Joan Crawford

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Joan Crawford

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Joan Crawford en 1948

Nom de naissance Lucille Fay LeSueur
Naissance 23 mars 1905
San Antonio, États-Unis
Nationalité Drapeau des États-Unis Américaine
Décès 10 mai 1977 (à 72 ans)
New York, États-Unis
Profession Actrice, productrice
Films notables Grand Hotel
Mannequin
Femmes
Le Roman de Mildred Pierce
Johnny Guitare
Qu'est-il arrivé à Baby Jane ?

Joan Crawford, de son vrai nom Lucille Fay LeSueur, est une actrice et une productrice américaine née le 23 mars 1905[1] à San Antonio au Texas et décédée le 10 mai 1977 à New York.

Joan Crawford est l’une des stars les plus symboliques de l’âge d’or d’Hollywood. Sa carrière couvre, sur plus de quarante ans, les différentes époques des grands studios américains. Elle joua les filles délurées (les « flappers ») des années folles, les jeunes femmes arrivistes dans les années 1930, les femmes victimes dans des mélodrames des années 1940 et 1950.

Elle obtient un Oscar en 1945 pour Le Roman de Mildred Pierce.

Elle a été l’une des actrices américaines dont l’étoile a brillé le plus longtemps et l'une des rares vedettes du muet qui soit demeurée encore une grande star au cours des années 1960[2].

Sommaire

Biographie

Les débuts

Joan Crawford dans les années 1920

D’origine modeste et de parents séparés avant sa naissance, Lucille Fay LeSueur se passionne pour la scène et le spectacle dès son plus jeune âge (son beau-père, qui quitte également sa mère, est propriétaire d’un théâtre à Lawton en Oklahoma). Elle adopte, en même temps que le pseudonyme de son beau-père, un nom de scène : Billie Cassin.

Âgée d’à peine douze ans, elle effectue divers travaux ménagers, elle travaille dans une blanchisserie puis comme vendeuse et comme serveuse de restaurant. Battue par ses proches et humiliée dans sa vie quotidienne, la jeune femme ravale sa fierté et n’a qu’une idée en tête: sortir de la misère. Elle cultive sa passion, la danse, et continue à prendre des cours et passer des castings.

Elle finit par devenir girl dans une troupe de théâtre et reprend son nom de Lucille LeSueur. Elle se produit successivement dans un hôtel de Kansas City en 1921, dans la revue d’Ernie Young à Chicago en 1923, à Détroit puis à Broadway en 1924 où elle devient spécialiste des danses à la mode (le charleston et le black bottom). Après un an de mariage, elle divorce de son premier mari, James Welton en 1924. C’est en gagnant un concours de danse qu’elle se fait remarquer par un responsable de la Metro-Goldwyn-Mayer, Harry Rapf, qui lui propose de tenter sa chance au cinéma en lui faisant passer un test[3].

Les années MGM

Joancrawford4.jpg

Elle commence à 17 dollars la semaine pour la MGM, double Norma Shearer[4] qui deviendra sa rivale attitrée et multiplie les figurations. Elle tourne en 1925 dans Pretty Ladies et obtient son premier rôle important dans Vieux Habits, Vieux Amis.

Mais son nom ne convient pas : un concours national est lancé pour lui trouver un pseudonyme et la voilà rebaptisée Joan Crawford[3]. La transformation peut commencer.

Elle tourne dans plus de vingt films muets en quatre ans dont Plein les bottes avec Harry Langdon, L'Inconnu de Tod Browning avec Lon Chaney, Un soir à Singapour avec Ramon Novarro. Ambitieuse et impatiente de réussir, elle veut progresser. Elle assiste à d’autres tournages, elle fréquente leurs réalisateurs et les stars de l’époque, mais ça n’avance pas assez vite à son goût. « Comment décrocher un bon rôle quand Norma Shearer couche avec le patron ? » dira Joan. Norma Shearer était en effet mariée à Irving Thalberg, le grand producteur de la MGM.

Joan Crawford à l'avènement du parlant

Elle trouve enfin le succès et la consécration en danseuse de night-club dans Les Nouvelles Vierges d’Harry Beaumont, rôle qu’elle « chipe » à Clara Bow. Film symbolique sur l’ère du jazz qui bat alors son plein, elle y incarne une jeune fille « moderne », cheveux courts, buvant sec et changeant de partenaires masculins avec désinvolture. Elle y gagne ses galons de star !

Dès lors Louis B. Mayer, le directeur de la MGM, la bichonne et lui achète une maison et une voiture de luxe. La transformation continue, on la coule dans un moule et on lui crée une image de toutes pièces. Les esthéticiennes des studios se mettent au travail. « …Elle copie l’allure de Gloria Swanson et se fait la bouche de Mae Murray. Elle accentue le relief de ses pommettes, épile et arque ses sourcils. Elle subit des interventions chirurgicales à la mâchoire pour redresser ses dents. Elle se soumet à des régimes stricts et à un entraînement physique sévère. »[3] Elle est confiée aux bons soins du brillant costumier Adrian, qui se charge, en 1929, de créer le style « Crawford » : glamour et sexy. Jusqu’en 1943, il dessina toutes ses toilettes à l’écran et presque toutes celles qu’elle porta à la ville[3]. Il dira d'elle : « Joan est quelqu’un de très hardi et de très déterminé. C’est pourquoi elle est copiée. Il n’y a rien de négatif chez elle. Alors des milliers de femmes sont forcées de l’imiter, non seulement parce qu’elles sont persuadées qu’elles peuvent lui ressembler mais aussi parce qu’elles espèrent pouvoir acquérir ce tempérament positif qui contribue à son rayonnement. » [5] Un jour, enfin, elle se « trouve » : lèvres charnues soulignées d’un rouge à lèvres agressif, œil et cils maquillés de façon à approfondir le regard, sourcils épais. Elle sera transformée en une des plus grandes légendes de l’écran noir et blanc par la grâce de la machine à fabriquer les stars qu’est la MGM.

En 1929, elle passe avec succès « l’examen » du parlant avec Indomptée de Jack Conway. À cette époque, Joan est l'épouse de Douglas Fairbanks Jr., relation qui fait les choux gras de la presse du cœur. Grâce à lui, elle pénètre dans les milieux les plus fermés de la haute société hollywoodienne. Bien que les célèbres parents de son mari, Mary Pickford et Douglas Fairbanks, n’approuvent pas leur mariage, on voit souvent Joan à Pickfair, le domaine des Fairbanks, haut lieu du « beau monde » cinématographique[4].

Des rôles tels que ceux de Greta Garbo et Norma Shearer l'attirent : aussi quand cette dernière, enceinte, doit s'arrêter[6], Joan prend sa place dans Paid en 1930. Joan gagne alors autant d’argent que ses deux stars rivales de la MGM. Garbo fut d’ailleurs troublée par cette jeune star risquant de l’éclipser[7], dans le film d’Edmund Goulding de 1932, Grand Hôtel, réunissant quelques-unes des plus grandes stars de la MGM et où Joan Crawford prouve que son jeu peut rivaliser avec celui de Garbo.

Pluie (1932)

Au moment de la « Grande dépression » des années 1930, Joan incarne dans une série de films des personnages « au quotidien » auxquels les spectateurs peuvent s’identifier, contrairement aux inaccessibles stars du muet. Ce sont des rôles de jeunes vendeuses ou d’employées faisant leur chemin dans la vie malgré les difficultés, et qui atteignent un niveau social élevé tout en vivant dans le regret et le remords d’avoir renié leurs origines modestes, dans des films comme : Fascination (1931) de Clarence Brown avec Clark Gable, Le Tourbillon de la danse (1933) de Robert Z. Leonard avec de nouveau Clark Gable, Vivre et aimer (1934) de Clarence Brown et surtout le magnifique Mannequin (1937) de Frank Borzage avec Spencer Tracy (avec qui elle aura une liaison brève et torride) [8]. Dans ce rôle, Joan Crawford donne une de ses meilleures interprétations.

Pendant cette période, elle forme avec Clark Gable le couple idéal et explosif de la MGM. « … M. Mayer avait flairé dans le courant qui passait entre Clark et moi la possibilité de réaliser un gros boom financier (...) Les films que nous tournions faisaient tous recette… »[9] Ils jouèrent ensemble dans huit films, de genres variés : des mélodrames comme La Pente, leur premier film ensemble, La Pécheresse, Fascination ; un drame sentimental La Passagère ; un film musical Le Tourbillon de la danse ; des comédies légères Souvent femme varie, Loufoque et Cie et même un film d’aventure carcérale Le Cargo maudit. L’actrice évoquera également une liaison avec l’acteur[9].

Ayant divorcé de Douglas Fairbanks Jr. en 1933, elle épouse l'acteur Franchot Tone en 1935, qu’elle impose dans plusieurs de ses films.

Joan Crawford dans Femmes

Mais la magnifique mécanique s’enraye[4] et à la fin des années 1930 le succès n'est plus au rendez-vous[4]. Trop cantonnée dans des rôles de jeune fille pauvre et ambitieuse, dans les mélodrames typique de la « Grande dépression »[10], l’actrice a du mal à se renouveler. Malgré quelques essais, elle est mal à l’aise dans la screwball comedy et trop moderne pour les films à costumes[10]. On la qualifie de « calamité pour le box-office »[3]. La MGM qui a reconduit son contrat à 300 000 dollars par an[3] (pour cinq années) s'inquiète.

Femmes de George Cukor, en 1939, lui rend pour un moment la confiance de son public. Avec son casting exclusivement féminin, le film la confronte, pour la dernière fois, à sa grande rivale Norma Shearer. On peut citer dans cette fin de règne à la MGM : Le Cargo maudit de Frank Borzage où Joan Crawford retrouve pour la dernière fois son partenaire favori, Clark Gable, et deux films de George Cukor Il était une fois et Suzanne et ses idées. Les films suivants sont des échecs et sa carrière à la MGM s’effondre.

En 43, elle quitte par « la petite porte »[4] la compagnie après 18 ans de bons et loyaux services.

Les années Warner Bros

Après avoir fait le siège de la Warner, la compagnie lui ouvre ses portes avec l’idée surprenante d’en faire la rivale de la grande star maison, Bette Davis[4], un choix sans doute prescrit pour calmer les revendications de cette exigeante actrice qui avait eu bien des conflits avec Jack Warner, le patron de la compagnie, et peut-être même pour lui succéder[11].

Joan Crawford dans Le Roman de Mildred Pierce

Joan Crawford va prendre son temps et examiner les projets qu’on lui propose pour réussir son retour. C’est sur un scénario rejeté par Bette Davis et Barbara Stanwyck qu’elle va faire son choix[11]. Et bien qu’elle soit au creux de la vague, Joan va réaliser un come-back retentissant avec Le Roman de Mildred Pierce. Ce film, un mélange de mélodrame et de film noir, est l’histoire d’une mère désenchantée, il est réalisé de façon magistrale par Michael Curtiz et rarement Joan avait été aussi émouvante. C’est le succès critique et public, avec une recette de cinq millions de dollars[12]. Elle reçoit la consécration avec l’Oscar de la meilleure actrice et sa carrière redémarre. La Warner lui signe un contrat pour 7 ans à deux cent mille dollars par film.

Pour la petite histoire, Joan Crawford prétexte, le soir de la cérémonie des Oscars, une pneumonie, et c’est alitée, parfaitement pomponnée, qu’elle reçoit la précieuse statuette.

Son film suivant, Humoresque, confirme la résurrection de la star et dès lors, toutes ses apparitions se soldent par un succès commercial : Femme ou maîtresse d’Otto Preminger, La Possédée, Boulevard des passions de Michael Curtiz, L'Esclave du gang, Le Masque arraché...

En 1952, Joan quitte la Warner et devient indépendante.

Le chant du cygne

Elle revient triomphale à la MGM en 1953, après 10 années d’absence, pour tourner un film musical La Madone gitane. Mais surtout, elle tourne Johnny Guitare en 1954, western baroque et flamboyant, un chef-d’œuvre de Nicholas Ray qui lui offre un de ses plus beaux rôles, celui de la farouche Vienna. Le film est adulé par les critiques et les cinéphiles.

Elle continue de tourner dans des mélodrames, ces « films de femmes » qui sont maintenant rivées devant le petit écran et le préférent au grand[4]. De plus, avec l’âge, les rôles se font de plus en plus rares.

Joan tourne son chant du cygne en 1962 avec Robert Aldrich dans Qu'est-il arrivé à Baby Jane ?. Elle est confrontée pour la première fois à son ancienne rivale de la Warner, Bette Davis. La rencontre des deux monstres sacrés est terrible et vire à un véritable affrontement. Mais le film est un succès et redonne aux deux stars une renommée internationale. C'est un tel triomphe qu'une suite est entreprise en 1965, Chut... Chut, chère Charlotte, mais Joan Crawford tombe malade et déclare forfait. C’est Olivia de Havilland qui la remplace auprès de Bette Davis.

Elle joue par la suite dans des films d’horreur sans grand intérêt et travaille beaucoup pour la télévision. Elle est dirigée en 1969 par Steven Spielberg dans l'épisode The eyes. Il s'agit d'un des trois épisodes pilotes de Night Gallery. Après un dernier film en Grande-Bretagne en 1970, Trog, elle met un terme à sa carrière.

Après un troisième mariage avec l’acteur Phillip Terry (1942 – 1946), elle épouse le PDG de Pepsi-Cola, Alfred N. Steele en 1955. Il lui légue la société à sa mort en 59 et elle s’installe au comité de direction de la multinationale pendant quinze ans. Ne pouvant pas avoir d’enfants, l’actrice a adopté trois filles et un garçon (Christina, Kathy, Cindy et Christopher).

Joan Crawford meurt à New York le 10 mai 1977 rongée par un cancer.

Christina publie en 1979, après la mort de sa mère, une biographie « Maman très chère », très critique sur sa manière d'éduquer ses enfants, qui fera l’objet d’une adaptation avec Faye Dunaway dans le rôle de Joan Crawford.

Citations

  • « …Elle était et est encore une grande personnalité du cinéma. Vous pouvez la photographier de n’importe quel angle, de n’importe quel côté, n’importe où, dans n’importe quelle condition. Elle est toujours magnifique. Mais son vrai talent, c’est la manière qu’elle a de marcher. Si tout ce qu’elle a à faire, c’est de marcher d’un bout à l’autre de cette pièce, vous observez que quelque chose de très spécial se produit. Sa démarche, la manière dont elle se déplace ses bras, la position de la tête… eh bien, elle attire votre attention simplement en se déplaçant et elle vous accroche immédiatement. Elle n’a pas à ouvrir la bouche, elle a à marcher, juste marcher. Et elle sera superbe... » George Cukor [13]

Quelques petits secrets

  • Elle fut une joueuse de bridge de niveau mondial, mais choisit de développer au cinéma son jeu réaliste et original.
  • L'émail si blanc de ses dents était le résultat de longues et douloureuses opérations.
  • Joan Crawford et Myrna Loy furent de grandes amies. Elles s'étaient rencontrées sur le tournage de Pretty Ladies. La première était frivole tandis que la seconde était plutôt sérieuse. Ce qui ne les empêcha pas d'avoir eu, chacune, une liaison avec Spencer Tracy et de garder le silence ensuite[14].
  • Marcel Pagnol a, pendant un moment, pensé à l'engager pour le rôle d'Aurélie dans La Femme du boulanger, et a contacté son agent ; comme elle ne parlait pas le français, il a réduit ses répliques au minimum, avant de confier finalement le rôle à Ginette Leclerc[15].

Filmographie partielle

en tant qu’actrice

Pluie (1932)


Télévision et documentaires

  • 1953 : The Revlon Mirror Theater - Série TV (1 épisode) : Margaret Hughes
  • 1954 : General Electric Theater - Série TV (3 épisodess) : Mary (1954), Ruth Marshall (1958), Ann Howard (1959)
  • 1959 : Woman on the Run - Film TV : Susan Conrad
  • 1959 - 1961 : Zane Grey Theater - Série TV (2 épisodes) : Stella Faring - Sarah/Melanie Davidson Hobbes
  • 1961 : Zane Grey Theater - Série TV (1 épisode) : Invitée mystère
  • 1961 : The Foxes - Film TV : Millicent Fox
  • 1962 : Your First Impression - Série TV (1 épisode) : Invitée mystère
  • 1962 : Lykke og krone - Film documentaire : elle-même
  • 1963 : Route 66 - Série TV (1 épisode) : Morgan Harper
  • 1964 : The Big Parade of Comedy - Film documentaire
  • 1967 : Des agents très spéciaux (The Man from U.N.C.L.E.) - Série TV (1 épisode) : Amanda True
  • 1968 : The Secret Storm - Série TV (5 épisodes) : Joan Borman Kane
  • 1969 : Journey to the Unknown - Film TV : Hôtesse
  • 1969 : Night Gallery - Film TV : Claudia Menlo
  • 1970 : Le Virginien - Série TV (1 épisode) : Stephanie White
  • 1971 : Les Règles du jeu (The Name of the Game) - Série TV (1 épisode) : L'administratrice
  • 1972 : Beyond the Water's Edge - Film TV : Allison Hayes
  • 1972 : Le Sixième Sens - Série TV (1 épisode) : Joan Fairchild
  • 1972 : Hollywood: The Dream Factory - Documentaire TV
  • 1974 : Il était une fois Hollywood (That's Entertainement Part I) - Film documentaire de Jack Haley Jr
  • 1976 : Hollywood Hollywood (That's Entertainment, Part II) - Film documentaire de Gene Kelly
  • 1977 : That's Action - Film documentaire : elle-même
  • 1984 : Terreur dans la salle - documentaire (Terror in the Aisles) - Extrait Qu'est-il arrivé à Baby Jane? : Blanche Hudson
  • 1985 : That's Dancing ! - Film documentaire
  • 1988 : Going Hollywood: The War Years - Film documentaire - Non créditée
  • 1995 : Legends of Entertainment Video - Documentaire TV : elle-même
  • 1995 : The Casting Couch - Documentaire TV
  • 1997 : Judy Garland's Hollywood - Documentaire TV
  • 1998 : Warner Bros. 75th Anniversary: No Guts, No Glory - Documentaire TV - Non créditée

en tant que productrice

Récompenses

Oscars

Bibliographie

  • Joan Crawford a publié deux livres de souvenirs :
    • A portrait of Joan (1962)
    • My way of life (1971)

Références

  1. Crawford a toujours maintenu qu'elle était née en 1908. Les registres de naissance de San Antonio ne sont pas disponibles pour les années antérieures à 1910. Certaines sources affirment qu’elle est née en 1904.wikipedia anglais
  2. note : il convient de ne pas oublier des actrices telles que Barbara Stanwyck (1907-1990 / carrière cinématographique de 1927 à 1965) // Myrna Loy (1905-1993 / carrière cinématographique de 1925 à 1980) // Mary Astor (1906-1987 / carrière cinématographique de 1921 à 1964)
  3. a, b, c, d, e et f Metro Goldwyn Mayer, Splendeur du cinéma américain de Peter Hay, traduit par Paule Pagliano, Bordas (ISBN 2-04-019778-8)
  4. a, b, c, d, e, f et g Le Cinéma Grande histoire illustrée du 7e art. Volume 2. Éditions Atlas
  5. Hollywood : l’envers du décor Penny Stallings avec la collaboration de Howard Mandelbaum – RAMSAY CINEMA – 1978 – (ISBN 2-841 14-049-0)
  6. La fabuleuse histoire de la Metro Goldwyn Mayer en 1714 films, Le Livre de Paris, Odège, 1977, (ISBN 2-245-00616-X),
  7. Le Cinéma Grande histoire illustrée du 7e art. Volume 1. Éditions Atlas
  8. The leading men of MGM, Jane Ellen Wayne, éditions First Carroll and Graf editions 2005, page 209-210
  9. a et b Clark Gable par Gabe Essoe – Éditions Henri Veyrier (ISBN 2-85199-269-4)
  10. a et b Frank Borzage - Sarastro à Hollywood - Hervé Dumont - Mazzotta - Cinémathèque française (ISBN 88-202-1065-7)
  11. a et b Le film noir – Patrick Brion – Éditions de la Martinère – 2004 (ISBN 2-7324-3144-3)
  12. La Fabuleuse Histoire de la Warner Bros., Clive Hirschorn, Éditions CELIV, 1984, (ISBN 2-86535-050-9), p. 255.
  13. « George Cukor » par Jean Domarchi – Cinéma d’aujourd’hui – 1965 – Éditions Seghers.
  14. The Golden girls of MGM, Auteur : Jane Ellen Wayne, éditions Carroll and Graf Publishers 2002, page 373
  15. Raymond Castans, Marcel Pagnol, Éditions de Fallois, 1995.

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