Surréalisme

Surréalisme

Le surréalisme est un mouvement artistique qu'André Breton définit dans le premier Manifeste du Surréalisme comme un « automatisme psychique pur, par lequel on se propose d'exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale [...] Le surréalisme repose sur la croyance à la réalité supérieure de certaines formes d'associations négligées jusqu'à lui, à la toute-puissance du rêve, au jeu désintéressé de la pensée. Il tend à ruiner définitivement tous les autres mécanismes psychiques et à se substituer à eux dans la résolution des principaux problèmes de la vie[1]. »

Sommaire

Avant le surréalisme

Dans la seconde moitié du XIXe siècle, le « supernaturalisme » de Gérard de Nerval, le « surnaturalisme » d'Emanuel Swedenborg et aussi le symbolisme de Charles Baudelaire et de Stéphane Mallarmé et, enfin surtout, le romantisme allemand de Jean Paul (dont les rêves annoncent l'écriture automatique) et d'Hoffmann peuvent être considérés comme des mouvements précurseurs du surréalisme. Plus sûrement, les œuvres littéraires d'Alfred Jarry, d'Arthur Rimbaud et de Lautréamont, et picturales de Gustave Moreau et Odilon Redon sont les sources séminales dans lesquelles puiseront les premiers surréalistes (Louis Aragon, Breton, Paul Éluard, Philippe Soupault, Pierre Reverdy). Quant aux premières œuvres plastiques, elles poursuivent les inventions du cubisme. Cette aventure (« une attitude inexorable de sédition et de défi ») passe par l'appropriation de la pensée du poète Arthur Rimbaud (« changer la vie »), de celle du philosophe Karl Marx (« transformer le monde ») et des recherches de Sigmund Freud[2] : Breton s'est passionné pour les idées de Freud[3]qu'il a découvertes dans les ouvrages des Français Emmanuel Régis et Angelo Hesnard en 1917[4]. Il en a retiré la conviction du lien profond unissant le monde réel et le monde sensible des rêves, et d'une forme de continuité entre l'état de veille et l'état de sommeil (voir en particulier l'écriture automatique). Dans l'esprit de Breton, l'analogie entre le rêveur et le poète, présente chez Baudelaire, est dépassée. Il considère le surréalisme comme une recherche de l'union du réel et l'imaginaire : « Je crois à la résolution future de ces deux états, en apparence si contradictoires, que sont le rêve et la réalité, en une sorte de réalité absolue. »[5]

Origine du mot

Sculpture de Giorgio de Chirico, Ettore e Andromaca

C'est dans une lettre de Guillaume Apollinaire à Paul Dermée, de mars 1917, qu'apparaît pour la première fois le substantif « surréalisme » : « Tout bien examiné, je crois en effet qu'il vaut mieux adopter surréalisme que surnaturalisme que j'avais d'abord employé. Surréalisme n'existe pas encore dans les dictionnaires, et il sera plus commode à manier que surnaturalisme déjà employé par MM. les Philosophes. »

En mai 1917, dans une chronique consacrée au ballet « Parade », Apollinaire, admiratif des décors créés par Picasso, évoque « [...] une sorte de sur-réalisme où [il] voit le point de départ d'une série de manifestations de cet esprit nouveau qui [...] se promet de modifier de fond en comble les arts et les moeurs [...] Cette tâche surréaliste que Picasso a accomplie en peinture, [...] je m'efforce de l'accomplir dans les lettres et dans les âmes [...] »[6]

Pour Jean-Paul Clébert, c'est le poète Pierre Albert-Birot qui suggéra à Apollinaire de sous-titrer sa pièce « Les Mamelles de Tirésias », "drame surréaliste" plutôt que "surnaturaliste"[7].

Ce mot apparaît dès le 16 juin 1917 dans une lettre de Jacques Vaché à Théodore Fraenkel : « … et j'espère être à Paris […] pour la représentation surréaliste de Guillaume Apollinaire. »[8]

Une aventure internationale

Le surréalisme connaît une fortune particulière dans la littérature francophone belge. Paul Nougé, dont la poésie présente un aspect ludique très marqué, fonde en 1924 un centre surréaliste à Bruxelles avec les poètes Camille Goemans, Marcel Lecomte… Un autre groupe important, « Rupture », se crée en 1932, à La Louvière, autour de la personnalité d'Achille Chavée.

Le surréalisme belge prend ses distances à l'égard de l'écriture automatique et de l'engagement politique du groupe parisien. L'écrivain et collagiste E. L. T. Mesens fut l'ami de René Magritte, les poètes Paul Colinet, Louis Scutenaire et André Souris et plus tard Marcel Mariën appartiennent également au courant.

Le surréalisme exercera une action stimulante sur le développement de la poésie espagnole, mais à la fin des années 1920 seulement et en dépit de la méfiance suscitée par l'irrationalisme inhérent à la notion d'écriture automatique. Ramón Gómez de la Serna définit ses rapprochements insolites, « greguerias », comme « humour + métaphore ». Le courant « ultraïste » déterminera un changement de ton chez les poètes de la « Génération de 27 », Federico García Lorca, Rafael Alberti, Vicente Aleixandre et Luis Cernuda.

Les principes surréalistes se retrouvent en Scandinavie et en URSS. Le « poétisme » tchèque peut être considéré comme une première phase du surréalisme. Il s'affirme dès 1924 avec un manifeste publié par Karel Teige, qui conçoit la poésie comme une création intégrale, donnant libre cours à l'imagination et au sens ludique. Ses représentants les plus éminents furent Jaroslav Seifert et surtout Vítězslav Nezval, dont Soupault souligna l'audace des images et symboles. Le mouvement surréaliste yougoslave entretient d'étroits contacts avec le courant français grâce à Marko Ristić.

En dépit d'une perte de prestige à partir de 1940, le surréalisme a existé comme groupe jusqu'aux années 1960, en se renouvelant au fur et à mesure des départs et des exclusions.

Le surréalisme fut également revendiqué comme source d'inspiration par l'Alternative orange, un groupe artistique d'opposition polonais, dont le fondateur Major (Commandant) Waldemar Fydrych avait proclamé Le Manifeste du Surréalisme Socialiste. Ce groupe, qui organisait des happenings, peignait des graffiti absurdes en forme de lutins sur les murs des villes et était un des éléments les plus pittoresques de l’opposition polonaise contre le communisme, utilisait largement l’esthétique surréaliste dans sa terminologie et dans la place donnée à l’acte spontané.

Le surréalisme au Japon[9]

Parmi les grands noms du surréalisme japonais, nous trouvons entre autres Harue Koga (1895 - 1933), Ichirô Fukuzawa (1898 - 1992), Noboru Kitawaki (1901 - 1951)...

Parmi les poètes peuvent être cités Katsue Kitazono, Masato Tomobe, Kazuki Tomokawa... Quant aux écrivains, les œuvres les plus marquantes nous ont été laissées par Kôbô Abe.

Concernant les mangas, une brèche fut ouverte à la possibilité d'emploi de tournures surréalistes avec l'œuvre Nejishiki(ねじ式) de Yoshiharu Tsuge (publié dans le numéro de juin du magazine Garo en 1968) puis le secteur put obtenir un appui écrasant de la génération du Zenkyôtô (équivalent de notre mai 68) sous l'influence considérable d'artistes et de nombreux intellectuels non initié à ce type d'œuvre.

Le surréalisme japonais ne s'inscrit pas dans la continuité du dadaïsme. Au Japon, la quasi-totalité des écrivains appartenant au mouvement dadaïste (groupe d'écrivains faisant partie du MAVO) ne sont pas devenus surréalistes, et inversement, la plupart des surréalistes japonais n'œuvrent pas en tant que dadaïstes.

L'écriture automatique

Par l'écriture automatique, les surréalistes ont voulu donner une voix aux désirs profonds, refoulés par celle de la société. L'objet surréaliste ainsi obtenu a d'abord pour effet de déconcerter l'esprit, donc de « le mettre en son tort ». Peut se produire alors la résurgence des forces profondes, l'esprit « revit avec exaltation la meilleure part de son enfance ». On saisit de tout son être la liaison qui unit les objets les plus opposés, l'image surréaliste authentiquement est un symbole. Approfondissant la pensée de Baudelaire, André Breton compare, dans Arcane 17, la démarche du surréalisme et celle de l'ésotérisme : elle offre « l'immense intérêt de maintenir à l'état dynamique le système de comparaison, ce champ illimité, dont dispose l'homme, qui lui livre les rapports susceptibles de relier les objets en apparence les plus éloignés et lui découvre partiellement le symbolisme universel. »

Le peintre Max Ernst, de son côté, découvre pour son art une méthode analogue à l'écriture automatique, méthode que déjà Léonard de Vinci avait esquissée. Frappé par un plancher d'auberge dont les lavages avaient accentué les rainures, il pose sur elles au hasard une feuille et frotte à la mine de plomb. « En regardant attentivement les dessins ainsi obtenus, les parties sombres et les autres plus claires, je fus surpris de l'intensification subite de mes facultés visionnaires et de la succession hallucinante d'images contradictoires. »

Au Québec, dans les années 1940, naitra un groupe d'artistes qui se qualifie d'« automatistes ». Ils feront grands bruits dans la société québécoise avec la sortie en 1948 du Refus Global qui s'oppose à toute l'idéologie des autorités au pouvoir, qu'elles soient politiques ou religieuses. Les automatistes se regroupent autour du peintre Paul-Émile Borduas et sont de toutes les formes artistiques. Dû à leur position à contre-courant et très avant-gardistes, plusieurs devront s'exiler en France ou ailleurs. Ils sont aujourd'hui reconnus pour leur vision qui a participé à une transformation fondamentale de la société québécoise et tailandaise.

Changer l'homme

Le mouvement Dada était antibourgeois, antinationaliste et provocateur. Les surréalistes continuèrent sur cette lancée subversive. « Nous n'acceptons pas les lois de l'Économie ou de l'Échange, nous n'acceptons pas l'esclavage du Travail, et dans un domaine encore plus large nous nous déclarons en insurrection contre l'Histoire. » (tract La Révolution d'abord et toujours). Ces principes débouchent sur l'engagement politique : certains écrivains surréalistes adhèrent, temporairement, au Parti communiste français .

Aucun parti, cependant, ne répondait exactement aux aspirations des surréalistes, ce qui fut à l'origine des tensions avec le Parti communiste français. André Breton n'a pas de mots assez forts pour flétrir « l'ignoble mot d'engagement qui sue une servilité dont la poésie et l'art ont horreur. » Dès 1930, pourtant, Louis Aragon acceptait de soumettre son activité littéraire « à la discipline et au contrôle du parti communiste ». La guerre fit que Tristan Tzara et Paul Eluard le suivirent dans cette voie. Condamnation de l'exploitation de l'Homme par l'Homme, du militarisme, de l'oppression coloniale, des prêtres pour leur œuvre qu'ils jugent obscurantiste, et bientôt du nazisme, volonté d'une révolution sociale ; et plus tard, enfin, dénonciation du totalitarisme de l'Union Soviétique, tels sont les thèmes d'une lutte que, de la guerre du Maroc à la guerre d'Algérie, les surréalistes ont menée inlassablement. Ils ont tenté la synthèse du matérialisme historique et de l'occultisme, en se situant au carrefour de l'anarchisme, et du marxisme, fermement opposés à tous les fascismes et aux religions.

En conclusion

« Surréalisme : le mot est désormais dit comme victime de sa fausse popularité : on n'hésite pas à qualifier de surréaliste le premier fait un peu bizarre ou inhabituel, sans davantage se soucier de rigueur. Le surréalisme [...] est pourtant exemplaire par sa cohérence et la constance de ses exigences. »[10]

Personnalités liées au mouvement surréaliste

La Biographie succincte des personnalités de la constellation surréaliste[11] offre un recensement des artistes et intellectuels qui ont gravité autour du mouvement surréaliste, les conditions de leur participation et éventuellement celles de leur départ ou éloignement.

Bibliographie

  • Paul Aron & Jean-Pierre Bertrand, Les 100 mots du surréalisme, Presses universitaires de France, collection "Que sais-je ?", Paris, 2010 ISBN 978-2-13-058220-5.
  • Philippe Audoin, Les Surréalistes, Paris, Le Seuil, collection microcosme "Ecrivains de toujours", 1973
  • Sarane Alexandrian, Le Surréalisme et le rêve, Paris, Gallimard, 1974.
  • Martine Antle, Cultures du surréalisme, les représentations de l'autre, Châtenay-Malabry, Acoria, 2007.
  • Jean-Louis Bédouin, Anthologie de la poésie surréaliste, Paris, Seghers, 1983.
  • Henri Béhar et Michel Carassou, Le Surréalisme, Paris, Librairie générale française, 1984, réédité au Livre de poche en 1992.
  • Adam Biro et René Passeron, Dictionnaire général du surréalisme et de ses environs, Co-édition Office du livre, Fribourg (Suisse) et Paris, Presses universitaires de France, 1982. Une somme sur les artistes, les œuvres, les mouvements, les revues, etc...
  • Marguerite Bonnet, André Breton. Naissance du surréalisme, Paris, José Corti, 1975, éd. revue et corrigée, Paris, José Corti, 1988. ISBN 978-2-7143-0263-2.
  • André Breton et Paul Éluard, Dictionnaire abrégé du surréalisme (1938), Paris, José Corti, 1991.
  • Xavier Canonne, Le Surréalisme en Belgique. 1924-2000, Arles, Actes Sud, 2007.
  • Jacqueline Chénieux-Gendron, Il y aura une fois : une anthologie du surréalisme, Paris, Gallimard Folio, 2002.
  • Jean Clair, Du surréalisme considéré dans ses rapports au totalitarisme et aux tables tournantes, Paris, éd. des Mille et une nuits, 2003.
  • Jean-Paul Clébert, Dictionnaire du Surréalisme, Paris, Éditions du Seuil & Chamalières, A.T.P., 1996.
  • Tania Collani, Le Merveilleux dans la prose surréaliste européenne, Paris, Éditions Hermann, 2010.
  • Gérard de Cortanze, Le Monde du surréalisme, Bruxelles, éd. Complexe, 2005.
  • Gérard Durozoi, Le Surréalisme, Paris, Hazan, 2002.
  • Fabrice Flahutez, Nouveau Monde et Nouveau Mythe. Mutations du surréalisme de l'exil américain à l'écart absolu 1941-1965, Dijon, Les Presses du réel, 2007, (ISBN 978-2-84066-194-8).
  • Louis Janover, La Révolution surréaliste, Paris, Hachette "Pluriel", 1995.
  • Louis Janover, Le Surréalisme de jadis à naguère, Paris-Méditerranée, 2002.
  • Ado Kyrou, Le Surréalisme au cinéma, Paris, Ramsay cinéma, 2005.
  • Sophie Leclercq, La Rançon du colonialisme – Les surréalistes face aux mythes de la France coloniale (1919-1962), Dijon, Les Presses du Réel, 2010 (ISBN 978-2-84066-329-4)
  • Maurice Nadeau, Histoire du Surréalisme, Paris, Le Seuil, 1947-70.
  • René Passeron, Histoire de la peinture surréaliste, Paris, Le Livre de poche, 1991.
  • René Passeron, Surréalisme, Paris, Pierre Terrail, 2005.
  • Gaëtan Picon, Le Surréalisme, Genève, Skira, 1988.
  • José Pierre, Tracts surréalistes et déclarations collectives, Paris, Éric Losfeld, 1980.
  • José Pierre, L'Univers surréaliste, Paris, Somogy, 1983, (ISBN 978-2-85056-172-6), pour ses très nombreuses reproductions.
  • Michel Poivert, L'Image au service de la révolution : photographie, surréalisme, politique, Paris, Le Point du jour, 2006.
  • Jean-Luc Rispail, Les Surréalistes. Une génération entre le rêve et l'action, Paris, Découvertes Gallimard, 1991.
  • André Thirion, Révolutionnaires sans révolution, Paris, Le Pré aux Clercs, 1972, rééd. Arles, Babel, Actes Sud, 1999.
  • Alain et Odette Virmaux, La Constellation surréaliste, Lyon, La Manufacture, 1987.
  • La Révolution surréaliste, 1924-1929, Paris, Gallimard, rééd. en fac-similé, Jean-Michel Place, Paris, 1975 (ISBN 2858930007).
  • Le Surréalisme au service de la Révolution, 1930-1933, Paris, José Corti, rééd. en fac-similé, Paris, Jean-Michel Place, 2002.
  • Gérard Durozoi, Histoire du mouvement surréaliste, Paris, Hazan, 2004.

Notes et références

  1. André Breton, « Manifeste du surréalisme », 1924, in « Œuvres complètes, tome 1 », Gallimard, Bibliothèque de La Pléiade, Paris, 1988, page 328.
  2. Jean-Bertrand Pontalis « Les Vases non communicants. Le malentendu André Breton - Freud », in Sigmund Freud House Bulletin, vol. 2, n°1, Vienne, 1978 (texte déjà paru dans la Nouvelle Revue française après une conférence du 24.11.1977
  3. Article en ligne de Pontalis
  4. Mark Polizzotti « André Breton », Gallimard, 1995, p. 62.
  5. « Manifeste du surréalisme », (1924).
  6. Cité dans "La Quinzaine littéraire" n° 977, 1er octobre 2008, page 16
  7. « Dictionnaire du surréalisme », ATP & Le Seuil, Chamalières, 1996, page 17
  8. « Lettres de guerre », édition Mille et une nuits, 2001, page 30. Vaché évoque la première représentation des « Mamelles de Tirésias » d'Apollinaire qui eût lieu le 24 juin.
  9. Gérard Durozoi, p. 5
  10. L'expression "Constellation surréaliste" est empruntée au titre de l'ouvrage d'A. et O. Virmaux. Voir bibliographie

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