- Famille Delpech de Frayssinet
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La famille Delpuech de Frayssinet « paraît être un branche de l'ancienne famille Delpuech ou Delpech du Languedoc qui a fourni (...) deux prélats, des sénéchaux, deux commandeurs de Saint Jean de Jérusalem, un capitoul, de hauts magistrats, des chevaliers de Saint-Louis »[1]. Connue depuis 1271[2] sous le nom de Delpuech de Canhac[3], cette famille était établie à Albi et Caylus, d'où plusieurs rameaux nobles[4] se sont fixés en Rouergue à la fin du XVIe siècle à Villefranche-de-Rouergue, Rebourguil, Najac[5] et un rameau devenu bourgeois[6] à Sauveterre-de-Rouergue[7].
Sommaire
Principales personnalités
- Guillaume Delpuech[8], juge à Saint-Antonin-de-Rouergue, fils de Raymond qui avait testé en 1559, fit son testament le 6 juin 1595[9]. Il était marié à Marguerite Rames, fille de Pierre et de Raymonde de Ginestel.
- Jean Delpuech épousa Claire Delhom, fille d'Antoine et de Claire de Valette-Parisot. "Marié en 1593 à Perette Dardenne, fille de feu Jean-Imbert, baron de Pruynes, et de Marguerite Chalvet de Rochemonteix qui était la nièce du jurisconsulte Pierre Lizet, il succéda à Guillaume comme juge, fit hommage à Marguerite de Valois le 4 décembre 1607 comme comtesse de Rouergue[10], et testa en 1621[11]".
- Pierre Delpuech, procureur en la cour royale de Villefranche-de-Rouergue, rendit aussi hommage en 1607 à Marguerite de Valois pour ses fiefs et possessions en Rouergue[12]. Il semble être l'auteur de la branche des Dupuis, juges de Saint-Saturnin qui sont devenus seigneurs de Rebourguil[11].
- François Delpuech de Fraissinet (1699-1763), capitaine de dragons, chevalier de Saint-Louis, puis premier consul de Sauveterre-de-Rouergue. Il était le fils de Pierre Delpuech, sieur de Frayssinet, écuyer, procureur du roi en la viguerie de Najac, et de Marguerite de Montlauzeur[13] qui lui avait apporté le domaine de La Borie, paroisse de Lunac[14]. Il participa comme capitaine de cavalerie à la bataille de Dettingen dont il fait la relation dans une lettre[15].
- Pierre Delpech del Perié (1736-1767) fils du précédent, conseiller du roi, maire de Sauveterre-de-Rouergue. Cadet de la famille, il semble avoir abandonné la condition noble. Il a épousé sa cousine Marguerite Merlin, tante de Raymond Merlin (1767-1839), député-maire de Rodez[16].
- Jean-Antoine Delpech (1760-1849), avocat au parlement de Toulouse, maire de Sauveterre-de-Rouergue, administrateur du Département de l'Aveyron. Il figure dans le rôle des biens et revenus nobles de l'Élection de Villefranche pour la période 1781-1786[17]. Il n'a pas été convoqué à l'assemblée primaire provinciale de 1789, mais vint la même année à Paris lire une "Adresse à Nosseigneurs de l'Assemblée Nationale par les habitants de Sauveterre et de ses environs[18], et fut ensuite "député devant la Convention où il fut révoqué pour avoir clamé trop haut lors de l'instruction" du procès de Louis XVI[19]. Il a épousé en 1784 à Villefranche sa cousine Thérèse de Mazars, fille de François-Antoine Mazars et de Anne de Gaston de Pollier, dont le frère le Comte de Vauvineux (1749-1811) était capitaine de vaisseau durant la guerre d'Amérique.
- Édouard Delpech (1790-1864), fils du précédent, né à Sauveterre, jurisconsulte, doyen de la faculté de Droit de Toulouse[20], où à partir du Premier Empire il défendit la nouvelle forme rationnelle d'enseignement du droit[21] et fut élevé au décanat en 1856[22]. Il est le père de :
- Jean-Antoine Delpech de Fraissinet (1785-1848), frère du précédent, maire de Sauveterre-de-Rouergue, chirurgien de la Grande Armée, médecin du corps expéditionnaire en Algérie[24],[25], médecin-chef de l'Hôtel-Dieu de Lyon, auteur d'une étude sur le Choléra[26], membre de la Société cantalienne. De son mariage à Aurillac en 1815 avec Celeste Rivière, il a eu cinq enfants, dont :
- Delphine Agathe Delech (1816) mariée avec Edouard Grailhe, vivait au château de Balsac.
- Pascal Delpech-Delperrié (1817-1887), fils du précédent, docteur en droit, notaire à Montauban (1846-1861), conseiller au Tribunal de Pondichéry (1868), puis président à la Cour d'appel de Saïgon, mort dans le naufrage du Natal en revenant de Nouméa.
- Édouard Delpech de Frayssinet (1819-1898), frère du précédent, rédacteur au Moniteur des Indes Orientales, auteur de L’Athénée royal, chansons dédiées aux orateurs du jour, 1847, Paris, in-8°. imprimeries Polet, et de Le Japon, mœurs et coutumes, Paris, 1864. Devint prêtre.
- Charles Delpech de Frayssinet (1821-1887), vice-commissaire de marine. marié en 1841 à Mary Close, fille de Sir John Frank Close (1764-1837), consul d'Angleterre à Rochefort, aide de camp du roi Georges IV.
- Joseph Delpech de Frayssinet (1874-1945), arrière-petit-fils de Jean-Antoine, fils d'Alfred (1846-1899) et d'Hélène Grognier, consul de France à Glasgow[27], président de la Société française de graphologie, consul de France. Entre 1928 et 1932, il profita de son affectation auprès de l'ambassade d'Allemagne pour recueillir et analyser plus de 10 000 specimens d'écritures d'anormaux sexuels à l'Institut für Sexualwissenschaft fondé à Berlin par le Docteur Magnus Hirshfeld. Ce matériel a donné lieu par la suite une étude de sythèse d'A. Lecerf publié sous le titre L'écriture des anormaux sexuels[28].
- Pierre Delpech de Frayssinet (1875-1918), officier, fils d'Alfred (1846-1899) et d'Hélène Grognier. Il a fait ses études à Villefranche-de-Rouergue[29], avant d'entrer à Versailles en préparation à Sainte-Geneviève[30], puis à Saint-Cyr. « Sorti dans les troupes coloniales, il se bat à Madagascar, en Chine, puis au Zinder. C'est en Afrique qu'il reçoit sa première blessure à l'occasion d'un fait d'armes dont il fut récompensé par la Croix de la Légion d'honneur »[31]. Il se signale aussi dans des actions contre les bandes de rezzous[32]. Pendant la Guerre de 1914-1918 où il est cité deux fois à l'ordre de l'Armée[33] avant d'être blessé mortellement et de mourir en 1918 à l'hôpital de Beauvais[34]. Occitaniste qui appartenait au groupe de la Veillée d'Auvergne et à l'Action française, sa vie est évoquée dans les Tombeaux de Charles Maurras[35] ainsi que dans le Le Tableau d'honneur de la Grande guerre de l'L'Illustration.
- Angèle Delpech de Frayssinet (1849-1922), sœur d'Alfred (1846-1899), célibataire, suffragette, militante syndicale à la CGT,, employée à la poste du Ier arrondissement à Paris.
- Edouard Delpech de Frayssinet (1853-?), publiciste, frère d'Alfred (1846-1899), auteur de Commentaire du billard français, ouvrage accompagné d'une règle du jeu actuel et d'une galerie de portraits biographiques de professionnels et d'amateurs, Paris, Hénin, 1903. Il possédait le château du Puech, à Villecomtal[36].
- Jehan Delpech de Frayssinet (1903-1958), né à Berne, colonel d'aviation, fils de Joseph et de Marguerite Dupin des Vastines, contribua à l'organisation de l'aviation de Vichy pendant la Seconde Guerre mondiale[37], puis en Indochine[38],[39]. Il est mort d'épuisement au Caire.
- Alfred Millet-Delpech de Frayssinet (Avignon 1914-?), sous-lieutenant, rejoint les FFL à Londres en octobre 1942[40], ambassadeur de France au Honduras en 1976, puis chef du protocole au ministère des affaires étrangères. il est père de deux filles: Isabelle et Claude de Frayssinet, hispanisante, traductrice.
Armes, blasons, devises
- Pierre Delpuech, sieur de Frayssinet, procureur du roi en la viguerie de Najac, « De sable, au lion d'or, et une épée de gueules, posée en pal, brochant sur le tout »[41] Devise: « Fort contre la force, tendre avec la faiblesse. »
- Del Puech, « De sable à l'aigle d'or à l'épée de gueules brochant sur le tout » (brisure)[42]
- Delpech de Fraissinet, enregistrement armorial, Languedoc : « D'azur, au lion contourné d'or, au chef de gueules, chargé de trois étoiles d'argent. Supports: deux lions. Devise: « Plus fort que la force. »[43],[44] ou « Je suis plus fort que la force »[45].
Alliances
Les principales alliances des familles Delpuech de Canhac et de Fraissinet sont les familles Alary, Armagnac de Castanet, d'Arpajon, de Bonal, de Bonald, de Buisson, de Butler, de Cajarc, Cambefort, de Caylus, Close (britannique), de Coster, Couffinhal, Dambricourt, de Darrassus, Dupin des Vastines, de Galtrave, Garriques de La Garcie, Gautier de Savignac, de Gasquet, Grailhes, Grognier, de Gualy, d'Hébrail, del Perié, de Lautrec, de Lavalette-Parisot, de Lescure-Jaoul, de Lom, van Loqueren (Belgique), de Mas de Massals, Mercadier, Merlin, de Monteils de Septfons, de Montesquiou, de Montlauzeur, de Marquisan, del Perié, de Pélamourgues, de Rabastens, du Rieu, Robert de Naussac, de Rames, Rivière, baron Rolin (belge), de Soubiran d'Arifut, de Varagnes, de Verdier de Mandilhac. Aimé B. d'Agnières mentionne aussi en partie à tort les « familles de Morlhon de Sauvença (sic), et en 1560 aux Turenne d'Aynac, de La Tour d'Auvergne, Du Bruel, de Marquisan, de Savignac, Gaston de Vauvineux»[46].
Notes et références
- V° « Delpech de Frayssinet » in Armorial de la France, Louis de Magny, 1858-1871, volume II, p. 111.
- Philippe le Hardi, l'an 1271, lors de la réunion du comté de Toulouse à la Couronne". "Emeric del Podio, seigneur de Canhac, fit serment de fidélité au Roi
- "Louis-Charles de Warroquier (1757-1794) prétend que cette famille est la même que celle qui avait repris le nom des Dupuy-Montbrun" (en réalité Delpuech de Cagnac). H. de Barrau, Documents historiquesII, p.151-152.
- "La famille Delpech de Frayssinet était noble, car elle figure, avec la qualité d'écuyer dans nombre d'actes du XVIIe siècle et du XVIIIe siècle". Marquis d'Yzarn de Freissinet de Valady, Comte de Lévezou de Vesins, Les Châteaux de l'ancien Rouergue, 1927, II, p. 97.
- seigneur de Bar, veuf d'Anne de Valette-Parisot", Marquis d'Yzarn de Freissinet de Valady, Comte de Lévezou de Vesins, Op, cit. "Les fiefs de Fraissinet, la Griffoul, sont passés à la famille Delpech, originaire, croyons-nous, de Villefranche, mais pourvue, au dix-septième siècle, de sièges dans la justice royale de Najac et toujours mentionnée dans les documents." "Noble Antoine Delpuech, était curateur en 1582 de Jean de Bar,
- Pierre-Marie Dioudonnat en fait une famille bourgeoise du XIXe siècle dans Encyclopédie de la fausse noblesse et de la noblesse d'apparence, V° « Delpech de Frayssinet», tome 1-2. Elle n'est pas mentionnée par Régis Valette. Reprenant la brève notice du Dictionnaire des familles françaises de Chaix d'Est Ange (Tome XIII 1914), qui lui-même s'appuie sur l'absence de notice d'Hippolyte de Barreau,
- Ascendance François Delpech de Frayssinet - Base généalogique Roglo
- souvent traduit par Dupuy en français. Del Podio en latin, c'est-à-dire Depuech,
- H. de Barrau, Documents historiques, II, p. 151.
- comté de Rodez appartenait à son mari Henri IV qui l'avait reçu de sa mère Jeanne d'Albret; mais Marguerite possédait depuis 1572 le Carladès qu'elle avait reçu de sa propre mère Catherine de Médicis. H. de Barrau, ibidem. L'auteur ne donne pas les fiefs. Le
- H. de Barrau, ibidem.
- V° « Delpech de Frayssinet » in Armorial de la France, Ibidem. L'auteur ne donne pas le nom des fiefs.
- Hippolyte de Barrau dans sa notice sur la "Famille de Montlauseur", in Documents historiques sur le Rouergue, Volume 4. Mariage à Villefranche le 2 mai 1683 mentionné par
- Marquis d'Yzarn de Freissinet de Valady, Comte de Levézou de Vezins, Op. cit.
- Aimé B. d'Agnières, Armorial spécial de France, A Quantin, 1877. Il signait Delpech Deperié.
- Henri Affre, Les hommes remarquables de l'Aveyron. Biographies aveyronnaises, 1881, p. 150.
- Jean-Antoine Delpech del Perié, étudiant en droit à Villefranche; AD12 C116.
- Les Comités des droits féodaux, Sagnac et Caron, Paris, 1909, Laffite reprint.
- Nicolas Bergasse ancien député à la Constituante, p. 184. Louis Hastier, Nouvelles révélations sur Louis XVII, 1954 et Réflexions de
- Roman d'Amat, Dictionnaire de biographie
- De l'Enseignement du droit, Edouard Delpech, Toulouse, 1840. Son portrait se trouve sur la couverture de : Toulouse et son université. Faculté et étudiants dans la France provinciale, John M. Burney, 1994, p. 225-238, Toulouse, PU du Mirail-CNRS.
- Antoine Thomas et alii, Annales du Midi, volume 82, p. 191, Université de Toulouse.
- Thèse en 1862 sur Le Régime dotal.
- Pierre Guiral, Marseille et l'Algérie, Éditions Orphys, 1957, p. 51.
- Pierre Gourinard, Les royalistes français devant la France dans le monde (1820-1859), Lacour, 1992, volume I, p. 301.
- Mélanges occitaniques Mentionnée en 1832 dans les
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- Jean-Charles Gilles-Maisani, Psychologie de l'écriture. Études de graphologie, Paris, L'Harmattan, 2008, p. 66. Les divers types d'anomalies décrites selon les catégories suivantes: narcissisme, onanisme; satyrisis-nymphomanie; homosexualité, lesbianisme; éonisme, castration; pédophilie, gérontophilie; bisexualité, hermaphrodisme, infantilisme; impuissance, frigidité; sadisme, masochisme; exhibitionnisme; fétichisme, bestialité, scatophilie; crimes sexuels.
- Livre d'or des anciens élèves de Notre-Dame-de-la-Mongré.
- Livre d'or de l'école Sainte-Geneviève de Versailles
- Pierre Delpech de Frayssinet, notice sur sa vie, HM, 1918, Paris.
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- Église Saint-Sulpice Place commémorative,
- Albert Marty, L'Action française racontée par elle-même, Paris, NEL, 1986,
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- Jean Deuve, Guerilla au Laos, Paris, 1997, p. 97.
- Selon l'association Mémoire et espoirs de la résistance.
- Charles d'Hozier, (volumes 14-15) Languedoc, tome IV, Généralité de Figeac, publié par Louis d'Izarny-Gargas, 1992, Versailles. Armorial général (1667) de
- Armorial du Rouergue. Noms de familles et armoiries in Mémoires de la Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron, volume 6, pp. 551 et 595, Rodez, 1847
- Grand armorial de France, 1932, Henri Jougla de Morenas, tome III.
- Jean-Baptiste Rietstap, Armorial général, Londres, 2ème édition, 1884
- H. Tausin, Dictionnaire des devises historiques et héraldiques. Supplément, 2 volumes. 1895, p. 265
- Armorial spécial de France, V° « Delpech de Frayssinet », A. Quantin, p. 159.
Bibliographie
- "Jean-Antoine Delpech", "Alexandre-Edouard Delpech" (1797), "Edouard-Marie Delpech" (1790) in Henri Affre, Les Hommes remarquables de l'Aveyron. Biographies aveyronnaises, 1881, p. 150. Réimpression 1993, et 2004 ISBN : 2877609960 / 2-87760-996-0
- Dictionnaire de Biographie Française [détail des éditions], V° "Edouard Delpech", "François-Xavier Delpech", "Victor Delpech".
- Référence:Grand armorial de France (Jougla de Morenas).
- Pierre Suau, Le père Victor Delpech, missionnaire au Maduré, 1899, Paris, 278 pp. 11 gravures.
- John M. Burney, Toulouse et son université : facultés et étudiants dans la France provinciale du XIXe siècle, Toulouse, Presses universitaires du Mirail, 1988, 332 p. (ISBN 2-85-816-090-2)
- Philippe Dayre de Mayol, Dictionnaire historique et héraldique de la noblesse française, d'après les archives des anciens parlements etc. (1895), 2001, ISBN 3487112450
- Louis d'Yzarn de Freissinet (marquis), Renaud de Lévezou de Vesins (comte), Les Châteaux de l'Ancien Rouergue, Éditions P. Carrère, 1927, volume II.
- Hippolyte de Barrau, Documents historiques sur le Rouergue, sur ses familles et ses hommes remarquables dans les temps anciens et modernes, 1853-1860.
- Fonds La Casinière.
- "Pierre Delpech de Frayssinet", in Tableau d'honneur de la Grande Guerre, tome 3, Paris, Éditions archives et culture, 2002.
Voir aussi
Catégories :- Personnalité de l'Aveyron
- Personnalité de la Haute-Garonne
- Généalogie patronymique
- Guillaume Delpuech[8], juge à Saint-Antonin-de-Rouergue, fils de Raymond qui avait testé en 1559, fit son testament le 6 juin 1595[9]. Il était marié à Marguerite Rames, fille de Pierre et de Raymonde de Ginestel.
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