Francis Bacon (philosophe)

Francis Bacon (philosophe)
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Francis Bacon
Philosophe britannique
Renaissance
Francis Bacon.jpg

Naissance 22 janvier 1561 (York House, Strand)
Décès 9 avril 1626
École/tradition Précurseur de l'empirisme
Principaux intérêts Logique, épistémologie, métaphysique, sciences, éthique
Idées remarquables méthode expérimentale, logique inductive, savoir = pouvoir, interprétation de la nature, idoles
Œuvres principales Du progrès et de la promotion des savoirs ; Nouvel Organon
Influencé par Presocratiques (Démocrite, Empédocle, Parménide), Platon, Aristote, Machiavelli, Bernard Palissy, Telesio, Gilbert
A influencé empirisme moderne, René Descartes, Denis Diderot, Auguste Comte

Francis Bacon (1561-1626), baron de Verulam, vicomte de St Albans, homme d'État et philosophe anglais, est un des pionniers de la pensée scientifique moderne.

Sommaire

Biographie

Il était membre de la Chambre des communes en Angleterre avant de devenir le Procureur général pour l'Angleterre et le Pays de Galles, Lord gardien des sceaux royaux (en) et finalement chancelier à l'âge de 57 ans.

Le règne d'Élisabeth (1561-1603)

Bacon naquit le 22 janvier 1561, à York House, dans le Strand où son père, sir Nicholas Bacon (1509 - 1579) possédait une résidence. Ce dernier fut Lord Keeper (Lord Garde du Grand Sceau) pendant vingt ans. La mère de Bacon, Anne Cooke, était la seconde femme de Nicolas Bacon.

Bacon fut envoyé, à l'âge de douze ans (avril 1573) à l'université de Cambridge. Il se fit remarquer dès son enfance par la précocité de son génie, et conçut de bonne heure le dessein de réformer les sciences ; mais il fut longtemps détourné de ce projet par le soin de sa fortune. Dans sa jeunesse, il accompagna l'ambassadeur d'Angleterre Amias Paulet (en) en France à la cour de Henri III. Rappelé dans son pays par la mort de son père, il se fit recevoir avocat, et se livra avec succès à l'étude de la jurisprudence. Préférant néanmoins la carrière des affaires publiques, il s'attacha au comte d'Essex, et devint membre de la Chambre des communes (1592). Quoiqu'il eût consenti, pour se concilier la faveur d'Élisabeth, à justifier la condamnation du malheureux Essex, son protecteur, il ne reçut d'elle que le titre honorifique de Conseil de la Reine.

Avocat-conseil du Roi (1607-1618)

Après la mort d'Élisabeth, Jacques Ier, qui aimait les savants, éleva rapidement Bacon aux honneurs ; il le nomma successivement solliciteur général (1607), puis attorney général (1615), membre du conseil privé (1616), garde des Sceaux (1617), et enfin grand chancelier (1618) ; il le fit en outre Baron Verulam (en) et vicomte Saint-Alban. C'est dans cette charge qu'il jugea Walter Raleigh (il fut le premier à lui annoncer sa mort), puis Thomas Howard (1619).

Bacon seconda puissamment les efforts du roi pour unir les royaumes d'Angleterre et d'Écosse, et fit d'utiles réformes. Mais il avait à peine exercé pendant deux ans les fonctions de grand chancelier qu'il fut accusé par les Communes de s'être laissé corrompre, en acceptant de l'argent pour des concessions de places et de privilèges. La raison de sa chute politique est une accusation de corruption envers la cour de chancellerie en 1621.

Simon d’Ewes (en), un contemporain du chancelier, tenait un journal. À la date du 3 mai 1621, alors que Bacon est dans les difficultés politiques, il fait un récit circonstancié de l’homosexualité de son adversaire :

« Il n'abandonna pas la pratique de cet épouvantable péché secret de sodomie, conservant à ses côtés ce Godrick, jeunot au visage efféminé, comme catamite et compagnon de lit, alors qu'il avait remercié presque tous ses autres domestiques ; ce qu'il convient d'admirer, car l'homme, après sa chute, se met généralement à discourir sur ce crime contre nature, bien qu'il l'ait pratiqué de nombreuses années, desservant le lit de sa dame, qu'il estimait, comme les Turcs et les Italiens, être un plaisir petit et infime comparé à l’autre. »

Procès et condamnation (1621)

Bacon fut en conséquence condamné par la cour des pairs à être emprisonné dans la tour de Londres et à payer une amende de 40 000 livres sterling ; il fut en outre privé de toutes ses dignités, et exclu des fonctions publiques (1621). Il admit sa faute, reçut une amende et ne remit plus jamais les pieds au parlement. Par cette sentence sévère, le parlement ne voulait pas tant frapper Bacon, dont le crime était loin d'être aussi grand qu'on l'a fait, qu'atteindre le favori de Jacques, George Villiers de Buckingham, dont le faible chancelier était la créature et dont il avait trop facilement toléré les malversations. Par contre, il se pourrait qu'il ait été victime des coups politiques dans le milieu de la cour anglaise. Au bout de quelques jours, le roi lui rendit la liberté, et lui fit remise de l'amende.

Les dernières années (1621-1626)

Quelques années après, le roi le releva de toutes les incapacités prononcées contre lui (1624). Cependant Bacon resta depuis sa disgrâce éloigné des affaires, et il consacra les dernières années de sa vie à ses travaux philosophiques. Il mourut le 9 avril 1626, à la suite d'expériences de physique qu'il avait faites avec trop d'ardeur. Sur le point de mourir, il écrit à Lord Arundel :

« Milord, il était dans ma destinée de finir comme Pline l'Ancien, qui mourut pour s’être trop approché du Vésuve, afin d’en mieux observer l’éruption. Je m’occupais avec ardeur d’une ou deux expériences sur l’endurcissement et la conservation des corps, et tout me réussissait à souhait, quand, chemin faisant il me prit, entre Londres et Highgate, un si grand vomissement, que je ne sais si je dois l’attribuer à la pierre, à une indigestion, au froid ou à tous les trois ensemble » (cité par Jean-Baptiste Vauzelles, Histoire de la vie et des ouvrages de François Bacon, 1833, tome II, p. 190).

Des thèses controversées soutenues en premier par Elizabeth Wells Gallup puis par le Général Cartier dans Un Problème de cryptographie et d'histoire (Mercure de France, Paris, 1938, 4e édition) cherchent à démontrer que Francis Bacon et Shakespeare ne font qu'un[1]. Leurs principaux contradicteurs sont William Friedman et son épouse Elizebeth, dans The Shakespearean Ciphers Examined.

Son œuvre

En plus d'avoir fait carrière en droit et en politique, Francis Bacon a contribué à la science, la philosophie, l'histoire et la littérature. Adversaire de la scolastique, il est le père de l'empirisme. Durant l'étude des faux raisonnements, sa meilleure contribution a été dans la doctrine des idoles. D'ailleurs, il écrit dans le Novum Organum que la connaissance nous vient sous forme d'objets de la nature, mais que l'on impose nos propres interprétations sur ces objets (les « anticipations »). D'après Bacon, nos théories scientifiques sont construites en fonction de la façon dont nous voyons les objets ; l'être humain est donc biaisé dans sa déclaration d'hypothèses.

Science et méthode

Article détaillé : Novum Organum.

Francis Bacon est le père de l'empirisme sous sa forme moderne. Il pose le premier les fondements de la science moderne et de ses méthodes[2]. Dans son étude des faux raisonnements, sa meilleure contribution a été dans la doctrine des idoles. D'ailleurs, il écrit dans le Novum Organum (ou « nouvelle logique » par opposition à celle d’Aristote) que la connaissance nous vient sous forme d'objets de la nature, mais que l'on impose nos propres interprétations sur ces objets. Bacon rédige deux ouvrages majeurs dans l'histoire de la science : De dignitate et augmentis scientiarum (« De la dignité et de l'accroissement des savoirs »), qui établit une classification des sciences de son époque, et signale leurs lacunes, et le Novum Organum (« Nouvel outil »), qui expose une méthode pour guider l’esprit et avancer dans les sciences et dans la connaissance. Ces deux ouvrages étaient conçus comme les deux premiers des six livres que devait compter l’Instauratio magna scientiarum, mais Bacon ne put terminer que ces deux-là.

D'après Bacon, nos théories scientifiques sont construites en fonction de la façon dont nous voyons les objets ; l'être humain est donc biaisé dans sa déclaration d'hypothèses. Pour Bacon, « la science véritable est la science des causes ». S’opposant à la logique aristotélicienne[3] qui établit un lien entre les principes généraux et les faits particuliers, il abandonne la pensée déductive, qui procède à partir des principes admis par l’autorité des Anciens, au profit de l’« interprétation de la nature », où l’expérience enrichit réellement le savoir[4]. En somme, Bacon préconise un raisonnement et une méthode fondés sur le raisonnement expérimental :

« L'empirique, semblable à la fourmi, se contente d'amasser et de consommer ensuite ses provisions. Le dogmatique, telle l'araignée, ourdit des toiles dont la matière est extraite de sa propre substance. L'abeille garde le milieu ; elle tire la matière première des fleurs des champs, puis, par un art qui lui est propre, elle la travaille et la digère. (...) Notre plus grande ressource, celle dont nous devons tout espérer, c'est l'étroite alliance de ces deux facultés : l'expérimentale et la rationnelle, union qui n'a point encore été formée[5]. »

Bacon, à travers la phrase " On ne commande la nature qu'en lui obéissant" met en évidence que le pouvoir sur les choses vient de la connaissance du sujet. On ne peut obtenir de la nature en émettant seulement le souhait, il faut l'étudier, la comprendre pour pouvoir l'utiliser à ses fins. La connaissance est un pouvoir car il permet d'agir sur l'objet étudié de façon a obtenir ce que l'on veut de lui. Il ajoute que la technique et la science sont complémentaire, car la science permet de concevoir des inventions, comme la connaissances de la lumière permet de fabriquer des microscopes, mais que la technique permet d'explorer les sciences car le microcope ainsi construit sert à de nouvelles découvertes.

On lui doit également plusieurs concepts d'ordre médicinaux et moraux, comme le concept d'euthanasie.

Science et politique

L'idée prophétique de Francis Bacon était d'institutionnaliser une forme d'apprentissage expérimental afin de former une classe de scientifiques expérimentaux ayant les moyens de quérir le pouvoir. Cf. la Nouvelle Atlantide.

Il a formulé en 1597, l'équation fameuse, Nam et ipsa scientia potestas est, que l'on peut traduire par « En effet le savoir lui-même est pouvoir », plus connue sous sa forme moderne : « Savoir, c'est pouvoir »[6], formule qui se trouve d'ailleurs déjà chez Abu'l-Qāsem Ferdousi (935–1020)[7].

Langage

Il inventa un code pour chiffrer des messages diplomatiques.[réf. nécessaire].

Il élabora le schéma d'une langue universelle[8].

Œuvres de Bacon

Il a laissé des écrits sur la jurisprudence, la politique, l'histoire, la morale et la philosophie. Ce sont surtout ces derniers qui l'ont rendu célèbre. Ils sont tous compris dans un vaste ouvrage que l'auteur nomme Instauratio magna, et qui devait se composer de six parties : la revue des sciences, la méthode nouvelle, le recueil des faits et des observations, l'art d'appliquer la méthode aux faits recueillis, les résultats provisoires de la méthode, les résultats définitifs ou philosophie seconde. De ces six parties, deux seulement ont été exécutées (De dignitate et augmentis scientiarum, Novum Organum), dans divers traités qui portent le titre d’Histoire naturelle, tels que le Sylva Sylvarum, l’Historia vite et morlis, l’Historia ventorum, l’Historia densi et rari. Il ne reste sur les autres parties que des ébauches incomplètes. Bacon est considéré comme le père de la philosophie expérimentale : l'idée fondamentale de tous ses travaux est de faire, comme il le dit, une restauration des sciences, et de substituer aux vaines hypothèses et aux subtiles argumentations qui étaient alors en usage dans l'école l'observation et les expériences qui font connaître les faits, puis une induction légitime, qui découvre les lois de la nature et les causes des phénomènes, en se fondant sur le plus grand nombre possible de comparaisons et d'exclusions.

Il a aussi laissé quelques opuscules philosophiques, qui ont été publiés en 1653 par Isidor Gruter à Amsterdam, sous le titre de Scripta in naturali et universali philosophia, 1 vol. in-18 ; des Discours, qu'il avait prononcés, soit comme solliciteur et attorney général, soit comme membre du parlement, et enfin un grand nombre de Lettres qui éclairent sa vie et son caractère.

  • 1597 : Meditationes Sacræ. Ouvrage théologique. Dans la dixième de ces méditations, intitulée De Atheismo, figure (sous une forme moins concise) la formule souvent citée « Un peu de science éloigne de Dieu ; beaucoup y ramène », idée qu'on retrouve dans plusieurs ouvrages de Bacon[9].
  • 1597 : Essais de morale et de politique. Ces essais jouissent d'une grande réputation (publiés d'abord en anglais, en 1597, puis en latin, sous le titre de Sermones fideles, 1633)
  • 1603 : De Interpretatione Naturae Proœmium
  • 1605 : De dignitate et augmentis scientiarum The Advancement of Learning (Du progrès et de la promotion des savoirs, Gallimard, 1991, ISBN 2-07-072141-8). Paru d'abord en anglais en 1605, puis en latin en 1623.
  • 1607 : Cogitata et Visa.
  • 1609 : De sapientia veterum (un petit traité).
  • 1620 : Novum Organum paru en latin, où l'auteur expose une logique nouvelle qu'il oppose à l'antique méthode d'Aristote.
  • 1622 : Exemplum Tractatus de Justitia Universali, sive de Fontibus Juris.
  • 1622 : Historia ventorum.
  • 1622 : Histoire de Henri VII (en anglais ; 1638, en latin).
  • 1622 : New Atlantis, Atlantis nova, ingénieuse utopie philosophique.
  • 1627 : Sylva Sylvarum, en anglais, posthume.
  • 1658 : Historia densi et rari.
  • 1662 : Historia vite et morlis.
  • 1843 : Oeuvres de Francis Bacon en deux tomes, traduits en français et présentés par M. F. Riaux. Tome I, De la dignité et de l'accroissement des sciences. Tome 2, Nouvel organum. Essais de Morale et de Politique. De la sagesse des Anciens. Paris, Charpentier.
  • 1945 : Essais, Bruxelles, Editions La Boétie.
  • 1986 : Novum organum, Paris, PUF.
  • 1995 : La Nouvelle Atlantide, Paris, Flammarion, ISBN 2-08-070770-1.
  • 2002 : Sur le prolongement de la vie et les moyens de mourir, Paris, Rivages.
  • 2008 : Œuvres complètes, Paris, L'Harmattan.
  • 2010 : Récusations des doctrines philosophiques et autres opuscules, Paris, Hermann.

Bibliographie

Bibliographie de Francis Bacon

Études sur Bacon

  • Justus von Liebig, Lord Bacon, tr. fr. par P. de Tchihatchef, Paris, 1866, consultable sur Google Books.
    • « Il serait trop facile de montrer que tous les faits généraux isolés par Bacon se sont révélés, dès les premiers progrès de la pensée empirique, sans consistance. Liebig a apporté contre le baconisme un jugement qui, pour être passionné, n'en est pas moins foncièrement juste. » (Gaston Bachelard, La formation de l'esprit scientifique, rééd. Vrin, 1993, p. 71, passage consultable sur Google Books.)
  • Pierre-Maxime Schuhl, Pour connaître la pensée de Lord Bacon, Paris, Bordas, 1949.
  • Gérard Escat, Bacon, Paris, PUF, 1968.
  • Markku Peltonen (éd.), The Cambridge Companion to Bacon, Cambridge, Cambridge University Press, 1996. (ISBN 978-0521435345)
  • Chantal Jaquet (éd.), L'héritage baconien aux XVIIe et au XVIIIe siècles, Paris, Kimé, 2000. (ISBN 2-84174-207-5)
  • Didier Deleule, Francis Bacon et la réforme du savoir, Paris, Hermann, 2010. (ISBN 2705669787)
  • Chantal Jaquet, Bacon et la promotion des savoirs, Paris, PUF, 2010. (ISBN 978-2130568575)
  • Michel Malherbe, La philosophie de Francis Bacon, Paris, Vrin, collection "Repères", 2011.

Tableau biographique

Notes et références

  1. [1]
  2. Pour plus de détails, voir : Francis Bacon, science et méthode par Michel Malherbe, Jean-Marie Pousseur, en ligne.
  3. Francis Bacon la fustige à travers cette célèbre déclaration, tirée du Novum Organum : « La science doit être tirée de la lumière de la nature, elle ne doit pas être retirée de l’obscurité de l’antiquité. »
  4. « Ce ne sont pas des ailes qu’il faut à notre esprit, mais des semelles de plomb. » explique-t-il, afin de montrer la prépondérance de l'expérience sur l'abstraction.
  5. Cf. Francis Bacon, Novum Organum, Livre I, 95, Chapitre La fourmi, l'araignée, l'abeille.
  6. Sir Francis Bacon, Meditationes Sacrae (1597), XI, De haeresibus, in Exemplum Tractatus de Fontibus Juris and other latin pieces of Lord Bacon (tr. anglaise par James Glassford), Waugh & Innes, 1823, p. 191. Texte original latin dans Œuvres philosophiques de Bacon, avec notice, sommaires et éclaircissemens, par M. Bouillet, t. 3, Paris, 1834, p. 474 ; consultable sur Google Books. Pour le contexte, voir Eli Thorkelson, The will to knowledge and cultural crisis in universities, prononcé à Rethinking The University: Labor, Knowledge, Value, Université du Minnesota, 11 avril 2008, en ligne.
  7. Voir par exemple le site Encyclopædia Iranica.
  8. C’est en 1605 dans The Advancement of Learning qu’il énonce son système dans lequel il y aurait autant de caractères que de “mots radicaux” représentant des choses ou des notions (voir Jonathan Cohen, “On the Project of a Universal Character”, Mind, lxiii, 1954, p. 51). La finalité universelle d’un tel système se perçoit davantage dans De Augmentis Scientiarum de 1623 où il affirme que chaque pays pourra lire dans sa propre langue un livre écrit dans le caractère qu’il propose, à l’image de la langue chinoise qui est la même à l’écrit dans tout l’empire et qui est pourtant parlée différemment dans chaque province chinoise (Cornelius, op. cit., 27).
  9. Œuvres philosophiques de Bacon, avec notice, sommaires et éclaircissemens, par M. Bouillet, t. 3, Paris, 1834, p. XXXIV, n. 1, et p. 473 ; consultable sur Google Books.

Voir aussi

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Articles connexes

Œuvres en ligne

Articles

Liens externes

Source partielle

Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), « Francis Bacon (philosophe) » dans Dictionnaire universel d’histoire et de géographie, 1878  (Wikisource)


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