- Famille de Roquefeuil (Rouergue)
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La famille de Roquefeuil, originaire du Rouergue, est une famille noble d'extraction chevaleresque qui a donné de nombreuses branches et rameaux.
L'histoire de cette famille recouvre celle de trois anciennes familles :
- la première famille de Roquefeuil, éteinte au XIIe siècle mais poursuivie en ligne féminine par :
- la seconde famille de Roquefeuil, issue des seigneurs d'Anduze, dont une descendance naturelle se continue dans la famille de Roquefeuil Versols, avec Guillaume de Roquefeuil pour auteur, dont une source indique qu'il aurait été légitimé non par le Roi de France mais par le Roi d'Aragon[1]. Elle forme à partir du (XIIe siècle) plusieurs rameaux, tous éteints à l'exception de celui de Saint-Étienne-de-Gourgas, qui subsiste depuis 1752 par une filiation naturelle et porte le patronyme Roquefeuil sans particule[2]. Ce rameau a donné nombre de médecins et des juristes. Guillaume de Roquefeuil donne aussi le rameau espagnol avec Ramon II, amiral de Sicile, seigneur d'Avanella, auteur de la branche d'Espagne (seigneurs de la Raya, comtes de Peralada, Roccafull[3],[4]).
- la troisième famille de Roquefeuil dite de Roquefeuil Blanquefort, est issue de Catherine de Roquefeuil-Anduze par substitution aux noms et armes des Roquefeuil, et subsistante aujourd'hui. Famille considérable du Rouergue et du Quercy, elle a donné des hommes de guerre, des marins et de grands administrateurs.
Sommaire
Première famille de Roquefeuil
La première famille de Roquefeuil est connue depuis 1032. Originaire du fief de Roquefeuil[5], elle possède les seigneuries de Meyrueis et de Creyssels[6]. Le château qui était construit à 1 366 mètres d'altitude sur le Mont Saint Guiral[7], au hameau de Seingleys, à la limite entre la commune de Saint-Jean-du-Bruel[8] dans le département de l'Aveyron, et celle d'Alzon dans le département Gard[9],
Le premier personnage connu serait un certain Henri de Roquefeuil, qui par un codicile testamentaire 21 février 1002 [lire 1102], aurait fondé l'hôpital des pauvres dédié de Notre-Dame de Bonheur[10], sur le mont Aigoual, derrière le col de la Sérayrède, aujourd'hui détruite et remplacée par une modeste ferme, sur la commune de Valleraugue[11]. Pour Pierre-Albert Clément, cet hospice de « Domus Beatœ Mariœ de Bonahur » n'a été fondé par les Roquefeuil qu'au début du XIIe siècle[11], ce que confirme le Cartulaire de Notre-Dame de Bonheur conservé aux Archives du Gard, qui ne remonte pas plus haut que cette période, et lecture retenue par l'Institut de recherche et d'histoire des textes[12].
Le plus ancien personnage de cette famille est donc plus certainement Seguin de Roquefeuil qui, en 1032, donna plusieurs terres qu'il tenait dans les comtés de Lodève et du Rouergue à l'abbaye de Saint-Guilhem-le-Désert. En 1080, une donation aurait été faite à cette même abbaye par Raymond de Roquefeuil[13] qui épousa Stéphanie de Vissec. Plus précisément, c'est l'abbaye de Gellone qui se fait céder par Raymond de Roquefeuil et ses fils la bastide de l'Espérou [14]. L'acte cite ses fils Frédol et Arnaud. La généalogie de cette famille est toutefois incertaine jusqu'à Adélaïde, l'unique héritière au siècle suivant, qui est mariée en 1109 ou 1129 à Bernard, seigneur d'Anduze et d'Alais, issu des comtes de Nîmes [15], auteur de la deuxième famille, qui suit :
Deuxième famille de Roquefeuil (issue d'Anduze)
Raymond Ier de Roquefeuil, troisième fils de Bernard d'Anduze et d'Adélaïde de Roquefeuil, hérita des terres de sa mère et fut l'auteur de la seconde branche de Roquefeuil[16]. Il épousa en 1169 Guillemette, fille de Guillaume VII, seigneur de Montpellier[17], et de Mathilde de Bourgogne (v. 1135-v. 1173). De ce mariage sont issus au moins deux fils.
On ne sait pas si le Raymond, seigneur de Roquefeuil, qui épouse en 1226 Dauphine, fille de Boson III, dauphin de Turenne, est le même Raymond Ier, se mariant en secondes noces, ou un fils Raymond II[18]. Dauphine de Turenne donne naissance à une fille unique, Isabeau d'Anduze, dame de Roquefeuil, mariée en 1230 à Hugues IV, comte de Rodez.
Raymond Ier avait fermement interpelé le pape Innocent III, lors du concile de Latran en 1215[19], et s'était fait l'avocat du jeune fils de Roger Raymond II Trencavel, prisonnier des croisés de Simon de Montfort avec ces paroles: « Seigneur, vrai père, aie merci d'un enfant orphelin d'âge tendre et banni. Aie merci pour le fils de l'honorable comte de Béziers, tué par les croisés et par Simon de Montfort quand on le lui livra. Car de tiers ou de moitié sont déclinées noblesse et courtoisie, depuis que, sans tort et sans péché un tel baron a été martyrisé. Car il n'y a pas dans la Cour, cardinal ou abbé dont la croyance soit plus chrétienne que la sienne. Mais puisqu'il est mort, à son fils déshérité rends sa terre et sauve ainsi ton honneur... Rends lui tout à jour fixe et prochain, sinon je te demanderai tout: la terre, le droit, et l'héritage au jour du jugement dernier, ce jour où tu seras jugé ... »[20]
Les seigneurs de Roquefeuil battaient monnaie à l'atelier de Sommières vers 1226[21],[22].
- Arnaud de Roquefeuil-Anduze, seigneur d'Algues et comtor de Nant, son unique frère, se maria le 15 novembre 1228 avec sa cousine Beatrix d'Anduze, dont il eut six enfants, et il eut pour maîtresse, Ricarde de Beauvoisin, dont sont issus les Roquefeuil Versols et Saint Étienne ;
Les six enfants d'Arnaud et de Béatrix d'Anduze furent: Raymond, qui suit, Alasie, Helix mariée à Deodat de Boussages, seigneur de Bouzigues, fils d'autre Deodat et d'Helis de Lodève, Jean et Bertand.
- Raymond III de Roquefeuil, seigneur d'Algues, qui épouse en 1259 Aladie du Tournel, fille de Guigues Meschin, seigneur d'Altier, et d'Alysette Pelet d'Alès, qui lui donna dix enfants : Arnaud sans postérité, Raymond, religieux qui fut relevé de ses vœux pour se marier et qui suit, Guilhaume, Beatrix mariée à Dragonet de Joyeuse, Isabeau, Miraille, Marquise, Idoine, Guise de Roquefeuil et ... ;
- Raymond IV de Roquefeuil fut d'abord religieux, supérieur du monastère de Lunel avant de se marier le 1er juin 1287 avec Vaurie Hebrard, fille de Raymond et de Brayde, laquelle lui donna cinq enfants. C'est peut-être à sa cour que fut composé entre 1250 et 1270 par un Troubadour resté anonyme[23], Flamenca, roman de 8 085 vers octosyllabes, incomplet en son début et en sa fin[24]. Leurs enfants furent : Arnaud qui suit, Marguerite, Marie, Beatrix et Tiphaine mariée en 1318 à Pons de Thezan.
- Arnaud II de Roquefeuil, seigneur de Nant (en 1344) et du Poujet (en 1350), fut sénéchal du Périgord (en 1360).
- Chevalier du roi Jean II le Bon il combattit les Anglais en Agenais. Il fut aussi, avec Jean de Lévis, ambassadeur de Jean le Bon auprès du Roi d'Aragon pour traiter le mariage du Duc d'Anjou avec l'Infante d'Aragon. Ce même Arnaud est enfin connu pour avoir mené une guerre contre le roi de Majorque responsable de la mort d'un de ses fils. Il attaqua et battit les troupes du Roi de Majorque près de Montpellier[25]. Le Pape Clément VI arbitra le conflit en 1348 mais ne donna pas totalement raison à Roquefeuil qui déclara « l'honneur me reste, cela suffit ». Cette phrase est restée la devise des Roquefeuil.
- Les Roquefeuil-Anduze sont connus également pour avoir toujours eu des relations difficiles avec leurs voisins les chevaliers hospitaliers. Après de nombreuses escarmouches organisées par Raymond III, Arnaud II et son fils Arnaud III c'est un neveu, François (dit "Fohlon") de Roquefeuil qui finit par piller et incendier la commanderie hospitalière ainsi que la ville de Sainte-Eulalie-de-Cernon pendant la nuit du 11 juillet 1377[26].
- Arnaud II épousa le 25 janvier 1316 Jacquette de Combret, fille d'Ermengaud de Combret et de Jausimonde de Lévezou, héritière de Combret. Ils eurent comme enfants : Bernard (+sp 1343), Arnaud III qui suit, Catherine, Pierre abbé de Saint-Guilhem-le-Désert (+1374), Jacques marié à Éléonore d'Apchier, et Delphine mariée le 14 septembre 1361 avec Bérenger d'Arpajon, seigneur de Lautrec.
- Arnaud III de Roquefeuil, seigneur de Nant, d'Algues, de Combret, d'Aumelas, fut nommé capitaine de la ville de Montpellier par le sénéchal de Carcassonne. Il épousa le 5 février 1361 Hélène de Gourdon, fille de Ratier, seigneur de Castelnau-Montratier et de Catherine de Penne. Ils n'eurent que des filles :
- Isabeau de Roquefeuil, mariée à Dieudonné de Clermont-Lodève, seigneur de Brusque, dont elle eut sept enfants, dont trois garçons.
- Catherine de Roquefeuil, dame de Combret, mariée en premières noces le 13 novembre 1381 à Jean de Pujols, fils d'Hugues de Blanquefort, seigneur de Blanquefort-sur-Briolance et de Talèse (Catherine) de Madaillan, dame de Pujols, dont un fils Antoine, et en secondes noces le 14 janvier 1396 avec Pons de Castelnau, seigneur de Castelnau-Bretenoux, fils de Dieudonné seigneur de Caylus et d'Hélène, héritière de Calmont d'Olt
- Jeanne-Catherine de Roquefeuil, mariée à Jean de Lara, seigneur de Montaigu, dont elle eut deux fils, Jean et Amalric, dont on ignore la descendance.
- Éléonore,
- Delphine de Roquefeuil, mariée à Raymond de Caussade, vicomte de Calvignac et de Puycornet, dont elle eut au moins un fils, Raymond et une descendance.
Cette famille possédait le château d'Algues à Nant, dans l'Aveyron, une autre ceux de Creyssels, et de Roquefeuil aussi dans l'Aveyron, ainsi que celui de Meyrueis en Lozère. Arnaud Ier de Roquefeuil, qui était seigneur d'Algues où il teste en 1242 et qui était proche de l'ordre des Franciscains, est le premier à avoir porté les armoiries à une cordelière ; cette cordelière était d'or sur fonds de gueules qui sont les couleurs de tous les grands fiefs de l'Aquitaine, de Narbonne, de Toulouse, de Barcelonne, du Rouergue, de Carlat, de Turenne, de Gontaut,... Il portait le titre de comtour de Nant à partir de 1230[27], et ses descendants de barons de Roquefeuil et vicomtes de Creyssels[28].
La branche aînée des Roquefeuil-Anduze s'éteignit ainsi, et la descendance de Catherine de Roquefeuil avec Jean, seigneur de Blanquefort et de Pujols, reprit le nom de Roquefeuil.
Famille de Roquefeuil-Versols; les Roccafull espagnols
Arnaud de Roquefeuil (vers 1185-1243), fils de Raymond de Roquefeuil Anduze et de Guillemette de Montpellier, épousa en 1228 Béatrix d'Anduze. Arnaud eut aussi de Ricarde de Beauvoisin un fils naturel légitimé, Guillaume de Roquefeuil, représentant du Roi d'Aragon dans les négociations de Corbeil et signataire du Traité, qui eut deux fils :
Article détaillé : Guillaume de Roquefeuil.- Jean de Roquefeuil, seigneur de Versols, qui fait la souche des Roquefeuil Versols et de nombreux rameaux. Rameaux éteints de La Tour sur Sorgues, des Marquis de Londres, des seigneurs de la Roquette, de Gabriac, de Convertis, de Saint Martin d'Azirou, des sieurs de Roussières. Rameau subsistant des Roquefeuil Saint Étienne (Pierre-Frédéric Roquefeuil, docteur en médecine, maire du Caylar et conseiller général de l'hérault à la fin du second Empire)[29]
- Ramon II, amiral de Sicile, seigneur d'Avanella, auteur de la branche d'Espagne (seigneurs de la Raya, comtes de Peralada, Roccafull[3],[4])
Famille de Roquefeuil-Blanquefort
Article détaillé : Famille de Roquefeuil Blanquefort.Notes et références
- "Flamenca...", par Roberta Manetti Lettres patentes du 7 mai 1263 de Jacques Ier, roi d'Aragon, données à Lérida (cf: archives du Royaume d'Aragon - Barcelone Reg.XII Folio 29 et bulletin de la société héraldique 1879 col.52426.citées dans
- Le grand dictionnaire historique, par Louis Moreri - in "Armorial général du Rouergue établi en vertu de l'édit de novembre 1696, tome II, par Charles d'Hozier, Millau, Villefranche, éd.2009 (décrit les armes de Claude de Roquefeuil (+1719), seigneur de Versols, Convertis et autres places : de gueule à une ou trois cordelières d'or) - in Filiations languedociennes (Tome 3, page 202 et s. Mémoires et documents, 2006, isbn 2-914611-49-8), par Hubert de Vergnette de Lamotte - in Héraldique et Généalogie n°157 (revue) - in Europaische Stammtafeln (références à la lettre R), Europäische Stammtafeln, Stammtafeln Zur Geschichte Der Europaischen Staaten, Neue Folge, Herausgegeben Von Detev Schwennicke, Band XIV, "Les familles féodales de France II", Marburg, par Verlag Von J.A. Stargardt - in Dictionnaire de biographie héraultaise, par Pierre CLERC, tome 2, p1664 et s.,Les Nouvelles Presses du Languedoc Editeur, dépôt légal décembre 2006. V° Généalogies Roquefeuil - in
- Le grand dictionnaire historique - Louis Moreri
- Documents historiques - Hippolyte de Barrau
- Siège de la baronnie de Roquefeuil-Meyrueis. (Cf: Emmanuel Johans, Actes des congrès de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public' - Année 2003, vol. 34, no 34, p. 121-135).
- Jougla de Morénas, Grand armorial de France, 6, 58, no 29793.
- Saint-Géraud Forme dialectale de
- Autrefois appelée: Saint-Jean de Roquefeuil.
- Quid, V° Saint-Jean-du-Bruel)
- Michel Lamy, Les Templiers: ces grands seigneurs aux blancs manteaux, Aubéron, 1994, p. 280.
- Pierre-Albert Clément, Les chemins à travers les âges, en Cévennes et bas Languedoc, Montpellier : Presses du Languedoc, 1983, rééd. 2003, p. 266.
- fiche descriptive (IRHT / CNRS). Voir la
- ,Hippolyte de Barrau, Documents historiques et généalogiques sur les familles et les hommes remarquables du Rouergue, t. I (1857), rééd. Éditions du Palais Royal, 1972, p. 91.
- Pierre-Albert Clément, Les chemins à travers les âges, en Cévennes et bas Languedoc, Montpellier : Presses du Languedoc, 1983, rééd. 2003, p. 238.
- Pol Potier de Courcy, Nobiliaire et armorial de Bretagne, t. 2, rééd. 1993, p. 505,
- Jougla, 6, 58, no 29793.
- Jacques Fabre de Morlhon, « Le Roman de Flamenca dans son contexte historique », Mélanges de philologie romane offerts à Charles Camproux, Centre d'Etudes Occitanes, 1978, vol. I, p. 89.
- texte Émile Caron, Les « monnaies de Roquefeuil », Annuaire de la société de numismatique, année 1889, [p. 5-14], Modèle:P.9
- Les Conciles de la France capétienne jusqu'en 1215 par Odette Pontal - 1995 Paris, Éditions du Cerf/IRHT (CNRS)
- "La chanson de la Croisade contre les Albigeois" : principaux épisodes / traduits par Jean Audiau -E. de Boccard (Paris)-1924
- M. Poey d'Avant, Monnaies féodales françaises, Tome II, Pages 297 et 298
- Les monnaies Roquefeuil - Emile Caron
- Encyclopedia universalis, édition 2009, article Flamenca ; René Nelli, Le Roman de Flamenca, un art d'aimer occitanien au XIIIe siècle, Toulouse, Institut d'études occitanes, 1966
- Étude sur le roman de Flamenca: poème provençal du XIIIe siècle" ISBN 2-05-100164-2 -Page 101 Voir notamment: Charles Grimm "
- "Histoire du royaume de Majorque avec ses annexes" - Page 280 cf. Vaquette d' Hermilly - 1777 -
- Alfred Jeanroy, Université de Toulouse, Paul Dognon "Annales du Midi", Volume 103,Numéros 193 à 196 E. Privat, 1991 Anthony Luttrell, Léon Pressouyre "La commanderie: institution des ordres militaires dans l'occident médiéval" CTHS. Comité des travaux historiques et scientifiques, 2002 et Antoine Thomas,
- Titre dans un hommage aux comtes de Rodez.
- Le Spécilège ou Spicilegium de Dom Luc Achery, moine bénédictin de la congrégation de Saint Maur - Volume VIII - BN.
- "Généalogie Roquefeuil Versols", in Filiations languedociennes (Tome 3, Mémoires et documents, 2006, isbn 2-914611-49-8), par Hubert de Vergnette de Lamotte
Bibliographie
Généalogies Roquefeuil
- (fr) V° "Généalogie de Roquefeuil", in Le grand dictionnaire historique, par Louis Moreri
- (fr) V° "Généalogie de Roquefeuil", in Documents historiques, par H. de Barrau
- (fr) V° "Généalogie Roquefeuil Versols", in Filiations languedociennes (Tome 3, Mémoires et documents, 2006, (ISBN 2-914611-49-8)), par Hubert de Vergnette de Lamotte
- (fr) V° "Généalogie Roquefeuil Versols", in Europaische Stammtafeln (références à la lettre R), Europäische Stammtafeln, Band XIV, Marburg, par Verlag Von J.A. Stargardt
- (fr) V° "Généalogie de Roquefeuil", in Dictionnaire de la noblesse, par La Chesnaye Desbois, date, pp.
- (fr) V° "Généalogie de Roquefeuil", in Annuaire de la noblesse de France, 1898, par Borel.
- (fr) V° "Généalogie de Roquefeuil Cahuzac, Versols & Peralada", in XXX, par Vicomte de Bonald.
- (fr) V° "Généalogie de Roquefeuil en Rouergue par Chérin - Bibliothèque Nationale - Chérin 214 D3552.
Autres
- (fr) M. Poey d'Avant, Monnaies féodales françaises, Tome II
- Christian-Pierre Bedel, Nant : La Cavalariá, La Cobertoirada, L'Espitalet, Sauclièras, Sent-Joan-del-Bruèlh/ Nant : La Cavalerie, La Couvertoirade, L'Hospitalet, Sauclières, Saint Jean du Bruel, Mission départementale de la Culture, Rodez, 1994, 239 p. (ISBN 2-907279-20-3)
Articles connexes
Catégories :- Généalogie patronymique
- Famille noble française
- Quercy médiéval
- Personnalité de l'Aveyron
- Seigneur du Moyen Âge
- Grande famille du Moyen Âge
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