- Kanoé Kayak
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Canoë-kayak
Canoë-kayak Fédération internationale ICF Sport olympique depuis 1936 (sport de
démonstration en 1924)Autres appellations aucune autre appellation Clubs Joueurs licenciés Joueurs pratiquants Joueurs professionnels Champion/ne(s) du monde
en titreChampions en titre
Course en ligne (eau calme) modifier Le canoë-kayak est un sport pratiqué à l'aide d'un canoë ou d'un kayak.
Le canoë et le kayak sont deux embarcations sportives similaires mais distinctes : elles diffèrent par la pagaie et par la position dans le bateau. Pagaie simple et position à genoux pour le céiste, pagaie double et position assise pour le kayakiste. Les deux mots canoë et kayak s'associent dans le nom du sport qui les rassemble, le canoë-kayak. Cette association crée une confusion dans un esprit non averti. Le regroupement de ces deux mots le canoë-kayak ne correspond pas à un type de bateau mais à la discipline sportive qui doit s'apprendre avant de pratiquer le tourisme nautique.Le canoë-kayak est pratiqué dans les milieux d'eau calme, d'eau vive et de mer . La sécurité nécessite la maîtrise de la direction du bateau, un entraînement technique et physique et un équipement variables selon les difficultés prévisibles du parcours : des informations sur les conditions du parcours seront à rechercher.
Sommaire
Historique
En canoë, l'embarcation de transport qui nous vient des Indiens d'Amérique du Nord, la propulsion et la direction sont assurées par une pagaie simple. En kayak, l'embarcation, qui nous vient des Inuits (nom que se donnent les peuples plus connus sous le nom d'Esquimaux), en particulier des Aléoutes, une pagaie double est utilisée. La qualification de canoë ou de kayak tient donc plus de la pagaie et de la position d'assise qu'au nombre de ses occupants : il y a des canoës simples et des kayaks biplaces par exemple.
On trouve d'autres pratiques de la pagaie à travers les temps, les peuples, les régions : pirogues (Afrique,Amériques), va'a,skisurf (Polynésie)... Et elles sont pratiquées pour divers usages : moyen de transport, fêtes traditionnelles,annexes à de plus grandes embarcations, loisirs de promenades, de sport à sensation, de glisse.Les embarcations mues à la pagaie sont parmi les plus anciens moyens de déplacement humains, utilisant les chemins d'eau, bien longtemps avant la roue sur les chemins de terre.
Ces pratiques ont beaucoup évolué depuis la fin du XXe siècle par l'emploi de nouveaux matériaux et procédés de fabrication dans les embarcations elles-mêmes, mais également dans la pagaie ou les accessoires de sécurité. Les embarcations ont pris des caractéristiques propres à de nouvelles pratiques, avec le développement de disciplines techniques et exigeantes (free-style, haute rivière...) ou élargies à un plus grand public (embarcations non pontées, c'est-à-dire que le pagayeur est assis sur et non plus dans, avec ou sans autovideur...). La forme actuelle des canoës et kayaks dépend plus de la pratique à laquelle ils sont destinés que de leur origine. Il est ainsi facile de confondre un canoë avec un kayak de loisir en eau vive tant leurs formes sont proches. Seule la position assise ou à genoux du pagayeur permet encore de les différencier.La pratique de compétition en eau calme débute en Angleterre en 1865. La France (1869) et l'Amérique du Nord (1871) suivent. La fédération internationale est créée en 1924 ; elle organise les premiers championnats d'Europe en 1933 et les championnats du monde en 1938. Le programme olympique comprend des courses en eau calme depuis 1936.
En eau vive, la première compétition se tient en 1939 en Allemagne. La Coupe du monde est créée en 1945 et le slalom en eau vive est inclus au programme olympique en 1972. Le premier championnat du monde de descente de rivière est couru en 1959 sur la Vézère (France).
Pratique du sport d'eau calme
Le canoë-kayak d'eau calme se pratique en loisir ou en compétition, avec deux types d'embarcations qui obligent le kayakiste ou le canoéiste à adopter des techniques différentes, même si très souvent les concepts sont les mêmes.
Kayak : Le kayakiste est assis dans son bateau et ses pieds reposent sur une barre communément appelé cale-pied ou "Barre à pied". Cette dernière est perforée sur son long pour laisser dépasser la barre de gouverne qui contrôle son gouvernail. C'est là une différence majeure entre les deux types de bateaux, puisque le canoë est entièrement contrôlé par la pagaie. Le kayakiste est assis assez près de la barre à pied, ses jambes étant passablement recourbées pour permettre la poussée. Il faut comprendre que ce n'est pas le kayak qui avance sur l'eau, mais l'eau qui avance sous le kayak. Tout le mouvement est pensé pour tirer le bateau, non le pousser.
La force de traction du kayak contrairement à ce que l'on peut croire n'est pas créée par les bras qui sont en fait accessoires au mouvement. Toute la force vient de deux axes très efficaces du corps humain, soit les jambes et le tronc. Rapidement, le mouvement peut être disséqué en trois parties. Le "catch" qui consiste à entrer une palme de la pagaie dans l'eau avec vigueur et avec le bon angle pour permettre une bonne prise dans l'eau. Ensuite vient le "bloc" qui consiste à bloquer ses bras, durcir son tronc et à l'aide de sa jambe du côté de la palme utilisé amorcer une traction en poussant sur la barre. L'effet escompté est de pousser la hanche qui fera tourner le tronc. Cela avec la synergie du bloc des bras permettra à la pagaie de tirer de l'eau. L'image que les entraîneurs utilisent pour décrire le mouvement est que la pagaie doit entrer à chaque coup dans un bloc de béton fendu pour y laisser passer la pagaie. Celui-ci ne bougera pas, c'est le kayak qui va avancer avec l'aide de la traction du tronc et de la hanche. Finalement, le mouvement est finalisé par la "sortie" qui consiste à relever le coude à la fin du mouvement de jambe pour préparer l'autre coup.
Le Canoë : Le mouvement du canoë est différent, mais le concept est le même (penser au bloc de béton). Le mouvement est amorcé par la hanche du côté de la pagaie(on ne pagaie que d'un côté en canoë) qui avance au maximum vers l'avant. Le but est d'aller chercher le plus de distance possible vers l'avant. Ensuite, le canoéiste laisse tomber son poids dans l'eau. Au moment ou la pagaie est complètement immergée, il se relève. Par le fait même il tirera son bateau à l'aide de cet appui dans l'eau. Dès que ce mouvement s'amorce, il commence déjà à prévoir le prochain en repropulsant sa hanche vers l'avant. La direction est assurée par des coups plus au large ou un effet de gouvernail par levier au moyen du coup de poignet à la fin du coup ("coup en J" ou "courant J").
La difficulté du sport de compétition provient de l'instabilité des bateaux. En effet, le mouvement technique ne serait pas si dur à appliquer si l'embarcation n'était pas si versante. Mais le but du sport est d'aller le plus vite possible, d'où la nécessité d'embarcations profilées. Le kayakiste ou canoeiste est donc en constante situation de précarité et même les meilleurs au monde ont des pertes d'équilibre, surtout dans les fins de courses ou le corps est fatigué par l'effort.
De nombreux type d'embarcations sont disponibles pour la course. Du bateau monoplace, au biplace, au quadriplace. Dans le jargon on qualifie le type d'embarcation par sa première lettre et son nombre de place. Par exemple, un kayak biplace sera dénommé K-2 ou C-2 pour un canoë biplace. Le but de la course est d'arriver le premier à la fin tout en restant dans son bateau et ne sortant pas de son corridor. Des officiels suivent les courses dans des embarcations motorisées et peuvent disqualifier des bateaux durant la course. En loisir,le kayak est mono- ou biplace,le canoe se pratique seul,à 2,voire 3 à 8 personnes sur des canoes du commerce,ou en location.
Organisation de l'activité
Le canoë-kayak recouvre le sport de compétition olympique, des disciplines compétitives non olympiques et les pratiques de loisir et de tourisme libre ou commercial.
Disciplines en France
La Fédération française de canoë-kayak (FFCK) catégorise les activités de canoë et de kayak en fonction de la nature du milieu aquatique où elles sont pratiquées : eau vive, eau calme, mer. L'eau vive correspond aux milieux aquatiques de types rivière ou fleuve avec des mouvements d'eau dus à la pente et aux rochers du torrent, ayant un effet direct plus ou moins fort sur l'embarcation : rapides, marmites, drossages, vagues, tourbillons;les classes officielles de difficulté en EV vont de classe 1 à 6,niveau extrème possible en conditions rares.A partir de cl.4,la reconnaissance des passages est nécessaire . L'eau calme permet rapidement d'agir sur la maniabilité de son embarcation en maitrisant l'éventuel courant faible et le vent:des barrages peuvent présenter des dangers,ils sont à reconnaitre,et souvent nécessitent un portage. La mer rassemble les activités en océan, mer ou estuaires de fleuves,où les informations sur la météo,les marées et les courants sont nécessaires. La FFCK et les fédérations européennes proposent une échelle de compétences dans les 3 milieux de pratique sous forme de Pagaies Couleurs - Euro Paddel Pass - ,certifiées dans les écoles françaises de canoe-kayak labellisée.
Selon ces milieux aquatiques, les pratiques, le matériel, les techniques diffèrent. La Fédération française les a recensées comme suit :- En eau vive, sont pratiqués :des compétitions et le loisir,
- le slalom (descente de partie de rivière (naturel ou artificiel) avec des contraintes),
- la descente (consiste à parcourir une portion de rivière en un temps le plus court possible),
- la nage en eau vive (il ne s'agit plus de kayakiste à proprement parler, mais de nageurs équipés d'un flotteur servant aussi de protection),
- le kayak freestyle (réaliser des figures sur une série de vagues),
- le rafting (descendre des rapides sur une embarcation pneumatique en équipe),
- la haute rivière (la descente de rapides très durs à franchir;nécessite expérience technique,forme physique,exercices de sécurité en équipe et informations locales à jour sur le parcours).
- En eau calme, sont pratiqués :
- la course en ligne (parcourir une distance précise le plus rapidement possible),
- le kayak-polo (un sport d'équipe qui se joue sur un terrain particulier équipé de cages ; il se rapproche du basket et du hand-ball),
- le marathon (descendre une longue distance en canoë ou en kayak, sur une rivière ou en eau calme, avec des obstacles nécessitant parfois de porter l'embarcation),
- le dragon boat
- la randonnée,(en journée comme dans les Gorges de l'Ardèche,la Traversée de Paris, ou sur le Rhin Tortu,ou en plusieurs étapes,en Loire ou Danube,autour des lacs Léman ou de Contance,ou en Scandinavie ou au Canada.
- En mer, enfin, sont pratiqués :en compétition:
Kayak de mer
Cette discipline permet de découvrir les bords de mer. Elle se pratique avec des kayaks trés longs ( moyenne 5 mètres ), souvent munis d'une dérive et quelquefois d'une voile, avec des compartiments fermés par des trappes permettant de recevoir des vivres, tentes, sacs de couchage. Le kayak est immatriculé aux affaires maritimes[1], le kayakiste peut donc pêcher s'il le souhaite, alors que les kayaks définis comme "engins de plage" ne le permettent pas.
Compétitions
Les compétitions sont gérées essentiellement par la Fédération internationale de canoë (FIC), reconnue par le CIO et l'AGFIS.
Le canoë-kayak est un sport olympique depuis 1936 grâce à la course en ligne (la vitesse sur 200m 500 m et 1000 m en couloirs de bassin plat, la finale est accessible à travers des courses éliminatoires). Le slalom a été pour la première fois discipline olympique en 1972 puis a disparu jusqu’en 1992 et les Jeux olympiques de Barcelone (le slalom en bassin d'eau vive ; le parcours de 300 m à 400 m contre la montre comprend des passages de portes qui peuvent entraîner des pénalités en cas de passage incorrect).
Les disciplines non-olympiques sont la descente et plus récemment le freestyle, le wave-ski et le kayak polo. La FIC gère la descente de rivière d'eau vive contre la montre, le kayak-polo, le dragon-boat, le marathon, le freestyle, le kayak-surf, le rafting dans certains pays, et le canoë à voile.
Des discussions concernant le va'a (pirogue à balancier du Pacifique) sont en cours.
- Course en ligne : sur un plan d’eau calme, les concurrents répartis en couloirs, doivent parcourir une distance donnée afin de franchir en premier la ligne d’arrivée (proche de l’aviron (sport)). Les distances sont de 200 et 500 mètres pour les femmes et de 200, 500 et 1000 mètres pour les hommes, mais aussi de plus longues distances de 2 à 5km selon la catégorie et encore les marathons et les semi-marathons beaucoup plus durs physiquement. Par ailleurs, les kayaks peuvent être monoplaces, biplaces ou quadruples (on parle alors de K1, K2 ou K4).
- Slalom : sur des eaux turbulentes, les concurrents doivent parcourir une distance d’environ trois cents mètres et négocier dix-huit à vingt-cinq portes dans un minimum de temps. Il y a plusieurs types de portes : les portes vertes qui se franchissent dans le sens du courant, les portes rouges qui se franchissent à contre-courant les porte en « sky » qui sont sur deux piqués. Il existe différents types d’embarcations pour pratiquer le slalom : le kayak monoplace (le kayakiste est assis dans le bateau), le canoë monoplace C1 (le canoéiste est à genoux dans son embarcation et utilise une pagaie simple à une pale), le canoë biplace C2. D’une manière générale les embarcations des slalomeurs de compétition sont en kevlar ou fibre de carbone ou un mélange des deux appelé kevlarcarbon ou kavcarb pour les kayakistes : les progrès techniques des dernières années ont fait que la conception des bateaux de slalom est sans cesse marquée par l’avènement de nouvelles formes et volumes. Actuellement la tendance est aux bateaux dit « courts » mesurant moins de quatre mètres.
- Descente : sur eau vive moyennement turbulente, le compétiteur doit aller le plus vite possible d’un point à un autre de la rivière (c’est une course contre la montre), il s’agit de bien choisir sa trajectoire en fonction des courants et des obstacles naturels que forment les rochers. Il existe deux types de courses : la descente « classique » d’une durée de douze à vingt-cinq minutes et la descente « sprint » d’une durée d’une à deux minutes ; une course sprint se déroule en deux manches, deux fois le même parcours.
- Kayak-polo : sur plan d’eau calme, le Kayak polo est un sport collectif qui voit s’opposer deux équipes de cinq joueurs sur des périodes de deux fois dix minutes. C’est un sport spectaculaire où il faut associer aisance en bateau avec adresse au ballon et esprit d’équipe. On peut le comparer à du water-polo mais dans un bateau !
- Freestyle : sur eau vive, le freestyle se pratique sur des spots (vagues ou rouleaux formés par le courant), on parle alors de park’n’play, et le pratiquant utilise les mouvements d’eau et le relief pour effectuer des figures. Les pratiquants de cette discipline se réunissent souvent sous forme de team où ils organisent ensemble de nombreux festivals réunissant concerts, spectacle aquatique ainsi qu’aérien.
Les « freestylers » ou « rodéomans » n’hésitent pas à parcourir plusieurs centaines de kilomètres à la recherche du spot parfait (le plus connu est Hawaï-sur-Rhône, ensuite on peut citer Charnay, Le Rabioux, etc.).
- Wave-ski : sur une plage à vagues, le wave consiste à enchaîner le plus de figures, à l’instar du freestyle. Cette discipline est un compromis entre surf et kayak. Le kayakiste est assis sur une planche et les pieds encastrés dans des foot-straps. Voir aussi : Kayak surf.
- Merathon : sur un parcours en mer, le mérathon est une course longue distance en kayak de mer, surf-ski ou en pirogue.
- Marathon : le marathon est une course de longue distance sur plan d’eau ou rivière avec la possibilité d’effectuer deux ou trois portages. Les épreuves durent deux ou trois heures voire plus.
- Dragon Boat : Le Dragon Boat est composé d’un équipage d’une vingtaine de pagayeurs. C’est une embarcation chinoise qui remonte à plus de deux milliers d’années.
- Les pirogues ou Va'A : Originaire des îles du Pacifique Sud, c’est une embarcation qui peut comporter jusqu’à huit pagayeurs.
Spécificité canadienne
Le Canada est le seul pays au monde à avoir dans sa liste d'embarcation de compétition un canoë de 15 rameurs. Communément appelé "War Canoë" il provient des premiers habitants de l'Amérique, les Iroquois par exemple qui se déplaçaient sur les rivières canadienne pour faire la guerre. Leur bateau était semble-t-il très rapide et semblable au C-15. Bien sûr, aujourd'hui ce dernier est conçu exclusivement pour la course et a subi des refontes majeures pour optimiser sa vitesse.
Le bateau est en fait un grand canoë de 14 rameurs (7 gauchers, 7 droitiers) et d'un barreur debout à l'arrière. Ce dernier s'occupe de la direction, mais occupe aussi le poste de chef de bateau (souvent l'entraîneur). C'est une embarcation rapide considérant son poids, et le bois est encore le matériel le plus répandu et le plus prisé pour ces embarcations.
Les courses de "War Canoë" sont très impressionnantes en raison de la grosseur des bateaux qui coursent dans les mêmes couloirs que le reste des bateaux.
Catégories d'âge en France
En France, les pratiquants en compétition sont classés par catégories basées sur l'âge.
Ces catégories sont les suivantes :
- Poussin : 9 et 10 ans,
- Benjamin: 11 et 12 ans,
- Minime : 13 et 14 ans,
- Cadet : 15 et 16 ans,
- Junior : 17 et 18 ans,
- Senior : 19 à 34 ans,
- Vétéran : A partir de 35 ans. La catégorie Vétéran est organisée par tranches d’âges de 5 années (ex : 35 à 39 = V1 ; 40 à 44 = V2).
Outre ces catégories d'âge, il existe une catégorie spécifique nommée "Handikayak", spécifique aux pratiquants handicapées.
Le kayak au féminin
Les femmes représentent 25% des pratiquants. La fédération s’est engagée et a invité l’ensemble des structures sportives à participer au concours national « Femmes et Sports » organisé par le Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports pour mettre en avant l’image des femmes et le rôle des femmes dans le sport.
Compléments
Les formes de bateaux-flotteurs utilisés en loisir et tourisme sont essentiellement le canoë, le kayak ou le raft,en matériaux rigides,tendus sur ossature (les pliants) ou gonflables.
La position assise en kayak mono ou biplace permet la pratique à des handicapés moteurs des membres inférieurs et du dos.Des modèles de kayak stables avec des dossiers et des sièges bien formés existent dans le commerce et en location.Il est assez facile d'adapter le siège avec les matériaux modernes. Les malvoyants profitent des biplaces,des aveugles pratiquent le C2 en eau vive. Les précautions particulières concernent les personnes sensibles au froid . Des moniteurs sont formés par la FFCK pour l'accueil des handicapés (complément handikayak).
Pour tous,la reverbération de l'eau en cas de soleil doit amener le port de lunettes de soleil,la protection de la peau et de la tête.
Annexes
Notes et références
Voir aussi
- Kayak de mer | Canoë | Kayak | Kayak-polo | Course en ligne (canoë-kayak)
- Tony Estanguet, champion olympique de canoë (2000,2004)
- Fabien Lefèvre, champion du monde de kayak (2002,2003) et vice-champion olympique (2008)
- Benoit Peschier, champion olympique de kayak (2004)
- Canoë-kayak aux jeux Olympiques
- Fédération française de canoë-kayak
- Fédération internationale de canoë
- Kayak de mer | Canoë | Canoë-kayak | Kayak-polo | Course en ligne | Kayak surf | Dryak
- Babak Amir-Tahmasseb, champion du monde de kayak 1000m (2001)
- Tony Estanguet, champion olympique de canoë slalom (2000,2004,2006)
- Gilles Fortin, auteur du Guide des rivières sportives au Québec (1980)
- Fabien Lefèvre, champion du monde de kayak slalom (2002,2003)
- Benoit Peschier, champion olympique de kayak slalom (2004)
Liens externes
- (fr) Eauxvives.org (EVO), site canoë-kayak francophone
- (fr) Fédération canadienne de Canoë-Kayak
- (fr) Fédération Québécoise de Canoë-Kayak
- Fédération internationale
- Fédération française
- Fédération européenne
- Fédération québécoise
- Eauxvives.org, Site communautaire Français
- Le-Kayak.net - Instruction & école de pagaie animée pour kayak de mer
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Catégorie : Canoë-kayak - En eau vive, sont pratiqués :des compétitions et le loisir,
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