- Bertrand des Baux
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Bertrand des Baux, né vers 1137, très certainement au château des Baux et mort vers 1181-1183, est un prince d’Orange, le premier de la maison des Baux,
Sa date de mort peut être un le jour de Pâques 1181 assassiné[2], ou tué avec Raimond-Bérenger III de Provence dans une embuscade en allant porter la guerre vers Montpellier, ou en 1183 selon Arthur Engel[3]. Son tombeau est à l’abbaye de Silvacane.
Sommaire
Titres
Thiburge II d'Orange, mariée à Bertrand des Baux, dont sont issus les Princes d'Orange de la seconde race, appelés des Baux, qui succéda à la première maison des comtes d’Orange-Nice[4]. Bertrand des Baux se dit prince d'Orange et seigneur des Baux en 1173. En 1175, il récupère la baronnie des Baux, fief de la famille et reprend ainsi le flambeau de cette famille que les guerres baussenques ont affaibli. En 1177, ce seigneur obtient entre autres privilèges de l'empereur : celui de marcher, enseignes déployées, des Alpes au Rhône et de l'Isère à la Méditerranée, et celui de battre monnaie d'or, d'argent ou d'étain. Le 30 juillet 1178, l'empereur romain germanique, Frédéric Ier Barberousse est couronné roi d'Arles par l'archevêque d'Arles, Raimon de Bollène. Bertrand des Baux reçoit de l'empereur le droit de se qualifier prince d'Orange, d'en prendre les armes, d'user de ses prérogatives et de porter la couronne et tous les insignes de la souveraineté, dont le droit presque exceptionnel de porter une couronne fermée[5]. Bertrand des Baux est immédiatement sous la couronne de Frédéric Barberousse nullo mediante et dispose de droits régaliens[6]. Selon certains auteurs, Bertrand, mari de Thiburge II d'Orange, meurt en 1181, sous la robe monacale[7]. Selon d’autres, il reste vassal des comtes de Toulouse et sa nouvelle puissance entraîne son assassinat, sur ordre de Raymond V de Toulouse avec lequel il s’était brouillé le jour de Pâques 1181[8].
Biographie
Sa famille
Les ancêtres des seigneurs des Baux[9]
Leibulf de Provence (vers 750-835) x Odda ? | | → Leibulf des Baux (milieu du IXe siècle)[10]. x ?? | | → Pons d’Arles (fin du IXe siècle) x Blismodis de Mâcon | | → Humbert, évêque de Vaison-la-Romaine (890-933) | | → Ison d’Arles (vers 890-942), x Princesse ? de Bénévent | | → Lambert Ursus seigneurs de Reillanne | x Galburge de Bénévent | | | | → Seigneurs de Reillanne | | → Pons de Marseille (vers 910-979), dit major x (1) Judith de Bretagne, fille d'Alain II de Bretagne | | → Honoratus de Marseille(vers 930-978), évêque de Marseille | | → Guillaume de Marseille (vers 935-1004) | x Bellilde, fille d’Arlulf de Marseille | | | | → Vicomtes de Marseille | x (2) Belletrude | | → (hyp) Pons de Fos (vers 945-1025) x Profecta de Marignane | | → Seigneurs de Fos | | → (hyp) Hugues des Baux (981-1060) x Inauris de Cavaillon (?) | | → Guillaume Hugues de Baux (1060-1095) x Vierne | | → Raymond-Raimbaud des Baux (1095-1150) x Étiennette de Gévaudan | | → Bertrand des Baux x Thiburge II d'Orange
Raymond-Raimbaud des Baux, père de Bertrand, suit avec son père, Raymond de Saint-Gilles à la croisade. Il figure comme témoin au testament de Raymond de Saint-Gilles fait au Mont Pèlerin le 31 janvier 1105.
Raymond-Raimbaud des Baux est un riche seigneur, avec 79 villes, bourgs, châteaux, places fortes, les terres baussenques. Raymond-Raimbaud des Baux, se marie avec la sœur de Douce de Gévaudan, Étiennette avant 1120, car on les voit figurer tous les deux ainsi que leur fils aîné Hugues comme témoins dans une charte de donation du prieuré de Saint Gilles à l'hôpital de Saint Jean de Jérusalem, en mai 1121. Raymond-Raimbaud est regardé comme le fondateur de l'abbaye de Silvacane. Bertrand des Baux construit, lui, de son temps l'église abbatiale et y est enterré.
Étiennette est la fille de Gilbert Ier de Gévaudan, assassiné en 1111, vicomte de Millau et de Lodève, puis comte de Gévaudan et, par mariage, comte de Provence. Sa mère, Gerberge de Provence, est effectivement comtesse de Provence de 1093 à 1111. Raimond-Bérenger III de Barcelone est le beau frère de son père et comte de Provence. Douce de Gévaudan et son mari lui font donation en 1116 de la seigneurie de Berre. Mais quand sa belle-sœur meurt les princes des Baux émettent des prétentions sur le comté de Provence, débutant ainsi les Guerres Baussenques.
Un prince du Saint-Empire romain germanique
Pendants les guerres Baussenques, un évènement fort symbolise la réconciliation entre les maisons de Barcelone et des Baux. Le jeune Alphonse II d'Aragon ne doit son salut qu'à Bertrand des Baux qui le prenant en croupe sur son cheval lui permet de s'enfuir du château d'Albaron aux mains des ennemis et de regagner la ville d'Arles[11]. De la part d'un ami traditionnel de la maison de Toulouse, c'était un acte bien chevaleresque. Il assure la réconciliation des Baux avec les princes de la maison d'Aragon.
En 1173, Bertrand des Baux, un cadet, se marie avec Thiburge II d'Orange. Guillaume et Thiburge II d'Orange se partagent le comté et en donnent, à la fin du XIIe siècle, la plus grande partie aux hospitaliers de Jérusalem. Raimbaut d'Orange, bon chevalier et très estimé dans la poésie provençale, selon Nostradamus, et à qui l'on attribue un livre intitulé La Maestria d'amor[8], décédé sans enfants, fait hériter sa femme[12]. Bertrand des Baux est celui dont sont issus les princes d'Orange de la seconde race, appelés des Baux, qui succéda à la première maison des comtes d’Orange-Nice[4]. Bertrand fait bâtir un château fort militaire à demi incrusté dans la roche ocre, doté de remparts défensifs gigantesques, de douves profondes et d'un pont-levis, de créneaux, d'un puits de 34 mètres, d'une chapelle Saint-Turquois, sur une colline qui domine le village de Suze.
Tibors de Sarenom ou d'Oran et son mari Bertrand des Baux continuent les glorieuses traditions de Raimbaut d'Orange, et le château de Courthézon ne cesse d'être le rendez-vous des enfants d'Apollon désireux de voir et de recevoir.
En 1175, Bertrand des Baux entreprend la construction de l’église abbatiale où il sera enterré. L’église de l’abbaye de Silvacane, qui est construite de 1175 à 1230, présente à l'intérieur de hauts vaisseaux couverts de voûtes en berceau brisé, qui reposent sur de puissants supports cruciformes. Il faut remarquer également les motifs d'une très grande précision qui composent ses chapiteaux.
Son frère, Hugues Ier des Baux ne voulant pas être vassal du roi d'Aragon préfère s'exiler en Sardaigne vers 1177, où il meurt en 1179. Bertrand s'installe au château des Baux et est baron des Baux. Selon d’autres sources, c’est dès 1175, qu’il récupère la baronnie des Baux, fief de la famille et reprend ainsi le flambeau de cette famille que les guerres baussenques ont affaibli.
Le même Bertrand, qui fait au mois de décembre de l'an 1178 à Courthézon dans la principauté d'Orange, y fait alors une donation, du consentement de Thiburge sa femme et ses fils, à l'abbaye de Franquevaux dans le diocèse de Nîmes[12].
Le 30 juillet 1178, l'empereur romain germanique, Frédéric Ier Barberousse est couronné roi d'Arles par l'archevêque d'Arles. Bertrand des Baux reçoit de l'empereur le droit de se qualifier prince d'Orange, d'en prendre les armes, d'user de ses prérogatives et de porter la couronne et tous les insignes de la souveraineté, dont le droit de porter une couronne fermée[13]. Bertrand des Baux est immédiatement sous la couronne de Frédéric Barberousse nullo mediante et dispose de droits régaliens[6]. Il approuve le testament d'Hugues Ier des Baux en faveur de Bertrand, ainsi que la cession de Raimbaut d'Orange. Bertrand des Baux est-il pour cela devenu un prince du Saint-Empire romain germanique pour tous les autres princes ?
Le droit de porter une couronne fermée est presque exceptionnel. François Ier l'adopte pour se distinguer des princes non souverains, des ducs et des comtes, qui ont aussi le droit de porter la couronne, et qui la font graver sur leurs monnaies.
Si Bertrand des Baux Ier, assiste en 1178 an couronnement de l'empereur Frédéric Ier Barberousse, qui lui accorde le titre de prince d'Orange, il n'en demeure pas moins, lui et ses descendants, plus ou moins, le vassal des comtes de Toulouse, en leur qualité de marquis de Provence[14] avec lequel il s'était brouillé certain à cause de l'hommage à lui rendre[8].
Selon certains auteurs, Bertrand, mari de Thiburge II d'Orange, meurt en 1181, sous la robe monacale[7]. Selon d’autres, il reste vassal des comtes de Toulouse et sa nouvelle puissance entraîne son assassinat, sur ordre de Raymond V de Toulouse avec lequel il s’était brouillé le jour de Pâques 1181[8].
Bertrand est enseveli, en habits monastiques, dans l'abbaye de Silvacane. Son tombeau est dans cette abbaye de Silvacane, qu'il a achevée, comme celles de Saint-Victor, Frigolet et Montmajour, et richement dotée.
Il existe un rouleau mortuaire de Bertrand de Baux, datant de 1181[15]. Il est revêtu des commémoratifs de deux cent vingt-neuf établissements religieux[16].
Le privilège de battre monnaie
On connaît des deniers anonymes de cette principauté avec les légendes Princeps et Principes, qui portent l'L barré, exactement copié du type de Lyon. M. Cartier les regarde comme les premiers essais de monnayage d'Orange, et dans ce cas ils peuvent être attribués à Bertrand de Baux comme à Guillaume IV, son successeur, sous lesquels la principauté est divisée[17].
Elles offrent le nom d'un empereur Frédéric. Pour le style et le travail, ils sont identiques aux pièces provençales fabriquées à la fin du XIIe siècle et aux deniers que les comtes de Toulouse, du nom de Raimond, font frapper au type du soleil et de la lune, pièces où ils inscrivent leur titre de marquis de Provence, et qui très probablement sont sorties des ateliers du Pont-de-Sorgues ou d'autres villes du marquisat[17].
Frédéric Ier, en octroyant à de petits princes le droit de frapper monnaie, doit leur imposer certaines réserves, témoignant de leur dépendance de l'empire et de leur infériorité vis-à-vis des grands États, au milieu desquels ils sont quelquefois enclavés. Le nom de l'empereur paraît d'abord sur les monnaies accompagné de la lettre initiale du nom du prince plus ou moins dissimulée, jusqu'à ce qu'une plus grande indépendance ait amené les seigneurs d'Orange à faire paraître leurs noms en entier et plus tard encore à graver leurs tètes, imitant toujours dans leur forme les monnaies ayant le plus de cours[17].
Mariage et descendance
Bertrand et Thiburge II d'Orange ont plusieurs enfants :
- Hughes IV des Baux (1173-1240) l'aîné, poursuit la branche aînée des Baux. Il est consul d'Arles et vicomte de Marseille, et garde la seigneurie des Baux. Son fils Barral Ier des Baux accompagne Charles d'Anjou en Italie, et y devient par son fils Raymond (comte d'Avellin) la souche de l'illustre lignée des comtes d'Avellino.
- Bertrand II des Baux devient le chef de la branche de Berre (Meyrargues, Marignane et Puyricard).
- Tiburge des Baux.
- Guillaume Ier des Baux, prince d'Orange, devient le chef de la Maison d'Orange (en 1193 apparaît le cor de Guillaume des Baux, seigneur d'Orange), dont nous retrouverons plusieurs descendants en Italie, mêlés avec leurs cousins, aux affaires du royaume de Naples. Il est le père de Guillaume II des Baux (en)
La première maison des comtes d’Orange-Nice, ancêtres de sa femme en plus des Montpellier :
Pons de Mevouillon x Blismodis | | → Humbert évêque de Vaison, jusqu’en 1005 | | → Garnier, évêque d’Avignon (976-991) | | → Ison | | → Pons II de Mevouillon (ca 920-986) x Richilde, originaire de l’Uzège | | → Féraud de Nice évêque de Gap | | → Pierre de Mirabel évêque de Vaison | | → Pons III de Mevouillon | | ... → Descendance Mevouillon... | | → Arnoul de Theys | | ... → Descendance Theys... | | → Gérard | | → Rambaud | | → Raoul | | → Laugier de Nice (ca 1050-1032) x Odile de Provence (976-1032), fille de Guillaume Ier de Provence | | → Rostan de Gréolières | | ... → Descendance Gréolières... | | → Pierre de Nice, évêque de Sisteron (1043-1059) | | → Jauccara de Nice | x Amic de Vence-Avignon | | → Gerberge de Nice | x Bérenger d’Avignon. | | → Rambaud de Nice (1006-1073) x 1032 Accelena d’Apt | | → Laugier d’Apt x Amancia de Lacoste-Castellane | | → Odila de Nice x Boniface de Reillanne | | → Gisla de Nice x Rostang d'Agoult | | → Laugier d'Agout, évêque d'Apt, croisé | | → Pierre II de Nice évêque de Sisteron, puis évêque de Vaison | | → Rostan de Fréjus x Accelena de Marignane | | → Rambaud de Nice, seigneur de Gréolières (+ jeune) | x Bélieldis de Marseille | | → Amic | | → Guillaume | x avant 1045 Azalaïs de Reillanne, veuve de Guilhem d'Agoult | | → Bertrand-Rambaud d’Orange x 1068 Adélaïde de Cavenez, veuve de Guillaume V Bertrand de Provence | | → Léger ou Laugerus, évêque d’Avignon(1124 ou 1126-1142) | | → Jausserand Laugier, seigneur de Gréolières | x 1064 Gerberge, fille de Foulques Bertrand de Provence | | → Pierre | | → Rambaud II d'Orange | | → Thiburge d'Orange x 1104 Giraud Adhémar de Monteil | x 1129 Guillaume d'Aumelas | | → Raimbaut d'Orange | | → Thiburge II d'Orange | x 1171 Bertrand des Baux | | → Hughes IV | | → Bertrand II | | → Thiburge | | → Guillaume Ier des Baux x Ermengarde de Mévouillon | | → Guillaume II des Baux (en)
Voir aussi
Articles connexes
- Première maison des comtes d’Orange-Nice
- Pons II de Mevouillon
- Féraud de Nice
- Laugier de Nice
- Odile de Provence
- Rambaud de Nice
- Pierre II de Nice
- Bertrand-Rambaud d’Orange
- Rambaud II d'Orange
- Thiburge d'Orange
- Guilhem d'Aumelas
- Raimbaut d'Orange
- Pierre de Mirabel
Liens externes
Sources
Bibliographie
- L.Barthélemy, Inventaire du château des Baux, Revue des sociétés savantes, 8ème série, T. VI, 1877
- L. Barthélemy, Inventaire chronologique et analytique des chartes de la maison des Baux, Marseille, 1882
- L. Paulet, Les Baux et Castillon : Histoire des communes des Baux, du Paradou, de Maussane et de Mouriès, Saint-Rémy de Provence, 1902
- P. Destandau, Documents inédits sur la ville des Baux, T. III, Mémoires de l’Académie du Vaucluse, 1903
- G. Noblemaire, Histoire de la Maison des Baux, Paris, 1913
- Fernand Benoit, Les Baux, Paris, 1928
- Odile Maufras, Le castrum des Baux de Provence : histoire d’un site fortifié médiéval, Provence Historique, 40, fasc. 159, 1990
Notes
- Revue archéologique, Publié par Ernest Leroux, 1848, p.684 et 689.
- Maur-François Dantine, Charles Clémencet, Saint-Allais (Nicolas Viton), Ursin Durant, François Clément, Maurists, collaborateur Valade, L'art de vérifier les dates des faits historiques, des chartes, des chroniques et autres anciens monuments, depuis la naissance de Notre-Seigneur, Edition : 4, Publié par rue de la Vrillière, no. 10, près la banque ; Valade, imprimeur du roi, rue Coquillière, 1818, t.10, p.436.
- Arthur Engel, Traité de numismatique du Moyen Âge, Adamant Media Corporation, 2004.
- Pierre Massuet, La science des personnes de cour, d'épée et de robe, Z. Chatelain, 1752, vol. 9, p. 59 ; Francois Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Dictionnaire de la noblesse, Badier, La veuve Duchesne, 1776, v. 11, p. 90 ; et Louis Moréri tome VIII, p.85 et Encyclopédie méthodique- ou par ordre de matières: par une société de gens de lettres, de... , Encyclopédie méthodique, Plomteux, 1832, p.469 ou bien encore [010] Les origines de la famille Mévouillon. Aristide Guilbert, Aristide Matthieu Guilbert, Histoire des villes de France, Paris, Furne, 1845, v. 4 p. 102 ; De Chevigni, Henri-Philippe de Limiers,
- Encyclopédie méthodique: ou par ordre de matières: par une société de gens de lettres, de savans et d'artistes ..., Publié par Panckouke-Agasse, 1804, t.6, p.470.
- Elisabeth Leemans, La principauté d’Orange de 1470 à 1580 : une société en mutation, Uitgeverij Verloren, 1986, p. 21.
- Ministère de l’Éducation nationale (France), Comité des travaux historiques et scientifiques, Revue des sociétés savantes des départements no 1-2, Imprimerie nationale, 1875, ser. 6, 1875, p. 438.
- Ferdinand Hoefer, Nouvelle biographie universelle générale, Paris, éditeur Firmin Didot, 1866, p. 727
- vicomtes de Marseille..., de Fernand Cortez, Les grands officiers royaux de Provence au moyen-âge listes chronologiques..., de Papon, de Louis Moréri, du marquis de Forbin, Monographie de la terre et du château de Saint-Marcel, près Marseille : du Xe au XIXe siècle..., du président J. Berge, Origines rectifiées des maisons féodales Comtes de Provence, Princes d'Orange ..., de Poly, La Provence et la société féodale (879-1166), Paris, 1976, Saillot, Le Sang de Charlemagne... Sources également sur les vicomtes de Marseille : Édouard Baratier, Ernest Hildesheimer et Georges Duby, Atlas historique... et le tableau de Henry de Gérin-Ricard, Actes concernant les vicomtes de Marseille et leurs descendants... Phantoms of Remembrance : memory and oblivion at the end of the first millennium / Patrick Geary J, p.76 et Olivier d’Hauthuille, Héraldique et généalogie 89.I.160, généalogie tirée des ouvrages de Georges de Manteyer, La Provence du premier au douzième siècle, études d'histoire et de géographie..., de Juigné de Lassigny, Généalogie des
- The first Count of Les Baux, whose name alone we know, was Leibulf, whose son Pons, or Poncius, owned large lands in Argence Old Provence - Page 127, de Theodore Andrea Cook - 1905
- Histoire d'Arles à l'époque médiévale. Article WP sur
- Claude de Vic, Joseph Vaissete, Alexandre du Mège, Histoire générale de Languedoc, J.B. Paya, 1841, v. 4, p. 272.
- Encyclopédie méthodique: ou par ordre de matières: par une société de gens de lettres, de savants et d'artistes ..., Publié par Panckouke-Agasse, 1804, t.6, p.470.
- Christian Settipani, La Noblesse du Midi Carolingien, Oxford, Prosopographica et genealogica, 2004, 388 p. (ISBN 1-900934-04-3), p. 28-35. Selon la généalogie traditionnelle des comtes de Toulouse faite par les Bénédictins dans l’Histoire Générale du Languedoc, il serait Raymond V, mais des études critiques ont établi que deux comtes du prénom de Raymond avaient été omis. Il serait donc Raymond VII : voir
- Bibliothèque de l'École des chartes, Par Ecole nationale des chartes (France). Société de l'École des chartes, Publié par Librairie Droz, 1867, v.28 1867 series 6 v.3, p.395.
- Annuaire-bulletin de la Société de l'histoire de France, Par Société de l'histoire de France, Société de l'histoire de France, Publié par Librairie Renouard, 1866, v. 137 (1866), p.88.
- Société française de numismatique, Revue numismatique, Société française de numismatique, 1861, p. 310 et suivantes
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