- Famille de Roquefeuil Blanquefort
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La famille de Roquefeuil-Blanquefort est une famille noble, d'extraction chevaleresque, dont la filiation prouvée remonte à 1393[1] substituée aux noms et armes de Roquefeuil[2] depuis le mariage le 13 novembre 1381 de Catherine de Roquefeuil, dame de Combret, avec Jean de Blanquefort et de Pujols.
En effet, Arnaud III de Roquefeuil, seigneur de Nant, de Combret, d'Algues et d'Aumelas en Rouergue, dernier représentant de la branche aînée des Roquefeuil-Anduze, qui avait épousé le 5 février 1361 Hélène de Gourdon, fille de Ratier, seigneur de Castelnau-Montratier et de Catherine de Penne. n'eût que des filles:
- Isabeau de Roquefeuil, mariée à Dieudonné de Clermont-Lodève, seigneur de Brusque, dont elle eut sept enfants, dont trois garçons, et descendance;
- Catherine de Roquefeuil, mariée en premières noces le 13 novembre 1381 à Jean de Pujols, seigneur de Blanquefort-sur-Briolance, et en secondes noces le 14 janvier 1396 avec Pons de Castelnau, seigneur de Castelnau-Bretenoux, fils de Dieudonné seigneur de Caylus et d'Hélène, héritière de Calmont d'Olt.
- Éléonore,
- Delphine de Roquefeuil, mariée à Raymond de Caussade, vicomte de Calvignac et de Puycornet, dont elle eut au moins un fils, Raymond et une descendance.
Sommaire
Origine des Roquefeuil du Rouergue
Article détaillé : Famille de Roquefeuil (Rouergue).Origine de la famille des seigneurs de Blanquefort
Selon des actes des Archives Nationales (T415), cette famille descend d'Hugues II,co-seigneur de Pujols et de Blanquefort, fils d'un autre Hugues(I), qui épousa avant 1287 Antée de Fumel, fille de Bertrand et de Brunissende de La Barthe. Antée lui apporta la seconde partie de Blanquefort, dont son père avait hérité de sa mère Saure de Pujols, fille de Raymond de Pujols, et femme de Guilhem Esclamat de Fumel, fils, lui-même, d'Esquieu, seigneur de Fumel et de Sérène de Ravignan. Leur fils Hugues III, co-seigneur de Pujols et de Blanquefort eut deux fils : Hugues IV, co-seigneur de Pujols, d'où descendance éteinte au Moyen Âge, et Raymond, seigneur de Pujols et de Blanquefort, marié à Hélène de Gourdon. Raymond eu pour fils Hugues V de Pujols, chevalier, seigneur de Blanquefort, sénéchal du Périgord, marié à Talèze de Madailhan. Jean de Pujols, chevalier, seigneur de Blanquefort, leur fils, épousa Catherine de Roquefeuil[3].
La généalogie de la Maison de Roquefeuil par les généalogistes des Ordres du Roi est conservée aux archives nationales sous le numéro AN T1176-1. On y trouve l'explication détaillée des conditions du passage des biens et possessions des aînés de la Maison de Roquefeuil-Anduze dans la maison de Blanquefort par Catherine de Roquefeuil, épouse de Jean de Blanquefort et héritière universelle d'Arnaud III de Roquefeuil. On y trouve également le détail de leur descendance[4].
Il est actuellement reconnu que c'est Antoine Ier de Blanquefort, héritier et seigneur des baronnies de Roquefeuil et de Blanquefort (fils de Jean de Blanquefort et de Catherine de Roquefeuil) qui a enjoint à sa descendance, comme il le faisait lui-même, de porter simultanément à l'avenir les noms et les armes de Roquefeuil et de Blanquefort dans son testament daté du 1er décembre 1416 et conservé aux archives nationales sous le n°AN T1176-2. Il mentionne tout spécialement: "Item volumus et ordinamus quod heres noster supradictus et teneatur etiam portare nomen et cognomen nostrum et arma nostra de Roquafolio et de Blancaforti indivisia medium per medium".
Par ailleurs, selon le Dictionnaire de la noblesse de La Chesnaye-Desbois, la lignée de Blanquefort aurait été issue d'un cadet des Roquefeuil-Anduze qui avait pris le nom de Blanquefort, l'une de ses seigneuries, et qui, après son mariage avec l'héritière de la branche aînée des Anduze, reprit le nom de Roquefeuil qu'il ne portait plus de façon usuelle. Cette deuxième thèse met en avant que la seigneurerie de Blanquefort appartenait aux Anduze dès 1227, ainsi qu'en témoigne le contrat de mariage du 1er mars 1227 entre Arnaud de Roquefeuil et Béatrix d'Anduze[5]. Cette seigneurie fut donnée à un des fils d'Arnaud et de Béatrix, lequel prit vraisemblablement, suivant l'usage du temps, pour se distinguer, le nom de sa seigneurie et s'appela Blanquefort. Selon cette hypothèse, Jean de Blanquefort-Pujols pourrait donc être un cadet de la maison de Roquefeuil-Anduze et, selon l'auteur, il ne serait pas surprenant que le père de Catherine de Roquefeuil, n'ayant que des filles, ait choisi pour perpétuer sa race un de ses parents. En dépit de ces faits intéressants, cette thèse n'est toujours pas de nos jours formellement démontrée.
Rameaux des Roquefeuil-Blanquefort
Branche aînée
- Jean II de Roquefeuil-Blanquefort et son frère Antoine II s'étant rangés dans le parti d'Armagnac pendant les troubles de la Ligue du Bien public, ils durent obtenir des lettres de rémission du roi Louis XI en février 1478[6].
- Bérenger de Roquefeuil (1448/1530) qui n'avait pas participé à la Ligue, quitta brutalement en 1477 la cour d'Amboise, lorsqu'il apprit que Jacques d'Armagnac (1433-1477), duc de Nemours et comte de la Marche, dont il était féal et avec qui il était apparenté, allait être décapité en place publique. Revenu sur ses terres, Bérenger montre sa puissance en agrandissant et en fortifiant considérablement son château de Bonaguil.
Les Roquefeuil-Blanquefort participent, parfois à la tête de leur propre régiment, à toutes les guerres et campagnes des XVI et XVIIe siècles et subissent la politique royale d'abaissement de la noblesse[7].
A partir de 1618, Antoine-Alexandre baron de Roquefeuil, seigneur de Blanquefort et de Bonaguil est le premier à porter le titre de marquis de Roquefeuil[8]. Il voit en quelques années sa situation financière se détériorer. De son mariage en 1625 avec Claude de Saint-Aignan, il n'eut qu'une fille, Marguerite-Gilberte de Roquefeuil, qui héritera en 1639 d'un château de Bonaguil presque en ruines, où cependant elle habitera.
Les seigneuries de Blanquefort et de Bonaguil vont passer dans la famille de Dyo par le mariage de Marie-Isabel de Coligny, fille de Gaspard, seigneur de Saligny, et de Marguerite-Gilberte de Roquefeuil, avec Noël-Léonor de Dyo, marquis de Montpeyroux. Bonaguil fut ensuite vendu à la famille de Fumel qui le possédait et qui y habitait à l'époque de la Révolution.
Rameaux de Padiès puis du Bousquet et de Montpeyroux
Cette branche est issue d'Antoine II (1408-1494) de Roquefeuil, seigneur de La Salle et de Padiès, quatrième fils d'Antoine de Roquefeuil (1386-1416), seigneur du Poujet et de Blanquefort et de Delphine d'Arpajon. Son arrière-petit-fils Pierre de Roquefeuil, seigneur de Padiès, épouse Françoise, dame du Bousquet, à Montpeyroux dans le Rouergue, dont il a quatre fils, dont :
- Guy de Roquefeuil, seigneur du Bousquet, qui donne les marquis de Roquefeuil
- Jean de Roquefeuil, seigneur de Milhars, dont les descendants s'établissent dans le Puy-de-Dôme
- François de Roquefeuil, seigneur de Montpeyroux, rameau qui s'étendra.
On trouve dans ces rameaux un grand nombre d'officiers généraux et d'amiraux, dont notamment :
- Jacques Aymar de Roquefeuil et du Bousquet (1665 - 1744), chef d'escadre, lieutenant général des armées navales, qui s'illustre dans les combats navals des Orcades, Lauwick, Bressey Sound, bataille du cap Béveziers). Tout au long de sa carrière, il coula au combat plus de vingt vaisseaux et prit quatorze vaisseaux de ligne à l'ennemi hollandais ou anglais dont trois à l'abordage (notamment: le "Grafton", vaisseau de ligne anglais de 70 canons, pris le 11 mai 1707)[9].
- Aymar Joseph de Roquefeuil et du Bousquet (1714 - 1782), son fils ainé, fit lui aussi une carrière remarquée dans la Marine Royale. Lieutenant général des armées navales, il fut gouverneur du port et de la ville de Brest puis termina sa carrière au rang de vice-amiral, commandant la Flotte du Levant et grand croix de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis.
- René-Aymar de Roquefeuil et du Bousquet, son second fils fut chef d'escadre des armées navales.
Plusieurs Roquefeuil-Blanquefort participent à la Guerre d'indépendance des États-Unis et sont reçus membres de la Société des Cincinnati fondée en 1783 par George Washington[10].
- Alexandre-Amable de Roquefeuil, dit "le chevalier de Roquefeuil", jeune lieutenant de vaisseau de la Marine Royale (né en 1757) connut une courte notoriété à deux titres. Il fut, à 23 ans, le commandant du côtre "L'Expédition", bâtiment d'escorte de la frégate "La Surveillante" commandée par M. du Couédic de Kergoaler lors du combat livré le 6 octobre 1779 contre le HMS "Quebec". Après avoir détruit le HMS "Rambler", conserve du "Quebec", et fait prisonnier son équipage, pourtant plus nombreux que le sien, il vint porter vigoureusement assistance à "La Surveillante" alors en plein combat. Après la victoire de M. du Couédic, le Chevalier de Roquefeuil remorqua la frégate "La Surveillante", très endommagée, jusqu'au port de Dunkerque. Convié à Versailles pour rendre compte du combat (M.du Couédic étant mourant), il y rencontre la princesse Bathilde d'Orléans, duchesse de Bourbon et devient son amant. De ces amours naquit une fille, Adélaïde-Victoire, que la princesse gardera longtemps et discrètement auprès d'elle au palais de l'Elysée. Cette fille illégitime est une des ancêtres de l'aviateur Georges Guynemer et de plusieurs familles subsitantes (ex: famille Doynel de La Sausserie). Le Chevalier Alexandre-Amable de Roquefeuil mourut quelques années après cette première rencontre avec la princesse, noyé en rade de Dunkerque le 22 août 1785 (il avait 28 ans)[11].
À la fin du XVIIIe siècle, Les Roquefeuil-Blanquefort servent dans les armées royales: un régiment de Roquefeuil est levé dans l'armée des Princes et trois Roquefeuil participent au débarquement de Quiberon (deux furent pris et fusillés[12]).
- François de Roquefeuil (1770 - 1853), seul rescapé, est le bras droit de Cadoudal en Bretagne. Il sera nommé maire de Rennes en 1821.
Rameaux de Bars, d'Amber, de La Bessière et de Cahuzac
- Camille de Roquefeuil-Cahuzac (1781 - 1831), entré en 1797 dans la Marine, la quittera avec le grade de lieutenant de vaisseau. Il terminera sa carrière comme gouverneur des ports de la Réunion où il est mort[13]. Faute de commandements disponibles dans la Marine après les terribles défaites navales de l'Empire, il est contraint de commander "au commerce" le navire "Le Bordelais" de l'armateur Balguérie de Bordeaux. Il fait un tour du monde en trente-six mois (première circum-navigation française après la Révolution: 1816/1819) pour ouvrir de nouvelles voies commerciales à la métropole aquitaine. Le récit de son voyage traduit en anglais, allemand et espagnol connait un succès d'édition[14].
- Amédée de Roquefeuil de Bars, député en 1849.
- Félix de Roquefeuil-Cahuzac (1833 - 1893), conseiller à la Cour des Comptes est avec Albert de Mun le principal dirigeant de l'œuvre des Cercles Catholiques Ouvriers et eut une influence dans la conception de la doctrine sociale de l'Église catholique exprimée par l'encyclique "Rerum novarum"[15].
- Robert de Roquefeuil (1864 - 1940), son fils, est le premier président de l'Association Catholique de la Jeunesse française et est un des artisans du ralliement des catholiques à la République.
- Henri de Roquefeuil (1869 - 1928), fils de Robert, capitaine de Vaisseau, officier de renseignement, fut attaché militaire en Grèce et joua un rôle reconnu dans l'installation au pouvoir en 1916 du premier ministre francophile Eleftherios Venizelos qui engagea la Grèce dans la guerre au côté des alliés (1917)[16].
Les Roquefeuil-Blanquefort aujourd'hui
Au début du XXIe siècle, quatre Roquefeuil-Blanquefort atteignent simultanément le grade d'officier général :
- Jean-Melchior de Roquefeuil et du Bousquet (°1926), commandeur de l'Ordre national du Mérite et officier de la Légion d'Honneur, est général de brigade de l'Armée de terre[17] (et fut, par ailleurs, président de la Société des Cincinnati de France de 1997 à 2004[18]).
- Pierre de Roquefeuil (°1951), commandeur de l'Ordre National du Mérite et officier de la Légion d'Honneur, contre-amiral, ancien commandant de l'École navale, ancien Inspecteur des forces maritimes[19]. Du 29/08/2010 jusqu'au 21/10/2010, Directeur de l'Institut Catholique des Arts et Métiers (ICAM) de Toulouse.
- Henry de Roquefeuil (°1952), commandeur de la Légion d'Honneur et Grand officier de l'Ordre national du Mérite, général de corps aérien[20],[21],[22].
- Antoine de Roquefeuil, chevalier de la Légion d'Honneur, chevalier de l'Ordre national du Mérite, contre-amiral, Directeur adjoint du Personnel Militaire de la Marine[23].
La famille de Roquefeuil-Blanquefort est membre de l'Association d'entraide de la noblesse française.
Blasons
Maison de Roquefeuil-Blanquefort Rouergue et Quercy. Armes des branches du Bousquet, Anduze, Pradt et Montpeyroux D'azur aux neuf cordelières d'or posées 3, 3 et 3[24].
Maison de Roquefeuil-Blanquefort Armes de la branche de Cahuzac Fascé contre-fascé d'or et de gueules aux neuf cordelières posées 3, 3 et 3; chaque fasce chargé d'une cordelière de l'un en l'autre.
Notes et références
- Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, 1989, 4ème édition, p. 170. "Roquefeuil de Montpeyroux et Roquefeuil de Cahuzac, Rouergue, extraction chevaleresque 1393
- d'Hozier et Courcelles
- Jean était cousin au quatrième degré de sa femme, fille d'autre Hélène de Gourdon (Archives du Vatican, Reg. Av. f° 541, v°)
- Hippolyte de Barrau, citant Jean-Baptiste de Courcelles (IV, p. 11, art. Blanchefort), écrit qu'il s'agit de la famille des seigneurs de Blanchefort dans le Médoc. C'est sur la foi du même auteur que M. de Barrau mentionne le testament de Catherine de Roquefeuil instituant son fils Antoine héritier, sous condition de porter les noms et armes de Roquefeuil, sans donner plus de précisions sur l'acte. C'est par erreur qu'
- Guillaume Jourdain, notaire à Montpeyroux
- cf. Lettre de rémission du roi Louis XI Arch. Nat. JJ203, folio 41
- Sur les régiments de Roquefeuil (toutes branches) de l'ancien régime ("La Roquette-infanterie" (levé:7 juillet 1621/licencié: 15 février 1623) et "Roquefeuil-infanterie" (levé: 8 juillet 1635/licencié: 1637), voir "Histoire des généraux français" du général Suzanne, tome 5 page 267 n° 732 et la Gazette de France du 9 juillet 1636.
- http://roquefeuil.net/ menu: "galerie des documents"). 3)-généalogie de la Maison de Roquefeuil par d'Hozier, du 27 juin 1667 - BN no 290 folio 23-4 4)-"Cahier des certificats de la publication du dénombrement du marquisat de Roquefeuil" du 29 avril 1668 - Archives départementales du Tarn et Garonne C496p2 5)-les articles "Roquefeuil" des dictionnaires de la noblesse de Moreri, la Chesnaye des Bois, Bonald, etc., 6)- voir aussi les mémoires au roi pour les Honneurs de la Cour à la Maison de Roquefeuil-Blanquefort: "Monsieur le Marquis de Roquefeuil et du Bousquet" - Clairambault - Archives Nationales MM813 - 19/04/1755; "Madame la Marquise de Roquefeuil" - Archives Nationales o1 829 - 1773; "Monsieur le Marquis de Roquefeuil" - Archives Nationales o1 829 - 1777. A noter cependant que dans l'ouvrage de Régis Valette intitulé Catalogue de la noblesse française subsistante au XXIe siècle, aucun titre de marquis n'est mentionné pour les Roquefeuil, ce qui donne à penser que soit l'auteur l'a omis, soit ce titre n'a jamais existé, soit qu'il n'a jamais été régularisé soit enfin qu'il est éteint. Sur le marquisat de Roquefeuil voir notamment: 1)-"Démission en faveur du marquis de Roquefeuil" -17 juillet 1628- Archives Departementales du Gard 1E1884. 2)- la lettre de commandement du roi Louis XIII en date du 8 juillet 1635 "à Antoine-Alexandre, marquis de Roquefeuil, pour lever un régiment d'infanterie de son nom" (archives familiales du marquis de Roquefeuil, Copie et transcription visible à l'adresse:
- Archives de la Marine
- La Société des Cincinnati de France et la guerre d'Amérique (1778-1783), de Ludovic de Contenson, réimpression de l’édition de 1934, Editions Picard, 2007
- Cf.(1)Louise de Condé Par Claude-Alain Sarre (2)Le duc d'Enghien: vie et mort du dernier des Condé de Bernardine Melchior-Bonnet et (3) L'Élysée: histoire secrète et indiscrète des origines à nos jours de Claude Pasteur 1974
- 1752-1795), capitaine de Vaisseau, chevalier de Saint Louis, du Saint Esprit et de Malte, membre d'origine de la société des Cincinnati et de François-Pierre de Roquefeuil - Cf. Mémorial des fusillés de Quiberon à la chartreuse de Sainte Anne d'Auray) Il s'agit de Charles Balthazar de Roquefeuil -Cahuzac (
- Un des monts de La Réunion, au dessus de Saint Gilles les Bains, porte son nom
- "Journal d'un voyage autour du monde" par Camille de Roquefeuil, 1823 version française chez Ponthieu, Lesage et Gide.
- ISBN 2-7010-0427-6, Beauchesne éditeur, l'analyse des 570 lettres de la correspondance entre Albert de Mun et Félix de Roquefeuil Voir dans "Albert de Mun" de Charles Molette - 1970 -
- Voir: 1)-"First Athenian Memories" de Compton Mackenzie, Cassel éditeur; 2)- "Allied Secret Services in Greece" de Sir Basil Thomson, KCB, Hutchinson éditeur; 3)- The Times, articles en date des 31 mars et 21 avril 1931 et 4)- "Souvenir d'un marin" d'Hector de Bearn, éditions La Palatine 25 fevrier 1960; 5)- "Un attaché naval dans la grande guerre : le commandant de Roquefeuil à Athènes (1915-1917)" par Nicolas Dujin ISBN.2130556191.
- cf. notamment: Décret du 2 mai 2003 portant promotion et nomination
- http://cincinnati-france.org/ Cf. le site internet de la société des Cincinnati de France:
- cf. Décret du 5 juillet 2006 portant promotion et nomination dans la 1re et la 2e section et affectation d'officiers généraux
- cf. Décret du 20 décembre 2001 portant promotion au grade de général de brigade aérienne NOR: DEFM0100027D
- cf. Décret du 21 janvier 2008 portant maintien dans la 1re section d'officiers généraux avec le grade de général de corps aérien du corps des officiers de l'air NOR: DEFB0800631D
- Décret du 6 novembre 2009 portant élévation à la dignité de grand officier NOR : DEFM0925035D
- cf. Décret du 14 février 2011 portant promotion et nomination dans la 1ère et 2ème section d'officier généraux
- Sur les armes Roquefeuil des différentes branches, voir notamment: BN cabinet d'Hozier, registre 298 (fr.31179) dossier 8131- 23 avril 1710 et BN fr 31784; voir aussi les articles sur la famille de Roquefeuil dans les dictionnaires de la noblesse de Moreri, Barrau, La Chesnaye des Bois, etc...
Bibliographie
Généalogies de la Maison de Roquefeuil dans les différents dictionnaires de la noblesse:
- "Annuaire de la noblesse de France" 1898.
- Ambroise TARDIEU, historiographe de l’Auvergne. "Dictionnaire des anciennes familles de l’Auvergne", Moulins, 1884, in-4, III-453.
- Association de la noblesse de France "Recueil des personnes ayant fait leurs preuves". Paris, 1950-1979, tomes 1, 5, 6 et 7.
- Bibliothèque Nationale manuscrit, fonds français 32087, n° 48 ; 32114.
- Comte Maxime de SARS "Le Laonnois féoda"l. Paris, 1924-1934, 5 vol. in-4 tome 1, p.434-5.
- Dr de RIBIER "Preuves de la noblesse d’Auvergne". Paris, 1907-1933, 6 vol. in-4, tome 3.
- Gaston Saffroy "Bibliographie généalogique"... 3 vol., 1968-1974, notices 49127-32.
- H. JOUGLA de MORENAS (puis Comte R. de WARREN) "Grand armorial de France". Paris, 1934-1949, 6 vol. in-fol.
- Hipp. de BARRAU "Documents historiques et généalogiques sur les familles du Rouergue". Rodez, 1853-60, 4 vol. in-8.
- La CHENAYE-DESBOIS "Dictionnaire généalogique"... 3e éd. Paris, 1863-1876, 19 vol. in-4.
- Marquis d’AUBAIS "Pièces fugitives pour servir à l’histoire de France". Paris, 1759, 2 vol. in-4 (t. I, 2e partie, et t. II).
- M. Authier, J. Dell’Acquo et A.Galbrun - "État de la noblesse française subsistante".S.l., 1973 et ss., in-8, tome 6.
- P.L. LAINE "Archives généalogiques et historiques de la noblesse de France". Paris, 1828-1850, 11 vol. in-8, tome 10.
- Vicomte de BONALD "Documents généalogiques sur les familles du Rouergue". Rodez, 1902-03, in-8, 450.
- Jean-Baptiste de COURCELLES "Histoire généalogique et héraldique des pairs de France" P.83.
- Vcte de LA TROLLIERE et Marquis de MONTMORT "Les chevau-légers de la garde du roi", 1592-1787. Paris, 1953, in-8, XII-254.
- Vicomte de LESCURE "Armorial du Gévaudan". Lyon, 1929, in-4, XXI-953-XX.
- Vicomte H. de la MESSELIERE "Filiations bretonnes". St-Brieuc, 1912-1926, 5 vol. gr. in-8 J. DURAND de SAINT-FRONT. Tome 6. Mayenne, 1976 tome 4.
- V° "Généalogie de Roquefeuil", in Grand dictionnaire historique... dernière édition, par Louis Moreri.
- V° "Généalogie de Roquefeuil", in Documents historiques sur le Rouergue ..., consulter le tome 1er, par H. de Barrau.
- V° "Généalogie de Roquefeuil", in Annuaire de la noblesse de France, 1898, par Borel.
- Vicomte de Bonald "Généalogie de Roquefeuil Cahuzac, Versols & Peralada", in XXX.
- Généalogie de Roquefeuil en Rouergue par Chérin - Bibliothèque Nationale - Chérin 214 D3552.
- M. Poey d'Avant, Monnaies féodales françaises, Tome II.
- Christian-Pierre Bedel, Nant : La Cavalariá, La Cobertoirada, L'Espitalet, Sauclièras, Sent-Joan-del-Bruèlh/ Nant : La Cavalerie, La Couvertoirade, L'Hospitalet, Sauclières, Saint Jean du Bruel, Mission départementale de la Culture, Rodez, 1994, 239 p. (ISBN 2-907279-20-3)
- (en) Charles Mula (2000) The Princes of Malta, PEG publications, San Gwann (Malta)
Articles connexes
Liens externes
Catégories :- Maison de Roquefeuil-Blanquefort
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