- L'Ambre
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Ambre
Pour les articles homonymes, voir Ambre (homonymie).Ambre Général No CAS No EINECS Unités du SI & CNTP, sauf indication contraire. L’ambre doré, avec des couleurs changeantes, du jaune citron au brun sombre, souvent de couleur miel, est une oléorésine fossile sécrétée par des conifères, entre autres utilisée dans l'industrie et pour la fabrication d'objets ornementaux.
Bien que non minéralisé, il est parfois vu et utilisé comme une gemme. Il existe quatre autres « gemmes » organiques : les perles (la nacre), le jais, l'ivoire, et le corail (en particulier le rouge et le noir). C'est la gemme la plus légère des cinq et aussi la plus tendre (par opposition au diamant qui est le plus dur).
L'ambre se porte en bijou depuis l'Antiquité, tantôt sommairement serti d'un fil de fer, tantôt savamment travaillé comme pendentif.
Sommaire
Étymologie
Son nom provient[1] de l'arabe anbar (ʿanbar, عنبر, ambre gris de ʿanābir, عنابر , cachalot), mais le mot désignait primitivement l'ambre gris (qui est lui une concrétion intestinale du cachalot utilisée en parfumerie).
Son appellation grecque élektron (ελεκτρωυ) est à l'origine du terme « électricité », suite à la découverte par Thalès de ses propriétés électrostatiques (la triboélectricité). Les Turcs se servaient de ces propriétés pour séparer certaines fibres de la paille. Il est tiède au toucher, par opposition au verre, qui est froid. Une autre étymologie donnerait pour origine l’électrum (« matière jaune »), alliage d'or et d'argent[2].
Le mot ambre a deux synonymes succin[3] et carabé[4] qui désigne l'ambre utilisée autrefois en médecine, ce dernier mot est lui aussi d'origine arabe[5].
Formation
L'ambre consiste en une fossilisation de certaines résines végétales. Voici les principaux caractères de la succinite, une des molécules des ambres :
- minéraux organiques amorphes
- Formule brute : C40H64O
- Densité : d=1,05 -1,10
- Propriétés : tendre, fragile, flotte sur l'eau salée même légèrement, comme c’est le cas de la mer Baltique
- Couleurs : jaune, orangé à brun foncé
- Éclat : mat à l’état naturel parce que poli par la mer et le sable
- Transparence : transparent à translucide une fois poli
- Comportement : mou à 170 °C et détruit à 300 °C, et devient noir lors de l’oxydation
La résine est constituée d'isoprènes, molécules comprenant cinq carbones. Sous certaines conditions de chaleur et de pression et après une longue période (pouvant atteindre un million d'années), l'isoprène se polymérise, permettant la solidification du tout sous forme d'ambre[6]. Différents processus interviennent aussi : oxydation, fermentation, et la formation d’ambre à l’extérieur (79 % des ambres : gouttes stalactites, coulées) ou à l’intérieur (12 % : lamelles ou plaques coincées entre l’écorce et le tronc et qui ont encore souvent la marque de l’écorce !) du tronc suivent des processus qui ne sont pas exactement les mêmes[7].
En 1890, Hugo Conwentz utilise le terme Pinus succinifera pour désigner l'ensemble des conifères à l'origine des ambres baltes. Cependant, bien que les différents ambres baltes soient relativement proches du point de vue physico-chimique, il est peu probable qu'elles soient toutes issues d'une même espèce de conifère. En effet, la période durant laquelle ces ambres apparaissent s'étale sur 18 Ma. Ces arbres poussaient dans les forêts tropicales de la province du « Sambian » il y a 40 à 55 Ma. La production pathologique de résine pourrait être due à des changements climatiques, par exemple des gels précoces, ou des changements dans le sol, par exemple augmentation des sels. À cause de la production extraordinaire de sève, ces arbres croissaient lentement[7].
Malgré ces constatations, l'origine des ambres baltes reste discutée[8]. Leurs origines pourraient ainsi se trouver parmi les Arecaceae, Fagaceae, Pinaceae ou les Cupressaceae.
Les ambres baltes verraient donc leurs origines au sein des gymnospermes, alors que le copal serait issu des angiospermes (plantes à fleurs). Cependant, d'après Éric Geirnaert (2002), la présence de l'alpha-amyrine (substance caractéristique des angiospermes) dans certains ambres baltes pourrait signifier que ces ambres peuvent avoir des plantes à fleurs pour origine, si les traces ne sont pas issues d'une contamination.
On estime à une cinquantaine les différentes résines fossiles existantes en Europe, par exemple :
- Ruménite datant de l’oligocène dans les Carpates.
- Glésite que l’on trouve aux mêmes endroits que la succinite mais de nature un peu différente.
- Siménite, ambre de Sicile.
- Aykaite venant de Ayka près de Budapest et datant du crétacé.
Résines auxquelles il faut ajouter l’ambre dominicaine, hors d’Europe.
Les gisements
Durant l’éocène, la mer recouvre la région depuis l’Ouest et la résine se détache des arbres et est emportée par la mer. Elle finira par se déposer dans les sédiments sur la côte Sud de la Sambie, maintenant appelée Oblast de Kaliningrad, situé entre la Pologne et la Lituanie. Ces sols bleu suie[réf. souhaitée] contenant l’ambre sont des glauconites. L’ambre y est exploitée depuis 1 000 ans ainsi que dans la province russe de Palmnitsk (Yantarnij) dans un sol bleu[réf. souhaitée] épais de 8 m avec 2,5 kg d’ambre par mètre cube. Il existe encore des dépôts d’ambre en Grande-Bretagne, en Ukraine, au Sud de la Suède et en Finlande, mais moins importants. Il est évident que beaucoup de ces dépôts ont été détruits par les différents événements géologiques au cours du temps[7]. Il existe d'importants gisements en République dominicaine.
Histoire
Entre autres peuples, les Celtes l'ont beaucoup utilisé sous forme de perles, de façon plus marquée à partir du VIe siècle av. J.-C. Cette vogue disparaît à peu près deux siècles plus tard. Des pièces d'art celtique en ambre ont été léguées par les Anglo-Saxons.
Parce que l'ambre semble préserver des végétaux et des animaux, il a été associé à la jeunesse éternelle. Ainsi les anciennes Romaines en gardaient des morceaux en main, à la cour. De l'ambre a aussi été découvert dans des tombes égyptiennes.
Selon certains anciens comme Pline, Aristote ou Ovide, l’ambre serait le résultat d’une résine végétale s’écoulant de peupliers ou d’aulnes. Selon le poète Ovide, lorsque les Héliades, filles d'Hélios furent métamorphosés en aulnes et en peupliers, elles continuèrent de pleurer la mort de leur frère, Phaéton. Leur mère tenta de les sauver et commença à arracher les écorces qui recouvrait leurs corps, alors elles la supplièrent : « Pitié ma mère, je t’en supplie ! C’est notre corps qui, avec l’arbre est déchiré. Et maintenant adieu ! L’écorce vient étouffer leurs dernières paroles. Il en coule des pleurs, et goutte à goutte se solidifie l’ambre, né des rameaux nouveaux. Le fleuve transparent le recueille et l’emporte aux femmes latines qui s’en pareront ».
Selon une autre légende qui a perduré longtemps, l'ambre serait dû à une sécrétion glandulaire ou à l'utine des grands mammifères marins comme la baleine ou le cachalot. L'ambre gris est d'ailleurs bien une substance issue des sécrétions biliaires des cachalots.
Les Slaves l'ont associé aux larmes pétrifiées des dieux. L'ambre servait de talisman de protection, en général et aussi en particulier contre les enlèvements d'enfants. Il symbolisait aussi le lien éternel du mariage.
L'ambre se disait élektron[2] en grec ; les anciens Grecs, comme les Chinois, ayant découvert qu’en frottant l’ambre jaune, celle-ci produisait une attirance sur d’autres objets et parfois des étincelles, ils ont donc appelé cette force électricité, sous cette forme elle est dite « statique ».
Symbolique et croyances
Les noces d'ambre symbolisent les 34 ans de mariage dans la tradition française. Il est parfois dit que « l'ambre porte en lui la mémoire ».
L'ambre, dédié à Apollon, passe pour réchauffer le cœur et transmettre l'énergie solaire. Un collier d'ambre possèderait ainsi le pouvoir de réchauffer et l'on en mettait au cou des jeunes enfants. Un collier d'ambre soulagerait également les douleurs des bébés lors de la poussée dentaire.
Un anneau d'ambre, porté en permanence par un homme, permettrait de garder confiance en sa virilité. Les Chinois sculptaient dans l’ambre de petits animaux qui étaient censés favoriser la fécondité. Un anneau de poignet porté par une femme et provoquant des rougeurs, indiquerait que cette dernière est adultère.
L'ambre en poudre, aiderait à lutter contre la dépression et l'angoisse, aurait une action bénéfique sur les voies respiratoires, arrêterait les saignements de nez, permettrait d'éviter les fausses couches et limiterait les souffrances dues à la pousse des dents de lait chez les jeunes enfants. En France, au Moyen Âge, l'ambre en poudre était l’ingrédient de certains philtres d’amour, peut-être par analogie avec son pouvoir « magnétique » ou plus exactement électrique.
Inclusions
Les inclusions de l'ambre ne sont pas à considérer comme des fossiles à proprement parler. Si les sécrétions sont aériennes, l'ambre fossile contient souvent des inclusions de petits organismes fossiles, comme des insectes. Cependant, les sécrétions peuvent aussi apparaître dans le sol par les racines; et, de fait, des dépôts ambrifères ne présentent alors aucune inclusion (plusieurs gisements français par exemple).
Il y a seulement 0,4 % de plantes dans les inclusions, peut-être que les cycles des plantes ne correspondaient pas à celui de la formation de la résine. Les vertébrés sont rares : un des exemples les plus connus est celui du musée de Palanga (Lituanie), qui possède une pièce possédant une inclusion de lézard entier. Le plus souvent, les inclusions sont des écailles ou encore quelques poils.
Dans le cas des invertébrés : myriapodes, scorpions, araignées, pseudoscorpions, tiques, mites etc. et 6% de Coléoptères et 73% de Diptères.[9].
En 1998, une équipe de scientifiques (Lambert et al.) a retrouvé deux isolats de bactéries dans une inclusion vieille de 25 à 35 Ma. Cette bactérie, identifiée comme appartenant à une nouvelle espèce du genre Staphylococcus, a été nommée Staphylococcus succinus sp. nov. et est proche d'espèces existantes (Staphylococcus equorum, Staphylococcus xylosus et Staphylococcus saprophyticus). Staphylococcus succinus sp. nov. a, depuis, été isolée au sein d'une inclusion dans un succin (autre nom de l’ambre).
En 2005, David Penney (chercheur à l'université de Manchester) a montré qu'il était possible de retrouver de l'hémolymphe (l'équivalent du sang chez les arthropodes) à proximité d'araignées emprisonnées dans de l'ambre fossile, vieux de 20 millions d'années, provenant de la République dominicaine. Ces épanchements ont été retrouvés autour de membres sectionnés de deux araignées de la famille des Filistatidae, les animaux pris au piège ayant vraisemblablement cassé leurs membres en tentant de se libérer.
Bien que le film Jurassic Park ait popularisé l'idée selon laquelle il était possible de recueillir du sang dans de l'ambre fossile, c'est la première fois que de telles traces sont réellement identifiées par des scientifiques. Elles pourraient contenir de l'ADN fossile, mais il reste à trouver une méthode pour le recueillir pour l'analyser.
En juillet 2002, Éric Geirnaert, auteur d'un ouvrage sur l'ambre, publie les photographies d'une découverte de sang de vertébré piégé dans la matrice fossile d'un ambre. Un lézard, piégé dans de la résine, aurait détaché sa queue pour se dégager, laissant son appendice au sein de la matrice d'un morceau d'ambre, accompagné de traces de sang.
En octobre 2006, G. O. Poinar et B. N. Danforth ont trouvé un fossile d'abeille dans une ambre du crétacé[10] (environ 100 Ma). Plus vieux que les autres fossiles d'abeilles connus (d'environ 40 Ma), il présente des caractères communs aux abeilles et aux guêpes, confortant l'hypothèse d'une séparation entre ces deux groupes au moment de l'apparition des plantes à fleur.
Contrefaçons
Tests d'authenticité
Du fait de la rareté de certains ambres, de nombreuses pièces contrefaites sont commercialisées. Les principaux matériaux utilisés par les faussaires sont le plastique et le copal. Le terme générique « plastique » regroupe ici : ambre naturel, ambre pressé, ambre fondu, ambroïde, polybern, bakélite, celluloïd, galalithe, plastique vrai, érinoïd, catalin, et cellon…
Il existe une myriade de tests assez simples permettant d'« authentifier » une pièce d'ambre véritable (c'est-à-dire un ambre natif). Cependant, une réponse positive à un seul (ou même plusieurs) de ces tests ne suffit surtout pas à valider la qualité d'ambre véritable (on pensera alors éventuellement à la combustion, seul test fiable unique, qui peut suffire pour valider le faux du vrai).
- Chaleur
- Placer une aiguille chauffée à blanc sur l'ambre, une pièce véritable dégage une odeur de résine de pin, l'aiguille laisse une marque blanche, qui effrite l'ambre et le copal. À l'inverse, une pièce en plastique dégage une odeur âcre, l'aiguille laisse une marque noire et colle au point de chauffe.
- Acétone
- Frotter l'ambre avec un coton imbibé d'acétone (ou de dissolvant à vernis à ongles). L'ambre véritable ne se dissout pas, à l'inverse de certains plastiques utilisés pour les contrefaçons. Le copal devient collant.
- Eau chaude
- Plonger la pièce dans l'eau chaude, l'ambre véritable dégage une odeur de pin brûlé, certains plastique, utilisés pour les contrefaçons, une odeur camphrée ou phénolée.
- Alcool
- Plongée dans l'alcool, l'ambre est attaquée lentement, alors qu'une pièce contrefaite est rapidement attaquée.
- Grattage
- Gratté avec un couteau ou une aiguille, l'ambre s'effrite. Avec une pièce en plastique, l'aiguille tend à rester coincée dans la pièce.
- Flottaison
- Plonger le morceau dans un mélange de 25 cl d'eau et de 4 centimètres cubes de sel. L'ambre et le copal flottent, certains plastiques coulent.
- Frottement
- Frotter l'ambre avec un chiffon de laine pour avoir une réaction électrostatique. L'ambre est très électrostatique, la réaction est vérifiable sur les cheveux, des pailles ou des petits bouts de papier. Certains plastiques de contrefaçons ne provoquent qu'une faible réaction électrostatique, ce qui permet de garantir qu'il ne s'agit pas d'ambre. Cependant d'autres plastiques peuvent provoquer une forte réaction, et sans laisser une odeur camphrée après le frottement.
- Fluorescence
- Placé sous une « lumière noire » (lumière composée de violet et de proche ultraviolet, de 360 à 250 nm environ) une pièce authentique montre une brillance fluorescente caractéristique, qui peut varier selon les pièces, en fonction de la chimie des roches encaissantes.
Inclusions
Les faussaires savent fabriquer à la perfection des pièces contenant une inclusion contrefaite, avec de l'ambre véritable. Cependant, leurs fabrications, certes peu coûteuses, ne concernent généralement que les inclusions « spéciales » dites rares (scorpions, vertébrés, fleurs, etc.) assez rentables. Ce sont les inclusions végétales qui sont surtout difficiles à expertiser.
Ces méthodes, utilisant de l'ambre véritable, contournent presque tous les tests des vérifications (excepté la combustion). Il n'est cependant pas nécessaire d'avoir des connaissances pointues en biologie animale pour distinguer une inclusion animale moderne d'un fossile authentique. Le bon sens est suffisant. Et évidemment une observation attentive.
Ainsi, les animaux dont la morphologie a peu varié au cours de l'évolution sont indécelables. Mais, ce sont les indices autour de l'insecte qui permettent du juger le fossile. Les fourmis fossiles, par exemple, ne sont distinguables de leurs homologues modernes que par des détails se situant au niveau des chètes et des pétioles, post-pétioles ou au scape des antennes. Éric Geirnaert a par exemple expertisé en 2002 des tritons contemporains remis artificiellement dans des ambres authentiques de la Baltique. Ces pièces étaient vendues de 80 à 100 euros.
Un des seuls critères simple permettant de discerner l'inclusion authentique de la contrefaçon est le hâle blanc qui entoure continuellement l'inclusion [11] organique qui a fossilisé dans la résine. Les faussaires ne savent pas reproduire cette marque des ambres authentiques. Le hâle blanc (ou voile) qui entoure l'insecte est le résultat d'un dégazage qui produit d'infimes bulles de gaz dans la matrice. Ce critère semble infaillible, même pour déjouer une contrefaçon très perfectionnée.
Notes et références
- ↑ (fr) Définitions lexicographiques et étymologiques de ambre du CNRTL.
- ↑ a et b Le mot grec ῆλεκτρον a donné en latin ēlectrum qui désigne à la fois l'alliage appelé électrum et l'ambre. Voir (fr) Définitions lexicographiques et étymologiques de électrum du CNRTL..
- ↑ (fr) Définitions lexicographiques et étymologiques de succin du CNRTL.
- ↑ (fr) Définitions lexicographiques et étymologiques de carabé du CNRTL.
- ↑ carabé de l'arabe : kahrabā, كهربا, ambre (jaune) qui donne le mot électricité en arabe moderne : kahrabāʾ, كهرباء.
- ↑ J. Santiago-Blay, J. Lambert, Aux sources de l'ambre, Pour la Science, juin 2007, p70-75
- ↑ a , b et c Commentaire du musée de l'ambre de Palanga en Lituanie
- ↑ Larsson 1978, Poinar 1992, Grimaldi 1996, Ganzelewski 1997, Geirnaert 2002
- ↑ commentaire du musée de l'ambre de Palanga en Lituanie
- ↑ G. O. Poinar, Jr. et B. N. Danforth, A Fossil Bee from Early Cretaceous Burmese Amber, Science, Vol. 314. no. 5799, p. 614, 27 Octobre 2006. résumé de l'article article de vulgarisation
- ↑ Sauf exception, il est alors nécessaire d'utiliser d'autres critères. Voir à ce sujet l'article sur l'ambre de Chiapas, présenté dans le Mag-AMP numéro 3 (page 27).
Annexes
Articles connexes
Liens externes
- (en) David Penney, Mesozoic arachnids, version du février 2005. Photo de l'araignée Pisauridae, incluse dans un morceau d'ambre, bibliographie sur le sujet.
- (en) Lambert LH, Cox T, Mitchell K, Rossello-Mora RA, Del Cueto C, Dodge DE, Orkand P, Cano RJ, Staphylococcus succinus sp. nov., isolated from Dominican amber, International journal of systematic bacteriology, volume 48, pages 511 - 518, avril 1998.
- (en) David Penney, Fossil Blood Droplets in Miocene Dominican Amber Yield Clues to Speed and Direction of Resin Secretion, Palæontology, volume 48, numéro 5, page 925, septembre 2005.
Bibliographie
- (de) Hugo Conwentz, Monographie der baltischen Bernsteinbäume, Danzig, 1890.
- (en) Sven Gisle Larsson, Baltic Amber — A Palaeobiological Study, Entomonograph, volume 1, 1978.
- (en) George Poinar et Roberta Poinar, Life in Amber, Stanford, Californie, 1992.
- (en) David A. Grimaldi, Amber: Window to the Past, American Museum of Natural History, , 1996.
- (de) Michael Ganzelewski et Rainer Slotta, Bernstein Tränen der Götter, 1996.
- (fr) Éric Geirnaert, L'Ambre, miel de fortune et mémoire de vie, éditions du Piat, 2002. (ISBN 2-9513274-3-9)
- Wladyslaw Grzedzielski, "Les routes de l'ambre, artères de civilisation", in Le courrier de l'Unesco, mars 1966, p. 20.
- (fr) Éric Geirnaert, L'Ambre, Minéraux & Fossiles (numéro spécial), no 266, octobre 1998.
- (fr) Éric Geirnaert, Premier congrès mondial de l'ambre, Minéraux & Fossiles, no 269, janvier 1999.
- (fr) Florence Mégemont, Dictionnaire des pierres et minéraux, Éd. Exclusif, 2003, (ISBN 2-84891-004-6)
- (fr) Florence Mégemont, Les Fabuleux Pouvoirs de l'ambre, Éd. Exclusif, 2006, (ISBN 2-84891-038-0)
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