En mars 2006, cinq journalistes éthiopiens travaillant pour Voice of America ont été arrêtés par le gouvernement éthiopien pour trahison[27]
Paiement pour des apparitions
VOA a payé des journalistes pour apparaitre dans ses émissions. Selon le El Nuevo Herald et le Miami Herald, cela impliquerait David Lightman, le chef du bureau de Washington de Hartford Courant, Tom DeFrank, dirigeant du bureau de Washington du New York Daily News, Helle Dale ancienne directrice de la rubrique Opinions du Washington Times, Georgie Ann Meyer, Pablo Alfonso, reporter de El Nuevo Herald, et Wilfredo Cancio[28]. En réponse un porte-parole du Broadcasting Board of Governors a déclaré au El Nuevo Herald que ce genre de paiements ne posait pas de conflit d’intérêt : Durant des décennies, durant beaucoup, beaucoup d’années, certains des journalistes les plus respectés ont reçu des paiements pour participer à des programmes de Voice of America’’[29].
Notes et références
- http://www.voanews.com/english/About/VOACharter.cfm Source :
- http://www.voanews.com/english/About/the-beginning.cfm Source:
- http://www.voanews.com/english/About/post-wwii-era.cfm et http://www.voanews.com/english/About/historical-highlights.cfm Sources:
- http://www.voanews.com/english/About/modernizing-in-the-1980s.cfm Source:
- http://www.voanews.com/english/About/restructuring-in-the-1990s.cfm Source:
- [1]. Source:Rapport annuel 2002 de Reporters sans Frontière
- Howard LaFranchi, In PR war, US gets ready to turn up volume, The Christian Science Monitor, 1er novembre 2001 Rapports annuels de 2001 et 2002 du Broadcasting Board of Governors. Voir aussi: Claude Beauregard, Les évènements du 11 septembre 2001 et l'information, in collectif, Les médias et la guerre, de 1914 au World Trade Center, Montréal, Editions du Méridien, 2002, p. 245: "Les États-Unis vont aussi revoir leurs moyens de communication sur la scène mondiale. La Voice of America et la United States Information Agency ont été victimes des réductions budgétaires à la fin de la guerre froide. Des ressources additionnelles seront consacrées aux organismes dont le travail consiste à faire la promotion des intérêts américains dans le monde.". Consulter également:
- http://www.voanews.com/somali/ Consulter
- US Budget Plan Would Cut Most VOA English Radio Programs, VOANews, 5 février 2007., Broadcasting Budget Strengthens Targeted Programming, Broadcasting Board of Governors, 5 février 2007 et http://www.kimandrewelliott.com/bbg_2008_reorg.html
- http://www.voanews.com/english/About/OnlinePressKit.cfm Source:
- http://www.voanews.com/english/About/language-services.cfm Source du tableau:
- Sources: Rapport annuel du Broadcasting Board of Governors de 1999(1059 heures) et de 2000(1012 heures)
- http://www1.voanews.com/english/about-us/
- http://www.bbg.gov/reports/99anrprt.pdf Rapport annuel du Broadcasting Board of Governors de 1999:
- IBB - International Broadcasting Bureau
- [2]. Rapport annuel 2002 de Reporters sans Frontière
- http://www.voanews.com/english/About/historical-highlights.cfm VOA, Annual report, Washington, VOA, 2000 et
- Sources: rapports annuels du Broadcasting Board of Governors de 2004 et de 2005.
- http://www.voanews.com/english/About/voa-directors.cfm Source:
- Source: rapport annuel de 2000. Le rapport annuel de 1999 donne des chiffres différents pour l'année 2000: 1 106.
- http://www.voanews.com/english/About/OnlinePressKit.cfm Sources : Rapports annuels du Broadcasting Board or Governors de 1998 à 2005. Pour l'effectif de 2006 consulter:
- Source: rapports annuels de 1999(1106) et 2000(1118).
- OnlinePressKit
- http://www.bbg.gov/bbg_press.cfm Sources : Rapports annuels du Broadcasting Board or Governors de 1998 à 2005. Ils sont consultables et téléchargeable à :
- Source: rapport annuel de 2000. Le rapport annuel de 1999 donne des chiffres différents pour l'année 2000: 105,529 millions de dollars.
- CUBA BATTLES FOR SOVEREIGNTY OF THE AIRWAVES Karen Wald, Latin America Press Havana Cuba s
- http://www.awate.com/artman/publish/article_4426.shtml Source :
- http://www.miami.com/mld/miamiherald/news/local/15513470.htm Voir El Nuevo Herald du 16 septembre 2006 et
- http://www.miami.com/mld/miamiherald/news/local/15513470.htm Texte original: For decades, for many, many years, some of the most respectable journalists in the country have received payments to participate in programs of the Voice of America . Source:
Annexes
Articles connexes
- Deutsche Welle
- BBC World Service
- Radio Canada International
- Radio France Internationale
- Liste des associations des Tibétains en exil
Lien externe
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