Vgayet

Vgayet

Béjaïa

Béjaïa - Bgayet
Vue de Béjaïa depuis le Mont Gouraya
Vue de Béjaïa depuis le Mont Gouraya
Géographie
Pays Algérie Algérie
Wilaya Béjaïa
Daïra Béjaïa
Superficie 3 268,26 km²
Coordonnées geo. 36° 45' Nord
05° 04' Est
Démographie
Population 173 693 hab (2006)
Densité 53,14 hab/km²
Politique
Président de l'APC Hanneche Tahar (FLN)
Mandat en cours 2007-2012
Autres informations
Code ONS 0601
Code postal 06000
Budget 168 millions de DA (2007)[1]
Plaque de Béjaïa (sur le mur de la prison de la ville).

Béjaïa, Bgayet en kabyle (berbère) et transcrit en tifinagh ⴱⴳⴰⵢⴻⵜ ; Bougie étant l'ancien nom français de la ville en raison de la fabrication locale de chandelles, Saldae au temps des Romains et Vaga (les ronces) en libyco-berbère) est une ville d'Algérie. Elle est aussi le chef-lieu de la wilaya (département) du même nom.

Les habitants de Béjaïa sont appelés les Bougiotes ou les Bédjaouis. Avec ses 173 693 habitants en 2006, Béjaïa est en termes de population la plus grande ville de Kabylie. C'est aussi, grâce à sa situation géographique, le plus important pôle industriel de la région, notamment par la concentration de nombreuses industries, et la présence d'un des plus grands ports pétroliers et commerciaux de Méditerranée. Béjaïa est également dotée d'un aéroport international (Soummam / Abane Ramdane - code AITA : BJA)..

Connue à l'époque romaine sous le nom de Saldae[2], elle devient au Moyen Âge l'une des cités les plus prospères de la côte méditerranéenne, capitale de grandes dynasties musulmanes. D'abord connue en Europe grâce à la qualité de ses chandelles faites de cire d'abeille auxquelles elle a donné son nom, Bougie a également joué un rôle important dans la diffusion des « chiffres arabes » en Occident.

Carte de l'Algérie (localisation de Béjaïa)

Sommaire

Étymologie

Le mot bougie est apparu dans la langue française au XIVe siècle. Tiré de Bugaya, cette ville d'Algérie qui fournissait une grande quantité de cire pour la fabrication des chandelles[3],[4]. La bougie comme telle fut développée au milieu du XIXe siècle, et se distingue de la chandelle par sa matière première et l'utilisation d'une mèche de coton tressé. Le tressage permet à la mèche de se courber et de se consumer : inutile alors de la moucher. La misérable chandelle disparaît alors, et la cire perd de son intérêt.

Géographie

Les Aiguades, crique coincée entre le cap Bouak (au fond) et le cap Noir

La région dont nous nous proposons de rappeler l’histoire est limitée approximativement à l’ouest par les crêtes du Djurdjura, à l’est par les Babors auxquels se soudent les Bibans qui s’étendent jusqu’au sud-est, dominant les plaines de la Médjana et de Bordj-Bou-Arreridj. Une vallée, où serpente le fleuve de la Soummam, séparant les Babor-Biban du Djurdjura, débouche vers le Sud à Ighrem, El Asnam, en une riche plaine plantée d’oliviers, d’arbres fruitiers, de vignobles et d’autres cultures. Le golfe de Béjaïa, sur le bord duquel la ville s’élève en amphithéâtre, offre l’aspect d’un vaste lac entouré d’un rideau de montagnes aux profils capricieux : d’abord la crête de Gouraya qui domine la ville ; à sa droite le pic de Toudja ; en face et suivant l’ellipse du littoral, viennent la cime de Bou-Andas, les dentelures rocheuses de Béni-Tizi, du Djebel Takoucht, d’Adrar-Amellal, Tizi-Uzerzur, la large croupe des Babors à côté du pic du Tababort ; enfin, au dernier plan, la silhouette bleuâtre du pays de Jijel.

Béjaïa depuis la mer
Magot au sommet du Gouraya

Lorsqu’on s’éloigne de la ville pour se diriger vers Ziama, les gorges de Chaabet-EI-Akhra, on suit, sur un parcours de plus de trente kilomètres, le demi-cercle formé par le golfe. La route qui suit parallèlement le rivage traverse une plaine fertile dominée par des sites pittoresques verdoyants avec une végétation épaisse et drue.

Les bords de la Soummam que l’on traverse sont couverts d’ajoncs et de lauriers-roses séparant ses rives de beaux jardins où figuiers, oliviers, orangers, abricotiers et tant d’autres se côtoient ; tout atteste, en ces lieux, une impulsion intelligente, beaucoup d’esprit d’initiative, du goût et du sérieux dans le travail. Après Souk-el-Khemis et sa douce plaine, la bande qui s’étend le long du rivage se rétrécit peu à peu pour aboutir, vers le sud-ouest en suivant la rivière, à la route menant aux gorges.

Le cap Carbon, à l'entrée de la baie de Béjaïa.

La végétation, en certains endroits du bord de la route, constitue un véritable fouillis de plantes sauvages, de lierre, de vigne vierge, de lianes épineuses, de ronces ; sur les pentes douces ou abruptes, des frênes, des pins, des chênes-verts, des chênes-liège, des eucalyptus émergent des gros buissons de genêts et de lentisques au milieu desquels, souvent, une eau limpide trace des sillons de fraîcheur et de vie.

Les gorges offrent un décor grandiose et titanesque par sa beauté et ses proportions. L’âpreté des roches en surplomb, la sévérité des montagnes s’élevant à pic sur les deux rives du cours d'eau qui murmure au fond de l’abîme, la route constamment suspendue sur l’abîme, tantôt creusée dans le flanc de la montagne, tantôt établie sur des arches de maçonnerie aux endroits durs de la paroi, des oiseaux de toutes sortes, points noirs là-haut, très haut, tellement haut qu’ils semblent planer près du toit du monde, font ressentir au milieu de ce paysage la fragilité de l’homme, et nul parmi ceux qui traversent ne peut se défendre d’un sentiment d’inquiétude ; c’est sans doute pour cette raison qu’on l’appelle « Chaabet-el-Akhra ».

Vue sur Béjaïa, et le mont Yemma Gouraya en arrière-plan.

Lorsqu’on escalade les pentes de Gouraya et qu’on aboutit au mausolée, on jouit d’un panorama incomparable. Au bas, la ville apparaît comme un petit village de lilliputiens. Dans la buée opaline du matin disparaît la ligne d’horizon et le ciel semble se confondre avec la mer. Vers le sud-ouest, sur le flanc de cette montagne, apparaît Toudja noyée dans la verdure où coulent intarissables des sources au milieu d’orangeraies séculaires, et, en face les massifs imposants des Babor et des Bibans jonchés d’une multitude de villages, points blancs à peine visibles. Lorsque le soleil, disparaissant à l’horizon, laisse derrière lui des nuages étincelants d’or, toutes ces montagnes sont diaprées des plus vives couleurs et se réfléchissent avec netteté sur la nappe transparente et mobile ; ce spectacle grandiose se ternit ensuite progressivement, sous l’influence des vapeurs humides de la mer, en passant par des nuances des plus variées. À ce spectacle enchanteur, la rade offre un havre aux navires et barques de pêche que peu de côtes de la Méditerranée possèdent. C’est sans aucun doute pour ces raisons que les Phéniciens avaient choisi ce lieu pour l’un de leurs comptoirs-colonies, que les Romains conservèrent et que an-Nacer ibn Hammad (des Hammadides) y édifia sa capitale.

Histoire

Article détaillé : Histoire de Béjaïa.
L'Empire romain à son apogée, vers l'an 120

De par son histoire plus que millénaire, Béjaïa est l'une des plus anciennes villes d'Algérie. En -27/-26, l'empereur romain Auguste fonde la colonie Julia Augusta Saldensium Septimana Immunis à l'intention des vétérans de la Légion : Legio VII Claudia. Cette ville de Saldae est intégrée à la Maurétanie Césarienne en 42 de notre ère. Elle est mentionnée comme étant un siège épiscopal au Ve siècle.

Une inscription du second siècle qualifie Saldae de « Civitas Splendidissima ». Selon Léon Renier, cette inscription a été transportée au musée algérien du Louvre, à Paris. Plusieurs amphores, des mosaïques, des chapiteaux, des pièces de monnaies ont été trouvés par les archéologues lors de récentes fouilles.

Bougie-ville.jpg

Au Moyen Âge, le port joue un rôle politique de premier plan. La dynastie berbère des Hammadides, en conflit avec celle des Almoravides, décide de transférer sa capitale de Qall'a vers Bejaia (1090)[5].

La ville, qui est devenue l'une des cités les plus prospères de la côte méditerranéenne, repousse une expédition génoise en 1136. En 1152, elle est prise par les Almohades. La ville a connu un tel développement que selon Léon l'Africain, elle est peuplée de plusieurs dizaines de milliers de personnes, essentiellement des Kabyles et des Andalous. À cette époque, Béjaïa était un grand centre intellectuel, où résidaient des savants comme Abou Madyane (Sidi Boumedienne), Ibn Hammad, Abd al-Haqq al-Ishbili et Abu Hamid al-Sarir. En 1202, Leonardo Fibonacci, grand mathématicien de l'ère chrétienne du monde occidental, en rapporta les « chiffres arabes » et la notation algébrique (dont certains attribuent l'introduction à Gerbert d'Aurillac). Ceci illustre les liens entre la vitalité commerciale des villes d'Italie de l'époque et la créativité scientifique et artistique de leurs membres.

Devenue une redoutable ville de corsaires au XIVe siècle, la ville est prise par l'Espagnol Pedro Navarro en 1510; l'occupation dure jusqu'en 1555.

Dans le cadre de la campagne d'Algérie (1830-1847), la France lance l’expédition de Bougie qui se termine avec la prise de cette ville le 29 septembre 1833 par l'armée du général Trézel.

Économie

Façade maritime de Béjaïa : vue sur ses installations industrielles et l'aéroport.

Béjaïa est un port de commerce international et ce depuis l'époque ou les juifs sont arrivé pour créer la villehammadide. Aujourd'hui la principale activité du port est l'exportation d'hydrocarbures. Cependant la ville de Béjaïa sert de marché local notamment aux produit locaux de l'artisanat , et des produits agricoles qui parfois sont exportés, Ainsi le port de Béjaïa est le plus important du pays en termes de volume d'activité derrière celui d'Alger. [6] . Les ports de Béjaïa et de Djendjen (Jijel) ont été retenus par les autorités algériennes pour participer à la nouvelle initiative de l’Union européenne portant création des Autoroutes de la mer (AdM) dont le but est d'augmenter les échanges intermodaux entres les ports de la rive nord et sud de la méditerranée, comme c'est le cas notamment pour les ports de Marseille et du Caire. La ville de Béjaia bénéficie également d'une activité de port de pêche, c'est un des secteur qui est amené a se développer dans le futur[7]. Il faut donc remarquer que malgré le peu d'atout naturel et l'enclavement de la ville, Béjaïa figure parmi les villes les plus dynamique de l'Algérie. Cependant les infrastructures restent insuffisante et le développement de la ville en est tributaire .

La ville de Béjaia tire aussi profit de la production agricole de la région de Kabylie en ayant le rôle de marché local voir d'exportation des produits, avec l'oléiculture [8] ,la production de figues et l'apiculture . Au niveau national c'est aussi le siège de certaines entreprises agroalimentaires comme Ifri et des groupes comme Cevital y sont installé.

Au niveau de l'artisanat , la ville tire surtout profit de la production locale de vannerie , et de poterie .

La ville de Béjaïa essaye aussi d'exploiter son magnifique littoral méditerranéen et son patrimoine historique pour développer une activité touristique , cependant la majorité des touristes sont des algériens ou des immigrés originaire de la région.[9]

Culture

Université Abderrahmane Mira de Béjaïa

MUSIQUE : BEJAIA a toujours été une ville disposant d'un patrimoine musical très riche, et une ville très préférée des artistes de tout le pays. En effet au début du siècle passé, il y eu création du conservatoire de musique andalouse par el cheikh SADEK HAMA dit "SADEK EL BEDJAOUI", il fut le premier chanteur algérien dont le succès dépasse les frontières du territoire algérien. Cette école fut la source de plusieurs musiciens et chanteurs talentueux, à citer à titre d'exemple NGUIB accompagnateur au banjo du fameux chanteur CHAABI « EL HADJ MOHAMED EL ANKA », et bien d'autres chanteurs dont le succès est actuellement à la une, comme le fameux DJAMEL ALLAM. Après le décès du maitre de la chanson andalouse, l'école est prise en charge par l'association "AHBAB EL CHIKH SADEK EL BEDJAOUI" présidée actuellement par son fils. La musique à BEJAIA ne s'est pas arrêté là, puisqu'il y a eu émergence d'un courant musical de la rue, entre le CHAABI, le folklore kabyle, et la musique moderne, ce qui a rendu le patrimoine de la ville encore plus riche, à citer au CHAABI les chanteurs qui dominent sont "HCINOU FADLI", "MOURAD ZIDIRI", en folklore kabyle "ABDELKADER BOUHI", et à la musique moderne "DJAMEL ALLAM" qui bénéficie d'un succès international. Actuellement le succès et l'espoir de la musique de la ville est entre les mains du groupe TILANYA, composé de jeunes musiciens talentueux et ambitieux, qui on contribué au développement de la musique de la région en faisant intégrer modernité et tradition dans leurs activités. Avec un succès absolu dans le domaine artistique national, en tant que groupe accompagnateur, et avec l'estime de toutes les vedettes de la chanson algérienne; ce groupe se tourne actuellement vers le large public en préparant un album de fusion entre Folklore Kabyle, CHAABI, GNAWI, et musiques occidentales.

En août, a lieu le festival annuel de la chanson engagée qui commémore la signature de la charte de la Soummam (août 1956), premier texte fondamental pour les institutions de l'Algérie moderne.

Sport

Histoire du football à Bejaia

Le football existe à Béjaïa depuis 1924, c'est-à-dire au temps où cette charmante ville ancienne capitale des hammadides s'appelait encore Bougie.

C'était l'époque où les associations sportives étaient dans l'esprit de leurs fondateurs un moyen de rassembler, sensibiliser et mobiliser les Algériens – alors sous le joug du colonialisme - autour de la cause nationale, et d'aider les jeunes à préserver leur identité culturelle et civilisationnelle menacée dans son intégrité.

Le champ de la pratique de ce sport le plus populaire s'est ensuite élargi au fil des années par la création de clubs aux fortunes diverses mais guidés tous par le même mot d'ordre : l'Algérie sportive ne peut et ne pourra être qu'une Algérie « algérienne ». Après l'avènement de l'indépendance ce sera une autre ligne, une autre politique et une autre aventure. Et pour permettre à chacun de bien connaître son passé - condition indispensable à sa projection vers l'avenir -, nous avons cru utile de présenter même brièvement une rétrospective du football à Béjaïa

Avant l'indépendance

  • 1924 : création par monsieur Pianelli d'un club de football constitué uniquement de Français dénommé la Générale
  • 1926 : création par monsieur Delsol d'un club dénommé Football Club bougiote (FCB) constitué essentiellement de Français
  • 1928 : création par Abelhamid Baba Aïssa du premier club de football destiné aux Algériens dénommé El Rachidia
  • 1930 : création par Saddek Zerrari et Mohamed Khamsi d'un club destiné lui aussi aux Algériens dénommé L'Espérance
  • 1936 : création par Maître Boudjellil Bouchenak Avec de nombreux autres personnalités et notable de la ville, parmi eux BENMOUHOUB ALILI de la Jeunesse Sportive Musulmane Bougiote (JSMB), club né d'une fusion entre les deux clubs créés en 1928 et 1930 El Rachidia et L'Espérance.
  • 1944 : création par Abfelhafid Tamzali du Club Sportif Bougiote (CSB). Ce club avait comme dirigeants, aux côtés de Tamzali, MM. Abdelmadjid Bouyahia, benmouhoub alili, Tedjiza Djelloul, Laadjouze El Hacchemi, Saidi Fatah, Zaouche Ahmed dit Hamidou, Youcef Kebbache , Mahindad Fatah , Talantikit Mustaphaet, Abdelhafid Keramane.
  • 1947 : création par Aouchiche Said de l'Union Sportive Bougiote (USB). Ce club avait comme dirigeants, aux côtés de Aouchiche, MM. Ahmad Ougana (secrétaire général fusillé en 1956 par l'armée française), Salah Haddahoum, Kasri Allaoua, Tamzali Mokhtar, Laadjouze Omar, feu Boualem Boudraham, Amrani Moussa et d'autres.
  • 1954 : création par Abdelhafid Tamzali du Mouloudia Olympique Bougiote (MOB), club né un certain 20 août de la fusion des deux clubs créés en 1944 et 1947, le CSB et l'USB. L'assemblée générale qui déclara la naissance de ce club se tint dans un local commercial situé au lieu-dit Sidi Abdelhaq.
  • 1956 : création de l'Entente Sportive Bougiote ESB par MM. Abderrahim Zoubir et Ziani Boualem . Ce club révolutionnaire regroupant tous les militants sportifs était sous l'égide des dirigeants de la wilaya 3 et servait de couverture pour les déplacements et les réunions de coordination qu'effectuaient ces dirigeants dans toute la région de la Kabylie.

Après l'indépendance

  • 1973 : création par monsieur Aït Arab Khoudir du Ghalia Sport de Béjaïa (GSB)
  • 1974 : création par MM. Ziani, Ouakkouche, Mehdi et Benzaid du Naceria Club de Béjaïa (NCB)
  • 1977 : naissance suite à la réforme sportive du code de l'eps du Mechaal Baladiat Bejaia (MBB)
  • 1978 : création par monsieur Abdelhamid Talah du Chabab riadhi bidhal el hamadia de Bejaïa (CRBHB), club du complexe costumes de Béjaïa (CCB).
  • 1982 : création par monsieur Toufik Djennidi de l'association sportive de la wilaya de Béjaïa (ASWB)
  • 1984 : création par monsieur le recteur de l'université de l'ASSUC de Bejaïa
  • 1990 : création par MM. Khelloufi Mokhtar, Bachir Bouchekhchoukh, saadi Bouabdellah, Moussa Addour, Belkacem Youknane, Mohamed Chelhab, Maître Mohand Benouaret , Barchiche zahir (ex directeur de la maison de jeunes d'Ighil Ouazoug) et d'autres de la Jeunesse Sportive Ighil Ouazoug (JSIO).
  • 11 mai 1991 : création par Mohamed Chelhab, Moussa Madouni, Mouloud Kadri, Hocine Benkhanouche et d'autres de l'Union sportive de la Soummam (USS)

Source : Article de Mohamed Chelhab, publié dans le quotidien Alger Republicain du jeudi 11 Février 1993. LE MONDE EST UN VILLAGE

Actuellement la ville de Béjaïa dispose de 2 grands clubs parmi l’élite algérienne : la JSM Béjaïa (Jeunesse Sportive Medinat Bejaia) qui est en première division algérienne, vainqueur de la coupe d'Algérie 2008 pour la première fois de son histoire, et le MO Béjaïa (Mouloudia Olympique de Béjaïa) qui est lui en deuxième division algérienne.

La wilaya en bref

  • Nombre de communes : 52
  • Nombre de Daïras : 19
  • Population totale : 1 080 923 statistiques 2008
  • Taux d'urbanisation : 62,5%
  • Indicatif téléphonique : +213 (34)

Protocole d'Amitié

Statue du soldat inconnu (guerre d'Algérie), indiquant la direction du port et de la Métropole.

Béjaïa a un protocole d'Amitié avec :

Voir aussi

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Liens externes

Notes et références

  1. Adoption du budget primitif - Le maghreb du 14 avril 2007, sur Bgayet.net.
  2. Table de Peutinger : Maurétanie, Numidie et Saldas
  3. « Bougie », d'après le TLFi (Trésor de la Langue Française sur Internet).
  4. Origine de la Bougie (Chandelle de Bougie) - Bgayet.net, 2007.
  5. Charles-André Julien, Histoire de l'Afrique du Nord. Des origines à 1830, éd. Payot, Paris, 1966, p. 104
  6. http://www.elwatan.com/?page=article_print&id_article=85152
  7. http://www.algerie-dz.com/article11403.html
  8. http://www.elmoudjahid.com/accueil/Nation/26666.html
  9. http://www.algerie-dz.com/article4979.html
  10. Les jumelages de Brest, Mairie-Brest.fr, 16/11/07.
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