Histoire de la médecine du travail

Histoire de la médecine du travail

La pathologie professionnelle était déjà décrite dans la Bible et dans lantiquité, un papyrus de 2 500 ans avant Jésus-Christ contient la description dans lancienne Égypte du lumbago aigu survenu accidentellement chez un ouvrier ayant participé à la construction dune pyramide. Plus tard Hippocrate le père de la médecine avait déjà remarqué en 450 avant JC que lasthme était plus fréquent dans certaines professions, les tailleurs, les pêcheurs et les métallurgistes entre autres. On trouve également des allusions aux maladies professionnelles chez Pline lAncien puis Julius Pollux.

Sommaire

Le précurseur

Paracelse

Le premier ouvrage traitant des maladies du travail est lœuvre de Philippus Theophrastus Aureolus Bombastus von Hohenheim dit Paracelse (11 novembre149324 septembre 1541) alchimiste, astrologue et médecin suisse.

Il a écrit un traité fondateur Des mineurs et Le mal des montagnes et autres maladies des mineurs décrivant les risques professionnels liées à lextraction des minerais et au travail des métaux et abordant leur traitement ainsi que les stratégies de prévention, ce qui fait de lui le précurseur de la médecine du travail. La maladie quil a décrite et quon connaissait à lépoque sous le nom de mal des montagnes était due à une irradiation par le radon un gaz formé par la désintégration du radium qui se dégage des roches surtout dans les régions granitiques, volcaniques et uranifères et saccumule dans latmosphère des cavités souterraines mal ventilées (caves, mines). Son inhalation prolongée peut provoquer un cancer du poumon chez les professionnels exposés (mineurs) et même chez les habitants des maisons polluées par ces émanations naturelles.

Les fondateurs

Bernado Ramazzini

Bernardino Ramazzini (16331714), professeur de médecine à Padoue, fut un autre précurseur dans le domaine des accidents du travail et de la « pathologie professionnelle ». Il précisa certaines mesures d'hygiène et de sécurité et essaya d'améliorer les conditions de travail et en se déplaçant sur les lieux de travail.

Son ouvrage, encore réédité, De morbis artificum diatriba, monumental « Traité des maladies des artisans » qui, pendant deux siècles, servira de référence absolue fut publié à Padoue en 1700, traduit en français, commenté et enrichi par Fourcroy en 1777. À cette date, la « pathologie professionnelle » était enseignée dans les facultés de médecine.

Percivall Pott (1713- 1788) est un chirurgien britannique qui a identifié pour la première fois une substance chimique comme étant la cause dun cancer professionnel : En 1775 il a prouvé que la suie était responsable du cancer du scrotum des petits ramoneurs de Londres et a mis en cause les conditions de travail très dures des enfants qui devaient se faufiler à travers détroits conduits de cheminées encore brûlant et avaient en permanence la peau imprégnée de résidus de combustion de houille grasse. Il explique la localisation des tumeurs par laccumulation de particules fines de suie au niveau de la peau fine et plissée des bourses, facilitée par la sueur et incrimine aussi lirritation par le frottement du pantalon et de la corde dont se servaient les ramoneurs pour descendre dans les cheminées.

Percivall Pott

A cette époque les ramoneurs commençaient à travailler vers lâge de 5 ans et le cancer apparaissait après la fin de leur activité professionnelle vers lâge de 30 ans[1]. Malgré cette étude le travail des petits ramoneurs na été réglementé quen 1840[2]Lorsque la loi interdit demployer pour le ramonage des enfants de moins de 10 ans le cancer continua à se manifester, mais seulement vers la quarantaine, ce qui démontre de façon quasi expérimentale une durée de latence constante entre le début du contact avec lagent cancérogène et lapparition de la maladie.

Le fait est peu connu, mais Benjamin Franklin (17 janvier 1706 - 17 avril 1790 qui en plus dêtre un homme politique et un des pères fondateurs des états unis dAmérique était un physicien et un scientifique curieux de tout, étudia la toxicité du plomb et son rôle dans lapparition du saturnisme maladie quil diagnostiqua chez des cristalliers et des céramistes. Il expose ses découvertes dans une lettre datée de 1796 ([3]) mais il fait remonter le début de ses travaux à plus de 60 ans auparavant.

Amédée Lefebvre directeur de lEcole de Médecine navale de Rochefort aurait fait la même découverte quelques années plus tard[4], expliquant les cas constatés chez les marins par la contamination de leau potable à bord des navires par les tuyaux en plomb.

La toxicité du plomb avait été signalée dès lantiquité notamment par des médecins grecs, (Nicandre de Colophon), et romains (Aulus Cornelius Celsus), ainsi que par larchitecte de Jules César, Vitruve qui déconseillait lutilisation de conduites dadduction deau en plomb, mais leurs avertissements navaient guère été pris au sérieux. On ne commença à prendre en compte ce risque quau début de lère industrielle. Ce fut dailleurs la première maladie à être reconnue comme maladie professionnelle dès 1919 en France.

Article détaillé : Histoire du saturnisme.

La médecine du travail en France

Lère industrielle

Le véritable pionnier de la médecine du travail, celui qui a le premier attiré lattention sur les conditions de travail abominables des ouvriers des manufactures au IXX ème siècle, est Louis René Villermé (10 mars 1782 - 16 novembre 1863), un médecin et sociologue français, ancien chirurgien de l'armée française puis de la Grande Armée.

Il abandonne la médecine en 1818 pour se consacrer à la question des inégalités sociales.

Au début du XIXe siècle, des enfants de 5 ans travaillaient couramment 15 à 16 heures par jour à dévider les trames dans les filatures. Les pouvoirs publics finirent par s'émouvoir, non pas tant des souffrances endurées que des statistiques fournies par les conseils de révision. Les jeunes ouvriers étaient si mal portants qu'on devait déclarer inaptes plus des deux tiers. On risquait de manquer de conscrits, c'est cela qui alarma les autorités. Le docteur Villermé fut chargé d'un rapport sur l'état de santé des ouvriers des manufactures quelques années après la Révolte des Canuts en novembre 1831 à Lyon qui fut la première insurrection sociale de lère industrielle.

Son travail, intitulé Tableau de l'état physique et moral des ouvriers employés dans les manufactures de coton, de laine et de soie, paru en 1840 et connu sous le nom de rapport villermé[5] a eu un grand retentissement et a été à l'origine de la loi sur le travail des enfants dans les manufactures, la loi Cunin-Gridaine du 22 mars 1841 qui limita l'âge d'admission dans les entreprises à 8 ans, mais uniquement dans les entreprises de plus de 20 salariés et interdit le travail de nuit pour les enfants de moins de 12 ans.

Cest lune des premières tentatives françaises de règlement général concernant le travail et une rupture avec la Loi Le Chapelier du 17 juin 1791 qui avait interdit les corporations de lancien régime ainsi que toute association de travailleurs (syndicats ou mutuelles) pour favoriser la libre entreprise. La liberté du travail est alors sans limite. Les rapports au travail reposent sur une base exclusivement contractuelle, lÉtat étant tenu de ne pas intervenir. Le contrat de travail fait naître à la charge de louvrier une obligation dexécuter le travail qui lui est confié, et à la charge de lemployeur, une obligation de payer le prix convenu. Il ny a, ni dans le Code civil, ni dans les textes de la première moitié du XIXe siècle, dobligation patronale dassurer à louvrier lexécution de son travail dans certaines conditions légales de durée, dhygiène, de moralité, ou dindemniser louvrier du préjudice résultant dun accident du travail ou dune maladie professionnelle.

Cette première loi sera suivie de plusieurs autres visant à améliorer les conditions de travail des femmes et des enfants et à protéger la santé des travailleurs notamment par la loi du 19 avril 1898 sur les accidents du travail, issue des travaux de Martin Nadaud (député de la Creuse) puis de Louis Ricard (maire de Rouen), qui fonde la responsabilité de lemployeur quant aux maux découlant de lactivité professionnelle et ouvre la voie à lindemnisation des accidents du travail et des maladies professionnelle et plus tard à la prévention des risques professionnels.( le régime de réparation des maladies professionnelles sera créé plus tard par la loi du 25 octobre 1919).

Les premiers médecins d'entreprise

Le recours à des médecins dentreprise et à des visites dembauche est une pratique qui, dans certaines compagnies, et en particulier dans les mines et carrières remonte au XIX ème siècle. En 1810, un premier décret impose au patronat de payer les frais médicaux des ouvriers blessés lors des accidents du travail. Dans une logique de gestion optimale des coûts, les propriétaires de mine engagent alors les premiers médecins dentreprise et ouvrent même des hôpitaux spécialisés. Concentrés au départ uniquement sur les accidentés du travail, ces services vont étendre leurs préoccupations à létat de santé général des mineurs puis prendre en charge lensemble des familles. Un moyen efficace de maintenir la paix sociale parmi une population soumise à des conditions de vie et de travail difficiles. Cest le tout premier modèle de sécurité sociale. La même année, un autre décret met en place une inspection et un contrôle des établissements industriels insalubres, incommodes ou dangereux. Plus tard cette pratique sera étendue aux transports (chemin de fer). Après la loi de 1898 sur les accidents du travail avec son extension aux maladies professionnelles les compagnies dassurance qui prennent en charge ce risque encouragent les entreprises à créer des services médicaux du travail pour se prémunir des conséquences financières des atteintes de la santé des salariés. Mais lidée dune véritable profession définie sur des bases claires, officialisée par lÉtat, et tout à la fois reconnue par les employeurs, les salariés et les médecins, ne sinstalle que progressivement à partir de la 1re guerre mondiale. En 1915 Albert Thomas crée au ministère de larmement une inspection médicale des usines de guerre dont la direction fut confiée à Etienne Martin professeur de médecine légale à la faculté de médecine de Lyon. Les origines de la médecine du travail en France sont donc liées à la médecine légale, les médecins légistes étant formés en toxicologie et jouant un rôle dexpert auprès des tribunaux et non aux chaires dhygiène comme dans dautres pays.

A la même époque, après la première guerre mondiale, furent créés des services médicaux du travail dans certaines entreprises comme la société déclairage, chauffage et force motrice de Gennevilliers qui recruta le docteur René Barthe un jeune médecin démobilisé qui chercha à transposer dans lusine le rôle quils venait de jouer à larmée comme médecin de bataillon. Durant les années 1923 à 1930, il organisa l'un des premiers services de médecine du travail et développera le concept de médecine préventive. Il révolutionne le rôle du médecin d'usine en l'articulant autour de 6 pôles principaux :

  • Pratique des soins durgence et des consultations
  • Sélection et orientation des ouvriers à lembauche
  • Organisation de lhygiène industrielle
  • Collaboration avec les comités de sécurité et les services de prévention des accidents et des maladies professionnelles.
  • Conseil en organisation scientifique du travail
  • Recherche scientifique dans les domaines propres à lindustrie travaille le médecin

René Barthe se dégage donc d'une vision purement fonctionnelle de la médecine du travail pour orienter la discipline également vers la prévention et la protection du travailleur. Pour ce faire, il montrera toute l'importance de l'association entre le médecin, l'ingénieur et l'assistante sociale et créera les premiers dossiers médicaux d'usine. Cette expérience de médecine dentreprise qui fera lobjet de publications dans les revues spécialisées qui commencent à paraître (Le travail humain, la Revue de Médecine du Travail, Le médecin dusine) servira de base à la constitution dune doctrine de la médecine du travail qui prend forme dans lentre deux guerres. René Barthe est considéré comme l'un des pères fondateurs de la médecine du travail moderne. Cette tendance plus sociale est également représentée par Guy Hauser qui au moment du front populaire, créa une consultation de pathologie professionnelle ainsi que la revue Archive des maladies professionnelles en 1938.

Cest également à ce moment que se mettent en place les premiers enseignements spécialisés en toxicologie industrielle et physiologie du travail au conservatoire national des arts et métiers (CNAM) et que es premiers instituts universitaires de médecine du travail sont créés en 1930 à Lyon, 1933 à Paris et 1935 à Lille. Ils vont avoir en charge la formation des médecins dusines, la recherche scientifique, mais aussi un but social puisque la documentation, lenseignement et la recherche seront à la disposition des travailleurs et des industriels. Un diplôme dhygiène industrielle et de médecine du travail est créé en 1933.

Peu à peu la réglementation étend le champ de la médecine du travail qui va sétendre progressivement à un grand nombre de salariés. En 1934 est rendu obligatoire le contrôle médical de certaines catégories de travailleurs en situation de risque particulier, à lembauche et périodiquement.

Un décret du 7 juillet 1937 créa un corps de médecins conseils de linspection du travail afin daider les inspecteurs du travail à appliquer les dispositions réglementaires à caractère médical.

Les lois de Vichy

Une circulaire inspirée par le docteur René Barthe et parue au JO du 9 juin 1940 définit des instructions pour létablissement de services médico-sociaux dans les établissements visés par le code du travail (notamment les usines liés à la défense nationale les conditions de travail se durcissent : instauration de la semaine de 60 heures). Ce texte sera repris par la Loi du 28 juillet 1942 du régime de Vichy qui instaurera lobligation de la médecine du travail dans les entreprises de plus de 50 salariés. Le médecin d'usine est chargé d'examiner régulièrement les salariés exposés aux risques professionnels, de réaliser un examen d'embauche dépiste les maladies contagieuses (en premier lieu la tuberculose), de contrôler les installations et les procédés de fabrication. Recherchant des réserves de main d'œuvre, le médecin doit recenser aussi les aptitudes professionnelles des chômeurs. Durant le régime de Vichy, 68 000 chômeurs déclarés aptes sont affectés dans différents chantiers. Les 15 000 qui refusent de s'y rendre perdent leurs indemnités pour « insoumission au travail ». Cette loi sert surtout à mettre en place le Service du travail obligatoire (mis à part certains secteurs comme la céramique ou la transformation des métaux)[6].

Parallèlement, le 31 octobre 1940 est créée l'Association Nationale de Médecine du Travail (ANMT) qui trouve un relais dans la Fondation française pour l'étude des problèmes humains mise en place en 1941 et dirigée par le médecin eugéniste Alexis Carrel dont un des objectifs est de « tirer des salariés un maximum de rendement pour un minimum d'usure ».

La loi fondatrice de 1946

A la Libération le professeur Desoille médecin inspecteur général du travail fut le principal artisan de la loi du 11 octobre 1946 et du décret du 26 novembre 1946 qui généralisèrent les dispositions des textes antérieurs en les adaptant au contexte de lépoque et notamment à la réapparition des syndicats en plaçant notamment le service médical du travail sous le contrôle du comité dentreprise. C'est à la demande du Conseil national de l'ordre des médecins qu'on retire toute mission de soins à la médecine du travail qui se voit confier uniquement la prévention des maladies professionnelles et des accidents du travail[6].

Cette loi rend obligatoire la médécine du travail dans toutes les entreprises privées[7].

Repères chronologiques

  • La notion dindemnisation des maladies professionnelles sera mentionnée pour la première fois sous Charles IX en 1566, mais elle supposait une action en justice du salarié contre son employeur.
  • Linterdiction du travail le dimanche est lœuvre de Vauban en 1681.
  • À la révolution la Loi Le Chapelier du 17 juin 1791 interdit les corporations de lancien régime ainsi que toute association de travailleurs (syndicats ou mutuelles) pour favoriser la libre entreprise.
  • La Révolte des Canuts en novembre 1831 à Lyon est la première insurrection sociale de lère industrielle.
  • Loi dite Cunin-Gridaine du 22 mars 1841 qui interdit le travail des enfants de moins de 8 ans et cest lune des premières tentatives françaises de règlement général concernant le travail.
  • la loi du 9 avril 1898 sur les accidents du travail permet lindemnisation forfaitaire de la victime qui bénéficie désormais de la présomption dorigine : la notion de risque professionnel est née.
  • 1902 le premier congrès international sur les maladies professionnelles se tient en Italie.
  • Les maladies professionnelles finiront par être intégrées dans le champ daction de la loi de 1898 à compter de 1910 (cas de saturnisme, par exemple).
  • En 1915 a été créée au ministère de larmement par Albert Thomas une inspection médicale des usines de guerre dont la direction fut confiée à Étienne Martin professeur de médecine légale à la faculté de médecine de Lyon.
  • La loi du 25 octobre 1919 crée le régime de réparation des maladies professionnelles qui sinspire de la loi de 1898 sur les accidents du travail.
  • Les 21 et 23 juin 1930 premier congrès de langue française de médecine du travail à Lille.
  • 1930 Création du premier institut universitaire de médecine du travail à Lyon par le professeur Mazel. (avant celui de Paris en 1933 et de Lille en 1935).
  • 1933 Création du diplôme dhygiène industrielle et de médecine du travail. (Les premiers enseignements spécialisés en toxicologie industrielle et physiologie du travail se mettent en place au conservatoire national des arts et métiers dès 1930).
  • 1937 Premières journées internationales de pathologie et dorganisation du travail organisées par Guy Hauser et sous le patronage de la Confédération générale du travail (CGT) et de la Confédération générale du patronat français (CGPF).
  • La loi du 28 juillet 1942 va obliger à la mise en place de ce que lon appellera les « services médico-sociaux dentreprise »
  • Loi du 11 octobre 1946 qui fait obligation aux employeurs dorganiser une surveillance médicale pour leurs salariés.
  • Loi du 31 décembre 1991, transposant les directives européennes de 1989 (directive cadre du 12 juin 1989)[8] visant à promouvoir lamélioration de la sécurité et de la santé des travailleurs au travail.

Faits marquants

Figures historiques

  • Samuel Stockhausen Médecin allemand du XVIéme siècle, précurseur de la toxicologie professionnelle.
  • Giovanni Antonio Scopoli auteur en 1761 dun ouvrage médical sur les symptômes de l'empoisonnement au mercure chez les mineurs :De Hydroargyro Idriensi Tentamina
  • Pares y Franques auteur en 1778 d'un rapport sur " les maladies catastrophiques des mines de mercure d'Almaden".

Grands noms de la discipline

Organismes supranationaux

L'organisation internationale du travail a établi pour les états qui ont adhéré à l'OIT (Bureau international du Travail ou BIT) des règles destinées à protéger les travailleurs. On distingue les conventions qui ont un caractère contraignant pour les états qui les ont ratifiés des recommandations qui définissent des orientations aux actions des états membres.

Certaines de ces dispositions concernent le domaine de la sécurité des travailleurs et de la santé au travail.

Références

  1. Pott, P., 1775: Chirugical Observations (Londres, Hawes, Clarke and Collins).
  2. Waldron, H.A., 1983: «A brief history of scrotal cancer», British Journal of Industrial Medicine, vol. 40,pp. 390-401.
  3. Lettre de Benjamin Franklin décrivant le mécanisme de lintoxication au plomb
  4. Ecole de Médecine navale de Rochefort
  5. Texte en ligne : De la santé des anciens ouvriers employés dans les fabriques (s.d.)
  6. a et b Stéphane Buzzi, et coll, La santé au travail : 1880-2006, La Découverte, 2006 
  7. Une loi similaire pour la fonction publique est votée en 1982
  8. Directive cadre Santé au Travail

Bibliographie

Alain Drouard, Institut national détudes démographiques (INED), Une inconnue des sciences sociales la fondation Alexis Carrel 1941-1945, Editions MSH, 1992 ([[Spécial:Ouvrages de référence/

2-735-10484-2|ISBN :2-735-10484-2]]) 

Paul Jacqmin et René d'Estaintot, Droits des patrons et ouvriers, Editions Plon, Nourrit et Cie, 1899 

Liens


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