Granchain

Granchain

49° 02′ 28″ N 0° 39′ 34″ E / 49.0411, 0.6594

Granchain
Mairie de Granchain
Mairie de Granchain
Administration
Pays France
Région Haute-Normandie
Département Eure
Arrondissement Arrondissement de Bernay
Canton Canton de Beaumesnil
Code commune 27296
Code postal 27410
Maire
Mandat en cours
Daniel Perdriel
Démographie
Population 228 hab. (2008)
Densité 28 hab./km²
Géographie
Coordonnées 49° 02′ 28″ Nord
       0° 39′ 34″ Est
/ 49.0411, 0.6594
Altitudes mini. 144 m — maxi. 174 m
Superficie 8,12 km2

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Granchain, dénommée jusqu'au 3 octobre 2008 Grandchain[1], est une commune française, située dans le département de l'Eure et la région Haute-Normandie.

Sommaire

Géographie

Granchain se situe dans l'Eure (département) à la limite nord du Pays d'Ouche.
Entouré par les communes de Sainte-Marguerite-en-Ouche, Saint-Aubin-le-Vertueux, Saint-Clair-d'Arcey, Corneville-la-Fouquetière et Saint-Aubin-le-Guichard, Granchain est à mi-chemin entre Bernay (Eure) (au nord) et Beaumesnil (Eure) (au sud).

Paysage de Granchain

C'est un petit village avec un habitat dispersé en hameaux sur un plateau où se succèdent des bois et des champs voués à l'agriculture et l'élevage, paysage traditionnel du pays d'Ouche qui n’a rien changé à ses mornes étendues entre l’orée des bois, et seul y compte la magnificence du nuage, sur l’outremer atmosphérique (La Varende).

Ses habitants sont appelés les Granchinois et les Granchinoises.

Village de Granchain

Toponymie

Granchain est attesté sous les formes : Grant Kahin dans le dotalitium de la reine Judith vers l'an 1000, Grantchain dans un titre de 1391, Granchehen dans des archives notariales de Bernay en 1400.

L'élément Kahin semble se retrouver au féminin dans Cahaignes (Cahainnes 1134) et Chaignes (Cahaniis sans date), autres communes de l'Eure[2].

En outre, on note dans l'ouest : Cahagnes (Calvados, Chaaines 1135, une famille de Cahaignes / Cahagnes a donné les Keynes de Grande-Bretagne) et Chahaignes (Sarthe, Chahannae IXe siècle).

Ernest Nègre[3] propose le bas latin catanus, genévrier, d'origine « préceltique », suivi du suffixe -ia. Le mot latin tardif cata a donné le vieux provençal cada, genévrier, dont est issu le français cade (huile de cade).

Cependant, aucune forme ancienne n'est du type *Catanea, *Cadenea et la localisation uniquement dans le nord ouest de ce type toponymique rendent douteux cette interprétation. En fin de compte, l'origine et le sens de cet appellatif restent obscurs[4].

Histoire

Granchain au Moyen Âge

Avant le Xe siècle, la localité de Granchain était attachée à un moulin et devait un jour former paroisse.
Au partage de la Neustrie par les Normands, la Carentonne et ses localités voisines dont Granchain, globalement la région de Bernay, restèrent dans le domaine ducal. Vers les années 995 - 1008, Granchain, mentionné comme Maitgrant Kahin, est détaché du domaine ducal pour former la dotation de la reine Judith de Bretagne lors de son mariage avec Richard II de Normandie. Pour des raisons inconnues, Judith ne disposa pas de sa dotation en faveur de son abbaye de Bernay.
En regard des successions, au XIe siècle, le domaine de Granchain appartenait très probablement à la famille Alis (orthographié parfois Alys). Guillaume Alis, premier du nom, fut compagnon de Guillaume le Conquérant à la bataille d'Hastings le 14 octobre 1066. Son petit-fils, Guillaume Alis, troisième du nom, étant mort sans enfants, c'est Guillaume de Sacquenville qui hérite de ses fiefs.

Vers 1119, Éloi Le Blanc, chevalier, était seigneur d'un fief à Granchain, donne à l'abbaye du Bec par l'entremise de Luc, archidiacre d'Évreux, les deux tiers de la dîme qui lui appartenaient. En 1199, Jean de Sacquenville, suzerain du lieu, et son frère Gilles approuvent les largesses faites à l'abbaye du Bec par Éloi Le Blanc et ils renoncent à toutes prétentions sur la dîme donnée aux religieux. À la fin du XIIIe siècle, messire Raoul d'Harcourt, seigneur de Carentonne, hérite du domaine de Granchain par son mariage avec Jeanne de Sacquenville. Leur fille et héritière, Isabeau d'Harcourt, épousa en premières noces Pierre de Mauvoisin à qui elle apporte le domaine. À la mort de son premier mari, elle épouse Jean d'Achey (orthographié parfois Aché ou encore Achy) dit Le Grand Gallois dont elle aura 4 enfants. En 1420, le roi d'Angleterre Henri V retira le manoir de Granchain au « chevalier rebelle » Jean d'Achey dit Le Petit Gallois pour le distinguer de son père, et le donna à sir Thomas Walton qui fut en 1425 speaker du Parlement d'Angleterre d'Henri VI. Quelques années plus tard, Le Petit Gallois récupera finalement son fief de Granchain.

Après les d'Achey, Granchain appartint aux familles d'Avoise et du Rouyl. Ainsi Jehan d'Avoise († après 1478), chevalier, seigneur de Granchain et du Homme, fut-il trouvé absent lors de la montre tenue les 17 et 18 mars 1469 à Beaumont-le-Roger par Louis, bâtard de Bourbon († en 1487), comte de Roussillon en Dauphiné, amiral de France et lieutenant-général de Normandie[5].

Granchain aux Temps Modernes

Plus tard, la seigneurie de Granchain semble être passée entre les mains d'Eustache du Rouyl, seigneur des Loges et des Retailles, et de sa femme Magdeleine de Bricqueville (marié le 16 décembre 1527 au manoir de Sainte-Croix-Grand-Tonne) car leur fille Florence du Rouyl, fille d’honneur de Diane de Poitiers (1499-1560), duchesse de Valentinois, puis de Catherine de Médicis (1519-1589), apporta Granchain vers 1550 à son mari Charles-Robert du Quesnel († le 25 décembre 1567), baron de Coupigny (aujourd'hui Landelles-et-Coupigny), seigneur d’Anet, nommé capitaine de 300 hommes de pied français servant en Piémont, plus connus sous le nom des Bandes noires, par commission donnée en août 1555 à Anet par le roi Henri II, gentilhomme de sa chambre par lettres de provision du 25 avril 1560, second fils de Louis du Quesnel, fait chevalier par Louis XII en 1509 et anobli par [[François Ier]] en 1515, et de sa femme Françoise Le Bœuf, dame du Fresne. Charles-Robert du Quesnel céda à son épouse la terre d’Anet, anciennement Anetais, que Florence du Rouyl céda ensuite à Diane de Poitiers et où le roi Henri II, son amant, fit construire l’actuel château Renaissance par Philibert Delorme et Jean Goujon, entre 1545 et 1555. Le même Charles-Robert du Quesnel présentait à la cure de Granchain en 1561. De cette alliance vinrent au moins 4 enfants : Gabriel Ier, qui suit, Florence, Jeanne-Charlotte, femme de Jean de Briqueville, seigneur de Sainte-Croix-Grantonne et du Mont-Canisy en la paroisse Saint-Christophe de Bénerville-sur-Mer, et enfin Françoise du Quesnel[6].

Seigneur et patron de Grandchain en 1575 mais aussi marquis de Coupigny, baron de Saint-Just, et chevalier de l’ordre de Saint-Michel, Gabriel Ier du Quesnel († après 1598) fut nommé à la tête d’une compagnie d’ordonnance de 50 lances par brevet du 2 juillet 1589 accordé par le roi Henri III et confirmé à la tête de cette compagnie au camp de Darnétal par brevet du 31 juillet 1591 accordé par le roi Henri IV. Il avait épousé en 1res noces le 6 août 1577 Isabeau d’Alègre, marquise d’Alègre en 1599, fille de feu Antoine d’Alègre, seigneur de Millau, et de son épouse Françoise de Mailly, qui lui donna : Gabriel II qui suit, Marguerite, femme de Pierre de La Mouscière, seigneur de Baijosse, et enfin Pierre du Quesnel, baron de Saint-Just, qui fut chevalier de Malte, quitta l’ordre et épousa Isabeau de La Rochefoucauld, dame de Combronde. Gabriel Ier du Quesnel se remaria en 1598 avec Charlotte de Clermont-Tallart, veuve de Jean d’O, vicomte de Manou, fille d’Antoine III, comte de Clermont, et de Françoise de Poitiers, qui lui donna Florence du Quesnel, femme de Gilles d’Aubigné[7].

Du 1er lit vint donc Gabriel II du Quesnel, marquis d’Alègre au droit de sa mère, chevalier de l’ordre de Saint-Michel, qui épousa le 5 juin 1599 sa cousine Ludovicienne d’O, fille desdits Jean d’O, vicomte de Manou, et Charlotte de Clermont-Tallard. D’où au moins 2 enfants légitimes, Gabriel III et Charles II, et un fils illégitime, Gabriel IV dit Laval, qui vivait encore en 1649. Gabriel III du Quesnel, marquis d’Alègre, gouverneur d’Évreux, fit son entrée solennelle en celle ville en 1639, après avoir épousé en 1637 sa cousine Marguerite du Quesnel, qui ne lui donna aucune postérité[7].

C'est probablement le marquis d’Alègre et sa femme Marguerite du Quesnel qui vendirent le fief de Granchain, manifestement après 1652, à François II Liberge (ca 1612 - Grandchain 14 novembre 1661)[8], fils de maître Emery Liberge, lieutenant général de monsieur le bailli de Mauny en la vicomté de Plasnes en 1609-1627 au moins, enquêteur et commissaire examinateur pour le roi en la vicomté d’Orbec, prévôt la charité de Sainte-Croix de Bernay en 1623, et de son épouse Charlotte de Monteilles (mariée avant 1607, † après 1622). Lui-même écuyer, vicomte baillivial et juge criminel ès vicomtés de Plasnes et d’Échanfray à Notre-Dame-du-Hamel jusqu’à 1653 au moins, frère servant en la charité de Sainte-Croix de Bernay en 1653-1654, le nouveau seigneur de Granchain fut anobli par lettres patentes données en septembre 1649 par le jeune roi Louis XIV et enregistrées en la Cour des Aides de Normandie à Rouen le 2 avril 1650 [9], bien que ses ancêtres prissent la qualité de nobles depuis la seconde moitié du XVIe siècle. Ces patentes précisent que François II Liberge demeurait alors à Orbec, ce qui ne laisse pas d’étonner si l’on sait qu’aux alentours des fêtes de la Pentecôte de l’année 1649, une épidémie de peste s’était étendue sur cette ville où elle fit un grand nombre de victimes, et que c’est en cherchant bientôt refuge à Lisieux et à Bernay que les bourgeois d’Orbec y auraient apporté la contagion [10]. Enfin, François II Liberge fut procureur de François Feydeau de Brou († en 1666), nommé XXXVIIe abbé de Notre-Dame de Bernay, sur la résignation de son oncle Dreux Hennequin de Villenoce (1574-1651) en sa faveur, pour prendre possession de ladite abbaye de Bernay, le 30 octobre 1649, puis du prieuré Saint-Nicolas de Maupas à Capelles-les-Grands, le 9 mai 1650 [11]. Écuyer, licencié ès-lois, il exerçait la charge de sénéchal de la baronnie de Bernay le 12 octobre 1652. Son acte d’inhumation rédigé en 1661 par son cousin André de Monteilles, curé de Grandchain, le désigne ainsi : « escuyer, seigneur et patron de cette paroisse, honneur très considérable pour l’exercice de la justice et autres […] dont il estoit doüé ». D’une épouse encore inconnue, il eut au moins 3 enfants, lesquels auraient renoncé à la qualité de nobles lors de la recherche commencée en 1666[12].

Armoiries concédées en septembre 1649 à François II Liberge (ca 1612 - 1661 Granchain), écuyer, vicomte de Plasnes et d’Échanfray, depuis seigneur et patron de Granchain, et sénéchal de la baronnie de Bernay.

La famille de Liberge fut longtemps influente sur la paroisse et en particulier à la fin du XVIIIe siècle, avec Guillaume Jacques Constant de Liberge de Granchain (1744-1805), seigneur et patron de Granchain, amiral de France.

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001   Maurice Couzin    
mars 2008   Daniel Perdriel    
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Démographie

Évolution démographique
(Source : Insee[13])
1962 1968 1975 1982 1990 1999
156 157 176 157 181 225
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

Lieux et monuments

Le château de Liberge de Granchain.

Le château de Granchain, inscrit à l'Inventaire général du patrimoine culturel, fut construit dans le style Louis XVI entre 1783 et 1785, sur les plans que l'amiral de Granchain traça lors de ses voyages en mer, à l'emplacement d'un vieux manoir mentionné depuis 1119. C'est l'architecte bernayen Jacques Fresnel (1755-1803) qui est chargé des travaux. Jacques Fresnel épousa en 1785 Charlotte-Augustine Mérimée, l'une des filles de François Mérimée, avocat, dont il eut Augustin Fresnel (Broglie 1788 - Ville-d'Avray 1803). Charlotte-Augustine Mérimée était la tante de l'écrivain Prosper Mérimée (1818-1870). Quant à l'amiral de Granchain, il rapporta d'Amérique du Nord graines et semences de plusieurs essences d'arbres qu'il planta dans le parc et dans tous les environs du château.

Descendants de Liberge de Granchain, les Deshayes de Forval puis les La Barre de Nanteuil furent propriétaires du château jusqu'en 1920, époque où il passa à la famille d'un industriel, Victor du Lac de Fugères (17 avril 1870 en Haute-Loire - 17 novembre 1928), qui fit venir des exploitants hollandais pour cultiver ses propriétés. En 1966, le domaine fut acheté par l'OHT (Œuvre de l'Hospitalité du Travail), association Loi 1901, reconnue d'utilité publique et ayant pour but d’aider moralement et matériellement les femmes qui, par suite de circonstances accidentelles ou habituelles, ne sont pas en mesure de gagner normalement leur vie. Sous la houlette des sœurs de Notre-Dame du Calvaire de Gramat, dans les Causses, qui le baptisèrent du nom de leur fondateur, le bienheureux Pierre Bonhomme (1803-1861)[14], l'OHT demeura jusqu'en 2007 au château de Granchain, avant que ce dernier ne fût revendu à un particulier.

Église Saint-Pierre de Granchain.

L'église Saint-Pierre, également inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel, présente un gros œuvre en partie du XIIe siècle, des baies repercées au XVIe siècle, ainsi qu'un chœur et une nef reconstruits au XVIIIe siècle. Suite à un incendie dû à la foudre, une campagne de restauration générale fut entreprise en 1880 par l'architecte Ludovic Renou (Laigle 1833 - ?), architecte du département de l'Eure de 1866 à 1880, sous la houlette du maître d'œuvre Daniel Darcy (Cateau-Cambrésis 20 mars 1823 - 23 novembre 1904), architecte diocésain d'Évreux depuis le 10 août 1872. Dans le style néo-gothique flamboyant, ces derniers ajoutèrent des ouvertures de pierre et construisirent un nouveau clocher, inspiré de celui de l'église paroissiale Notre-Dame de la Couture à Bernay, depuis basilique.

Dans le vieux cimetière se trouvent les tombes des familles de Liberge de Granchain et Deshayes de Forval, ainsi que celle du capitaine de frégate Pierre Charles François d'Argence (1764 - 1833)[15].

La Rufaudière est un fief mentionné depuis 1562. Ancien manoir, le logis a été reconstruit en 1774. C'est aujourd'hui une propriété privée.

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Notes et références

  1. La commune a changé de nom par décret no 2008-1021 du 3 octobre 2008 portant changement de nom de communes, après délibération du conseil municipal de Grandchain du 8 avril 2005 et du conseil général de l'Eure du 20 juin 2007.
  2. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, éditions Picard 1981. p. 119.
  3. Toponymie générale de la France, volume I, Librairie Droz 1990. p. 94
  4. François de Beaurepaire, Op. cité
  5. Cf. Théodose Bonnin (1807-1871), Monstres générales de la noblesse du bailliage d’Évreux en 1469, Paris, 1853 ; Louis-Étienne Charpillon et l’abbé Anatole Caresme, Dictionnaire historique, géographique et statistique de toutes les communes du département de l’Eure, Les Andelys : Delcroix, tome 2e, 1879, article "Grandchain".
  6. Louis Moréri, Le Grand dictionnaire historique ou le mélange curieux de l'histoire sacrée et profane, Paris : J.-B. Coignard, 1725, tome 5e, p. 640.
  7. a et b Louis Moréri, Op. cit., tome Ve, p. 640.
  8. Ce qui infirme définitivement la thèse du curé de Sacquenville, l’abbé de Bouclon, selon laquelle un certain Guillaume de Liberge aurait acquis Granchain sur les d’Aché vers 1530 (Étude historique sur la marine de Louis XVI. Liberge de Granchain, capitaine des vaisseaux du roi, major d’escadre, directeur général des ports et arsenaux…, Évreux : Auguste Hérissey, 1866, p. 13).
  9. Registre mémorial 34, folio 219.
  10. Victor-Ernest Veuclin, Saint Vincent de Paul à Bernay en 1650, Bernay : Vve Lefèvre, 1876, pp. 6-8.
  11. Victor-Ernest Veuclin, Op. cit., p. 4.
  12. Abbé Adolphe de Bouclon, curé de Sacquenville, Étude historique sur la marine de Louis XVI. Liberge de Granchain, capitaine des vaisseaux du roi, major d’escadre, directeur général des ports et arsenaux…, Évreux : Auguste Hérissey, 1866, p. 17.
  13. Granchain sur le site de l'Insee
  14. Pierre Bonhomme (Gramat 4 juillet 1803 - Gramat 9 septembre 1861), ordonné prêtre pour le diocèse de Cahors le 23 décembre 1827, fut béatifié le 23 mars 2003 par le pape Jean-Paul II. Il est fêté le 9 septembre. Cf. http://saints.sqpn.com/saintp5h.htm
  15. La famille d'Argence posséda à Granchain du XVIe au XIXe le fief de la Rufaudière, par alliance avec les Ruffault de Kerhuel, vieux lignage breton connu depuis le XIIIe et passé en Normandie à la fin de la guerre de Cent-Ans. Cf. Féliks Rynski d'Argence, Recherches sur la famille d'Argences (1096-2011) incluant un chapitre inédit sur 2 fausses descendances de 1874-75 à nos jours.

Lien externe


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