- Parc Astérix
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Parc Astérix Ouverture 30 avril 1989 Ville / (Dépt.) Plailly, Oise (État) / Pays France
Propriétaire CDA Parks ex-Grévin & Cie et Groupe Parc Astérix Type de parc Parc à thèmes Nombre d'attractions Total : 31 Nb de montagnes russes : 6 dont 2 junior
Nb d'attractions aquatiques : 4Site Web www.parcasterix.fr Coordonnées
géographiquesGéolocalisation sur la carte : France Le Parc Astérix est un complexe comprenant un parc à thèmes et un hôtel ouvert le 30 avril 1989 et géré par le groupe de loisirs CDA Parks depuis 2002. Le parc à thème est consacré à l’univers de la bande dessinée d'Uderzo et Goscinny : Astérix. Il est situé à Plailly, dans l’Oise, à une trentaine de kilomètres de Paris.
Sommaire
Historique
Le Parc Astérix est, avec Big Bang Schtroumpf, Mirapolis et Zygofolis, l'un des grands projets dans les parcs de loisirs français à la fin des années 1980. La société "Parc Astérix SA" est fondée en 1985. À la tête du projet, le groupe financier britannique Barclays réunit vingt autres investisseurs dont l'Union des assurances de Paris, la Région Picardie, la Compagnie générale des eaux, le groupe Havas[1]. Six concepteurs, parmi lesquels Pierre Tchernia et Uderzo, se penchent sur la conception du parc. L'investissement représente 850 millions de francs français (130 millions d'euros) pour un millier d'emplois créés[2]. L'emplacement est choisi – entre autres – en raison de son réseau de communications. L'aéroport Paris-Charles-de-Gaulle n'est qu'à dix kilomètres, un échangeur privé relie le parc à l'autoroute A1 et un service de navettes fait la jonction avec une ligne de métro[1]. Deux millions de visiteurs sont attendus en 1989.
Jack Lang, ministère de la Culture inaugure le parc de loisirs le 30 avril 1989 après deux ans de travaux. Il est composé à l'époque de cinq quartiers thématiques : la via antiqua, le village d'Astérix, la rue de Paris, le grand lac et la cité romaine. Les premières semaines, le parc est victime de son succès et les visiteurs en sont excédés. La gestion des foules pose problème. La bretelle autoroutière n'est pas assez longue, les parkings de 8 500 places se remplissent trop lentement, les quelques attractions ne tournent pas suffisamment vite et surtout le nombre de places assises dans les restaurants est insuffisant. La fréquentation s'effondre du fait de l'insatisfaction du public. Sur les deux millions de visiteurs attendus, 1 340 000 se déplacent. Les premières années sont rudes. Le parc éprouve des difficultés financières en automne 1989, entre autres à cause d'une fréquentation décevante[3]. Un tiers des capitaux apportés par l'actionnariat sert à combler le déficit d'exploitation du premier exercice. Les deux tiers restants servent à augmenter la capacité d'accueil. La deuxième saison débute le 4 avril 1990 avec 60 millions de francs investis (près de 10 millions d'euros) en attractions, aménagements, restauration et réparation ainsi qu'une nouvelle zone : la place de Gergovie. L'année se clôture avec de meilleurs scores : 1 453 000 visiteurs, un chiffre d'affaires de 260 millions de francs (40 millions d'euros) qui représente une augmentation de 22% sur le premier exercice. Le parc de loisirs investit 19 millions de francs (3 millions d'euros) pour l'ouverture de la saison 1992. Le 12 avril 1992, Eurodisney ouvre ses portes et la fréquentation du parc Astérix plonge : moins 30%[3]. Le chiffre d'affaires fait de même : moins 19% pour atteindre 170 millions de francs français (26 millions d'euros). Les chiffres font craindre la faillite. Le directeur, Olivier de Bosredon, prend des mesures drastiques telles licenciements, restrictions budgétaires. Pourtant, les familles sont apprivoisées par l'idée de grands parcs de loisirs via la communication Disney et ceci profite au parc gaulois. De plus, il se positionne vis-à-vis de ce concurrent. Il incarne l'exception culturelle française et est, à ce titre, régulièrement comparé à l'américain Disneyland Paris, en déficit chronique[4].
En 1994, la prospérité arrive grâce à l'ouverture de la zone grecque représentant 20 millions de francs (3 millions d'euros). La fréquentation est en hausse (1,5 million de visiteurs), les ventes augmentent de 32% pour atteindre 270 millions de francs français (plus de 40 millions d'euros). Pour la première fois de son histoire, le parc à thème est rentable[3]. Depuis, le parc n'a cessé de gravir les échelons jusqu'à s'établir dans le trio de tête des parcs français au regard de sa fréquentation. L'année 1997 s'avère exceptionnelle pour le parc grâce à 1,9 million de visiteurs qui est attiré par la nouveauté de l'année : le tonnerre de Zeus. Il lui permet de réaliser sa meilleure saison depuis son ouverture. En effet, le chiffre d'affaires ainsi que la fréquentation progressent de près de 14 % en un an[5]. La même année, Parc Astérix SA est introduit en bourse. En 1998, il achète le grand aquarium Saint-Malo. En 1999, il fusionne avec le musée Grévin. Dans le but de créer le premier groupe français de loisirs, le parc Astérix lance une OPE sur la société du musée Grévin. Cette opération se traduit par l'échange d'actions entre les actionnaires des deux sociétés[6]. L’entreprise devient alors Grévin & Compagnie SA. Cette année, l'hôtel des 3 hiboux est inauguré en juillet. La saison 1999 se clôture en hausse : deux millions de visiteurs, 300 000 entrées de plus qu'en 1998. Le résultat comptable suit la même tendance : une hausse de 30%[7]. En 2002, Disneyland Resort Paris inaugure son deuxième parc à thèmes : Parc Walt Disney Studios. Ceci fait craindre un important recul de la fréquentation mais ce n’est pas le cas. D’ailleurs, 1 750 000 visiteurs se rendent à Plailly, soit 100 000 de plus que prévu. La même année, la Compagnie des Alpes acquiert Grévin & Cie via une OPA et créé CDA Parks[3].
En 2005, le parc à thème veut contrer Halloween et lance la « fête des druides »[8] avant de revenir sur sa décision en 2009 en fêtant Halloween lors de l'évènement « peur sur le parc Astérix »[9]. Néanmoins, depuis plusieurs années, la timidité des investissements pèse sur la popularité du site, boudé par les ménages. La fréquentation s'érode en 2007 (1 620 000 visiteurs en 2007, soit - 4,7 %)[10] et le complexe de loisirs est relégué à la troisième place du palmarès français, dépassé par le Futuroscope et Disneyland Paris. Cette même année, il ouvre pour la première fois lors des fêtes de Noël[11]. En 2008, le parc connait une hausse de la fréquentation de plus de 12 % et une progression du chiffre d’affaires de 7,54 %. Cette progression s’explique par une augmentation du nombre de jours d’ouverture (suite au lancement de la saison hivernale). Le site renoue ainsi avec une fréquentation en hausse, après trois années de baisse. Pour célébrer les vingt ans du parc en 2009, un programme de rénovation des attractions est lancé ainsi qu'une réhabilitation du parc. Entre autres, la statue emblème d'Astérix est dorée pour l'occasion avant de retrouver ses couleurs habituelles la saison suivante. Le groupe a prévu d'aménager 30 000 m2 de nouvelles attractions d'ici 2014 sur le site du parc Astérix, ainsi que 100 nouvelles chambres (ce qui portera le nombre total de chambres disponibles à 200)[12]. Le parc construit un centre de conférences à destination d’une clientèle d’entreprises. Quatre ans après la première édition, le Parc Astérix n'organise plus de saison hivernale en 2011.
Direction
Le parc est détenu par le groupe CDA Parks, anciennement Grévin & Cie, tout comme France miniature, Le Bioscope, La Mer de sable, le Musée Grévin ou les parcs Walibi.
Ce parc a été dirigé par Alain Trouvé de 1999 à fin 2007, directeur général du parc et du service loisirs du groupe CDA Parks. Début 2008, François Fassier (ancien directeur technique de Disneyland Paris) succède à Alain Trouvé au titre de directeur du Pôle France Nord de la CDA. En 2010, il en devient directeur industriel. Après avoir travaillé durant 15 ans à Bellewaerde, Filip De Witte devient directeur d’exploitation du Parc Astérix en 2008.
Composition du parc
Le parc se décompose en plusieurs parties, plus ou moins en rapport avec le monde d'Astérix.
Via Antiqua
Cette zone permet l’accès au cœur du parc. On y retrouve tous les services traditionnels, comme les points d’information, les caisses, etc. La « rue » contient également de nombreuses boutiques et points de restauration comme le grand marché de Lutèce, les galeries gauloises, le palais bonbon, chez Rahazade, Numérobis, Gravédanlonix, le bon légionnaire, etc.
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Petit Manneken-Pis
L'Empire romain
Une fois sorti de la Via Antiqua, la zone se présente comme entièrement décorée sur le thème de l’Empire romain. Fidèle à la bande dessinée, on y retrouve panneaux et inscriptions humoristiques (dont un panneau indiquant Rome dans toutes les directions conformément au proverbe bien connu). Ce quartier propose cinq attractions et un spectacle :
- Romus et Rapidus : un Rapid river mouvementé à bord de grosses bouées, construit par Intamin en 1989 (anciennement La Descente du Styx, renommée en 2007).
- Les Espions de César : circuit en monorail, où les visiteurs embarquent à bord de petits véhicules et peuvent pédaler pour avancer plus vite (Caripro, 1998).
- Le Carrousel de César : carrousel thématisé sur les principaux personnages de la BD (Atelier 1900 et Eurosujet, 1989).
- Le petit train : train pour enfant (Zamperla, 1989).
- le Défi de César : mad house (Mack Rides, 2008).
- La Légion recrute : spectacle humoristique mêlant numéros de cirque, de magie et de trapèze-élastique au cœur des arènes. Anciennement Les Stars de l'Empire jusqu'en 2006 et toujours dans l'arène de 500 places après la Via Antiqua.
La Grèce
Ce quartier reçoit la thématique grecque en 1994, il était auparavant englobé dans le quartier du Grand lac. La Grèce antique est une zone aux abords de l’Empire romain. Entièrement thématisée sur le monde hellénique et sa mythologie, présentée dans le style humoristique célèbre à la bande dessinée d’Uderzo et Goscinny. Cinq attractions et un spectacle sont situés dans cette zone :
- Le Cheval de Troie : attraction de type tapis volant (Zierer, 1989).
- Le Vol d’Icare : montagnes russes thématisées sur l’envol puis la chute du fils de Dédale, construit par Zierer en 1994.
- La Rivière d'Élis : paisible voyage à bord de petites bouées dans les typiques jardins grecs (Mack Rides, 1997).
- L'Hydre de Lerne : attraction type octopus ou pieuvre (Schwarzkopf, 1995).
- Tonnerre de Zeus : montagnes russes en bois d'une hauteur de trente-trois mètres et d’une vitesse avoisinant les 80 km/h (Custom Coasters International, 1997).
- Le Théâtre de Poséidon : spectacle de dauphins et otaries (1989).
Les Vikings
Les Vikings est une zone entourant l’étendue d’eau du parc (anciennement le grand lac). C’est un des lieux principaux où se déroule l’événement Lutèce Plage. Le quartier thématique accueille six attractions :
- La Galère : attraction type bateau à bascule (Zamperla, 1989).
- L’Escadrille des As : manège de petits avions (Zamperla, 1989).
- Le Mini-Carrousel : carrousel pour tout petit (1990).
- Les Petits Drakkars : manèges de petits bateaux (Zierer, 1989).
- Les Petites Chaises volantes : manège de chaises volantes réservé aux enfants (Zierer, 1989).
- Goudurix : montagnes russes en métal (Vekoma, 1989). Longtemps détentrices du record européen d’inversions, elles sont détrônées depuis par le Dragon Khan de PortAventura. Sept inversions : butterfly (1: 2 inversions), boomerang (1: 2 inversions), looping (1), Double tire-bouchon (1: 2 inversions). Certains fans critiquent cependant la violence de cette attraction signée Vekoma[réf. nécessaire].
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L'attraction Goudurix surplombant le Grand Lac
À travers le temps
Ancienne zone la rue de Paris.
C’est la première zone ayant un thème précis en dehors d’Astérix. Elle est axée sur la vie du Moyen Âge, les chevaliers, etc. Une partie couverte regroupe plusieurs artisans comme un sculpteur sur pierre, un sculpteur sur bois, un maître verrier, un forgeron ou encore un potier, qui réalisent leur production sous les yeux des visiteurs. La zone évolue ensuite, passant du Moyen Âge aux XVIIe et XVIIIe siècles. Dans la partie couverte de la rue de Paris, on retrouve diverses animations, projections de films, boutiques et décors dans la lignée du Paris des temps modernes. Le visiteur y trouve cinq attractions et un spectacle :
- Transdemonium : train fantôme thématisé sur l’an Mil (Farmer Studios et WGH, 2003).
- Les Chevaux du Roy : carrousel semblable à son grand frère, plus orienté sur un thème médiéval (Atelier 1900 et Eurosujet, 1996).
- Nationale 7 : circuit de tacots au travers d’une petite campagne évoquant la route bleue (Mack Rides, 1992).
- Les Chaises volantes : manège de chaises volantes, réservé aux plus grands (Schwarzkopf, 1989).
- L'Oxygénarium : descente de bouées dans un grand toboggan (WhiteWater West, 1999). « Ferdinand de Teffélé, à l’occasion de la Foire aux inventions de Paris, propose une machine pour prendre un bol d’air. Décontamination, expiration, arrivée aux sommets des cimes et c’est la chute ». Design conçu par Farmer Studios.
- Les Chariots fantômes : attraction maintenant détruite, l'ancêtre du Transdemonium. Elle n'a jamais été ouverte au public.
- Main basse sur la Joconde : spectacle de cascades. Une course poursuite entre voleurs et gendarmes, avec effets pyrotechniques (1996).
- Le spectacle de la rue de Paris : spectacle d'animatroniques. Ce spectacle a été supprimé de la programmation du parc en 2010.
La Gaule
Zone reconstituant partiellement le village d’Astérix vu dans la bande dessinée. Depuis 2004, le village ouvre à partir de 12 h 30, avec une mise en scène. C’est le principal lieu où l’on peut retrouver les personnages pour les prises des photos.
Cette zone est composée d'une part du village d'Astérix et d'autre part du quartier anciennement nommée la place de Gergovie, puis le domaine lacustre. Cette zone propose dix attractions et un spectacle :
- Épidemaïs Croisière (ex-Balade d'Astérix) : circuit de petits bateaux faisant le tour du village (Tow boat ride, Intamin AG, 1989), où l’on retrouve les personnages des principales aventures d'Astérix (Astérix chez Rahàzade, Astérix chez les Helvètes, etc.).
- La Forêt des druides : zone de jeux pour enfants avec toboggans, grotte magique... conçue par les deux architectes Catherine Rannou et Isabelle Devin (à l'origine du jardin des vents et des dunes au Parc de la Villette à Paris). Elles ont imaginé et créé les objets dynamiques, tels bain à brumisateur, champignon crachant de la fumée, et ont aménagé le jardin (1998).
- Les Chaudrons : manège de type tasses avec des chaudrons (Mack Rides, 1990).
- Menhir Express : attraction type flume. Voyage mouvementé à travers la forêt pour finir sur une chute de treize mètres (Hopkins Rides, 1995).
- La Trace du Hourra : montagnes russes bobsleigh construite par Mack Rides, 2001. Neuf cent mètres de descente pour une vitesse approchant les 60 km/h. Attraction visible depuis l’autoroute.
- Le Grand Splatch : circuit aquatique sur les hauteurs du rocher d’Astérix (emblème du parc, visible depuis l’autoroute) se terminant par une chute (type River Splash, Intamin AG, 1989).
- Périférix : montagnes russes junior construites par Zierer d'une longueur de deux cents mètres (1990).
- La Ronde des Rondins : montagnes russes junior réalisées par Zierer composées d'un parcours en cercle de soixante mètres (1989).
- La Petite Tempête : music express (Mack Rides, 1990).
- Les Petits Chars Tamponneurs : autos-tamponneuses (Zierer, 1989).
- Assurance Fou-rire - 2000 à 2008.
- Bernard Bilis : spectacle de magie se déroulant dans le théâtre de Panoramix de 600 places depuis 2007.
L'Égypte (Inauguration en avril 2012)
Cette toute nouvelle zone de 2 ha qui aura pour thème l'Égypte ancienne et qui inclura une attraction inédite en France, sera inaugurée en avril 2012. La nouvelle zone et la nouvelle attraction représentent un coût de 20 millions d'euros ; le plus gros investissement du parc depuis sa création[13].
L'attraction en construction est un "inverted coaster" (montagnes russes inversées). Elle se situe derrière l’attraction Périférix, non loin de l'Oxygénarium et du Menhir Express. Son parcours comprendra cinq inversions après un lift de 40 m : un looping plongeant de 30 m de haut (ce qui fait de cette attraction le premier inverted coaster à en posséder un), un looping de 25 m, un immelmann de 22 m, un tire-bouchon puis un zero-G roll ; sans oublier le passage sous un bassin[14]
Incidents
Accidents
- Le 5 juillet 2006, un enfant belge de six ans est mort noyé dans l'attraction La Descente du Styx, aspiré par les pompes, à l’endroit le plus profond du parcours. L’enfant faisait partie d’un groupe de centre aéré, et avait embarqué sans moniteur. L'enquête de police a mis hors de cause la direction du parc et ses employés. D'importants travaux ont été réalisés jusqu'à sa réouverture. C'est complètement réhabilitée que l'attraction a accueilli à nouveau des visiteurs en 2008 sous l'appellation « Romus et Rapidus ».
Insécurité
Le parc a été le lieu de plusieurs scènes de violences envers des touristes commises par des « jeunes » de banlieue.
- Le 23 mai 2010, une famille a été violemment pris à parti par des individus originaires des Ulis sur l'aire de pique-nique[15].
- Le 11 juillet 2010, une rixe a éclaté lorsque des individus originaires de Villiers-le-Bel ont tenté de doubler dans la file d'attente. Quatre personnes avaient alors été blessées, dont une grièvement[16].
Depuis 2010, la direction affirme avoir pris des mesures spécifiques[17]. Ce train de mesure semble avoir intéressé divers représentants publiques, dont le Préfet de l'Oise qui s'est rendu sur place en début de saison. Le Préfet, assisté de la DDPP (Direction Départementale de la Protection des Populations) y a mené une batterie de contrôles concluants afin de vérifier l'hygiène et la sécurité du site[18].
Notes et références
- LeSoir.be Marchera, marchera pas:Big bang schtroumpf par Joelle Meskens - 24/05/1989
- LeSoir.be Airs d'ailleurs - 18/01/1989
- Sébastien Roffat, « Disney et la France: les vingt ans d’Euro Disneyland », Éditions L’Harmattan, 2007 ou Sébastien Roffat, « Disney et la France: les vingt ans d’Euro Disneyland » sur Google livres, Éditions L’Harmattan, 2007. Consulté le 29 août 2011
- La potion magique du parc Astérix
- LeSoir.be Astérix a la cote - 15/11/1997
- LeSoir.be Brèves économie - 23/03/1999
- LeSoir.be Les comptes d'Astérix - 23/10/1999
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Liens externes
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