Duel (Combat)

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Duel (combat)

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duel au sabre (Mensur) entre étudiants allemands (années 1900)
peinture de Georg Mühlberg (1863-1925).
Duel au pistolet au XIXe siècle

Le duel est un combat, soumis à certaines règles, opposant deux adversaires, l’un ayant demandé à l’autre réparation par les armes d’une offense ou d’un tort. Les combattants sont assistés de témoins qui veillent aux respect des règles, ainsi qu’aux conventions particulières fixées avant le combat. Ce mot vient du latin duellum, forme ancienne de bellum, guerre, et non de duo, deux.

Le but et la signification de ce combat ont varié selon la période de l’histoire.
L’Antiquité n’a pas connu le duel, au sens où nous l’entendons aujourd’hui. À cette époque il ne s’agissait que de combats singuliers, qui étaient des épisodes de guerre. Aucune règle n’était à respecter, le seul objectif étant de vaincre quels que fussent les moyens et méthodes employés pour y parvenir.
La forme la plus ancienne connue du duel semble être le duel judiciaire pratiqué par les anciens Germains, signalé déjà par César. Cette forme a lentement évolué au cours des siècles, pour aboutir au duel d’honneur.

Sommaire

Duel judiciaire

Le duel judiciaire est une des trois formes du jugement de Dieu, qui sont :

  • l’ordalie, test de la culpabilité ou de l’innocence d’une seule personne sans combat
  • le serment
  • le duel judiciaire

Cette dernière forme était une sorte de procès dans lequel la décision finale était fixée par l’issue du combat entre les deux adversaires. Pour que le résultat fût à chaque fois indiscutable, il fallait qu’il existât des règles préalables, connues et acceptées de tous, et donc une autorité pour les énoncer, les légaliser et les faire appliquer.
Les premiers textes connus réglementant cette pratique datent du début du VIe siècle, époque des grandes invasions : ce sont la loi Gombette (501) et la loi des Francs Ripuaires, toutes deux d’origine germanique. Cette pratique se répandit lors du Haut Moyen Âge. Avant ces codes, seuls les peuples germaniques d'Europe du Nord disposaient de la compensation du Wergild afin d'éviter les tueries.

Les règles formalisant le combat concernent :

  • ses limites, définies à l’intérieur d’un champ clos ;
  • son officialisation, par la désignation comme président d’un personnage important, appelé le maréchal de camp, assisté de juges et de hérauts ;
  • son caractère solennel, par un cérémonial et des pratiques religieuses ;
  • son impartialité, par le contrôle des deux adversaires et la désignation équitable des places de chacun d’eux ;
  • les armes permises selon l’appartenance sociale des combattants ;
  • la désignation d’un combattant substitut dans le cas où une des personnes concernées ne pouvait se battre, (femme, enfant ou ecclésiastique).

Charlemagne reconnut toujours la preuve par combat, mais recommandait à ses lieutenants de faire tous leurs efforts pour résoudre autrement les conflits privés relevant de leur autorité, afin d’enrayer ces effusions de sang, ce qui montre que ce type de combat était alors une procédure trop fréquente.
Le concile de Valence en 855, Louis IX, puis Philippe le Bel fixèrent des limitations visant à en réduire l’usage. À partir de cette époque, le duel judiciaire ne fut plus admis lorsque la culpabilité ou l’innocence de l’accusé était manifeste, lorsque les voies ordinaires de la justice permettaient l’établissement de la vérité, ou encore en temps de guerre.

L’issue d’un tel combat, autorisé par la loi et consacré par des cérémonies religieuses, était regardée comme un jugement de Dieu. Le vainqueur était reconnu automatiquement innocent, et le vaincu, désigné indubitablement coupable par Dieu lui-même, devait donc subir la peine correspondant au crime commis. Seul le roi avait le droit de grâce.

Les règlements de Philippe le Bel de 1306 sur le duel judiciaire déclaraient à l’égard du vaincu :
« Si le vaincu est tué, son corps sera livré au maréchal du camp, jusqu’à ce que le roi ait déclaré s’il veut lui pardonner ou en faire justice, c’est-à-dire le faire attacher au gibet par les pieds.
Si le vaincu est vivant, il sera désarmé et dépouillé de ses vêtements, tout son harnois sera jeté çà et là par le champ, et il restera couché à terre jusqu’à ce que le roi ait pareillement déclaré s’il veut lui pardonner ou qu’il en soit fait justice.
Au surplus tous ses biens seront confisqués au profit du roi, après que le vainqueur aura été préalablement payé de ses frais et dommages. »

L’infaillibilité du jugement de Dieu ne fut entamée qu’en 1385, lors de l’affaire opposant Jean Carrouge et Jacques Legris, tous deux gentilshommes normands.
La femme de Jean Carrouge accusa Jacques Legris d’avoir profité de l’absence de son mari parti aux Croisades, pour s’introduire dans son château, de nuit et masqué, afin d’abuser d’elle. Legris déclara qu’il était innocent. La justice n’ayant aucun moyen de découvrir la vérité, un jugement de Dieu fut ordonné. Legris fut vaincu et on l’acheva en le pendant au gibet. Quelque temps après un malfaiteur avoua, entre autres crimes, avoir abusé de la femme de Carrouge. Legris était donc bien innocent.

Dès lors, il ne fut plus question de jugement de Dieu, mais de duel judiciaire. Cette pratique se poursuivit jusqu’à l’affaire opposant Jarnac et La Châteigneraie , qui fut le dernier duel judiciaire autorisé par un roi de France.

Duel d’honneur

Crime passionnel

Le triangle amoureux vu par Ingres : "ils s'aiment, il est offensé." scène de la Divine Comédie de Dante.

Le roi ne donnant plus l’autorisation de se battre, on s’en passa. On se battait pour n’importe quelle raison, et au besoin on inventait un prétexte quand l’envie venait de vouloir simplement se mesurer les armes à la main. Le duel devint une mode, et sous l’influence des maîtres italiens, l’épée en devint l’arme quasi-exclusive avec la dague et, parfois, la lance.
Le résultat fut qu’en quelques décennies les gentilshommes tués en duel se comptèrent par milliers. Devant cette hécatombe, les souverains successifs reconnurent la nécessité d’interdire cette pratique. Mais issus eux-mêmes de cette aristocratie batailleuse et sourcilleuse, ils montrèrent toujours beaucoup d’indulgence envers les duellistes.
Les édits d’interdiction se multiplièrent (en 1599, 1602, 1613, 1617, 1623, etc.), mais pas autant que les lettres de grâce, annulant leurs effets : Henri IV en signa 7 000 en 19 ans.

Puis vint Richelieu. Il fit paraître un nouvel édit le 2 juin 1626, prévoyant la peine de mort pour les contrevenants. Il fit appliquer ce texte avec la dernière rigueur. La sanction la plus spectaculaire fut, le 21 juin 1627, la décapitation de François de Montmorency-Bouteville, qui s’était pris la fantaisie de se battre en plein jour, place Royale, avec François d'Harcourt, marquis de Beuvron, qui eut, lui, la chance de pouvoir s’enfuir à temps en Angleterre.

Les duels se firent plus discrets, mais la mode se poursuivit et gagna les ecclésiastiques (le cardinal de Retz en était friand) et les femmes. Il n’était pas rare que les seconds combattissent également entre eux. En 1652, lors du duel des ducs de Nemours et de Beaufort, il y eut 10 personnes qui se battirent ensemble dans le marché aux chevaux où eut lieu la rencontre. Il y eut trois morts et plusieurs blessés.

Entre juin 1643 et octobre 1711, Louis XIV promulgua pas moins de 11 édits interdisant le duel et renforçant les peines, sans pour autant faire cesser cette pratique. Louis XVI, poursuivant cette politique, prononça quelques exils. À la Révolution, l’Assemblée législative rendit un décret d’amnistie générale concernant le duel. Un projet de loi contre le duel n’eut pas de suite. On en revint à un régime de tolérance, avec pour conséquence une recrudescence des duels d’honneur.

Le Code pénal de 1810 n’ayant pas traité explicitement le duel, ce fut la jurisprudence de la Cour de Cassation, établie avec beaucoup d’hésitations, qui fut employée ; à savoir, la peine d’assassinat en cas de mort d’homme, de tentative d’assassinat lorsque le duel avait été convenu à mort, et, dans le reste des cas de coups et blessures volontaires. Mais dans la réalité bien peu de duellistes furent poursuivis, et encore moins condamnés, tandis qu’une véritable rage du duel s’emparait du XIXe siècle.

Le duel entra dans les mœurs et devint une sorte d’institution propre à la bourgeoisie et à l’aristocratie, bénéficiant de la bienveillance des autorités. Lors du duel opposant Clemenceau et Déroulède, les gendarmes étaient bien présents, mais non pour arrêter les participants : ils s’employèrent à contenir la foule trop nombreuse des curieux.

La plupart des grands noms de ce siècle, des personnes qui montrèrent par ailleurs leur intelligence et leur réflexion, se retrouvèrent sur le terrain à risquer leurs vies parfois pour des prétextes futiles. L’effet de mode et la pression sociale expliquent ces conduites. Le « monsieur qui ne se bat pas » devenait un poltron infréquentable, et cette peur de l’exclusion de la société, de la ruine d’une réputation fit, pour une bonne part, accepter un combat où l’on n’était pourtant pas sûr de briller. La phrase de Pierre Nicole dans ses « Essais de morale » restait d’actualité : « Combien de gens s'allaient battre en duel, en déplorant et en condamnant cette misérable coutume et se blâmant eux-mêmes de la suivre ! »

Victor Hugo, dans une lettre à sa fiancée Adèle Fouché, résume bien le dilemme posé par le duel aux hommes de ce temps : « Quand un homme raisonnable a eu le malheur de se battre en duel, il doit s’en cacher ou s’en accuser comme d’une mauvaise action ou d’une extravagance..... Le duel ne cesse d’être méprisable qu’en devenant odieux. Voilà toute ma pensée. Je dois cependant pour la compléter ajouter qu’il est des cas où le plus honnête homme ne peut se dispenser d’avoir recours à ce sot préjugé. » Il venait lui-même de se battre quelques mois plus tôt.

Entre 1826 et 1834, il y eut plus de 200 morts par duel.

Au XXe siècle, cette mode perdit de sa force, et tomba en désuétude après la Seconde Guerre mondiale. Les derniers duels connus sont ceux de Serge Lifar et du Marquis de Cuevas en 1958, et de Gaston Defferre et René Ribière en 1967 après une altercation entre les deux hommes dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale.

Quelques duels et duellistes célèbres

  • Victor Hugo et un garde du corps à Versailles en juillet 1821. V. Hugo fut légèrement blessé au bras. La raison invoquée de ce duel était que ce garde du corps avait arraché des mains d’Hugo la feuille qu’il tenait. Il est possible que ce ne fut pas le véritable motif.
  • Lamartine et colonel italien Gabriel Pepe qui le blessa au bras (duel à l’épée dans les jardins de l’ambassade vers 1826). Le colonel avait provoqué Lamartine, parce qu’il avait jugé injurieux à l’égard de l’Italie quelques vers de celui-ci, où il comparait les Italiens à de la poussière humaine :
    • --Je vais chercher ailleurs (pardonne, ombre romaine !)
    • --Des hommes, et non pas de la poussière humaine.
  • Sainte-Beuve et Paul-François Dubois, l’un des propriétaires du journal Le Globe, le 20 septembre 1830, duel au pistolet, quatre balles échangées sans résultat. Comme il pleuvait à verse, Sainte-Beuve conserva son parapluie à la main, disant qu’il voulait bien être tué mais pas mouillé.
  • Évariste Galois et un officier, un certain d'Herbinville, pour « l’honneur d’une femme », le 29 mai 1832. Galois, touché à l’abdomen, mourut le lendemain.
  • Alexandre Dumas et Frédéric Gaillardet, un de ses collaborateurs, duel au pistolet en 1832, sans conséquence, au sujet de la paternité de la pièce de théâtre La Tour de Nesle.
  • Armand Carrel et Émile de Girardin le 22 juillet 1836. Au bois de Vincennes, au pistolet à 40 pas, les adversaires pouvant avancer chacun de dix. Carrel, brillant journaliste, déjà blessé dans deux duels précédents, meurt 48 heures plus tard de la blessure au ventre reçue lors de ce duel. Émile de Girardin, qui avait déjà eu trois duels et qui fut blessé à la cuisse lors de celui-ci, prit la résolution de ne plus jamais se battre.
  • Mikhaïl Lermontov et Nicolaï Martynov le 27 juillet 1841. Pour ce duel, Lermontov sélectionna exprès le bord d’un précipice, afin que si un quelconque combattant était blessé jusqu’à perdre pied, son destin soit scellé. Ce fut le cas de Lermontov.
  • Henri Rochefort (« l’homme aux 20 duels et 30 procès »)
    • M. Koechlin en 1880
    • un officier espagnol au sujet d’un article sur la Reine d’Espagne
    • Prince Achille Murat (Rochefort blessé)
    • Paul de Cassagnac (Rochefort blessé)
    • Après ces deux derniers duels malheureux, Rochefort annonça qu’il n’accepterait plus aucun défi.
  • Paul de Cassagnac (22 duels entre 1880 et 1889 sans jamais être blessé)
    • Aurélien Scholl, rédacteur du Nain jaune, grièvement blessé
    • Henri Rochefort (blessé)
    • Henri Lissagaray, son cousin, rédacteur de l'Avenir, au Vésinet en septembre 1868. Au cours de ce combat, Lissagaray reçut plusieurs blessures, dont la dernière en pleine poitrine, qui le mit au lit pour un mois. À peine rétabli, il renvoya ses témoins chez Cassagnac pour reprendre l'affaire. Celui-ci répondit: " Non monsieur ! j'ai pu consentir à être votre adversaire, il me répugne de devenir votre charcutier...". Pour ce duel, Cassagnac fut condamné à 6 jours de prison et les 4 témoins à 50 F d’amende.
    • Gustave Flourens (juillet 1869), épée, blessé au ventre
  • Robert Caze et Charles Vignier, qui avait publié contre lui un article à la suite d'une dispute entre Caze et Félicien Champsaur. Caze succomba à la suite du duel.
  • Le Marquis de Morès et capitaine Armand Mayer, en 1892 à cause d'articles antisémites visant les officiers juifs dans la Libre Parole. Mayer a le poumon perforé et meurt en un instant. Accusé, Morès sera acquitté.
  • Marcel Proust et Jean Lorrain, en février 1897. Jean Lorrain, dans sa critique littéraire du Journal du livre de Proust ‘Les Plaisirs et les Jours’, avait sous-entendu une liaison sentimentale entre celui-ci et Lucien Daudet. Proust provoqua Lorrain en duel, et la rencontre eut lieu dans le bois de Meudon. Les témoins de Proust furent le peintre Jean Béraud et le maître d’armes Gustave de Borda. Deux balles furent échangées sans blessure. Toute sa vie, Proust fut fier de ce fait d’armes.

Duels dans la fiction

  • Georges Duroy dans Bel-Ami est prié par M. Walter, rédacteur en chef de La Vie Française, un quotidien pour lequeul il travaille, de combattre en duel un opposant au journal. Au final personne n'est touché.
  • La nouvelle de Maupassant "Un Lâche" paru dans les Contes du jour et de la nuit (1885), raconte la nuit d'angoisse précédant le duel d'un vicomte, qui est terrorisé a l'idée de mourir.
  • Les personnages de Don Rodrigue et Don Gomez dans Le Cid (1637) de Pierre Corneille. Rodrigue tue Gomez, le père de son amante, ce qui constitue la source du conflit central de la pièce.
  • Le Capitaine Fracasse (Baron de Sigognac) <> Duc de Vallombreuse, pour l'amour/honneur d'Isabelle, comédienne. Deux duels, Vallombreuse blessé les deux fois, la seconde gravement.
  • Nicolaï Vsévolodovitch Stavroguine <> Artémi Pétrovitch Gaganov dans Les Possédés de Fedor Dostoïevski. Duel au pistolet. Stavroguine manque volontairement son adversaire, qui échoue lui involontairement.
  • Duel 1971, un telefilm de Steven Spielberg, d'après une nouvelle de Richard Matheson.
  • Barry Lyndon, film de Stanley Kubrick (1975), le héros connait deux duels significatifs au début et la fin du film, qui marquent respectivement pour le premier le commencement du destin extraordinaire du personnage, et pour le second sa chute.
  • Effi Briest, Theodor Fontane (1895) : duel au pistolet entre le baron von Innstetten et le commandant Crampas, ce dernier ayant entretenu une liaison avec l'héroïne éponyme, épouse d'Innstetten. Le baron blesse mortellement l'homme qui l'a offensé.

Voir aussi

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Notes et références


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