- Adsilanum
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Adsilanum est un village gallo-romain (voire plus ancien, le nom est sans doute celtique adsi ou ad+si(l) de sens inconnu, mais où l'on reconnait probablement le fameux son gaulois transcrit par un "d barré" ou un θ dans les inscriptions gallo-latine, ex: *adsedillo, gén. aθθedilli[1]. Le second élément pourrait être lano- équivalent celtique du latin planum > plaine comme dans Mediolanum) et qui servait de station sur l'Aubrac. Un mystère subsiste cependant autour de cette importante station du monde romain, puisqu'elle n'a pas été retrouvée.
Une importance stratégique oubliée
Dans un premier temps Anderitum et Ad-Silanum étaient des stations sur les voies romaines reliant la Narbonnaise aux Gaules du nord et à l'Aquitaine, puis des postes aux frontières de la Gallia Narbonensis ou Braccata et de la zone libre des Arvernes. Au soulèvement de Vercingétorix le but était d'empêcher les incursions des insurgés en territoire pacifié de la Narbonensis, puis après la défaite d'Alésia le but était d'occuper et de réprimer toute incursion ou rébellion et de poursuivre et anéantir tout rebelle. C'est ainsi que commença l'histoire d'Uxellodunum…
Les sources sont donc assez rares donc on peut se demander d'où nous est revenu le souvenir de la station oubliée d'Ad-Silanum ?
D'abord par l'histoire commune des deux peuples locaux Rutènes ou Ruthènes et Gabales, ensuite la conquête romaine qui créa cette étape, puis la découverte de la table de Peutinger qui inspira beaucoup de cartographes du XVIIe siècle puis les définitions comme celles d'Hofmann Johann Jacob (1635-1706 : Lexicon Universale), venant compléter et commenter les définitions du monde antique. Le géographe Strabon disait que des peuples de l'Aquitaine, les Rutènes et les Gabales sont voisins de la Narbonnaise, et citait la présence de mines d'argent chez les Rutènes et aussi chez les Gabales.Un travail collectif de mémoire venu du XIXe siècle
Au XIXe siècle après la chute du Second Empire, la république reprend ses droits, et les archives historiques et publiques deviennent consultables par tous... Puis durant la IIIe République un fac-similé de la table de Peutinger réapparait, attisant la curiosité d'une population libre de se pencher sur son histoire locale. Alors les historiens du Languedoc-Roussillon et de Midi-Pyrénées aidés par la mémoire locale et du peu de traces romaines présentes dans la région se penchent sur la localisation éventuelle du site d'Ad Silanum. Une chose est certaine le trajet Ad Silanum ou Adsilanum est inscrit sur la table de Peutinger et se trouve sur le chemin qui va d'Anderitum à Segodunum.
Le secteur du trajet Ad Silanum se trouve donc à cheval sur le territoire de deux peuples : Gabales et Rutènes. Alors cette route qui vient de Lyon Lugdunum pour rejoindre Bordeaux Burdigala via Toulouse Tolosa, par où passe-t-elle exactement ? Deux routes sont parfaitement connues de nos jours: la Via Podiensis chemin de Saint-Jacques de Compostelle qui rallie Le Puy à Saint-Jacques de Compostelle qui reprend en partie la voie romaine qui traverse l'Aubrac et qui rejoint Saint-Côme-d'Olt.
Ensuite la route carrossable actuelle qui rejoint Lyon, Le Puy, Langogne, Mende et file vers Rodez via Laissac.Voici quelques versions plausibles, disponibles à la BNF, et autres variantes de cette route que les cartographes du XVIIe siècle ont extrapolées à partir de la table de Peutinger.
Les deux ponts principaux cartographiés au XVIIe siècle aux débouchés de l'Aubrac sur le Lot, étaient : Saint-Laurent-d'Olt et Saint-Côme-d'Olt, signifiés sur les cartes du XVIIe siècle, indiquant sûrement les deux principales routes, ainsi qu'une troisième débouchant sur Espalion.- Espalion était connue pour alimenter le sud de la partie Arverne de ses céramiques sigillées à l'époque gallo-romaine.
Site officiel d'Adsilanum : Puech-Crémat-Bas - Voie Romaine d'Aubrac à Saint-Côme-d'Olt
Le nom Ad-Silanum est le nom de cette étape donc d'une mansio et les noms étaient choisis soit par la présence d'un obstacle ou un lieu remarquable, une frontière, un col, une ville proche ou une auberge...
- Des incertitudes divisent les historiens et les géographes : Ad Silanum est elle une cité ou un relais d'étape, certains placent Ad Silanum comme une cité aux rives du Lot, mais le trajet est soit trans Aubrac ou contourne l'Aubrac au sud-est ?
La réponse semble appartenir au fait que selon les anciens : une seule frontière naturelle départageait les territoires Gabale, Rutène et Arverne :la rivière Bès (à la place du Lot retenu dans la version des géographes du XVIIe...)
Le site reconnu officiellement est le Puech-Cremat-Bas sur l'Aubrac lozérien (qui contient la racine crémade : qui a subi un incendie).
Il faut savoir que durant la guerre des Gaules, il était stratégique de détruire les fourrageurs adverses ; on prenait ainsi de l'avance sur l'ennemi, et ce qui n'est pas non plus dénué de bon sens, car le nom : Silanum, dans une forme latine, peut venir de Silanus : signifiant un endroit près des sources ou des eaux vives, et même le nom Salhiens du lac près de Nasbinals viendrait de cette racine : Silanus. Mais Ad-Silanum peut avoir bien d'autres sens comme le lieu où habite un personnage nommé Silanus ou un homme avec une anomalie physique que l'on compare à un Silène ou bien plus probablement un lieu symbolisant le mythe du Silène par exemple des rochers en forme de cornes ou parallèles comme celles-ci.
Autre version étymologique : En retirant le suffixe Anum : il nous reste la racine adsil : assilio, (adsilio), assilire, assilŭi, assultum : - intr. et qqf. tr. - sauter contre (sur, auprès), s'élancer vers, assaillir, bondir. Ce qui corroborerait l'état de siège de la région sous César et la présence d'un fort ou d'un camp romain bien fortifié ayant résisté à bien des assauts… D'où la justification étymologique et toponymique de "Puech Crémat" latin podium (puech) crématus (crémat), qui expliquerait la désolation de ce site dont on peut distinguer à peine la trace au sol.
L'origine de l'appellation Ad-Silanum pourrait aussi être Sila, car la vallée du Lot sous l'Aubrac ressemble étrangement à une région d'Italie qui se trouve en Calabre nommée la Sila. Cette similitude a très bien pu frapper les Romains où même les quelques Ioniens venus dans cette région durant l'antiquité, ce qui pourrait donner un autre sens à la toponymie de la commune de Lassouts qui dans cette hypothèse ne serait le sens qu'on lui a donné jusqu'à présent mais viendrait de l'Assou (qui signifie eau et dont on retrouve une appellation commune dans le Tarn et l'Aveyron et le Sud de l'Italie) qui viendrait de sa position par rapport à la source du Dourdou par exemple.
Présence romaine
Près de Saint-Laurent d'Olt, en direction de Laissac, à Saint-Saturnin-de-Lenne on peut voir les restes des thermes d'une villa romaine.
La présence d'une pile de pont d'origine romaine à Sainte-Eulalie-d'Olt, pourrait signifier qu'à cet endroit se trouvait un passage antique de la zone d'Aubrac à la zone rutène, qui transitait par Laissac, où en ses alentours furent découverts des vestiges d'un camp gaulois : l'oppidum de Montmerlhe, avant d'atteindre Rodez-Segodunum.
Une mention antique, enfin une transmission orale disait que le territoire rutène se situait entre les rives du Tarn au Sud et les Rives du Lot au nord[2], ce qui ferait de l'Aubrac aveyronnais un territoire gabal régi par Andéritum sinon une marche ruténo-gabale permettant des trocs commerciaux entre Rutènes et Gabales via les vallées remontant vers le plateau.
Mais le principal doute vient du fait que toutes les voies d'accès menant au plateau étaient sous contrôle romain, car après Alésia les romains de la légion de Caninius Rebilus ont traqué les survivants d'Alésia qui ne s'étaient pas rendus (si la toponymie ne fait pas mentir la ville de Canilhac (frontière ruténo-gabale et le lieu-dit de la Roche Canillac (frontière arverno-gabale) viendrait du même rapport avec Caninius Rebilus (Canilhac : domaine de Caninius). Ce nom Caniac est aussi retrouvé en pays cadurque.Quelques noms de villages stratégiques ou à valeur toponymique de l'Aubrac :
- Pierrefiche, Lozère et Aveyron (toponymie : borne, accès au plateau)
- Saint-Laurent d'Olt, Aveyron (cartographié : pont Gué, voie d'accès à la vallée de la Colagne)
- Estables Aveyron (toponymie vient de stabulum) présence d'écuries…
- Saint Eulalie-d'Olt (Aveyron) pile de Pont Romain
- Saint-Côme-d'Olt (Aveyron) débouché de la voie romaine, pont-gué, voie d'accès au plateau
- Espalion-Flaujac (Aveyron) (toponymie : domaine de Flavius)
Le trajet de la voie romaine Trans-Aubrac passe au Puech Crémat-Bas (qui est identifié comme le site d'Ad-Silanum). Cette voie romaine qui menait au lac du Mont-Hélanus(avant de devenir cette étape redoutée de la Via Podiensis si empruntée au Moyen Âge). Certains vestiges sont encore devinables : un pont romain près de Marchastel, la fameuse voie romaine traverse la forêt d'Aubrac puis descend sur Saint-Côme-d'Olt en passant près des Infrus et occulte le débouché qui rejoint la vallée qui mène à Saint-Geniès-d'Olt, pour descendre sur Saint-Côme-d'Olt ; or selon les écrits d'Henri Pradel en 1909 : … enfin, des restes de constructions gauloises, que l'on peut voir encore tout près de la maison des Gardes, aux Rajals, signalent l'époque celtique…
Il est évident que cette zone située au niveau des Enfrux (côté ouest) et des Rajals (côté est), forme un carrefour desservant les deux plus grands débouchés stratégiques vers le Lot.- À l'époque gallo-romaine, chaque route de crête ou voie romaine était soumise à un impôt donc au débouché et au passage stratégique obligatoire s'y tenait une sorte de péage qui s'ajoutait à l'octroi.
Les peuples et la guerre des Gaules
« Vercingétorix, rassemble bientôt une armée, il en envoie une partie chez les Rutènes, sous les ordres de Luctérios, du pays des Cadurques, Cependant le Cadurque Luctérios, envoyé chez les Rutènes, les attire au parti des Arvernes, il va de là chez les Nitiobroges et les Gabales, qui lui donnent les uns et les autres des otages… »
— Jules César, De bello Galico, Livre VII, chap.VII
« À cette nouvelle, César crut devoir préférablement à tout partir pour cette Province. »
— Jules César, De bello Galico
« Il y arrive, rassure les peuples effrayés, établit des postes chez ceux des Rutènes, qui dépendent de la province… »
— Jules César, De bello Galico
- la détermination de César
« César se rendit chez les Helviens, quoique dans cette saison, la plus rigoureuse de l'année, la neige encombrât les chemins des Cévennes, montagnes qui séparent les Helviens des Arvernes. Cependant à force de travail, en faisant écarter par le soldat la neige épaisse de six pieds, César s'y fraie un chemin et parvient sur la frontière des Arvernes. »
— Jules César, De bello Galico
- Vercingétorix adopte la politique de la terre brûlée
« Vercingétorix exige des otages des autres nations … et annonce qu'il se contente de l'infanterie qu'il a déjà … et qu'avec une cavalerie nombreuse il lui sera très facile de couper les vivres aux Romains et de gêner leurs fourrageurs; que seulement les Gaulois se résignent à détruire leurs récoltes et à incendier leurs demeures, et ne voient dans ces pertes domestiques que le moyen de recouvrer à jamais leur indépendance et leur liberté. »
— Jules César, De bello Galico
« D'un autre côté, il envoie les Gabales et les plus proches cantons des Arvernes, ravager le territoire des Helviens, ainsi que les Rutènes et les Cadurques celui des Volques Arécomiques »
— Jules César, De bello Galico
- Participation à l'armée de secours à Alésia
un renfort de 30 000 Gabales et 12 000 Rutènes
- Armée d'occupation après la défaite d'Alésia
C. Caninius Rebilus est envoyé chez les Rutènes avec une légion. Ce même Caninius poursuit Drappès et Luctérios jusqu'à Uxellodunum… où C. Fabius arriva en renfort avec ses troupes, puis César arriva à Uxellodunum, où personne ne l'attendait…
- Frontière de la Narbonnaise en 120 après JC
Selon le fameux géographe Abraham Ortelius, la Province narbonnaise remontait au-delà du Lot[3] en 120 avant J.-C.
- Toponymie
Il est très possible que le nom de la commune de Canilhac vienne de Caninius.
Cartes anciennes
Voies Romaines et étapes
Une étape était constituée comme ceci : la mansio de départ où l'on venait de passer la nuit, était donc un camp romain situé près d'une ville gauloise. L'étape avait une distance de 30 à 36 km au milieu desquels s'intercalait une mutatio (tous les 12 km environ) pour se procurer des chevaux frais : ce n'était en fait qu'un simple bâtiment écurie/hangar accolé quelquefois d'une auberge.
Il y avait 3 statuts juridiques:
- La Via Publica (largeur de 6 à 12 m)
- la Via Militaria (largeur de 2,40 m au minimum)
- La Via Privata à l'orée des villas (2,40 m à 4 m)
Les voies publiques et militaires étaient bornées tous les Milliae Passuum par des bornes milliaires qui étaient des monolithes d'environ 2 à 4 m de hauteur, cylindriques ou non, et d'un diamètre ou d'une largeur de 50 à 80 cm. Elles étaient gravées à l'origine en indiquant la distance restant à parcourir et le nom de la destination.
Organisation militaire Romaine d'Après Végèce 383-450 après JC
- La taille minimum d'un légionnaire Romain variait entre 5 pieds et 10 pouces(1,76 m)et 6 pieds (1,80 m).
- Le poids de son paquetage et son équipement pesait environ 60 livres.
- Le pas militaire était réglé sur la vitesse de 20 millia-passum en 5 heures et poussé au maximum à 24 millia-passum dans ce même temps (on peut donc penser que la durée d'une étape était de 5 heures de marche maximum, et était d'une distance allant de 29,4 km à 36,8 km maximum).
Un camp était assis dans un lieu sûr avec sous la main une source intarissable et une eau de très haute qualité, du fourrage et du bois. Il sera placé à l'écart de hauteurs voisines, qui, occupées par l'ennemi, pourraient nuire, ni dans une gorge ou un défilé, ni non plus une plaine inondable.
De forme carrée, triangulaire, en demi-cercle ou oblongue, mais sa forme idéale étant quand sa longueur dépassait d'un tiers sa largeur. La porte initialement tournée vers l'orient, ou en vis-à-vis de la position de l'ennemi. Les camps d'hiver et d'été étaient entourés de tranchées de neuf, onze ou treize pieds de large (toujours un nombre impair)- Mesures romaines
- le pouce : 0,0185 m
- palme : 0,0736 m (4 doigts)
- pied : 0,2944 m (4 palmes)
- palmipes : 0,3680 m (20 doigts)
- la coudée : 0,4416 m (1 pied + 2 palmes)
- le grodus (pas simple = 2 pieds + 2 palmes) : 0,736 m
- passus (pas double = 5 pieds) : 1,472 m ou 1,480 m
- milia passuum (mille = 1000 pas) : 1 472 m ou 1 480 m
Études des différents trajets cartographiés au XVIIe
En prenant la distance connue entre deux sites Romains de la région Gabale : Lanuéjols et Javols reliés par une même route, on obtient 46 km soit 20,7 lieues Gauloises ou 31 Milia passuum.
On peut donc projeter quelques trajets éventuels possibles pour le tronçon Anderitum : on peut extrapoler un trajet par tranche qui corresponde avec la toponymie.
Trajet toponymique en se fondant sur le toponyme: Pierrefiche = borne
à 40 km à l'est de Javols se situe une ville au nom de Pierrefiche (48300) qui est aussi à 40 km de Mende qui est à son tour à 40 km de La Canourgue qui est aussi à 40 km de Laissac, on s'aperçoit de l'héritage antique de l'espacement de XVIII lieues gauloises soit 40 km entre les cités de cette région.
Javols - Les Salces ou Pierrefiche (48100) : 42 km
Les Salces (48100) - Pierrefiche (12130) : 40 km
Pierrefiche (12130) - Rodez : 40 km
(les distances citées sont celles des routes carrossables actuelles)
- Comparaison trajet Javols-Aubrac-Cruéjouls / trajet pédestre en Millia Passum
(Ce trajet qui traverse le plateau est une route non praticable par temps enneigé, ce qui justifie l'hypothèse de la présence d'une deuxième route citée précédemment, plus longue mais plus abritée.)
- Javols - Aubrac : 38 km ⇒Anderitum -Adsilanum XXII millia passum environ 33 km
- Aubrac - Cruéjouls : 36 km ⇒Longueur du tronçon Adsilanum : XXIII millia passum soit 34 km
- Cruéjouls - Rodez : 35 km ⇒Dernier tronçon pour Segodunum : XXIIII millia passum soit 35 km
On peut dire que ce trajet correspond au tronçon Andéritum-Adsilanum-Segodunum en milia passum 1 472 m décrit par la table de Peutinger[4].
On le retrouve aussi sur la carte Cassini région Mende disponible à la BNF[5]
Sur le trajet Trans Aubrac Anderitum-Adsilanum-Segodunum, quels sont les preuves romaines ?
- le site archéologique de Javols
- la voie romaine sur l'Aubrac Lozérien
- le pont romain près de Marchastel
- le site présumé d'Ad-Silanum au Puech-Crémat-Bas
- la voie romaine (côté Aveyron) du bois d'Aubrac via les Enfrux en direction du sud de Saint-Chély-d'Aubrac en direction du Lot...
mais au lieu de passer par Saint-Côme-d'Olt on devait rester sur la rive gauche de la Boralde et traverser le lot vers Lassouts pour rejoindre Cruéjouls où l'on retrouve une portion de voie romaine et un pont romain en direction de Gabriac répertoriés comme voie romaine Javols-Rodez.
Sources et bibliographie
- Table de Peutinger
- Mémoires de la Société nationale des antiquaires de France Par Société des antiquaires de France 1826
- Notice de l'ancienne Gaule tirée des monumens romains, dédiée a S. A. S ... Par Monsieur d' Anville, Jean Baptiste Bourguignon 1740
- Hofmann Johann Jacob (1635-1706 : Lexicon Universale)
- Le géographe Strabon
- Pline l'Ancien
- César de bello gallico ou la guerre des Gaules
- Marius Balmelle
- Végèce ou Végètius
- Bibliothèque Nationale département des Estampes
- toponymie du Sud Ouest
- Institut géographique National :IGN
Sources et références
- Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise, éditions errance 1994.
- voir carte Bnf
- (fr) détails
- (fr) [image] voir distances sur le fragment original
- (fr) carte Cassini Mende
Liens externes
Catégories :- Cité gallo-romaine
- Site archéologique de France
- Ville ou oppidum celtique
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