Réserve nationale de faune du cap tourmente

Réserve nationale de faune du cap tourmente

Réserve nationale de faune du cap Tourmente

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Réserve nationale de faune du cap Tourmente
Catégorie VI de la CMAP
(Zone de gestion de ressources protégées)
Paysage à la réserve nationale de faune du cap Tourmente
Paysage à la réserve nationale de faune du cap Tourmente
Pays Canada Canada
Emplacement Saint-Joachim, Québec
Ville proche Québec
Coordonnées 47° 05′ 00″ Nord
       70° 47′ 00″ Ouest
/ 47.083333, -70.783333
Superficie 24 km2
Création 1978
Visiteurs/an 56 000 en 2002
Administration Service canadien de la faune
Site web (fr) Réserve nationale de faune du cap Tourmente
Remarque Site Ramsar depuis le 15 janvier 1981
  Géolocalisation sur la carte : Canada
Canada location map.svg
Réserve nationale de faune du cap Tourmente

La réserve nationale de faune du cap Tourmente est l'une des huit réserves nationales de faune du Canada présentes au Québec. Établie dans une région liée aux premiers temps de l'histoire de la Nouvelle-France, cette réserve est destinée à protéger les marais à scirpe d'Amérique, une plante qui constitue l'alimentation de la grande oie des neiges (ou oie blanche) lors de ses migrations annuelles[1].

Sommaire

Localisation

Cap Tourmente map-fr.svg

La réserve nationale de faune du cap Tourmente est située à Saint-Joachim, près de la ville de Sainte-Anne-de-Beaupré. Elle est sur la rive nord du fleuve Saint-Laurent, à une cinquantaine de kilomètres au nord-est de la ville de Québec, dans la municipalité régionale de comté de La Côte-de-Beaupré et donc dans la région de la Capitale-Nationale au Québec (Canada)[2].

Il est possible d'y accéder par la route 138 Est reliant Québec et la région de Charlevoix, via l'avenue Royale de Saint-Joachim[2].

Histoire

Oie-blanche-en-vol.JPG

Avant la colonisation européenne du Québec, le cap Tourmente était appelé « Ajoasté » par les Iroquoiens du Saint-Laurent qui y vivaient et qui seront approchés par l'explorateur Jacques Cartier lors de son passage[3]. Le nom de « cap Tourmente » apparaît pour la première fois en 1608 sous la plume de l'explorateur Samuel de Champlain qui notait ainsi la propension des eaux du fleuve Saint-Laurent à s'agiter sous le vent à cet endroit :

« De l'isle aux Couldres costoyans la coste, fusme à un cap, que nous avons nommé le Cap de Tourmente, qui en est à sept lieues, et l'avons ainsi appelé, d'autant que pour peu qu'il face de vent, la mer y esleve comme si elle estaoit pleine…[3],[4]. »

Les vestiges d'une ferme, établie par Champlain en 1626, puis détruite par les Anglais en 1628, ont d'ailleurs été mis au jour dans les limites du parc.

Le site jouissant de terres arables de qualité, dès 1664, Monseigneur François de Laval acheta une bonne partie de la Côte-de-Beaupré, dont le territoire du cap Tourmente, afin d'en faire des terres agricoles vouées à l'approvisionnement du Séminaire de Québec. Jusqu'au milieu du XXe siècle, l'agriculture et l'élevage du bétail, en plus de la chasse en saison, constitueront l'activité essentielle des lieux[4].

Quatre fermes y seront érigées : La Petite-Ferme, la Ferme de la Friponne, la Ferme du bout du cap et la Ferme Chevalier. Un cinquième bâtiment, la Grande-Ferme, établi en 1866 et reconnu monument historique par le Ministère de la culture et des communications du Québec le 28 juillet 1975, est situé à proximité du territoire de la réserve[5].

De 1747 à 1760, Joseph-Michel Cadet, dit Caddé, devient le nouveau contremaître à la Petite-Ferme. Il est nommé Boucher du Roi et « munitionnaire général de la Nouvelle-France » ce qui lui donne la responsabilité de fournir en matériel et équipement la colonie et le Roi. Il devient rapidement l'homme le plus riche de la Nouvelle-France, ce qui lui vaut un bannissement de neuf ans : on découvre qu'il vendait à un prix démesuré au Roi en partageant les profits avec l'intendant François Bigot et nuisant ainsi aux intérêts de la colonie[4].

La ferme de la Friponne est construite entre 1750 et 1752 sur les berges de la rivière qui porte aujourd'hui ce nom. Son premier contremaître est un Charlesbourgeois nommé Charles Guilbaut[4].

Centre d'interprétation de la réserve nationale de faune du cap Tourmente

Lors de l'invasion de la colonie par les Britanniques en 1759, les soldats du général James Wolfe, après que leurs navires aient jeté l'ancre dans la région, incendièrent et détruisirent les fermes et les terres agricoles dont les bâtiments du cap Tourmente. Dès 1760, les deux fermes sont reconstruites. En 1786, la ferme du bout du cap est aménagée avec ses dépendances. Lorsque les fermiers qui l'habitent la quittent, elle devient un camp pour les pêcheurs d'anguilles du Séminaire. La ferme Chevalier, quant à elle, dont l'histoire est moins connue, fut démolie pierre par pierre pour permettre la construction de la maison d'un médecin de la région à Saint-Ferréol-les-Neiges[4].

En 1934, l'électricité devient pour la première fois accessible au cap Tourmente et à la Petite-Ferme. En 1940, c'est la ferme de la Friponne qui subit un incendie ; elle ne sera pas reconstruite et ses terres demeureront en friche comme pâturage. Le Centre d'interprétation de la réserve est situé à proximité de la ferme, dont ne subsiste qu'un petit bâtiment, la "Maison des Français". La ferme du bout du cap subira le même sort vers la fin des années 1950[4].

Le Service canadien de la faune fait l'acquisition en 1969 des terres pour 1 400 000 dollars canadiens. En 1978, la réserve nationale de faune du cap Tourmente est créée afin de protéger les terres humides où pousse la scirpe d'Amérique, plante dont la racine est l'un des mets privilégiés par la grande oie blanche lors de sa halte au cours de ses migrations bisannuelles. Le centre d'interprétation fait son apparition et la Petite-Ferme abrite désormais les bureaux administratifs de la réserve[4],[6].

En 1981, le cap Tourmente devient la première réserve protégée en Amérique du Nord en vertu de la convention de Ramsar sur la protection des aires humides[6].

L'entrée, gratuite jusqu'en 1985, devient alors payante et subit des augmentations jusqu'en 1991, puis en 1999. Le coût d'entrée demeure cependant inférieur à celui d'autres sites de plein-air et d'écotourisme de la région de Québec[7].

En 2008, alors que l'Association des amis de Cap Tourmente évoque un retrait de la contribution annuelle de 125 000 $CAN du gouvernement fédéral qui constitue le tiers du budget d'animation du site et que le député du Bloc québécois de la circonscription électorale de Montmorency—Charlevoix—Haute-Côte-Nord Michel Guimond dénonce le mauvais entretien des lieux, la ministre conservatrice Josée Verner confirme que des négociations sont en cours afin d'assurer le financement à long terme des activités du site.[8]

Site

Vue de la réserve, de la route d'accès et du fleuve Saint-Laurent depuis la falaise
Le ruisseau de la Friponne près du Centre d'interprétation

La réserve de cap Tourmente couvre 2 400 hectares (soit 24 km2) dont 620 de marais en zone intertidale sur les berges du fleuve Saint-Laurent, à la rencontre des régions géologiques des Basses-terres du Saint-Laurent et du plateau ou bouclier laurentien. La rencontre de la falaise et des premiers kilomètres de l'estuaire du fleuve provoque un microclimat où l'hiver est légèrement moins froid mais plus humide que dans les régions avoisinantes et l'été plus frais[6],[9].

Quatre zones principales de la réserve peuvent être distinguées[10] :

  • Le « marais » à scirpe d'Amérique, ou marais intertidal, dont l'étendue est fortement influencée par les marées du fleuve, est situé sur les bords du Saint-Laurent. C'est le principal lieu d'alimentation des oies blanches lors de leur passage. Le marais intertidal et le marécage côtier sont séparés par l’écart, une dénivellation soudaine d'une hauteur variant entre un et deux mètres.
  • Le « marécage côtier », normalement au sec, est recouvert par les plus hautes marées à l'automne et au printemps. Il ne fait qu'environ 200 mètres de large et est habité par de nombreuses espèces d'oiseaux friands de terres humides.
  • La « plaine », secteur agricole durant des siècles, s'incline en pente douce vers le fleuve. C'est le site de chasse de plusieurs oiseaux de proie qui s'y nourrissent de petits mammifères.
  • La « falaise » : au pied et sur les pentes de la falaise se trouve une forêt mixte diversifiée comptant 22 peuplements forestiers distincts[11] : érablière, bétulaie, prucheraie, cédrière, pessière, pinède, aulnaie,…

Deux petites rivières, le ruisseau du Petit-Sault et le ruisseau de la Friponne, descendent de la falaise, parcourent la forêt et les anciens champs avant de se déverser dans le fleuve Saint-Laurent[12].

Flore et faune

Flore

Scène automnale le long du sentier Le Pierrier

Les différents écosystèmes du site comportent chacun des peuplements de flore typique ; on retrouve sur le site environ 700 espèces différentes de plantes. La zone intertidale compte des populations importantes de scirpes d'Amérique (Scirpus americanus), de zizanies aquatiques (Zizania aquatica) et de sagittaires latifoliées (Sagittaria latifolia). Aussi, la présence de myriques baumiers, communément appelé Bois-sent-bon (Myrica gale), donne son nom à l'un des sentiers de randonnée de la réserve. Le marais compte enfin du solidage du Canada (Solidago canadensis), la salicaire (Lythrum salicaria), la vesce jargeau (Vicia cracca), la prêle littorale (Equisetum x litorale) et l'impatiente du Cap (Impatiens capensis). On rencontre dans les champs, peuplés de céréales, des saules, des cerisiers et des aulnes rugueux (Alnus incana rugosa)[13].

Le site se trouve à la rencontre de deux régions forestières québécoises. On peut recenser dans l'érablière à bouleau jaune, plutôt présente dans les basse-terres laurentiennes, l'érable à sucre (Acer saccharum), le bouleau jaune (Betula alleghaniensis Britton), le bouleau à papier (Betula papyrifera), la pruche de l'Est (Tsuga canadensis), le hêtre à grandes feuilles (Fagus grandifolia), le thuya occidental (Thuja occidentalis), l'orme d'Amérique (Ulmus americana), le peuplier baumier (Populus trichocarpa), le frêne de Pennsylvanie (Fraxinus pennsylvanica), le frêne d'Amérique (Fraxinus americana), le peuplier faux-tremble (Populus tremuloides), le peuplier à grandes dents (Populus grandidentata) et le Chêne rouge (Quercus rubra). La falaise montre des caractéristiques de la sapinière, forêt de conifères plus septentrionale, où l'on rencontre l'épinette noire (Picea mariana), le sapin baumier (Abies balsamea), l'épinette rouge (Picea rubens) et le pin gris (Pinus banksiana)[13].

Faune

Mammifères

Marmotte commune dans la réserve

Plusieurs espèces de mammifères peuvent être rencontrées à la réserve nationale de faune du cap Tourmente, typiques du territoire québécois. Les marécages côtiers abritent des visons et des rats musqués. En forêt, il est possible de rencontrer le raton laveur, le tamia rayé, le renard roux, l'ours noir, la marmotte commune, l'écureuil roux, le lièvre d'Amérique, le porc-épic d’Amérique et la belette à longue queue. Bien que plus rares, le coyote et le cerf de Virginie y sont aussi parfois croisés[11],[14].

Reptiles, amphibiens et poissons

Le seul reptile rencontré avec régularité dans la réserve est la couleuvre rayée. Cependant, les terres humides que l'on y retrouve sont l'habitat de plusieurs amphibiens comme la rainette crucifère, la grenouille des bois, le crapaud d’Amérique, le ouaouaron, la grenouille verte, la grenouille léopard et la grenouille du Nord. Les boisés humides environnants abritent aussi des salamandres comme la salamandre à points bleus et la salamandre rayée[11],[14].

Les petits ruisseaux des plaines sont fréquentés par l'omble de fontaine et l'épinoche, qui constitue l'alimentation de base pour de nombreux autres poissons et oiseaux. Perchaudes et meuniers noirs y vivent également[11],[14].

Oiseaux

Les décomptes ornithologiques sur la réserve ont permis de recenser 280 espèces d'oiseaux, dont environ cent espèces nidificatrices, ce qui constitue une grande richesse biologique sur un territoire restreint et le principal attrait du site[11].

Dans les marais nichent différentes espèces de canards barboteurs (comme le canard d'Amérique, le canard souchet et le canard branchu) ; le grand héron et plusieurs autres espèces d'oiseaux de rivage s'y nourrissent également. Le marécage côtier est l'hôte de nombreuses espèces, dont la bécassine des marais, dix-huit espèces de parulines (dont la paruline masquée et la paruline flamboyante), le carouge à épaulettes, le bruant des marais et le colibri à gorge rubis. La plaine, quant à elle, est un territoire de chasse privilégié pour plusieurs rapaces : busard Saint-Martin, crécerelle d'Amérique, faucon pèlerin, etc. Enfin, pour ce qui est de la forêt, elle est le refuge de nombreux passereaux et autres représentants de la gent ailée : tangara écarlate, passerin indigo, viréo aux yeux rouges, mésange à tête noire, bruant hudsonien, grand corbeau, geai bleu, etc[11],[15].

Plusieurs espèces rares sont rencontrées au cap Tourmente, dont le bruant de Nelson, la pie-grièche migratrice, l'effraie des clochers et le petit blongios[11],[15].

Grande oie blanche
Vol d'oies
Oie blanche

La grande oie blanche (Chen caerulescens atlanticus), ou grande oie des neiges, une sous-espèce de l'oie des neiges, est la principale espèce animale qui a motivé la protection du territoire de la réserve nationale de faune du cap Tourmente. Au début du XXe siècle, cette espèce ne comptait pas plus de 3 000 individus. Or, les programmes de protection des territoires qu'elle fréquente lors de ses migrations ont permis d'accroître la population à 417 000 individus en 1993, puis à plus de 950 000 individus en 2004[16].

Panneau d'interprétation sur le sentier du Bois-sent-bon indiquant la trajectoire de la migration de la grande oie blanche

La grande oie blanche niche en été dans l'Arctique canadien puis établit ses quartiers d'hiver sur la côte est-américaine. Lors de ses deux migrations annuelles, l'ensemble de la population de la grande oie blanche fait halte pour se restaurer sur les berges du fleuve Saint-Laurent. À l'automne, la réserve nationale de faune du cap Tourmente peut à elle seule abriter au même moment des vols de plus de 75 000 individus[16].

La grande oie blanche y trouve une réserve de nourriture abondante, en particulier la racine de la scirpe d'Amérique, une plante des marécages dont elle est particulièrement friande. D'ailleurs, la couleur rouille caractéristique de la tête et du cou de la grande oie blanche provient du fer oxydé du sol des berges du Saint-Laurent, dans lequel elle plonge sa tête pour retirer la racine[16].

Oies blanches dans un champ

Bien qu'une telle concentration d'oies ait aussi un effet négatif sur les terres cultivées environnantes qu'elles peuvent endommager, il a été démontré que l'apport économique des visites aux sites de préservation était plus de vingt fois supérieur aux frais encourus pour les dommages aux cultures[17]. La grande oie blanche fait en effet l'objet de festivals courus, notamment dans la ville voisine de Saint-Joachim (le Festival de l'Oie des neiges[18]), et sur la rive sud du fleuve, à Montmagny (le Festival de l'oie blanche[19]).

Activités

L'observation ornithologique et la randonnée pédestre font partie des principales activités qui peuvent être pratiquées au cap Tourmente[20],[21]. En 2001-2002, un peu plus de 56 000 personnes l'ont visité[22].

Le Centre d'interprétation de la biodiversité du cap Tourmente présente une exposition et des projections sur l'histoire, la faune et la flore du site. Il s'agit aussi du point de départ de plusieurs sentiers et de certaines activités ainsi que d'un lieu de rencontre et d'informations avec des naturalistes et responsables du site[20].

Des naturalistes sont présents au Centre d'interprétation et sur différents points des sentiers afin d'offrir des activités d'interprétation sur divers sujets des sciences naturelles selon l'époque de l'année : les grandes oies blanches, le faucon pèlerin, les marées, hivernage des oiseaux, effet des saisons sur le site, etc[20].

Le sentier du Bois-sent-bon entre le Centre d'interprétation et la cache au bord du fleuve

Un second bâtiment, le pavillon Léon-Provancher sert de boutique de souvenirs et permet de prendre un goûter léger[20].

Plus de 25 kilomètres de sentiers aménagés permettent de parcourir les différents écosystèmes du parc. L’Écart et le Bois-sent-bon, en trottoirs de bois, permettent de s'approcher des berges du fleuve et d'observer les oies dans des caches munies de télescopes. Le Souchet, le Moqueur-chat et le Carouge parcourent les plaines et côtoient les étangs aménagés pour la sauvagine. Le Petit-Saut suit le cours du ruisseau homonyme. L’Érablière, l’Aulnaie, la Prucheraie, le Piedmont, la Cèdrière et le Pierrier explorent les différents peuplements forestiers. Finalement, la Falaise et la Cime permettent d'atteindre plusieurs points d'observation à flanc de falaise, donnant une vue sur le site, sur le fleuve, sur l'Île d'Orléans et sur les îles de l'archipel de Montmagny (comme Grosse-Île, l'Île aux Ruaux et l'Île aux Grues[12]). En hiver, les visiteurs peuvent parcourir dix kilomètres de sentiers sur neige battue où sont installées des mangeoires pour les oiseaux[23],[24].

Depuis 1972, en saison, une chasse contingentée et strictement réglementée à l'oie blanche est permise dans certaines zones du parc. Comme l'espèce est maintenant considérée en surabondance par les biologistes, l'objectif de cette chasse est de réguler le nombre d'individus afin d'assurer le renouvellement du marais à scirpe[25].

Galerie

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Sources

Voir aussi

Article connexe

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Liens et documents externes

Notes et références

  1. Service canadien de la faune (SCF) Région du Québec, Réserves nationales de faune (RNF), consulté le 10 avril 2007.
  2. a  et b Union québécoise pour la conservation de la nature, Cap-Tourmente - Au royaume de l'oie des neiges in Guide des milieux humides, consulté le 10 avril 2007[pdf].
  3. a  et b Commission de toponymie du Québec, Cap-Tourmente, Topos sur le web, consulté le 10 avril 2007.
  4. a , b , c , d , e , f  et g Lepage, Christine, Service canadien de la faune (SCF), in Histoire du cap Tourmente et de la région, Association des amis et amies du cap Tourmente, consulté originellement le 10 avril 2007 (archives consultées le 22 août 2009).
  5. La Grande-Ferme, Répertoire du patrimoine culturel du Québec, Ministère de la culture et des communications du Québec, consulté le 27 avril 2007.
  6. a , b  et c Service canadien de la faune (SCF) Région du Québec, RNF du cap Tourmente, informations générales, consulté le 10 avril 2007.
  7. Loi sur les espèces sauvages du Canada - Loi sur la gestion des finances publiques, Règlement modifiant le Règlement sur les réserves d'espèces sauvages, C.P. 1999-205, Gazette du Canada, Gouvernement du Canada, 11 février 1999, consulté le 10 avril 2007.
  8. Benjamin, Guy, L'optimisme de retour à Cap-Tourmente, journal Le Soleil (Québec), 23 janvier 2008, p. 12.
  9. Association des amis et amies du cap Tourmente, Climat, lien original consulté le 10 avril 2007, lien consulté le 22 août 2009.
  10. Association des amis et amies du cap Tourmente, Géologie, topographie et physiographie, consulté le 10 avril 2007.
  11. a , b , c , d , e , f  et g Service canadien de la faune (SCF) Région du Québec, RNF du cap Tourmente, ressources biologiques, consulté le 10 avril 2007.
  12. a  et b Service canadien de la faune (SCF), Carte des sentiers, Réserve nationale de faune du Cap Tourmente, Environnement Canada, 1996 (N° de catalogue : CW66-149/1996F ; (ISBN 0-662-81471-1))
  13. a  et b Association des amis et amies du cap Tourmente, Flore du Cap Tourmente, lien original consulté le 16 avril 2007, lien consulté le 22 août 2009.
  14. a , b  et c Association des amis et amies du cap Tourmente, Faune, lien original consulté le 10 avril 2007, lien consulté le 22 août 2009 pour les mammifères, lien consulté le 22 août 2009 pour les amphibiens, lien consulté le 22 août 2009 pour les reptiles, lien consulté le 22 août 2009 pour les poissons, lien consulté le 22 août 2009 pour les insectes.
  15. a  et b Association des amis et amies du cap Tourmente, Ornithologie au cap Tourmente, lien original consulté le 11 avril 2007, lien consulté le 22 août 2009
  16. a , b  et c Service canadien de la faune (SCF) Région du Québec, Grande oie des neiges, informations biologiques, consulté le 11 avril 2007.
  17. Partenariat rural du Canada - Équipe rurale du Québec, La grande Oie des neiges aux champs: où en est-on? in Horizon rural, printemps 2006, lien originel consulté le 11 avril 2007, lien archivé consulté le 22 août 2009.
  18. Festival de l'Oie des neiges de St-Joachim, consulté le 11 avril 2007.
  19. Festival de l'Oie blanche de Montmagny, consulté le 11 avril 2007
  20. a , b , c  et d Service canadien de la faune (SCF), Environnement Canada et Association des amis et amies du cap Tourmente, Réserve nationale de faune du cap Tourmente - Guide du visiteur 2007-2008, 2007, document PDF lien originel consulté le 10 avril 2007, lien consulté le 22 août 2009.
  21. Bonjour Québec (Tourisme Québec), Réserve nationale de faune du cap Tourmente, consulté le 11 avril 2007.
  22. Loi sur les espèces sauvages du Canada - Loi sur la gestion des finances publiques, Règlement modifiant le Règlement sur les réserves d'espèces sauvages, C.P. 1999-1217, Gazette du Canada, Gouvernement du Canada, 13 août 2003, consulté le 11 avril 2007.
  23. Vitrine virtuelle de l'ERE, Réserve nationale de faune du cap Tourmente, La, [/vitrine/resultatorga.asp?rechercher=52 lien original consulté le 11 avril 2007].
  24. Sentiers pédestre à Cap Tourmente, Hiver, lien consulté le 22 août 2009.
  25. Service canadien de la faune (SCF) Région du Québec, Inscription - chasse à l'oie des neiges, RNF du cap Tourmente, consulté le 11 avril 2007.
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