Pierre de Mirabel

Pierre de Mirabel
Page d'aide sur l'homonymie Pour les autres membres de la famille, voir : Première maison des comtes d’Orange-Nice.
Pierre de Mirabel fait construire le cloître de la cathédrale Notre-Dame-de-Nazareth de Vaison.

Pierre de Mirabel est né vers 975 et mort en 1056[1].

Pierre dit de Mirabel signe l'acte de la réforme de Saint Ruf. Il n'est pas un simple évêque d'un diocèse jadis très pauvre, mais le frère de Laugier de Nice, marié à Odile de Provence, fille de Guillaume Ier de Provence et peut-être d’Arsinde de Comminges[2]. Son frère se fait moine à la fin de sa vie. Un autre de ses sept frères, Féraud de Nice est évêque de Gap de (1000-1044)[3]. Lui est abbé de d’Orange, évêque de Vaison et un seigneur temporel, malgré ses nombreuses donations. A la fin de sa vie, en 1044 avec Geoffroi II de Provence et Guillaume Bertrand de Provence, ils divisent en deux la ville de Vaison[1],[4].

Sommaire

Biographie

Sa famille

Pierre est un membre de la première maison des comtes d’Orange-Nice, comme ses frères Laugier de Nice, Féraud de Nice, tous les deux évêques et Pons III de Mevouillon, tige des Mevouillon.

Son père, Pons II de Mevouillon, précariste de l’église d’Arles à Nyons, se voit confirmer la villa Jocondis (Mornas) dont le terminium avait été concédé en précaire à ses parents, par l’archevêque Manassès d'Arles, en 954. On peut donc le considérer adulte à cette époque et il vit au moins jusqu’en 983[5]. Il reçoit de l’archevêque d’Arles, Ithier, la villa Niomes et des biens à Busayrol, situés dans le comté de Vaison. En 981, cette précaire lui est confirmé par Annon, successeur d’Ithier, ainsi qu’à ses deux fils Pons III et Laugier de Nice[6]. Le Pons qui fait un don à l’abbaye de Cluny en 956-957 c’est peut-être Pons II de Mevouillon. En effet, ce dernier avec sa femme Richilde, originaire de l’Uzège, tient de archevêque d’Arles, l’abbaye de Sainte Marie de Goudargues[7]. Pons II de Mevouillon a huit fils qui font une donation à l’abbaye de Cluny en 1023. La charte de Cluny, n° 2779, du 22 mai 1023, donnée en concile à Saint-Privat, territoire de Sarrians, révèle les prénoms des huit frères dont les domaines s’étendent sur les diocèses de Gap, Die, Vaison, Orange et Saint-Paul Trois Châteaux. Par cet acte, deux des frères, Laugier de Nice et Pons, ayant déterminé de se faire moine à Cluny, donnent à cette abbaye la moitié du castrum d’Auton dont l’autre a été précédemment offerte à Saint-Pierre de Cluny par leur père. Cette libéralité s’effectue sur le conseil et le consentement de leurs frères auxquels ils délaissent le reste de leur héritage. Ces six frères sont : Féraud de Nice évêque de Gap, Laugier de Nice, Arnoul, Gérard, Raoul et Rambaud[8].

Selon d’autres sources, il est fils d’Ismidon de Royans, dit le vieux et de Alloy, dame de royans[9].

Un riche et généreux évêque

Le jardin du cloître de la cathédrale Notre-Dame-de-Nazareth de Vaison.

Depuis le 28 décembre 986, et la reconquête sur les Sarrasins, l’évêque de Vaison a la souveraineté sur la ville. Des cette date, les seigneurs vainqueurs des envahisseurs font des dons aux églises, monastères et abbayes. Ils ne font parfois que restituer des biens qui viennent de leur être donnés pour leur participation à la libération du territoire, mais qui appartenaient à l'Église avant la conquête des Alpes par les musulmans. L'évêque Pierre II est un seigneur à la fois spirituel et temporel, malgré ses nombreux dons.

Pierre de Mirabel est un ancien religieux de d’Orange [10]. Il va d’ailleurs être évêque et abbé de Saint-Florent d'Orange tout le reste de sa vie. Nous le voyons en cette dernière qualité conclure certaines transactions avec un certain Guillaume de Cedro en l'année 1056. Cette date est la dernière que nous connaissions de lui avec certitude[1].

Pierre de Mirabel est revêtu de la dignité épiscopale. Il paraît que c'est vers l'an 1009 ou 1010, d'après un acte du 5 avril 1053, dans lequel il est dit que cette année-là est la quarante-troisième de son ordination. Il s'agit ici certainement de l'ordination épiscopale, et c'est ainsi que cette expression doit toujours s'entendre dans les actes des évêques. L'épiscopat de Pierre de Mirabel est donc très long, et il atteint presque un demi-siècle, puisque nous le trouvons encore sur le siège de Vaison quelques années après[1].

La première année de son ordination, Pierre de Mirabel fait don à l'autel consacré en l'honneur de la Sainte-Vierge et des douze Apôtres dans la cathédrale Notre-Dame-de-Nazareth de Vaison, et aux douze chanoines qui le desservent, de l'église de Saint-Martin, au lieu appelé Trois-Fontaines, dans le diocèse d'Orange. C'est dans cet acte, dont le P. Boyer nous a conservé le commencement, que notre évêque fait mention de son prédécesseur du même nom que lui, déclarant qu'il fait cette donation pour le repos de l'âme de l'évêque Pierre, qui l'a précédé sur le siège de Vaison, et pour les âmes de ses parents défunts ; par où l'on voit qu'il n'y a pas eu d'intermédiaire entre ce Pierre Ier et lui[1].

En général l'Église de Vaison jusques à lui, avait été riche de la pauvreté de Jésus-Christ; mais sous lui, elle commence de devenir riche des biens de ce monde. Son exemple contribue beaucoup à exciter les fidèles de son diocèse à faire ces pieuses libéralités. Considérant donc la pauvreté de ses chanoines, pour la rémission de ses péchés, il donne à son église trois parties des dîmes de Vaison, plus la moitié d'une me partie des dîmes qu'il avait droit de percevoir à Malaucène. Dans le Rasteau, la moitié des dîmes des pourceaux, des moutons, des agneaux, des bœufs, et la troisième partie qu'on appelle du synode. Dans la paroisse de Cairanne, il donne une métairie avec tous ses droits ; dans le territoire du Rasteau, une autre métairie et deux terres propres à faire du chanvre. Dans le comté d'Uzès, dont est originaire sa mère, et dans la paroisse appelée Carien, une métairie que Guille avait donnée à Sainte-Marie. Dans le comté de Vaison, une métairie que Hugues avait donnée à l'église de Saint-Just, plus une autre métairie donnée par Bernoin ; une autre métairie donnée par Isnard située dans le territoire d'Ancezune ; une autre métairie dans le territoire de Vaison, sous l'obligation que les chanoines gardent l'église, chantent les heures, fassent les hebdomades et vivent en commun[1].

Le même évêque donne aussi quatre journées de vigne qu'il a à Avignon proche de cette ville et de l'église de Saint-Ruf ; plus une journée de vigne qu'il a à Gourtéson, plus dans le territoire de Vaison, une journée et demi(e) de vigne au quartier appelé Boxaronis, et une demi-journée au Barsan ; au lieu appelé Teu, une demi-journée de vigne; au même lieu, une autre demi-journée de vigne ; plus, au-delà de la rivière d'Ouvèse, une journée de vigne ; plus, deux autres vignes ; plus une demi-journée de vigne, située aux Prisons, donnée par Godule; plus une autre demi-journée située aux Fourches; plus dans le Claux, au-dessus de Saint-Quenin, une vigne; plus, à Saint-Martin-du-Rasteau, une journée de vigne; dans le Claux appelé le Puy, une demi-journée de vigne ; dans le même lieu, une journée de vigne ; plus, au-delà du Lauson, au lieu appelé Montili, une journée de terre cultivée et une demi-journée de vigne, et dans un autre quartier appelé les Eaux-Chastes, une demi-journée de terre cultivée; dans le même lieu, une demi-journée de terre ; dans un autre lieu, sous la métairie de Morganne, une journée de vigne; plus, à Mirabel, une journée et demi(e) de vigne[1].

Nous avons encore une convention de Dom Pierre, évêque, avec Théotard et ses deux héritiers Arnulphe et Frodingue, touchant la terre de Saint-Quenin, qui appartient à l'évêché, et située dans le comté d'Orange, que Pierre leur donne, à condition qu'ils payent à ses chanoines huit sextiers de blé et qu'après leur mort, ladite terre revienne, sans aucun retardement, à l'église de Vaison. Pierre donne encore à son église le moulin du Rasteau et un champ propre pour semer du chanvre, situé dans le territoire de Vaison. On voit par cette longue énumération les biens immenses que possède ce prélat, non-seulement sur les rives de l'Aygues et de l'Ouvèze, mais bien loin au-delà, puisque ses domaines retendent jusques à Avignon : ce qui peut donner une idée de l'importance de sa famille. Elle occupe la majeure partie de ce qui sera appelé plus tard le Comtat Venaissin et pénètre jusque dans l'intérieur du Dauphiné[1].

Un évêque soucieux des problèmes de l'Église de son temps

Conrad II le Salique (au centre).

Pierre dit de Mirabel signe l'acte de la réforme de Saint Ruf. L'évêque de Vaison, est nommé dans une lettre que le pape Benoît VIII adressait, en 1016, aux évêques des provinces de Bourgogne, d'Aquitaine et de Provence, pour les exhorter à protéger et à défendre les religieux et les biens de l'abbaye de Cluny[1]. Le monde qui se précipite toujours partout où il y a de grands biens, n'a pas manqué de convoiter ceux de Cluny. Plusieurs seigneurs, à cette époque, s'emparent de ses revenus, Le Pape demande nommément à Pierre de Vaison, à Eldebert d'Avignon et à Étienne de Carpentras d'appuyer sa décision et de la faire exécuter. Il leur faut connaître les seigneurs coupables[11].

En 1032, des prélats sont réunis à Lyon par Conrad II le Salique pour régler les affaires du royaume d'Arles, et recevoir le serment de fidélité des grands et des seigneurs de son ressort. Le même empereur écrit, en 1035, aux évêques de la province d'Arles pour les engager à nommer au siège métropolitain de cette ville Raimbaud, patriarche d'Ephèse, son conseiller : ce qu'ils font. L'acte de cette élection porte aussi le nom de Pierre, évêque de Vaison[1].

Son frère, Féraud de Nice,évêque de Gap, est témoin avec lui d'une donation des comtes de Provence à Sarrians le 26 mai 1037 en faveur de Cluny.

Le 5 octobre 1040, notre Prélat est présent à la consécration de l'église de Saint-Victor de Marseille par le pape Benoît IX, et figure le huitième parmi les dix-neuf évêques qui y assistent. Ce qui indique bien qu'il est déjà ancien dans l'épiscopat. Il souscrit à la donation faite en 1044 par le comte Guillaume Bertrand de Provence, aux religieux de la même abbaye, d'un bourg à Marseille, et de l'église de Saint-Promaise à Forcalquier, afin d'obtenir de leur part des prières pour lui et pour ses parents défunts. L'acte de cette donation est passé avec une grande solennité dans une sorte de concile tenu à Barbara, dans le Comtat Venaissin, et non pas dans le fief de ce nom situé près de Saint-Paul-Trois-Châteaux[1],[12].

Le 5 avril 1053 cet évêque donne à son église et à ses chanoines tout le territoire qui est au septentrion, sur le chemin appelé Montanier, là où les chanoines prennent la tasque[13] jusques au plus haut de la montagne. Il en donne la quatrième partie, plus il donne trois parties des dîmes de la dite terre, plus la troisième partie de la censé du marché dedans et dehors, et des pâturages, à condition que les chanoines demeureront dans le cloître commun, qu'ils feront le service de Dieu et de l'Église, qu'ils exerceront la charité mutuelle entre eux et à l'égard des pauvres, et que toute propriété sera bannie[1].

Le 4 mai 1055, notre évêque Pierre fait une nouvelle donation à ses chanoines, aux mêmes conditions que la précédente, d'une condamine située près de Vaison, au levant de l'église, sauf la dîme qu'il se réserve.

Nous le trouvons ensuite à un concile tenu à Saint-Gilles en 1056. La même année, il assiste encore à un autre concile qui a lieu à Toulouse sous la présidence de Raimbaud de Reillanne, archevêque d'Arles, délégué du Saint-Siège. Tous les évêques de sa province renouvellent entre ses mains le serment de fidélité et l'hommage qu'ils lui doivent comme à leur métropolitain[1].

Pouvoir temporel et spirituel

Les comtes Geoffroi II de Provence et Guillaume Bertrand de Provence, lui donnent la moitié de la cité de Vaison-la-Romaine.

Pierre de Mirabel , évêque de Vaison, et son neveu, Rambaud de Nice sont auprès des comtes Joufré et Bertran, en 1044[14].

Les comtes Geoffroi II de Provence et Guillaume Bertrand de Provence, lui donnent la moitié de la cité de Vaison-la-Romaine et de son territoire ; ce qui est confirmé par une bulle de Pascal II à Rostaing, un de ses successeurs[1],[4].

Le pouvoir temporel représenté, à ce qu'il parait, par sa famille les Mévouillon, ne réussit à se maintenir avec avantage que dans la partie montagneuse. A Orange, à Apt et à Cavaillon, sans parler d'Avignon, le pouvoir temporel l’emporte et la juridiction de l'évêque est seulement concentrée dans la ville[15].

Pierre de Mirabel prend dans ses actes le titre de dom Pierre, évêque, sans doute pour rappeler sa qualité de religieux, à laquelle il demeure attaché toute sa vie. Le P. Boyer lui attribue encore la donation de la petite abbaye de Saint-Victor et de Saint-Pierre, sur le territoire de Malaucène, faite en 1059 par un Pierre, évêque de Vaison, à l'abbaye de Saint-Victor de Marseille; mais ce Pierre, qui se qualifie fils de Raimbaud, parait être différent de Pierre de Mirabel, fils de Pons. Le Gallia Christiana et l'éditeur du Cartulaire de Saint-Victor en font d’ailleurs un personnage distinct. De 1055 à 1079, l’évêque de Vaison est Pierre III Raimbaud, et plus Pierre II de Mirabel[16]. Ce Pierre est Pierre II de Nice, fils effectivement de Rambaud de Nice, et donc petit-neveu de Pierre de Mirabel[17].

Le même auteur, le P. Boyer, attribue à notre évêque, la construction du cloître de la cathédrale Notre-Dame-de-Nazareth de Vaison et une foule d'autres œuvres grandioses, dont il abrège l'énumération et la description. Mais, ajoute-t-il, ce que nous avons rapporté suffit pour notre dessein, qui n'est autre que de faire connaître la magnificence de cet évêque religieux[1].

Notes et références

  1. a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n et o Société d'archéologie, d'histoire et de géographie de la Drôme, Bulletin de la Société d'archéologie et de statistique de la Drôme, Secrétariat de la Société (Valence) p.247 et suivantes.
  2. Cartulaire de Saint-Victor, n° 659, cité par Mariacristina Varano, Institution épiscopale et autorité comtale dans le diocèse de Sisteron.
  3. L'ordre de Cluny à la fin du moyen âge: le vieux pays clunisien, XIIe-XVe siècles, Par Denyse Riche, Publié par Université de Saint-Étienne, 2000, p.113.
  4. a et b Dictionnaire géographique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Par Jules Courtet, Publié par Bonnet, 1857, p.327.
  5. GCNN t III Arles n° 283.
  6. GCNN t III Arles n° 285
  7. GCN t III Arles n° 214.
  8. Ripert-Montclar, p XXIV) cité par [010 Les origines de la famille Mévouillon]
  9. J. Berge, Origines rectifiées de Maisons féodales (1952), J. Berge, Origines rectifiées de Maisons féodales (1952) et Caïs de Pierlas, Le XIe siècle dans les Alpes-Maritimes, Turin, 1885 et Baratier Édouard ; Duby Georges ; Hildesheimer Ernest ; Atlas historique : Provence, Comtat, Orange, Nice, Monaco, A. Colin, Paris, (1969) INIST-CNRS, Cote INIST : S 6285 et H&G, n°120, 217.
  10. Saurel, Ferdinand (1821-1907), Histoire de la ville de Malaucène et de son territoire / par Ferdinand Saurel et Alfred Saurel, J. Roumanille, p.90.
  11. Histoire du diocèse d'Avignon et des anciens diocèses dont il est formé, Par [Étienne Antoine] Granget, Publié par Sequin ainé, 1862, Notes sur l'article: t.1er, p.299.
  12. Histoire analytique et chronologique des actes et des délibérations du corps et du conseil de la municipalité de Marseille: depuis le Xe siècle jusqu'à nos jours, Par Marseille (France), Louis Méry, F. Guindon, Publié par Typ. des hoirs Feissat aîné et Demonchy, 1842, t.1, p.169.
  13. Une sorte de dîme.
  14. Poly, La Provence et la société féodale…, p. 205, avec renvoi au n° 139 du Catalogue, cité par Alain Venturini Naissance et affirmation du Consulat de Nice.
  15. Dictionnaire géographique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Par Jules Courtet, Publié par Bonnet, 1857, p.327n.
  16. Société de l'histoire de France, Par Société de l'histoire de France, Publié par La Société, 1845, Notes sur l'article: v. 41 (Annuaire Historique, 1846), p.104.
  17. Cartulaire de la Commanderie de Richerenches de l'Ordre du Temple (1136-1214). T. 2 / publié et annoté par le marquis de Ripert-Monclar,..., Ordre du Temple. Commanderie (Richerenches, Vaucluse), Éditeur : F. Seguin (Avignon), Éditeur : H. Champion (Paris), Date d'édition : 1907, Contributeur : Ripert-Monclar, François de (1844-1921). Éditeur scientifique, p.XXVII.

Source

  • Albanès, Joseph Hyacinthe (1822-1897),Gallia christiana novissima. Histoire des archevêchés, évêques et abbayes de France d'après les documents authentiques recueillis dans les registres du Vatican et les archives locales, pp. 464 et 465; en ligne sur Galica.
  • Moreri, Le grand Dictionnaire historique, ou mélange curieux de l'histoire sacrée et profane, p. 85.

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