Félix Mayol

Félix Mayol
Félix Mayol
Mayol par Adrien Barrère (v. 1904)
Mayol par Adrien Barrère (v. 1904)
Naissance 18 novembre 1872
Toulon, Drapeau de France France
Décès 1er novembre 1941 (à 68 ans)
Toulon, Drapeau de France France
Activité principale Chanteur
Style Café-concert
Music-hall
Activités annexes Directeur de salle
Lieux d'activité Paris
Années d'activité 1895-1940
Éditeurs Georges Ondet
Charles Mayol
Félix Mayol
Famille Charles Mayol (frère aîné)[1]
Répertoire
  • Viens, poupoule ! (1902)
  • La Matchiche (1905)
  • La Paimpolaise (1908)
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Félix Mayol est un chanteur français né à Toulon le 18 novembre 1872 et mort dans cette même ville le 1er novembre 1941.

Sommaire

Biographie

Après des débuts modestes à Toulon et au Palais de cristal de Marseille, il est engagé à Paris au Concert parisien le 1er mai 1895 où il connaît rapidement le succès[2]. Une anecdote rapporte que faute de trouver un camélia, que les hommes élégants portaient à l'époque au revers de leur redingote, il prend un brin de muguet qui devient son emblème[2]. La houppe de cheveux invraisemblable qu'il arbore (et qui le font surnommer « l'artiste au toupet rouquin » ou « flamme de punch ») devient également si célèbre qu'elle inspire de nombreux imitateurs : Romerty, Doray, Rosel, De Certos, Elvhard[2], Georgel et même Alibert à ses débuts[3].

Il connaît son premier grand succès en 1896 avec La Paimpolaise de Théodore Botrel. En 1900, après un bref passage à l'Eldorado où il chante À la cabane bambou , il est engagé à la Scala. C'est là qu'il crée le titre qui le rendra aussi riche que célèbre : Viens, poupoule !, d'après une chanson allemande arrangée par Henri Christiné et Alexandre Trébitsch (1902). Il récidive en 1905 avec La Matchiche, l'adaptation d'une chanson-danse espagnole à la mode. La même année, il tourne treize phonoscènes sous la direction d'Alice Guy. Il a déjà à son actif de nombreux enregistrements sur cylindres et sur disques[4].

En 1907, son opérette Cinderella à la Scala ne convainc pas, contrairement à l'une des chansons du spectacle, Les Mains de femmes qui devient un succès, suivi en 1908 de Cousine[4]. Son cachet atteint alors la somme de mille francs-or, ce qui lui permet de racheter en 1910 le Concert parisien qui prend désormais son nom, le concert Mayol[5]. Vedette principale des spectacles qui s'y jouent, il lance à son tour de jeunes artistes, parmi lesquels Valentin Sardou (père de Fernand et grand-père de Michel Sardou), Maurice Chevalier et Raimu[6]. Il passe la main à Oscar Dufrenne en 1914.

Il entame alors une tournée dans la France entière et les pays francophone avec les tournées Baret. Sa renommée passe si bien les frontières que Charlie Chaplin vient l'écouter.[réf. nécessaire] La période 1914-1918 est marquée, comme pour de nombreux artistes, par de nombreuses chansons anti-allemandes, destinées à maintenir le moral des troupes[7]. Sa carrière marque néanmoins le pas après la Première Guerre mondiale. Il publie ses Souvenirs en 1929, fait « sept adieux au public parisien » en 1938[8] et se retire à Toulon.

Buste de Félix Mayol au stade Mayol

Attaché à sa ville natale et particulièrement à son club de rugby, il offre 60 000 francs-or pour financer la construction d’un stade qui porte encore son nom à l'heure actuelle, le stade Mayol[9]. Le muguet porte-bonheur qu'il affectionnait est devenu l'emblème du club et le somptueux dîner qu'il offrit aux joueurs pour fêter le titre de 1931 est resté dans les annales.[réf. nécessaire]

Les témoignages sur l'homosexualité supposée de Mayol, liée à son célibat et à son « jeu de scène efféminé » abondent[10] et, à l'époque, les chansonniers et autres auteurs y font souvent allusion, tel le mariage entre Mayol et Mistinguett inventé de toutes pièces et qui fit beaucoup rire[11]. On ne connait jusqu'à présent aucun témoignage direct publié (entretiens avec des journalistes, Mémoires…) dans lequel l'artiste aurait évoqué ouvertement ses préférences sexuelles. Bien au contraire, dans ses Mémoires, il évoque sa « petite amie[12] » ; Mayol emploie toutefois la plupart du temps le « nous » du collectif masculin dans ses chansons, souvent très graveleuses, parmi lesquelles de nombreuses mettent en scène des prostituées ou des femmes toujours accueillantes à la rencontre sexuelle[13]. Par exemple, dans la chanson L'Adoration du shah[14] : « […] les femmes n'avaient pas d‘chevelure à l'endroit que nous chérissons ».

Répertoire Mayol

Félix Mayol chantant La Fifille à sa mère, photographe anonyme[15]

Selon ce qu'il indique dans ses Mémoires, Mayol aurait créé au cours de sa carrière environ un demi-millier de chansons (495 très exactement)[16]. Ce nombre de quasi 500 créations peut-être mis en perspective avec les 2500 chansons que Paulus, comme Mayol éditeur de son répertoire, aurait créé, selon la revue Les chansons de Paris (1903)[17]… soit cinq fois plus, pour des carrières à la longévité identique, environ trente ans. Paul Dubé, qui cite pour Paulus 200 chansons, réfute pour ce chanteur l‘usage du terme répertoire « on ne saurait parler précisément de "répertoire" mais d'airs, de refrains qui eurent le don de plaire à tous les publics (…). Aussi, au lieu d'attacher le mot "répertoire" à Paulus ou d'insister pour parler de "répertoire Paulus" il serait plus juste de spécifier qu'il s'agit de pièces musicales telles qu'interprétées par Paulus. »[18] ; l‘auteur ne fait pas de telles réserves pour le répertoire Mayol. Le « Répertoire Mayol » établi sur le site « Du Temps des cerises aux Feuilles mortes » par Paul Dubé , spécialiste de Mayol qui travaille sur ce projet depuis l'ouverture du site en 2001, propose 485 chansons attribuées au « répertoire Mayol » au 28 août 2011 ; ce catalogue intègre des chansons (répertoire ou création) d'autres chanteurs (Mercadier, Fragson, Chevalier…), et ne fait aucune différence entre chansons enregistrées, chansons interprétées, chansons créées, chansons du répertoire[19]. Une partie importante des titres du répertoire Dubé (236) n'a aucune attestation d'enregistrements ; 249 titres ont des références d'enregistrement(s), parmi lesquels 190 enregistrements proposés à l'écoute et au téléchargement. Une cinquantaine de titres, entrés au catalogue depuis juillet 2011, ne propose ni référence phonographique, ni iconographie.

La liste alphabétique ci-dessous[20], non-exhaustive, regroupe dans une première section les chansons de l'édition musicale dite « graphique » (partitions de petits, moyens et grands « formats », placards, recueils, revues…) où apparaît le nom ou la photo de Mayol comme créateur ou interprète ou celles où figure la mention « Répertoire Mayol ». Elle est basée sur les informations disponibles sur Gallica, la catalogue général de la BNF ainsi que sur la collection d'Éliane Daphy déposée sur Médihal[21] et sur la banque d'images du site Illustrated Sheet Music[22].

Les précisions apportées à chaque titre de chansons imprimées où figurent la mention « créé(e) par Mayol[23] » ou « création Mayol », celles avec la mention « chantées par », celles avec la mention « répertoire Mayol »… ont permis de faire un classement entre les chansons « créées » ou « co-créées », interprétées… par Mayol. Selon les principes de vérifiabilité, ne sont intégrés dans cette section que les partitions dont le lieu de consultation est précisé ; la mention d'un titre sans visuel, nom des auteurs, ou avec des dates imprécises, n'est pas considérée comme une attestation de l'existence d'une chanson en édition graphique[24].

Dans une seconde section, sont présentés les titres pour lesquels existe une attribution Mayol, mais aucune confirmation fiable en édition « graphique », à savoir ceux cités :

  • dans les Mémoires de Mayol
  • dans les catalogues des éditeurs (verso des petits, moyens et grands formats)
  • dans des programmes de spectacles ou les journaux les annonçant.
  • dans la presse musicale de l'époque.

Enfin dans une troisième section, sont regroupées les chansons enregistrées par Mayol mais sans certaines attestations graphiques sur les partitions, comme Elle vendait des petits gâteaux.

Édition graphique

0) Sortie du répertoire Mayol : Cigale marseillaise

Le catalogue DTDCFM propose une référence portant le titre de Cigale marseillaise[25], non datée, paroles d'Amor et Darbon, musique de Prior et Talber, éd. Félix Marafioti (Marseille). L'illustration mise en ligne est la couverture d'un des recueils de la série Cigale marseillaise publiée par éditions Marafioti (recueil comprenant plusieurs chansons). Amor et Darbon, donnés comme paroliers, sont des chanteurs, comme le sont Prior et Talber, donnés comme compositeurs. Cigale marseillaise n'étant pas une chanson, ce titre n'a pas sa place dans le répertoire des chansons de Mayol.

1) Mention création Mayol (reclassement en cours)

  1. À demain ou À d‘main, p'tite amie[26] (1912), « chansonnette comique créée par Mayol au concert Mayol », paroles de L. Mellinger, musique de Henri Roberty, éd. Georges Ondet (GO4736) ;
    Création FM ; illustration de Georges Dola ; incipit : « Travaillant tous les deux, Ils se fir‘nt les yeux doux. »
  2. Ah ! la musique américaine (1913), « créée par Mayol », paroles de Henri Christiné et Alexandre Trébitsch, musique d'Henri Christiné, éd. Henri Christiné (C788)[21],[27] , [28] ;
    Création FM ; iIllustrations : frise signée PEN (petit format), H. Armengol (grand format) ; incipit : « Jadis au music-hall, c‘était la coutume, les revues avaient d‘ l‘esprit. »
  3. Ah ! le joli jeu (1907)[29], « créé par Mayol, chantée par Esther Lekain à Parisiana et Lidia à la Scala, répertoire Mayol », paroles de E. Christien et Armand Foucher, musique d'Henri Christiné, éd. Henri Christiné (C499)[30] ;
    Création FM + répertoire ; illustration anonyme ; incipit : « Bien des amoureux raffolent d‘un p‘tit jeu comm‘ pigeon vole. »
  4. Ah ! qu'on est bête (1913), « créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles de Henri Christiné et Henri Poupon, musique de Henri Christiné, éd. Christiné (C779)[21] ;
    Création FM ; Frise anonyme ; incipit : « On répét‘ tout l‘ temps Que l‘amour c'est vraiment charmant. »
  5. À la cabane bambou (1899), « lamentations d'un jeune nègre perdu dans Paris, racontées par Mayol à la Scala », paroles de Paul Marinier, musique arrangée et harmonisée par Paul Marinier[31], éd. Georges Ondet (GO1390)[32] ;
    Création FM ; illustration de Georges Dola ; incipit : « Moi, bon nègre tout noir, tout noir, de la tête aux pieds »
  6. Allemagne au-dessous de tout. 1914 ! Réplique française à Deutschland Uber Alles (1914), « créée par Mayol dans les casernes et dans les hôpitaux », paroles de Jean Aicard (de l'Académie française), musique de Blanche Poupon, éd. Vve Charles Mayol (sans cotage)[33] ;
    Création FM ; illustration de Clérice Frères ; incipit : « Les Allemands sont debout ! Ils vont chantant que l‘Allemagne triomphe au-dessus de tout. »
  7. Les Alliances de Guillaume (circa 1909-1910)[34], « créée par Mayol aux Ambassadeurs », paroles de Paul Marinier, musique recueillie et arrangée par Adrien Serge, éd. Marcel Labbé (ML8034)[35] ;
    Création FM ; dédicace : « À nos amis Charlus, Fernandez et Anthonus » ; photo Mayol anonyme ; incipit : « Cherchant pour l’Alllemagne des alliances partout, Guillaum’ dit à l’Espagne. »
  8. Allô ! mademoiselle, ou la Demoiselle et le Pompier (1911)[36], « chansonnette créée par Mayol », paroles de Ferdinand-Louis Bénech, musique de Romain Desmoulins, éd. Louis Bénech (LBP152)[21] ;
    Création FM ; illustration de Léon Pousthomis ; incipit : « Très bien fait‘ de sa petit‘ personne, jolis yeux un minois chiffonné. »
  9. Allons mademoiselle ! (1903), « chanson naïve créée par Mayol à la Scala », paroles de Paul Briollet, musique de A. M. Fechner, éd. J. Rueff (JR146) ;
    Création FM ; illustration de E. Gros Fils ; incipit : « Un jour je vis un‘ brunette t'nant les yeux baissés. »
  10. Amour noir et blanc (1907), « créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles et musique Henri Christiné, éd. Christiné (C452)[37],[38] ;
    Création FM ; photo Mayol anonyme ; incipit : « Un‘ petit‘ femm‘ tout en blanc à l'air aguichant. »
  11. L'Amour à chaque étage (sans date), paroles de Georges Arnould et Henry Moreau, musique de Charles d'Orvict, éd. L. Maurel Aux répertoires réunis (sans cotage)[39]
    Source : grand format artiste (sans couverture) ; rondeau créée par Mayol à la Scala, répertoire Mayol ; incipit : « L’amour est un gamin des plus volages, il est partout »
  12. Amours de trottins (1903), « chanson mime créée par Mayol à la Scala, répertoire Mayol de la Scala », paroles de Henri Dorsay et Eugène Joullot, musique de Charles Borel-Clerc, éd. G. Ricordi et Cie (109667)[21] ;
    Création FM ; illustration de [Georges Dola][40] ; incipit : « L'autre jour, ru‘ d‘ la Paix, je suivais un trottin blond comme un ange. »
  13. Arpettes Marche (1909), paroles de René Champigny et Ferdinand-Louis Bénech, musique de Désiré Berniaux, éd. Marguaritat (sans cotage)[41],[21] ;
    Incipit : « On voit chaqu‘ matin les p’ti‘s arpettes passer guill‘rettes sur les boul‘vards. »
  14. L‘Autre Cortège (1916), « créé par Mayol au front le 14 juillet 1916, dit par l'auteur et Mme Madeleine Roch de la Comédie française », récit de Jean Bastia, musique de scène de Charles Helmer, éd. Roger Myra (sans cotage)[42],[43] ;
    Création FM ; caricature Mayol anonyme ; incipit : « Quand Joffre reviendra par les Champs-Élysées. »
  15. La Ballade du roy Henri (1913) « légende béarnaise créée par Mayol », paroles de Charles-Albert Abadie, musique de Gaston Gabaroche, Vve Charles Mayol (CM165)[44] ;
    Création FM ; illustration de Clérice frères (grand format).
  16. Ballade moyennageuse (sic!) (1900)[34], « créée par Mayol à l'Eldorado », paroles de A. de Reuss, musique de J. Guédon, éd. A. Dorey et A. Gruny (ADAG166)[21] ;
    Création FM ; illustration de Léon Pousthomis (sous réserves)[21] ; incipit : « Jadis, au Moyen-Age, vivait un chevalier, son épouse était sage et son glaive d’acier. »
  17. La Baltique (1913), « chanson créée par Mayol », paroles de Bertal-Maubon[45], musique de Charles Borel-Clerc, éd. Charles Borel-Clerc (CBC125)[21],[46] ;
    Création FM ; illustration Clérice Frères ; incipit : « Après un’ traversée un Français rencontra dans un port non loin du Zuyderzée. »
  18. Banane et Printemps (1909), « monologue de Will créé par Mayol au Concert parisien et par l'auteur au cabaret du Grelot », éd. Charles Mayol (sans cotage)[47],[21] ;
    Création FM ; incipit : « C’était au printemps enchanté ce printemps fou qui vous énerve. »
  19. Blonde Lisette (1908)[48], « chanson créée par Mayol au Moulin rouge, répertoire Mayol », éd. Charles Mayol[49] ;
    Création FM (attribuée au « genre Gil », puis « genre Esther Lekain et Carmen Vildez)[50] ; illustration Léon Pousthomis (série bouquet), photo Mayol (anonyme)
  20. Bonjour m'amour (1909)[51], « créée par Mayol au Concert parisien, chantée par Esther Lekain à Parisiana et Suzanne Chevalier à la Gaité-Rochechouart », paroles de Gaston Dumestre, musique de Tarelli et Pompilis, éd. Charles Mayol[52] ;
    Création FM (« genre Esther Lekain et Carmen Vildez »)[50] ; illustration de Serge[53].
  21. Bonjour, toi ! (non daté), « chanson créée par Mayol à la Scala, Esther Lekain, Anna Thibaud, répertoire Mayol », paroles de E. Christien[54], musique de Henri Christiné, éd. Christiné (C467)[21] ;
    Création FM et autres, illustration de H. Viollet ; incipit : « Quand il la rencontra, elle avait dis-huit ans et tout le charme exquis d’un beau jour de printemps. »
  22. Bou-dou-ba-da-bouh ! (1913), « chanson nègre créée par Félix Mayol, le chanteur populaire, répertoire Mayol », paroles de Lucien Boyer, musique de Albert Valsien, éd. Vve Charles Mayol (CM168)[55] ;
    Création FM ; photo de Mayol, cliché Walery (petit format) ; illustration de Clérice Frères (grand format)[56] ; incipit : « Parmi les Sénégalais qu’on fit venir pour la revue l’ jour du Quatorze-Juillet. »
  23. Ce que disent les yeux (non daté)[57], « chanson créée par Mayol à la Scala, Stelly à l'Eldorado, Dowe au Petit Casino », paroles de Horace Delattre, musique de Gaston Maquis, éd. À la chanson moderne (CM223)[58];
    Création FM ; illustration de Ed. Maquis.
  24. C‘est le radium (1904), « chansonnette créée par Mayol à la Scala », paroles de Eugène Lemercier, musique de F. Pradines, éd. J. Rueff (JR257) ;
    Création FM ; photo anonyme ; incipit : « Chimistes par vocation, Monsieur et madam‘ (sic) Curie ont fait une révolution. »
  25. C‘est Rosalie. Chanson-marche (1915), paroles de Alcide, musique de Jack-Bill, éd. Ch. Mayol (sans cotage)[59] ;
    'Créée par Mayol dans les casernes et dans les hôpitaux ; incipit : « Depuis qu’ils sont en campage, là-bas sur les lign’s de feu »
    Attribuée à « genre Mayol » ou « genre Mayol Mansuelle » sur les catalogues
  26. Chanson d'adieu (non daté), « dernières créations de Mayol au Concert parisien », poésie et musique de Xavier Privas, accompagnement de Jacques Forest, éd. Gruny (sans cotage)[21] ;
    Illustration de L. Denis ; incipit : « Je t'ai rencontré un soir de décembre où tu te trouvais sans abri, sans pain. »
  27. La Chanson des mouchoirs (1911), « créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles de Charles-Albert Abadie, musique de Gaston Gabaroche, Vve Charles Mayol (CM142)[60] ;
    Illustrateur anonyme[61], photo Mayol Panajou[62] ; incipit : « Connaissez-vous quelque chose sur terre de plus varié que ceci : le mouchoir ? »
  28. Le Chapeau à la main (1911), « chansonnette créée par Mayol », paroles de Ferdinand-Louis Bénech, musique de Romain Desmoulins, éd. Bénech (LBP147) ;
    Illustration de Verjez ; incipit : « C’était un jeune garçon qui était amoureux d’une jolie fleuriste. »
    Illustration de L. Denis ; incipit : « Je t'ai rencontré un soir de décembre où tu te trouvais sans abri, sans pain. »
  29. La Chasse (non daté), « chansonnette créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles et musique de Paul Marinier, éd. Smyth (Aux succès du XXe siècle) (sans cotage) ;
    Frise de ED ; incipit : « Aux dernièr’s ombres de la nuit, le brave chasseur part de chez lui. »
  30. Le Cœur des mamans (1907)[34], « chanson créée par Mayol », paroles de Will et Plébus, musique de Gaston Maquis, éd. Rouart-Lerolle (RL&Cie4519)[21] ;
    Incipit : « Jean vivait près de sa maman, qu'il aimait de toute son âme. »
  31. Cousine (1911), « idylle provençale, chanson créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles de Lucien Boyer, musique de Albert Valsien, éd. Charles Mayol (C132M)[63] ;
    Illustration de Sem[64] ; incipit : « Autrefois, ma cousine Hortense arrivait de temps en temps chez mes parents. »
  32. La Croix de fer du Kaizer (1914)[65], « chanson anti-allemande créée par Mayol dans les casernes et dans les hôpitaux », paroles et musique de Louis Beaufraux, éd. Vve Charles Mayol (CM1?4)[66] ;
    Illustration de Marcel Capy ; incipit : « Pas de parade ! Boche ! Moche ! Boche ! L’empereur de la sal’ mitraill’. »
  33. La Dame et l’ Monsieur (v. 1902-1903)[67], « chansonnette créée par Mayol aux Ambassadeurs, répertoire Mayol », paroles de Eugène Joullot et Émile Ronn, musique de Léo Daniderff, éd. Eugène Joullot & Cie (EJ414)[21] ;
    Illustration de Léon Pousthomis ; incipit : « Un monsieur de mœurs honnêtes en flânant rencontre un’ p’tit’ femm’ coquette. »
  34. Dans l'ascenseur (non daté)[68], « chanson chantée par Gabrielle Lange, créée par Mayol aux Ambassadeurs », paroles d'Armand Foucher et Geraum[69], musique de Charles Borel-Clerc, éd. Charles Borel-Clerc (CBC4)[21] ;
    Photo Mayol L. Martin ; incipit : « Y avait dans un grand magasin un jouvenceau des plus malins. »
  35. Dans le biplan (1909), « chanson aéroplane répertoire Mayol », paroles de Jules Texier, musique de Chiarolanza et Raoul Soler, éd. Vve Charles Mayol (n.p.)[70],[71];
    Illustration Léon Pousthomis.
  36. Dix neuf-cent ! Quel joli temps (non daté)[72], « nouveau répertoire des chansonniers de Montmartre, fantaisie créée par Mayol », fantaisie de Paul Marinier, éd. Gaston Gross (GG1271)[21] ;
    Incipit : « Dix neuf cent ! Ah ! Dix neuf cent ! Et chacun s’en va répétant. »
  37. D'où ça vient-il donc ? (non daté)[73], « chanson créée par Mayol à la Scala », paroles d'Alexandre Trébitsch, musique de Gaston Maquis, éd. À la chanson moderne (CM275) ;
    Illustration de Georges Dola ; incipit : « D’où ça vient-il donc qu’ nous somm’s tous vivants qu’ nous pouvons aller le nez en avant. »
  38. Elle a... (non daté), « chanson créée par Mayol », paroles de Marc-Hély, musique de Albert Valsien, éd. Mayol (sans cotage)[21] ;
    Illustration anonyme ; incipit : « Ell’ demeur’ dans l’ faubourg Saint Marins pas très loin. »
  39. Entôlage espagnol (non daté), « chanson créée par Mayol à la Scala, répertoire Mayol », paroles de La Tulipe, musique de F. Pradines, éd. Christiné (C470) ;
    Frise de H. Viollet ; incipit : « Voyageant à Pampelune un soir au clair de la lune. »
  40. Et même autre chose (circa 1905-1906)[34], « chantée par Mme Novelli à l’Eldorado, Mme Laurence Deschamps au Petit Casino, répertoire Mayol », paroles de Drouin de Bercy, musique de Anne de Bercy, éd. Marcel Labbé « successeur de la Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris » (ML7532) ;
    Frise anonyme ; incipit : « D’puis qu’qu’ temps, la gentille Yvonne pour Eloi se sentait un doux penchant. »
  41. Faut s’ r’poser le dimanche (non daté), « chansonnette créée par Mayol », paroles de Belhiatus, musique de Désiré Berniaux, éd. Henri Christiné (C505)[21] ;
    Incipit : « C’est vraiment chic tout d’ mêm’ cett’ loi, la loi du r’pos hebdomadaire. »
  42. Le Gosse et le Chien (1912), « chanson créée par Mayol », paroles de Charles-Albert Abadie et Jack Aymel, musique de Gaston Gabaroche et Jack Aymel, éd. Vve Charles Mayol (CM154)[74] ;
    Illustrateur anonyme[61] ; incipit : « C‘est la nuit, il fait froid, sur le boulevard sombre un gamin de treize ans. »
  43. Le Gosse et le Trottin (1910), « chansonnette vécue, répertoire Mayol », paroles de Senga, musique de R. Tassin, éd. Vve Charles Mayol (CM106)[21] ;
    Illustration de Serge[53] ; incipit : « Lui c’était un p’tit commis d’ magasin dans la mêm’ maison elle était trottin. »
  44. Il était syndiqué (non daté), « chanson créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles de Marc-Hély, musique de Albert Valsien, éd. Mayol (sans cotage)[21] ;
    Photo de Mayol avec casquette et foulard (anonyme) ; incipit : « J’ai surpris l’aut’ jour dans mon usine un ouvrier qui mettait dans l’ tuyau d’ la machine pour s’amuser. »
  45. Instruisons (non daté)[75], « chansonnette comique créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles de Paul Briollet et Léo Lelièvre, musique de Henri Christiné, éd. Marcel Labbé (SA1547) ;
    Frise anonyme, photo Payol ; incipit : « En France depuis qu’ l’ instruction est obligatoire. »
  46. La Javanette (1923), « java chantée à une ou deux voix, le triomphe de Mayol, répertoire Mayol », paroles de Louis Lemarchand, musique de Harold de Bozi, éd. du Music-hall Enoch et Cie (E&Cie8282) ;
    Caricature de SA ; incipit : « Appuyée au pilier d'un petit bal de quartier une enfant de seize ans. »
  47. Je ressemble à Mayol (1925), « créée par Mayol », paroles de Roger Myra et Géo Koger, musique de Vincent Scotto, éd. Mayol en dépôt chez Scotto (sans cotage) ;
    Photo Mayol (?) ; incipit : « Comme j'ai la min‘ réjouie les copains m'ont dit en chœur. »
  48. La Jolie Boiteuse (1907), « chanson-marche créée par Mayol à la Scala, chantée par Darbon, Darcet et le petit Alfred, répertoire Mayol », paroles de Paul Briollet et Léo Lelièvre, musique de Désiré Berniaux, éd. Charles Mayol (CM17)[76] ;
    Illustration de Léon Pousthomis ; incipit : « La fill’ de ma concierge est un peu boiteuse. »
  49. J’ suis un bon garçon (1908), « chanson créée par Mayol », paroles de Christien[54] et Rimbault, musique d'Henri Christiné, éd. Henri Christiné (C574) ;
    Frise anonyme, photo Mayol Panajou frères ; incipit : « Moi, j’ai l’ caractère très bien fait ; on dit c’ qu’on veut je ne me fâch’ jamais. »
  50. Leçon de musette (non daté)[77], « chansonnette créée par Mayol », paroles de D. Pinet et G. Chimènes, musique de L. Lust, Aux 100.000 chansons, éd. A. Dorey (sans cotage)[21] ;
    Photo anonyme ; incipit : « J‘ vais ma belle Ninette t‘ donner une leçon. »
  51. Lettre à Colombine (1909), «créée par Mayol à la Scala », paroles et musique de Gaston Dumestre, éd. L. Digoudé-Diodet (sans cotage) ;
    Incipit : « Ma Colombine bien aimée je t'écris du petit lit blanc. »
  52. La Lettre du gabier (1900)[34], « chanson créée par Mayol à la Scala », paroles et musique de Théodore Botrel, éd. Georges Ondet (GO2561) ;
    Illustration de Georges Redon ; incipit : « Hier matin, notre commandant, nous a dit que le bâtiment, s’en allait partir à la guerre. »
  53. Lettre d'un déserteur (1903), « chanson créée par Mayol à la Scala », paroles et musique de Gaston Dumestre, éd. Georges Ondet[78] ;
    Illustration de Georges Dola.
  54. Lilas blanc (1904), « idylle créée par Mayol à la Scala », paroles et musique de Théodore Botrel, éd. Georges Ondet (GO3370) ;
    Illustration de Dillon ; incipit : « Elle naquit par un dimanche du plus joli des mois de mai. »
  55. Les Litanies des pieds (1903), « chanson créée par Mayol à la Scala et chantée par Lucien Boyer au CabaretS des Quat' z' arts », paroles de Numa Blès et Lucien Boyer, musique de Édouard Mathé, éd. J. Rueff (JR173)[79], [80] ;
    Création FM ; illustration de E. Gros fils (grand format) ; incipit : « Dans tous les temps les poètes en herbe, ont célébré le pied de leur beauté, pied japonais pied cambré pied superbe. »
  56. Ma cousine Lison (non daté), « chansonnette, répertoire Mayol », paroles de V. Telly, musique de Colo-Bonnet et Laurent Halet, éd. Mayol (sans cotage) ;
    Photo Panajou ; incipit : « Ma p’tit’ cousin’ Lison a dix huit ans et de grands yeux innocents. »
  57. Les Mains de femme (1906), « sur les motifs de Arpettes-Marche, créée par Mayol dans Cinderella au théâtre de la Porte-Saint-Martin et au Ambassadeurs[81] », paroles d'Émile Herbel, musique de Désiré Berniaux, éd. Margueritat, père, fils et gendre (sans cotage)[21] ;
    Illustration de Clérice Frères ; incipit : « Les mains des p’tit’s femm’s sont admirables, et tout semblables à des oiseaux. »
  58. La Malakoff (1911), « chanson russe », paroles de Paul Briollet, musique de Fattorini et Raoul Soler, éd. Gaston Gross (GG403)[82] ;
    Illustration Clérice frères ; incipit : « Fill’ jolie d’ la Russie elle avait quitté les prairies. »
  59. Margot, les p‘tits défauts (1913), « chanson créée par Félix Mayol le chanteur populaire français (chanson provençale - intérieur) », paroles de Léognan, musique de De Nod, éd. Vve Charles Mayol (CM157) ;
    Photo Mayol (cliché Walery) ; incipit : « Margot, c'est un‘ fill‘ de Toulon Je n’ puis vous dir‘ que son prénom. »
  60. La Mattchiche (1905), « sur les motifs populaires de la célèbre marche espagnole, le grand succès de 1905, chansonnette créée par Mayol, chantée par (liste d'artistes dont Esther Lekain », paroles Léo Lelièvre et Paul Briollet, musique arrangée par Charles Borel-Clerc, éd. Hachette Aux succès du XXe siècle (H&Cie2482)[21] ;
    Illustration de ED ; incipit : « Un espagnol sévère d’une ouvrière au Moulin d’ la galette. »
  61. Les Mémoires d'une pendule (non daté), « chanson créée par Mayol à la Scala », musique de Léo Lelièvre et Élie Giraudet, musique de Byrec, éd. Henri Christiné (C134)[21] ;
    Photo Mayol (anonyme) ; incipit : « Au fond d'une arrière-boutique, un‘ vieill‘ pendule en désaroi. »
  62. Les Midinettes de Paris (7 mai 1903)[83], « (1er prix ex-æquo (chansonnettes) du Concours de Paris qui chante, créé par Mayol à la matinée de Paris qui chante », musique de E. Rimbault et Desmarets, musique de J. Mérot, Paris qui chante no 21, 1re année, 14 juin 1903, pp. 4-5 ;
    Incipit : « Ru’ d’ la Paix, lorsque midi sonne, comme des abeill’s. »
  63. La Mokote (Femme de Provence) (1908-1909)[84], « chanson créée par Mayol à la fête du Cap Brun (Toulon) », paroles de Gaston Dumestre, musique de Eugène Poncin, éd. Charles Mayol[85] ;
    Dédicace : « Hommage à mes compatriotes, les jolies Toulonnaises » ; illustration de Léon Pousthomis.
  64. La Musique des trottins (1908), « chansonnette-mime sur l'air de Colombia-Marche créée par Mayol à l'Apollo, répertoire Félix Mayol », paroles de Schmit et Geraum, musique de Jules Vercolier et C. Jardin, éd. Charles Mayol (CM001)[21] ;
    Illustration de Léon Pousthomis, photo Mayol anonyme ; incipit : « Dans un’ vieill’ ville calme et tranquille, un’ musiqu’ militaire. »
  65. N’importe quoi (1916), « chanson créée par Mayol », paroles d'Henri Christiné et Roger Myra, musique d'Henri Christiné, éd. Henri Christiné (C845)[21] ;
    Frise de Pen, photo Mayol Panajou ; incipit : « Tous les auteurs de chansons d‘amour, vous racontent que ça s‘ passe toujours. »
  66. Noël à bord (circa 1897-1898)[34], « chansons de Bretagne par Théodore Botrel chantée par Mayol au Parisien », paroles de Théodore Botrel, musique de E. Feautrier, éd. Georges Ondet (OG2172)[21] ;
    Dédicace « à Monsieur l’abbé Fouéré-Magé, recteur de Lehon» (p. 2) ; illustration d'Eugène Hervé Vincent ; incipit : « Amis, veillons tous à genoux : Noël va venir parmi nous ! »
  67. L'Objet de ses amours (?), paroles de Briollet et Hiks (pseudonyme de Léon de Bercy), musique de Charles d'Orvict, éd. J. Rueff[21]'[86] ;
    Chanson créée par Mayol, publiée in Paris qui chante no 58 (p. 2-3), 28 février 1904 ; incipit : « Plus d'un ne comprend pas s'il adore une blonde »
  68. Où allez-vous comme ça ?… (1911), « chanson créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles de Lucien Boyer, musique de Willy Redstone, éd. Vve Charles Mayol (sans cotage) ;
    Montage photos Mayol par Panajou ; incipit : « Le plus bel amour comme toujours par un‘ banale aventure. »
  69. Où donc tu vas ? (1908), « chansonnette, répertoire Mayol[87] », paroles de Belem, musique d'A. Terrier et Albert Valsien, éd. Vve Charles Mayol (CM18)[88] ;
    Illustration Léon Pousthomis (bouquet, réédition) ; incipit : « Quand je partis de mon village, j’étais frais comme un p’tit n‘enfant. »
    Création Bruel à l'Eldorado et Bosset à la Scala ; « genre Darius M. » (catalogues)
  70. La Paimpolaise (1895), « chanson des pêcheurs d'Islande, créée par Mayol à la Scala », paroles de Théodore Botrel, musique de Eugène Feautrier, éd. Goerges Ondet (GO1998)[21] ;
    Illustration de Falco ; incipit : « Quittant ses genêts et sa lande, quand le breton se fait marin. »
  71. Petite Moucheronne. Lettre d'Afrique (1908), « créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles de G. Dumestre, musique de E. Ponçin, éd. Charles Mayol (CM035)[89] ;
    Illustration de Léon Pousthomis ; incipit : « Petit‘ Moucheronne aimé‘, j‘ t‘écris d‘ Bou-Sa-â-da qu’est un sal‘ trou perdu dans l‘ désert . »
  72. Petite femme honnête (1903 ?), « créée par Mayol à la Scala », paroles de Paul Briollet et Rémus, musique de Henri Christiné, éd. Mérot (sans cotage)[90] ;
    Incipit : « À l'heure où goûte la mondaine, je suivais hier par hasard. »
  73. Petite Maîtresse (non daté), « chanson créée par Mayol à la Scala, Mme Paula Brébion à l'Eldorado, chantée par Karl Ditan au Moulin rouge », paroles de Félix Mortreuil, musique de Gaston Maquis, éd. À la chanson moderne (CM243) ;
    Illustration de Léon Pousthomis ; incipit : « Te souviens-tu, belle maîtresse au quartier latin de ce jour. »
  74. Le Petit Mandarin (1909), « chinoiserie créée par Mayol au Concert parisien », paroles de Paul Ardot et Albert Laroche, musique d’Émile Lassailly, éd. Charles Mayol (CM74)[91] ;
    Illustration de Serge[53] ; incipit : « Un p’tit Chinois très grivois cherchait en tapinois, au bois un minois. »
  75. Le Philtre et la Saucisse (circa 1898)[34], « vieille histoire dite par Mayol à l'Olympia », paroles de Eugène Lemercier, musique de Paul Daubry, éd. Emile Benoit (EB7795)[21] ;
    Illustration anonyme ; incipit : « Digne d’être coulée en bronze, une brune aux lèvres de feu. »
  76. Le Poilu et le Tommy (circa 1915-1918)[92], « chanson créée par Mayol, répertoire Mayol, paroles de Alcide, musique de Albert Triollet, éd. Vve Charles Mayol (sans cotage)[21] ;
    Deux photos Mayol anonymes ; incipit : « Il y avait un brav‘ poilu, énormément barbu et surtout très velu ; dans sa tranché‘, avec lui, y avait aussi, un joyeux et brav‘ Tommy. »
  77. Polka des Englishs (1898)[34], « chansonnette créée par Mayol au Concert parisien et Portal à la Scala, paroles de F. Morteuil, musique arrangée par Henri Christiné d'après la Polka des clowns de G. Allier, éd. Ista-Beausier (IB122)[21] ;
    Illustration de Etienne ; incipit : « Quand ils quitt’nt l’Angleterre pour parcourir la terre les anglais nos amis. »
    Enregistrement : Henri Thomas, La Voix de son maître 1499 (2-3-1899)[93]
  78. Polka des trottins (1902)[34], « créé par Mayol à la Scala », paroles d'Alexandre Trebitsch, musique d'Henri Christiné, éd. Mérot éditeur, Société anonyme (SA1451)[94] ;
    Illustration P. Dubois ; incipit : « Gais trottins le matin quand d’un pied mutin. »
  79. Pour ses parents, « Hommage à l'ami Bertal » (1916), paroles et musique d'Henri Christiné, éd. Henri Christiné (C841)[95] ;
    Frise A. Kerbinier (petit format) ; Médaillon P.D. et photo Panajou (grand format) ; incipit : « Avec sa figure ingénue, ses cheveux d’or, ses yeux innocents. »
  80. Le printemps chante (1902), « chanson-marche créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles de Paul Marinier, musique de E. Poncin et Paul Marinier, éd. Smith et O. Dufrenne (H1344) ;
    Frise de ED, photo Bonfort (éd. originale), frise et photo anonyme (11e mille) ; incipit : « Sitôt que le printemps apparaît sous les cieux. » ;
  81. Promenade nocturne (1917), « chanson créée par Mayol », paroles et musique d'Henri Christiné, éd. Christiné (C868) ;
    Frise de PEN ; incipit : « C’est le soir dans Paris tout est noir. »
  82. La P’tit’ Dame des galeries (1912)[96], « chansonnette[97] créée par Mayol », paroles de Lucien Boyer et Henri Bataille, musique de Lao Silésu, éd. Vve Charles Mayol (CM148)[98] ;
    Frise anonyme ; photo Mayol (cliché Panajou) ; Incipit : « L’autr’ jour aux Galeries Lafayette je me promenais en sondeur. »
  83. Rêve de fleur (non daté), « répertoire Mayol », paroles de R. Gaël, musique de Romain Desmoulins, éd. Mayol (sans cotage)[21] ;
    Frise anonyme ; incipit : « Un jour dans les prés une marguerite disait à sa sœur mignonne et petite. »
  84. Les Robes de Colibri (1908)[34], « historiette créée par Mayol », paroles de Pierre Chapelle (Will), musique de Chantrier et F. Heintz, éd. Pathé frères (PF101) ;
    Incipit : « Quand il rencontra Colibri, elle était pauvre et sans abri, mais ses yeux si noirs. »
  85. Le Rondeau du café-concert (1910), « chanson rosse créée par Nine Pinson à l’Eldorado et par Pierly au Concert Mayol, répertoire Mayol », paroles de Pierre Chapelle, musique de Paul Fauchey, éd. Vve Charles Mayol éditeur (CM77)[21] ;
    Illustration de Serge[53] ; incipit : « Deux époux modestes savourent les restes hélas indigestes d’un veau marengo. »
  86. Schujette (1913), « chanson Auvergnate créée par Mayol », paroles de Lucien Boyer, musique de Albert Valsien, éd. A. Bosc (AB1729)[99] ;
    Illustration de Clérice frères ; incipit : « On l’appellait Schujete son père était bougnat. »
  87. Signorina (non daté), « chanson napolitaine créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles d'Henri Christiné et E. Christien[54], musique d'Henri Christiné, éd. Henri Christiné (C492) ;
    Frise de H. Viollet ; incipit : « Quoiqu'on dise des Français qu'ils ne voyagent jamais. »
  88. Tes jolies choses (non daté), « chanson créée par Mayol (intérieur : à l'Alcazar) », paroles de William Burtey, musique de Charles Borel-Clerc, éd. Charles Borel-Clerc (CBC23)[21] ;
    Illustration de Léon Pousthomis ; incipit : « P'tit‘ Loulou ! donne ta menotte disait son ami doux. »
  89. Tire, tire, Ninette (non daté)[100], « créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles et musique de Henri Christiné, éd. Christiné (sans cotage) ;
    Frise de Georges Liodet ; incipit : « C'était une midinette, c'était un p‘tit employé. »
  90. Tout au clou (1903)[101], « chanson créée par Mayol à la Scala, répertoire Mayol », paroles de Edgard Favart, musique de Tassin, éd. Au répertoire réunis (sans cotage) ;
    Caricature de Bossard ; incipit : « Quand il la rencontra ell‘ portait ce jour-là un‘ p‘tit‘ rob‘ d'alpaga. »
  91. Tout petit (1916)[102], « créée par Mayol », paroles d'Henri Christiné et Roger Myra, musique d'Henri Christiné, éd. Henri Christiné (C843) ;
    Photo Panajou (grand format) ; incipit : « Je dinais au restaurant l'autre soir, près de moi un‘ jeun‘ femme vint s'asseoir. »
  92. Tout’s les femmes (1910), « chanson-marche créée par Mayol au Concert Mayol », paroles de Ferdinand-Louis Bénech et V. Telly, musique de Ch. de Bucovich, éd. Bénech (LBP133)[103] ;
    Illustration de Verjez ; incipit : « Toutes les femmes sont des amours, c‘est gentil la nuit comme le jour. »
  93. Le Trottin qui trotte (non daté)[104], « chansonnette créée par Mayol », paroles de Vincent Telly, musique de Paul Marinier et F. Heintz, éd. Mayol (sans cotage)[21] ;
    Photo Mayol anonyme ; incipit : « Un p’tit trottin, dam’, il faut toujours que ça trotte, d’ ses p’tits mollets, soir et matin faut qu’ ça tricote. »
  94. Le Tzar en Italie (circa 1897-1898)[105], « créée par Mayol et chantée par l’auteur à la Lune rousse », paroles de Paul Marinier sur l'air de Funiculi funicula, éd. Paul Marinier (sans cotage)[21] ;
    Incipit : « Le Tzar, quand il mit l’ pied dans la partrie de La Patti, ça l’épata ! »
  95. Un bal chez le Mikado (1909), « chansonnette comique créée par Darius M. à l’Alhambra, Gabrielle Lange à l’Eldorado, Sardou au Concert parisien, répertoire Mayol », paroles de G. Monge, musique de Marius Chaneur, éd. Charles Mayol (CM65)[106] ;
    Création Darius M., Gabrielle Lange, Valentin Sardou ; Répertoire FM ; illustration de Serge[53] ; incipit : « De passage à Tokio je reçus aussitôt un mot du mikado. »
  96. Un point c'est tout (1917), « répertoire Mayol », paroles de Roland Gaël, musique de Vincent Scotto, éd. O. Dufrenne (OD237) ;
    Répertoire FM ; frise anonyme ; incipit : « Sur le boul’vard une jolie femme a perdu ses gants tout à coup. »
  97. Un p'tit bout d'homme (v. 1908)[107], « chansonnette créée par Mayol à la Scala », paroles de Jules Baldran, musique de Gustave Goublier, éd. Charles Mayol (CM38)[21] ;
    Création FM (« genre Lanthenay »)[108] ; illustration Raoul Tellier, photo de Mayol (cliché anonyme) ; incipit : « Certain soir, ru’ Bergère une jeune ouvrière[109]. » ;
  98. Un p'tit quéqu' chose (1909), « chansonnette créée par Mayol à l'Alcazar d'été », paroles et musique de Paul Marinier, éd. Charles Mayol (CM38)[110] ;
    Création FM ; illustration de Léon Pousthomis, photo de Mayol (cliché Pillischer) ; incipit : « C‘était un petit trottin qui s‘en allait chaqu‘ matin. »
  99. V‘là l‘ béguin (1905)[34], « chanson créée par Mayol à la Scala, répertoire Mayol[111] », paroles de Émile Ronn, musique de Léo Daniderff, éd. Georges Ondet (GO4208) ;
    Création FM ; caricature de L. Damaré ; incipit : « C‘est charmant, ravissant, la petit‘ femme qui passe avec un bagage bien ferme. »
  100. Le Verger de madame Humbert. Épilogue (circa 1898-1899)[34], « créée par Mayol à la Scala et aux Ambassadeurs », paroles de Dominique Bonnaud et Jean Varney, sur l'air V‘là les poires !, éd. Georges Ondet (CM243) ;
    Chanson d'actualité sur Thérèse Humbert.
    Création FM ; illustration de Georges Dola ; incipit : « L’étonnant Robert-Houdin nous parait bien anodin et le gigantesque Arton fait l’effet d’un avorton. » ;
  101. Viens, poupoule ! (1902), « chanson créée par Mayol à la Scala, chantée par Max-Morel à la Cigale, Portal au Moulin rouge, à Joanyd, à Mlle Morly, à Gabrielle Lange, à Gavrochinette, hommage à Mlle Villepré du Concert parisien », paroles d'Henri Christiné et Alexandre Trébitsch, musique d'Adolf Spahn arrangée par Henri Christiné, éd. Société anonyme (SA1496)[112],[21] ;
    Création FM ; frise anonyme ; incipit : « Le sam’di soir, après l’ turbin, l’ouvrier parisien. »
  102. Voilà pourquoi (1911), « chansonnette créée par Mayol, répertoire Mayol[113] », paroles de Léognan, musique de Albert Valsien, éd. Vve Charles Mayol (CM128)[114] ;
    Création FM ; illustration de Léon Pousthomis, photo de Mayol (cliché Panajou) ; incipit : « Non, tu n’es pas jolie, ma Loulou, mais j’ t’aim’rai tout’ la vie comme un fou. »

2) Attestation de création (incertaines ou contradictoires)

Quelques chansons sont imprimées en plusieurs éditions contradictoires : l'une avec mention Mayol créateur, l'autre sans. Les mentions sur les pages intérieures des partitions sont également contradictoires : il est courant que les chansons pour lesquelles sont attestées des plusieurs éditions mentionnant en recto des créateurs différents soient vierges de toute indication à l'intérieur.

  1. Ah ! si vous voulez d' l'amour, parodie (1907), « célèbre marche chantée, créée par Mayol aux Ambassadeurs, chantée par Darbon, Baldy, Jean Flor, Rosel, Menotti, Vilette », paroles de William Burtey, musique de Vincent Scotto, éd. L. Digoudé-Diodet (DD946)[21] ;
    Incipit : « Nos aïeux quand ils faisaient la fête ne craignaient pas d’être pompettes »
    Plusieurs petits formats illustrés (illustration de H. Viollet ou sans illustration), attribuant la création à des artistes différents : Adeline Lanthenay (à la Scala, 1907), Esther Lekain (à Parisianna, 1907), Félix Mayol (aux Ambassadeurs, 1907)… Dans ses Mémoires, Mayol cite cette chanson parmi ses « triomphes » (p. 49) et comme « chanson lancée » (p. 189), ce qui n'est pas une revendication de création.
    Aucun enregistrement par Mayol, nombreux enregistrements par plusieurs artistes dont en 1908 Bérard, Karl Ditan, Dalbret, Adeline Lanthenay, Charlus, etc., par plusieurs orchestres ; puis Esther Lekain (1931), puis chanson intégrée au répertoire des orchestres (Jacques Hélian, Aimable,
  2. Le Bon Chemin (1912), « chansonnette anglaise », paroles de Louis Bénech, musique de Romain Desmoulins, éd. Bénech (LBP176) ;
    Incipit : « C'était un petite miss d'Angleterre qui n'aimait ni le calcul ni la grammaire »
    Plusieurs petits formats illustrés (illustration de de Léon Pousthomis), créée par Mayol ou sans mention ; la page intérieure des différentes éditions porte toujours la mention « créée par Mayol, au Concert Mayol » ; dans les recueils des éditions Bénech, la chanson ne porte pas la mention « créée par Mayol »[115]
  3. Une noce à la cascade (1895), paroles de Paul Marinier, musique de Eugène Poncin, éd. Henry Cas (HC234) puis Georges Ondet ;
    Incipit : « Trois, quatr', cinq, six, sept, huit voitures »
    Un petit format édité par Henry Cas (illustration signée, illisible)[116], dédicacé « à l'ami Mauris» (chanteur pensionnaire de la Scala)[117], porte les mentions « créée par Mayol à Ba-ta-Clan » et « créée par Dalbret à la Pépinière » ; l'intérieur ne mentionne aucun chanteur et précise « conforme au visa du 2 décembre 1995 ». Un petit format différent (illustration Georges Dola), publié plus tardivement par les éditions Ondet, signale Mayol comme seul créateur, avec dédicace « à nos amis Dalbret et Mauris » ; sur la base de ce document, Paul Dubbé donne Mayol comme créateur[118]. Martin Pénet, qui précise Ondet comme premier éditeur, donne Mayol seul comme interprète [119].
    Dans ses mémoires (p. 113), Mayol affirme être le créateur de cette chanson en octobre 1896 : « J'eus la chance (…) de créer une ravissante chanson (…) de Paul Marinier qui réussit au delà de toute espérance ».
    Enregistrements : , Mayol (Zonophone 11661 12 septembre 1902[120] ; Gramophone 2-32120), Sévianne (1904, Voix de son maître 3694[121])
    Rien dans l'état actuel de la documentation disponible ne permet d'affirmer qui est le créateur de la chanson : Mauris, Dalbret ou Mayol ; nous ne disposons d'aucune information sur la trajectoire de cette chanson entre sa date de visa par la censure (décembre 1895) et la date de création revendiquée par Mayol (octobre 1896). L'hypothèse est que Mauris a été le premier créateur, et que Dalbret et Mayol, alors en début de carrière, ont repris un succès ; elle est renforcée par le fait qu'aucune mention de créateur n'est mentionné sur la page intérieure.

3) Répertoire Mayol (sans précision création)

  1. Ah ! Dis-moi tu (1911), paroles et musique de Paul Marinier, éd. Vve Charles Mayol (CM131)[122]
    Incipit : « Il l’avait rencontré un soir que l’temps s’était mis à pleuvoir »
    Répertoire Mayol (« genre Mayol » sur les catalogues de l'éditeur).
    PFI non attesté
    Enregistrements Mayol (1913)[123]
  2. Ah ! mad’moiselle... dites-moi donc ! (1910), « chansonnette », paroles de G. Arnoult, musique de Gustave Goublier, éd. Vve Charles Mayol (sans cotage)[21] ;
    Incipit : « Dans un Music-Hall de Paris, un‘ blonde et légère danseuse. »
    PFI illustration de Léon Pousthomis
    Répertoire Mayol (« genre Mayol » sur les catalogues de l'éditeur)
  3. Ah ! voui ! (1909), paroles et musique de Paul Marinier et Henri Christiné, éd. Christiné (C649)[21],[124] ;
    Répertoire Mayol ; illustration de Clérice Frères ; incipit : « Il l'avait rencontrée Un jour près du squar‘ Montholon. »
  4. Arrouah… Sidi (1910), « chanson arabe », paroles de Paul Briollet et Jules Combe, musique de Albert Valsien, éd. Vve Charles Mayol (CM103) ;
    Répertoire Mayol (« genre Mayol » sur les catalogues de l'éditeur) ; illustration de Serge[53] ; incipit : « Étant de passage à Mascara, Arbi, chouïa, barka ! »
  5. Aubade à la rose (1910), « chansonnette », paroles de G. Monge, Pin Sylvestre et Henri Poupon, musique de Vincent Puget, éd. Vve Charles MayolVve Charles Mayol (CM085) ;
    Répertoire Mayol (« genre Mayol » sur les catalogues de l'éditeur) ; illustration de Serge[53] ; incipit : « C'est aujourd'hui la fête, la fêt‘ de tes quinze ans, ouvre moi ta chambrette. »
  6. Avec madame Durand (1918)[125], « chansonnette, répertoire Mayol », paroles de Alcide, musique de Jack Bill, éd. Félix (FM202)[21] ;
    Répertoire Mayol (« genre Mayol » sur les catalogues de l'éditeur) ; illustration de Léon Pousthomis[126], photo Mayol (cliché Panajou) ; incipit : « Un jeun’ méd’cin pour e faire un’ clientèle, vint un jour à Jouy-sur-Lot. »
  7. Ça n’est pas grand chose (1910), « chansonnette, répertoire Mayol », paroles de Henri Christiné, musique de V. Valente, éd. Vve Charles Mayol (sans cotage)[127] ;
    Répertoire Mayol (« genre Mayol » sur les catalogues de l'éditeur) ; illustration de Serge[53].
  8. La Ceinture (1909), « chanson moyenâgeuse créée par Mayol à la Scala », paroles d'Alcide, musique d'Eugène de Grossi, éd. Charles Mayol (sans cotage)[128] ;
    Répertoire Mayol (« genre Mayol » sur les catalogues) ; illustration de Serge[53] ; incipit : « Partant pour la croisade un sire très jaloux de l’honneur de son nom. »

4) Interprétation (avec ou sans mention de création par d'autres chanteurs)

  1. Celle qu’on aime (non daté)[75], paroles de L. Garnier et Gaston Maquis, musique de Gaston Maquis, éd. À la chanson moderne (CM99)[129] ;
    Répertoire Mercadier, chanson chantée par Mayol au Jardin de Paris ; illustration de E. Rocher ; incipit : « Quand on est aimé d'une femme et qu'on l'adore également. »
    Enregistrement : Mercadier, La Voix de son maître 1133G (7-1900)[130]
  2. Ce qui nous reste (1903)[131], paroles de Félix Mortreuil, musique d'Henri Christiné, éd. Maurel (sans cotage)[132] ;
    Créée par Portal à la Scala, Max-Morel à la Cigale, chantée par Mayol au Concert parisien ; illustration de G. Delgronge ; incipit : « Je suis de l'avis du poète, et comme dit la chanson »
  3. C’est toi ! bonjour (1909), « chansonnette », paroles de Roland Gaël, musique de Léon Dequin, éd. Charles Mayol (CM68)[133] ;
    Créée par Anna Thibaud à la Scala, répertoire Mayol ; Répertoire FM ; illustration de Serge[53], photo Mayol Walery ; incipit : « C’était une charmant’ midinette ; un jeune homme lui contait fleurette. »
  4. La Chanson du pâtour (1900)[34], paroles et musique de Théodore Botrel, éd. G. Ondet (GO2267)[134]‘ [135] ;
    Dédicace (intérieure) : « À mes interprètes Mayol et Yvain » ; illustration non signée ; incipit : « Celle que j'adore en cachette a les yeux bleus…»
  5. Premier Froid (1898)[136], paroles de Félix Mortreuil, musique de Gaston Maquis, éd. À la chanson moderne (CM160)[21] ;
    Illustration de P. H. Lobel ; incipit : « Lorsqu’on est amant et maîtresse, Ah ! qu’ils sont beaux, les premiers temps ! »
    Répertoire Mercadier, chantée par Mayol au Concert parisien et Karl Ditan au Nouveau-Concert
  6. Pretty-May - Le Joli mai (1909), paroles de E. Codey et Paul Marinier, musique de Paul Marinier et E. Poncin, éd. Charles Mayol (CM44)[137] ;
    Illustration de Léon Pousthomis ; incipit : « Avec le premier mai, reviennent les chansons : rossignols et pinsons. »
    Créée par Villepré à Parisiana, Carmen Vildez à l'Eldorado, répertoire Mayol

5) Dédicace ou photo Mayol (sans mention répertoire ou création Mayol)

  1. À la Martinique (1912), « chanson nègre », paroles d'Henri Christiné, musique de G. M. Cohan et Henri Christiné, éd. Henri Christiné (C759)[21]Modèle:‘[138] ;
    Répertoire Fragson ; aucune attestation graphique avec « chantée par Mayol » ou «répertoire Mayol » ; dédicace : « Hommage à Mayol, le chanteur populaire » , photo Fragson (cliché Christiné) ; incipit : « Y‘ avait un négro, tout jeune et déjà costaud qui, venant d' la Martinique ».

6) Attestation graphique sans mention Mayol (avec enregistrement par Mayol)

  1. Les Tambours du régiment (1895)[34], paroles de H. Darsay & Jost, musique de Félicien Vargues, Éd. E. Meuriot (EM1725)
    Incipit : « Il était un' fois un p'tit gars/Qui suivait toujours les soldats »
    Créée par Melle Irène Théry, Mr Perval ; illustration signée C. Lavigne[139]
    Enregistrements : Perval des concerts de Paris (Gramophone 3-32950 232022, 22 janvier 1909)[140], Maréchal (Odéon 36713, 1906)[141], Mayol (Gramophone 2-32170 2128F - 1903)[142]

Titres attribués à Mayol

Catalogue des éditeurs

Cette section propose les chansons portant la mention Mayol sur les catalogues éditeurs (verso des petits, moyens et grands formats) mais dont il n'existe pour l'instant pas de confirmation attestée fiable ou consultable en édition graphique (petits formats, recueils, revues, etc.).

Éditions Georges Ondet

Georges Ondet est le principal éditeur chez qui Mayol, alors interprète des chansonniers, choisit ses chansons lors de ses débuts.

Jean Bataille
  • Les Femmes au barreau[135]
Émile Bessière
  • Les Vieilles Dévotes[135]
Dominique Bonnaud
Théodore Botrel
Lucien Boyer
  • L’Heure de l’école[135]
Rodolphe Bringer
Louis Byrec (compositeur)
Colias
Dalleroy
  • À une jeune fille[135]
  • Illusions de poète[135]
Jean Daris
  • Les P’tits Soupers parisiens[135]
Désiré Dihau (compositeur)
Georges Fabri
Jean Goudezki
Paul Henrion (compositeur)
Eugène Lemercier
Paul Marinier
Yann Nibor (compositeur)
Xavier Privas
Jacques Redelsperger
Gaston Sécot
Jean Varney
Léon Xanrof
Henri Yan
Parolier ou compositeur non précisés


Sources : Répertoire de Mayol de la Scala[144], catalogue en recto de la chanson Tout à son utilité[145], catalogue en recto de la chanson J‘ réchauffe des marrons glacés !...[146] .

Catalogue des éditeurs avec mention Mayol créateur ou genre
  1. Adieux d’amants, éd. Louis Michaud (auteur-éditeur)[135] ;
  2. Ah ! je l’ savais bien, éd. A. Dorey[135] ;
  3. Ah ! les petites femmes, éd. A. Dorey[135] ;
  4. Ah oui, je connais une affaire, éd. Dufrenne[135] ;
  5. Ah ! oui l’amour, éd. Jean Péheu[135] ;
  6. Ah ! viens ma Suzon, éd. A. Dorey[135] ;
  7. Allons, Chouchou ! , éd. Granier ;
  8. L’Amour ah ! qu’ c’est bon, éd. A. Dorey[135] ;
  9. Amour à l’anglaise, chansonnette, paroles de Briollet et Lelièvre, musique de Perpignan, éd. J. Rueff (Paris qui chante)[147]‘ [135] ;
  10. L’Amour c’ que c’est bête, éd. À la chanson moderne (chansons de Gaston Maquis)[135] ;
  11. L’Amour en prière, éd. A. Dorey[135] ;
  12. Amour et culotte, éd. Valentin Pannetier[135] ;
  13. Amoureux d’une gosse, éd. A. Dorey[135] ;
  14. Aux Iles canaries, éd. Ch. Borel-Clerc[135] ;
  15. Aventure de trottin, éd. À la chanson moderne (chansons de Gaston Maquis)[135] ;
  16. Les Berceuses, éd Maurel ;
  17. Bon pour la santé, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts[135] ;
  18. Le Bon président, éd. Dorey[135] ;
  19. Le Bout de ruban, éd. Dorey[135] ;
  20. Ca ne s'use pas, éd. Rueff (Paris qui chante)[135] ;
  21. Cantique d’amour, éd. Gruny[148]‘ [135] ;
  22. C'est dommage, éd. Rueff (Paris qui chante)[135] ;
  23. Chanson des douleurs, éd. Gruny[148]‘ [135] ;
  24. Chanson du pardon, éd. Gruny[148]‘ [135] ;
  25. Chanson électorale, éd. Dorey[135] ;
  26. Chevauchée amoureuse, éd. Jean Péheu[135] ;
  27. Les Chichis de Guillaume, éd. Gabaroche[135] ;
  28. Cinémato parisien, éd. Granier[135] ;
  29. Civilisons, éd. Dorey[135] ;
  30. Colimaçon du sacristain. Chanson grivoise, éd. Maurel[135] ;
  31. Comme elle boite, éd. Jean Péheu ;
  32. Comment on nomme sa mère, éd. A la Chanson moderne (chanson de Gaston Maquis)[135] ;
  33. Comment on s'en tire, éd. Dorey[135] ;
  34. Comment on sert son pays, éd. Gruny[148]‘ [135] ;
  35. Le Contribuable content, éd. Chavat et Girier[135] ;
  36. Les convenances, éd. O. Dufrenne[135] ;
  37. De Fondandèze à Barcelonne, éd. Dorey[135] ;
  38. De l’eau, de l’eau, éd. Dorey[135] ;
  39. Dodo câlin, éd. Dorey[135] ;
  40. Dolly ! Dolly !, éd. Borel-Clerc[135] ;
  41. Le Double pari, paroles de Lelièvre, musique de Chaudoir, éd. J. Rueff (Paris qui chante)[147][135] ;
  42. Le Droit du seigneur, éd. Delormel[135] ;
  43. Elle a tout pour elle, éd. Christiné[135] ;
  44. Elle a le bras long, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts ;
  45. Les Faiseurs, éd. Rueff (Paris qui chante)[135] ;
  46. La Famille Pignouf , éd. Chavat et Girier[135] ;
  47. Fausse route, éd. Maurel[135] ;
  48. Fais-moi-z'y penser, éd. Gaston Gross[149]‘ [135] ;
  49. Femmes dites pourquoi, éd. Gruny[148][135] ;
  50. La Fille du général, éd. Maurel[135] ;
  51. Flirtages, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris ;
  52. La Frêle parisienne, éd A la chanson moderne (chansons de Gaston Maquis) ;
  53. Frissons de femmes, éd. Maurel[135] ;
  54. Le Furet, éd. Fouquet[135] ;
  55. Les Gentils amoureux, éd. Fouquet[135] ;
  56. Grand’ Mère, éd. Gruny[148] ;
  57. Il était une fois, éd. Fouquet[135] ;
  58. Il fait si sommeil. Idylle, éd. A. Dorey[135] ;
  59. Il n’est donc jamais là , éd. Granier[135] ;
  60. J’ai gardé tes baisers, éd. Gruny[148]‘ [135] ;
  61. Je vous l’ prête, éd. Jean Péheu[135] ;
  62. J’ paye à diner, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris[135] ;
  63. J’ suis trop timide, éd. Gruny[148]‘ [135] ;
  64. Légende des trottins, éd. A la Chanson moderne[135] ;
  65. Lorsque sonne minuit, éd. Chavat et Girier[135] ;
  66. Ma petite Mionne. Romance, éd. A. Dorey[135] ;
  67. La Marche des p’tits loupiots, éd. A. Dorey[135] ;
  68. Marionnettes, éd. Chavat et Girier[135] ;
  69. Tes seins, éd. Michaud Louis (auteur-éditeur)[135] ;
  70. Microbomanie, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris[135] ;
  71. Midinette-Marche, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris ;
  72. Modernes sérénades, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris[135] ;
  73. Mon loup, éd. Gruny[148]‘ [135] ;
  74. Le Mousse de Paimpol, éd. Fouquet[135] ;
  75. Noël à Madame, éd. A La Chanson Moderne[135] ;
  76. O Charlotte, éd. A. Dorey[135] ;
  77. Oh ! les filles, éd. A. Dorey[135] ;
  78. On les blague, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris[135] ;
  79. Orchestre de Dames, éd. Maurel[135] ;
  80. Parlons d’amour, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris ;
  81. Pas devant l’ monde, éd. Aux succès modernes[135] ;
  82. Petite chose, éd. Maurel[135] ;
  83. Petite Nichonnette, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris ;
  84. Petite Nini, éd. Guéprotte[148]‘ [135] ;
  85. Petites phrases, éd. Maurel[135] ;
  86. Polka des conducteurs, éd. Société anonyme du Nouveau répertoire des Concerts de Paris[135] ;
  87. La Pompe (grivoiserie), éd. Gruny[148]‘ [135][135] ;
  88. Poupoulette, éd. Guéprotte[148]‘ [135][135] ;
  89. Pour notre France, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris ;
  90. Pour qui m’ prenez vous, éd. Maurel[135] ;
  91. Printemps libertin. Chansonnette, éd. A. Dorey[135] ;
  92. Les Projets de Mimile, éd. Gruny[148]‘ [135] ;
  93. La P’tite fossette, éd. A. Dorey[135][135] ;
  94. Les P’tites amoureuses parisiennes, éd. A. Dorey[135]‘ [135] ;
  95. Quand tu voudras Colombine, éd. A. Gruny[148]‘ [135] ;
  96. Quels tourments !, éd. J. Rueff (Paris Qui chante)[135] ;
  97. Les Questions, éd. Granier éditeur[135] ;
  98. Qui veut des prunes, éd. A. Dorey[135] ;
  99. Le Repos dominical, éd. A. Dorey[135] ;
  100. Les Restaurants, éd. Chavat et Girier[135] ;
  101. Retour d’Afrique. Sénénade militaire, éd. A La chanson moderne[135] ;
  102. Rêve de folie, éd. A. Dorey[135] ;
  103. Saisons d’amour, éd. J. Rueff (Paris Qui chante)[135] ;
  104. Sans ta maman, éd. A. Dorey[135] ;
  105. Si on connaissait l’avenir, éd. Maurel[135] ;
  106. Sœur Jacqueline, éd. A. Dorey[135] ;
  107. Sous la feuillée, éd. A. Dorey[135] ;
  108. Ta chair, éd. Gruny[148] ;
  109. Talisman normand, éd. A. Dorey ;
  110. Ton départ, éd. Gruny[148]‘ [135] ;
  111. Le Trac, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris[135] ;
  112. Très exitante, éd. Jean Péheu[135] ;
  113. Trottin professionnel, éd. A. Dorey[135] ;
  114. Un remède salutaire, éd. A. Dorey[135] ;
  115. Vadrouille pharmaceutique, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris ;
  116. Le Va-z-et-vient, éd. Gaston Gross[149]‘ [135] ;
  117. Viens nous-en, éd. éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris[135] ;
  118. Le Vœu d’Isaac, éd. Granier[135] ;
  119. Les Voisins, éd. éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris[135] ;
  120. Vous perdez quéqu’ chose, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris[135] ;



Catalogue des éditeurs (mention Mayol créateur ou genre) et attestations avec d'autres chanteurs (édition graphique)
  1. Chanson des heures, paroles et musique de Xavier Privas, éd. Gruny[148]‘ [135] ;
    Créée par Dickson, Mercadier, Ruol[150]
    Enregistrée par Mercadier (Gramophone Zonophone X82177 1906)[151]
Éditions Charles Mayol

Sont regroupés ici les titres présents sur un ou plusieurs catalogues des éditions Mayol, où Félix Mayol est mentionné comme « genre » ou « répertoire », et pour lesquels n'a pas été trouvé pour le moment d'attestation en édition graphique. Les indications en deuxième ligne après les titres renseignent sur les évolutions de « genre » mentionnés sur les catalogues des éditions éditions Mayol, des premiers catalogues aux catalogues tardifs. Mayol – chanteur et éditeur – a la maîtrise sur les informations publiées sur les catalogues de ses éditions. Il est légitime de considérer les évolutions des attributions (« genre » des chansons) comme une politique éditoriale, et donc de classer ces titres dans une sous-section.

  1. Ah ! Ah ! Ah ![152]
    genre Lejal → genre Mayol
  2. Ah ! si vous voulez du bonheur ou Si vous voulez du bonheur[135]
    genre Mayol
  3. C’était un petit soldat[135]
    genre Mayol
  4. Cachez-ça[153]
    genre Darbon → genre Mayol
  5. Chanson de Suzette, musique Raoul Soler [153]
    genre Esther Lekain → genre Suzanne Chevalier → genre Mayol
  6. Les Chataignes[153]
    genre Gabrielle Lange → genre Mayol
  7. Les Coiffes[153]
    genre Yvonnec → genre Mayol
  8. Cri du cœur[135]
    genre Mayol ou genre Lemercier-Norcel, ou Norcel
  9. La Dame et le Chien ou La Dame au chien[135]
    genre Mayol
  10. Dans mon jardin[135]
    genre Mayol
  11. La Diligence[135]
    genre Mayol
  12. Le Docteur gai[154]
    genre Dranem → genre Mayol
  13. Doucement[155]
    genre Mayol
  14. Elle frotte[135]
    genre Mayol
  15. La femme qui colle
    genre Mayol
  16. France et prusse[135]
    genre Mayol
  17. La gentille cordonnière[135]
    genre Mayol
  18. Hésitation[135]
    genre Mayol
  19. Il l’aimait beaucoup[135]
    genre Henriette Leblond → genre Mayol
  20. J’adore le printemps[135]
    genre Mayol
  21. La Jolie Laitière[156]
    genre Mayol
  22. La Jolie Photographe[135]
    genre Mayol
  23. Laissez-moi faire[135]
    genre Mayol
  24. Lettre d’un gosse à son père[135]
    genre Mayol
  25. Lettre d’un petit tambour[135]
    genre Mayol
  26. Lorsqu’arrive le printemps[157]
    genre Darius M. → genre Mayol
  27. Louisticana[158]
    genre Dranem → genre Mayol
  28. Ma P’tite Camille ou La P’tite Camille[159]
    genre Dranem → genre Mayol
  29. Mam’zelle Jasmin[160]
    genre Mayol
  30. Marius voyage[135]
    genre Mayol
  31. La P’tite moukère[161]
    genre Foscolo → genre Mayol
  32. Parigote[162]
    genre Mayol
  33. Parisienne savante[163]
    genre Mayol
  34. Le Petit Déclanchement (sic)[135]
    genre Mayol
  35. La Plaintes d’Ali Tchouk-Tchouk[135]
    genre Mayol
  36. Pour bien débuter[164]
    genre Gabrielle Lange → genre Mayol
  37. Le Régiment des entraîneuses[165]
    genre Foscolo → genre Mayol
  38. Revue d’amour[166]
    genre Lejal → genre Mayol
  39. Sérénade à la pâtissière[135]
    genre Mayol
  40. Soir de bonheur[167]
    genre Dickson → genre Mayol
  41. Les Soldats du midi[135]
    genre Mayol
  42. Son joli p’tit chose[168]
    genre Mayol
  43. Tombouctou[135]
    genre Mayol
  44. Totoche[135]
    genre Mayol
  45. Tu n’ veux plus m’aimer[169]
    genre Dalbret → genre Mayol
  46. Un tout petit soldat[135]
    genre Mayol
  47. Viens Gilette[170]
    genre Esther Lekain → genre Mayol
  48. Viens-tu, mon chéri[135]
    genre Mayol
  49. Vous en voudreririez (sic!) ou Vous en voudriez[171]
    genre Dutard → genre Mayol
  50. Y en a ou Y en a, y en a[172]
    genre Lejal → genre Mayol

Sources : Catalogues des éditions Mayol, en ligne sur Médihal

Mémoires de Mayol

Dans ses Mémoires, Mayol évoque plus de 200 chansons, dont deux données en exemple d'anecdotes. Les précisions données par le chanteur lui-même montrent que toutes ces chansons ne sont pas revendiquées comme des « créations ».

  1. L‘Accordeur de pianos (non daté)[173], « chanson comique créée par Strit à la Cigale, Mayol au Parisien et Gosset à la Gaité-Rochechouart », paroles de Horace Delattre et A. Grimaldi, musique d'Henri Christiné, éd. A. Grimaldi
    Illustration de Charles Gangloff[174] ;
  2. L'Adoration du schah (1912)[175], « chansonnette répertoire Mayol », paroles de Phylo, musique de Laurent Halet, éd. Vve Charles Mayol (cotage n. p.)[176] ;
    Répertoire FM (« genre Mayol » catalogues)
  3. Les Bonnes Grosses Dames (1896), de Jean Bataille, éd. Georges Ondet[177]‘ [178]‘ [135]
  4. Le Chien policier, éd. Mayol (catalogues : « genre Mayol »)
  5. Comme une cigarette (1910)[179], « chanson créée par Mayol au Concert parisien », paroles de J. Favart, musique de Gustave Goublier, éd. Charles Mayol[180] ;
    Illustration de Serge[53].
  6. Elle vendait des petits gâteaux[181] ;
  7. Les Trois Ulhans, de Paul Marinier, éd. Félix (catalogues : « genre Mayol »)[135]

Programmes et presse

  1. Effet de saisons , éd. Fouquet[182]‘ [135] ;
  2. Jour de dêche, éd. Ondet[183]‘ [135] ;
  3. Lettre d’un prisonnier boer, Alcazar de Marseille, 30 décembre 1901[184]‘ [135] ;
  4. Oh ! la jolie saison, Alcazar de Marseille, 30 décembre 1901[184]‘ [135] ;
  5. Visite au salon ou ces dames au salon, Alcazar de Marseille, 30 décembre 1901[184]‘ [135].

Enregistrements sans attestation graphique

Cette section présente les œuvres enregistrées par Mayol, dont l'attestation en édition graphique n'a pas encore été trouvée ; l'enregistrement du titre par d'autres artistes est mentionné au cas où elle est connue. Les références discographiques sont issues des catalogues discographiques disponibles (cf. sources). A défaut et en note, nous indiquons les renseignements publiés dans le répertoire Mayol sur le site « Du Temps des cerises aux Feuilles mortes »[185]. Au cas où une référence en édition graphique sans mention de chanteur, ou attribuée à d'autres chanteurs que Félix Mayol (Harry Fragson, Paul Marinier, etc.), est attestée, le titre est intégré dans le catalogue « édition graphique ». Lors de la période d'activité de Mayol, la diffusion des chansons étant assurée par l'édition graphique, l'hypothèse est que des attestations graphiques seront à terme retrouvées pour tous les titres enregistrés par Mayol.

Précisions : l'identification d'une chanson par les références phonographiques exige des recoupements et des vérifications. Les étiquettes des premiers disques mentionnent les compositeurs, mais ni les éditeurs, ni les paroliers ne sont indiqués[186]. Les titres sur les étiquettes ne sont pas toujours identiques à ceux des éditions graphiques ; de plus, l'existence de nombreux titres de chansons homonymes ou très proches (les titres n'étant pas protégés par le droit d'auteur) est source récurrente d'erreurs.

  1. Aïcha la brune, musique de M. Franceschini, Pathé (saphir 4439), sans date [187]
    L'étiquette précise « chanson algérienne chantée par Mayol du Concert Mayol »[188]
  2. Les Caniches, musique de L. Gangloff, La Voix de son maître (2-32170/2127 F), avril 1903[189]
    Attribuée à Goudezki, catalogue Ondet en recto (répertoire et création de Mayol), chanson Tout à son utilité !... (1895) medihal-00591723[190]
  3. Le Célibataire ou l’Homme sans femme ;
    Titre attribué à Dranem, catalogue des éditions Mayol[191]
  4. Ce que rêvent les hommes, chansonnette, musique de Fragson, La Voix de son maître (2-32160/2047 F), avril 1903[189]
    Mayol évoque cette chanson dans ses Mémoires (p. 113) comme un de ses « succès » de l'année 1896 au Concert parisien (sans préciser « création »)[192]
  5. Charmante, Pathé (saphir) 4451/3216 (sans date)[193]
    Valse extraite de l'opérette La Dame en rose (The Pink Lady, paroles originales de Hugh Morton, musique de Ivan Caryll, créée à Broadway en 1912 puis dans une version française de Louis Verneuil en 1916[194]' [195]
  6. Les Chiens sauveteurs, chanson d'actualité , Zonophone 11657 (12 septembre 1902)[196]'[197]
  7. La Disparition du shah de Perse[198] ;
  8. Fâcheuse complaisance (1920), paroles de Paul Marinier, musique de Paul Marinier et Piquet (éditeur non précisé)[199];
  9. La Flanelle, parodie de C’est un oiseau qui vient de France (1903), paroles de Minot, musique de Legay (éditeur non précisé)[200] ;
  10. Fleur de Paris (1919). Paroles de Charles-Louis Pothier et Vincent Telly, musique de Charles Borel-Clerc (éditeur non précisé)[201];
  11. Les Grands Yeux de Mimi Pinson (1926 ?), paroles de Paul Marinier, musique de Paul Marinier et Helmer (éditeur non-précisé)[202] ;
  12. L'Heure de l’amour (1903). Paroles de (?), musique de Félicien Vargues (éditeur non précisé)[203];
  13. Monsieur et madame Poisse (1919), paroles de Marc Hély, musique de Ghislain et Albert Valsien (éditeur non précisé)[204] ;
  14. N’allez pas au bois (1920), paroles d'Aubin, musique de Maye (éditeur non-précisé)[205] ;
  15. L’Ouvreuse (1903). Paroles et musique de Lefèvre, (éditeur non précisé)[206];
  16. Pardonne (1902), paroles de Jean Daris, musique de Félix Chaudoir (éditeur non-précisé)[207] ;
  17. Le Petit prodige, paroles de Marc Hély, musique Albert Valsien (éditeur non-précisé)[208] ;
  18. Pleure pas pour ça (1902), paroles de Alexandre Trébitsch, musique de Félicien Vargues, (éditeur non-précisé)[209] ;
  19. Quand Johnny va voir sa belle (1919), paroles de Lucien Boyer, musique de Wenrick (éditeur non-précisé)[210] ;
  20. Rien qu’un baiser (1920), paroles d'Albert Willemetz et Jacques-Charles, musique de Maurice Yvain (éditeur non-précisé)[211];
  21. Sauce mayolaise (1932), parolier, compositeur et éditeur non précisés[212];
  22. Sérénade à l’inconnue (1901 ou 1902), paroles d'Émile Bessière, musique de Paul Marinier (éditeur non-précisé)[213];
  23. Sérénade du pauvre gueux (1902), paroles de De Reusse, musique de Paul Marinier (éditeur non-précisé)[214];
  24. Les Sœurs jumelles (1918), paroles de Louis Boucot et Louis Maubon, musique de Vincent Scotto (éditeur non-précisé)[215] ;
  25. Tout doucement (1918), paroles et musique de Paul Marinier (éditeur non-précisé)[216];
  26. Les Trois petits enrhumés ou La Ballade des trois petits enrhumés (1897-1898)[217],[218] ;
  27. Vertus de femmes (1903), paroles de Gil, musique de Gaston Maquis (éditeur non-précisé)[219];


Sources :

  • Alan Kelly (dir.), His master's voice/La Voix de son maître : The French Catalogue. A Complete Numerical Catalogue of French Gramophone Recordinds made from 1898 to 1929 in France and elsewhere by The Gramophone Company Ltd, with the cooperation of the EMI Music Archive, Greenwood Press, New York-London, 1990, 679 p. (ISBN 0-313-27333-2)
  • Catalogue de la BNF
  • Christian Zwarg, Firmendiscographine (catalogues formats XL téléchargeables)

Extraits de chansons

Ah ! mad'moiselle… dites-moi donc !

Paroles de G. Arnoult, musique de Gustave Goublier (1910)
Ah! mad‘moiselle, dites-moi donc !
Et‘s-vous d‘ Grenelle ou de London ?
Donnez-moi votre pied avec la cuisse par dessus le marché !
Vous êt‘s enfant d‘ Bohême,
Tenez, je vois bien ça,
[…]
La petit‘ sans se fair‘ prier
Emm‘na le jeune homme chez elle ;
[…]
Puis ell‘ lui dit : « Joli garçon
Pendant que j'allum‘ la chandelle,
Il faut que tu frottes, mon mignon. »

Allemagne au-dessous de tout

Chanson patriotique, paroles de Jean Aicard, musique de Blanche Poupon (1914)[33]
La honteuse Allemagne
Tombe plus bas que tout.
Des soldats pris au bagne
N'inspirent que dégoût.
Parmi les pleurs, les râles,
Ils sont ivres de vin,
Brûlent nos cathédrales !
Reims et Louvain
Nous crient : « Vengeance ! »
Vive la France !

Les Alliances de Guillaume

Créé aux Ambassadeurs (circa 1910), paroles de Paul Marinier, musique recueillie
et arrangée par Adrien Serge, éd. Marcel Labbé (ML8034)[35]
Cherchant pour l'Allemagne
Des alliances partout,
Guillaum‘ dit à l'Espagne:
« Soyez donc avec nous ! »
Ou ! ou ! ou ! ou ! c'est un sal‘ coup
Mais l'Espagn‘ très gentille
Lui dit dans l'embarras
« J‘ viens de rec‘voir Émile…
Pour l'instant je n‘ peux pas ! »
Ah ! Ah ! Ah! Ah!

L'Amour muet

Chansonnette créée à l'Alcazar d'été (1908)[220], paroles de F.-L. Bénech, musique de D. Berniaux
Quand je la rencontrais, elle était à g‘noux
D‘vant la statu‘ d'Saint-Antoin‘ de Padoue,
Ses grands yeux au ciel, l'air un peu morose
J‘ pensai : Cett‘ dame a perdu quelque chose

Arpettes-Marche

Paroles de L. Champigny et F.-L. Bénech, musique de D. Berniaux (1909)[221]
On voit chaqu‘ matin les p‘tites arpettes
Passer guill‘rettes
Sur les boul'vards
Cousett‘es modillons, trottins, fleuristes,
Ont à leur piste de vieux paillards
Aussi sous la pluie
La mine réjouie
L'arpette en traversant
Le ruisseau débordant
Pense à des rivièr‘s de diamant

L'Autre Cortège

Récit créé au front le 14 juillet 1916, par l'auteur et Madeleine Roch de la Comédie-Française,
texte de Jean Bastia, musique de scène de Charles Helmer[42].
Quand Joffre reviendra par les Champs-Élysées
Au milieu des clameurs dont les foules grisées
Salueront son retour vainqueur
Quand les cœurs libérés enfin de leur malaise
Battront le ban de gloire et que la Marseillaise
Ne sera qu'un immense chœur ;
Lorsque, derrière lui, viendront, dorés sur tranches,
Ses généraux, tous les héros de la revanche,
Les capitaines d'aujourd'hui :
Pétain qui gardera Verdun inviolée

Le Bon Chemin

Chansonnette anglaise créée par Mayol (1912), paroles de Ferdinand-Louis Bénech,
musique de Romain Desmoulins, éd. L. Bénech (LBP176).

(Refrain final)

Aoh ! Ce n'est pas le bon chemin,
Vous n'arriv'rez jamais à rien.
Vous faites fauss' route,
Dit la p'tite petite Louloutte
Laissez-moi vous conduire gentiment
Donnez-moi donc votr' main
Je vais la conduire
Dans le bon chemin!

Le Chien sergent de ville

Paroles de Lucien Boyer et Henri Bataille, musique d'Adolph Stanislas, éd. S. Eichard (S47E)[222].

(Premier couplet)[223]

Mesdam's et Messieurs, faut qu' tout le mond' le sache,
Bientôt, dans Paris, y aura plus d'apaches:
On pourra chez soi rentrer l' soir à pied
Car on vient d' créer le chien policier !

(Second couplet)

Ben c' lui qu'a trouvé le chien sergent d' ville
Est loin mes amis d'être un imbécile,
Car un chien, ça court pus vit' qu'un agent
Et ç'a l'avantag' d'être intelligent

Le Petit Mandarin

Chinoiserie (1909), paroles de P. Ardot et A. Laroche, musique d'Émile Lasailly, éd. Ch. Mayol[91].

(Incipit)

Un p'tit chinois,
Très grivois
Cherchait en tapinois,
Au bois,
Un minois,
Rencontre une jeun‘ bergère

Le Poilu et le Tommy

Chansonnette (1914-1918?)[224], paroles de Alcide, musique d'Albert Triollet, éd. Vve Ch. Mayol.
Il y avait un brav' poilu,
Énormément barbu
Et surtout très velu ;
Dans sa tranché', avec lui, y avait aussi
Un joyeux et brav' Tommy.
Ils devinr'nt de bons copains,
Unis par le destin
Et toujours pleins d'entrain.
On les voyaient tous les deux,
S'élancer gaiement au feu.

Pour ses parents

Paroles et musique d'Henri Christiné (1916).
Ah ! monsieur ! c'est pour mes parents,
Si vous saviez comm‘ ce sont des brav‘s gens,
Moi, j‘ suis une honnête fille
Et j'ador‘ ma famille

(Refrain final)

Mes parents m‘ répètent tous les jours
« Evit‘ le mal et prends garde à l'amour
Fais le bien ». Alors moi, monsieur,
Je l‘ fais aussi bien que j‘ peux !

Filmographie

Mayol a été filmé à plusieurs reprises par Gaumont pour les Actualités ; on peut signaler la séquence Une soirée mondaine de Henri Diamant-Berger, tournée en 1918, mise en musique par Jean Wiener dans les années 1970[225]


Phonoscènes Gaumont (1905)
  • La Fifille à sa mère no 143
  • Le Petit Panier no 144
  • Le Petit Grégoire no 145
  • La Fifille à sa mère no 146
  • Lilas blanc no 147
  • Le Jeune Homme et le trottin no 148
  • La Polka des trottins no 149
  • La Paimpolaise no 150
  • C'est une ingénue no 151
  • Si ça t‘ va no 152
  • À la cabane bambou no 153
  • Questions indiscrètes no 154
  • La Matchiche no 155
Courts métrages (chansons)

[réf. nécessaire]

  • 1918 : La Balance automatique de Georges Lordier (court-métrage)
  • 1918 : La Chanson des mouchoirs de Georges Lordier (court-métrage)
  • 1918 : Cousine de Georges Lordier (court-métrage)
  • 1918 : Elle est de l'Italie de Georges Lordier (court-métrage)
  • 1918 : Les Mouchoirs de Georges Lordier (court-métrage)
  • 1918 : Come Darling de Georges Lordier (court-métrage)
  • 1918 : Petit Matelot de Georges Lordier (court-métrage)
  • 1918 : Les Mains de femme de E. Borney (court-métrage)
  • 1920 : Ma Petite Bretonne de Roger Lion (court-métrage)
Longs métrages

Discographie

Une partie des chansons de Mayol n'a cessé d'être rééditée, au fur à mesure de l'évolution de l'édition phonographique : sur 33 tours vinyl, puis depuis l'invention du CD au travers d'anthologies (par artiste, thème ou année).

Rééditions CD
  • Mayol (23 titres), coll. Chansophone DK 040, 1995 – Livret de 7 pages de Jacques Primack et Gilles Pétard[229]

Bibliographie

Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

  • Chantal Brunschwig, Louis-Jean Calvet, Jean-Claude Klein, Cent ans de chanson française, Seuil (coll. Points actuels), 1981 (ISBN 2-02-00-2915-4) (1re éd. reliée 1972)Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • André Sallée et Philippe Chauveau (dir.), Music-hall et Café-concert, Bordas, Paris, 1985 (ISBN 2-04-016371-9)Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Jean-Rémy Julien, Musique et publicité : du cri de Paris aux messages publicitaires radiophoniques et télévisés, Flammarion (coll. Harmoniques : Série Les goûts réunis), 1989 (ISBN 2-08-066292-9)Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • François Caradec et Alain Weill, Le Café-concert (1848-1914), Fayard, Paris, 2007 (ISBN 978-2-213-63124-0)Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Christian Marcadet, « Du répertoire à la performance : ou comment Félix Mayol s‘imposa au café-concert », in Stéphane Hirschi, Ėlizabeth Pillet et Alain Vaillant (dir.), L‘Art de la paroles vive : paroles chantées et parodies dites à l‘époque moderne, Presses universitaires de Valenciennes (coll. Recherches Valenciennes), 2006, pp. 275-298 (ISBN 2-905725-80-X)Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Regina M. Sweeney, Singing our Way to Victory: French Cultural Politics and Music during the Great War, Wesleyan University Press, 2001 (ISBN 0819564737)Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Rémy Campos, « Félix Mayol dans la grande guerre », in Stéphane Audoin-Rouzeau, Esteban Buch, Myriam Chimènes et Georgie Durosoir (dir.), La Grande Guerre des musiciens, Symétrie (Lyon), 2009, pp. 103-118 (ISBN 978-2-914373-54-8)Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Regarder écouter

Sources historiques

  • Mayol, Mémoires recueillis par Charles Cluny, éd. Louis Querelle, 1929, 335 p. (notamment la « liste alphabétique des personnalités, villes, œuvres et établissements cités au cours du présent ouvrage: Chansons (pp. 328-332) ; Œuvres littéraires et théâtrales (p.332) ; Villes (pp.332-333) ; Établissements (pp.333-334) » ).
Réédition numérique intégrale[230], sous le titre Mémoires. Souvenirs racontés à Charles Cluny, Paul Dubé (éd.), 2009, 145 p. (lire en ligne).
  • Une heure de musique avec Mayol, préface de Charles Cluny, série légère no 9, coll. du musicien, éd. Cosmopolites, 1930.
  • G. Périchard, « Mayol », Les Hommes du jour. Annales politiques, sociales, littéraires et artistiques no 220 (5e année), 6 avril 1912, dessins de G. Raïeter).
  • Georges Pioch, « Monsieur Mayol », Les Hommes du jour. Annales politiques, sociales, littéraires et artistiques no 497, 27 octobre 1917, pp. 2-3 (photo Mayol par Henri Manuel en couverture.
  • « Mayol », La Musique pour tous no 27, janvier 1908[231]
Contient : Catalogue (p. 2) ; « Un chanteur populaire : Mayol », article de Jean-Pascal (pp. 3-4) ; « Mayol et la presse » (p. 5) ; Dix chansons : Le Repos du dimanche, La Chasse, La Fifille à sa mère, Le Vrai Diabolo, Le Jeune Homme et le Trottin, Quand on voyage, Celle qui vous aime, L'Amour qui s'en va, Les Suicides d'un auteur, L'Espérantelle.
  • « Les grands succès de Mayol », La Peite musique pour tous, n° 16, éd. universelle, sans date
Contient : Bou-dou-ba-da-bouh !, Come darling, Le Gosse et le Chien, Mon blanc Muguet, Lettre d'un petit tambour.
  • Mayol : Recueil de douze chansons avec la musique (exemplaire incomplet), piano-chant, éd. Charles Mayol, 1910
Chansons illustrées par des miniatures (non-signées) inspirées des frises de Léon Pousthomis. Contient : publicité liqueur Mon médecin ; photo Mayol en Égypte (1908) ; Avis : « À partir du 1er septembre 1910, Mayol devient directeur du grand Concert parisien. C'est dans cet établissement qu'il interprétera les nombreuses chansons qu'il a l'habitude de lancer chaque année à Paris. Il sera entouré d'une troupe d'artistes de premier ordre. » (p. 2) ; Huit chansons (avec la date du copyright et une partie des cotages) : Les Fraises de Plougastel, Petite Moucheronne, La Ceinture, Dans le biplan, Amoureux Sauvetage, Le Métier des amours, J'étais pure et Banane et Printemps ; publicités A. and S. J. Van Arpels ; manufactures de pianos Henri Pruvost, Cheveux coiffures Loisel, Christiné compositeur-éditeur de musique ; Sylvain Rosenthal, tailleur de Mayol, Hygiène et antiseptie de la bouche La Mayoline (avant-dernière page).

Liens externes

Notes et références

  1. ↑ Éditeur des chansons de Mayol et d'autres interprètes et compositeurs, dont Raoul Soler.
  2. ↑ a, b et c François Caradec, Alain Weill, Le Café-concert, op. cit., p. 313.
  3. ↑ « Imitateurs » sur le site « Du Temps des cerises aux Feuilles mortes » (DTCFM).
  4. ↑ a et b François Caradec, Alain Weill, Le Café-concert, op. cit., p. 317.
  5. ↑ L'immeuble qui abritait le concert Mayol, 10 rue de l'Échiquier, à Paris, existe toujours, bien que la salle ait été détruite en 1976. À la place, on trouve un restaurant : Le Jardin des voluptés.
  6. ↑ Paul Olivier, Raimu ou l'Épopée de César, éditions France-Empire, 1977.
  7. ↑ Cf. commentaires de Paul Dubé sur le répertoire de guerre de Mayol.
  8. ↑ Chantal Brunschwig, Louis-Jean Calvet, Jean-Claude Klein, Cent ans de chanson française, p. 260.
  9. ↑ Son buste trône en haut des escaliers de la tribune Lafontan.
  10. ↑ Cf. commentaires de Paul Dubé
  11. ↑ Cf Entretien radiophonique avec Mayol en 1941 sur DTCFM.
  12. ↑ « J'avais à l'époque, une petite amie : Jenny Cook — charmante, tu peux le croire ! — Mieux que parisienne, c'est une vraie parigote. » in Mayol, Les Mémoires de Mayol, op. cit., chap. VI.
  13. ↑ Pour une étude sur les relations amoureuses en chansons, voir Anne Simon, « Tu m’as donné le grand frisson : Les Mots pour le dire dans la chanson populaire française du début du XXe siècle », Clio no 31 « Érotiques », 2010.
  14. ↑ Catalogue Dubé
  15. ↑ Paris qui chante no 250, 3 novembre 1907, p. 6.
  16. ↑ Cf. Les Mémoires de Mayol, p. 48, chiffre repris par la suite à de nombreuses reprises, notamment in François Caradec et Alain Weill, op. cit., p.320.
  17. ↑ Chansons de Paris, no 2, 3 mai 1903, p.10.
  18. ↑ cf. introduction au répertoire Paulus sur DTDCFM
  19. ↑ Paul Dubé et Jacques Marchioro, Index du Répertoire sur DTCFM.
  20. ↑ Selon les conventions bibliographiques, seuls les articles définis la, le, les sont ignorés pour le classement.
  21. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n, o, p, q, r, s, t, u, v, w, x, y, z, aa, ab, ac, ad, ae, af, ag, ah, ai, aj, ak, al, am, an, ao, ap, aq, ar et as Éliane Daphy, Répertoire Mayol avec couvertures des petits formats et catalogues des éditeurs sur Médihal
  22. ↑ Site anglophone qui présente plus de 10 000 illustrations de partitions (en majorité des grands formats) et fournit des indications précises sur la date, l'éditeur, le cotage.
  23. ↑ Les mentions « crée(e) par », « chanté(e) par », « dit(e) par », « raconté(e)s par » sont toujours accordées - sauf erreur - sur le sous-titre de la chanson. Par exemple : un monologue crée, chanté, raconté par… ; une chansonnette créée, chantée, interprétée par…
  24. ↑ Le nombre d'erreurs ou de mentions omises sur le catalogue de Paul Dubé est relativement important, en particulier sur les datations. Par exemple, Dubé date certaines chansons publiées aux éditions Mayol entre 1903 (Ça n'avance à rien) et 1905 (Elle pique à la mécanique) alors que les éditions n'ont été fondées qu'en 1908. Dubé a rajouté en août 2011 plus de 50 nouvelles chansons à son catalogue – 29 du catalogue WP (références complètes) et 28 titres, tous des éditions Mayol mais sans références précises (attestation d'auteurs, iconographie ou référence phonographique). Plutôt que d'intégrer les références de ce catalogue en corrigeant les informations erronées qui auraient été repérées, le choix a donc été fait de ne pas les intégrer dans le catalogue graphique, et de mentionner en note les attestations.
  25. ↑ Cf. Fiche de l’œuvre sur DTCFM ; selon les informations mises en ligne, le document fait partie de la collection de Paul Dubbé. Donné comme « petit format », l'image du document est également présente dans la galerie de « petits formats » de Mayol, présentant 446 images, avec ce commentaire : « Les 446 petits formats que nous présentons ici - au dernier décompte - semblent tous lui être propres quoique certains titres où Mayol n'est mentionné que presque en catimini nous laisse songeur. ». La réserve ne concerne pas Cigale Marseillaise… Un simple observation du document dont l'image recto est mise en ligne montre qu'aucune chanson de ce nom n'est présente dans le document. En établissant son répertoire Mayol sur la base d'images virtuelles (aux sources incertaines, aux attributions fantaisistes), sans consultation des documents réel en papier (lieu de consultation non-mentionné), Paul Dubbé est à l'origine de nombreuses falsifications ou erreurs. L'image de la première page du recueil (qualifié de « petit format » est attribuée à la collection des auteurs dans la Félix Mayol Petits formats (p. 2).
  26. ↑ p. 2 du petit format.
  27. ↑ Voir le grand format illustré par H. Armengol sur ISM.
  28. ↑ Mention « éd.Christiné / Alibert » sur DTCFM.
  29. ↑ 1906 selon DTCFM.
  30. ↑ Voir le grand format illustré par Clérice frères sur ISM.
  31. ↑ Sur la musique de la chanson traditionnelle de Guadeloupe Adieu foulards adieu Madras.
  32. ↑ Fiche de l’œuvre sur ISM.
  33. ↑ a et b Fiche de l’œuvre sur Médihal.
  34. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m et n Datation par cotage.
  35. ↑ a et b Fiche de l’œuvre sur Médihal.
  36. ↑ Datation par la mention sur le petit format illustré par Léon Pousthomis et la cotation des éditions Louis Bénech (LBP152) qui confirme cette date.
  37. ↑ Fiche de l’œuvre sur Médihal.
  38. ↑ Voir le grand format illustré par Georges Liodet sur ISM.
  39. ↑ 1905 selon DTDCFM, qui donne comme éditeur Françis Salabert (qui remplaça son père à partir de 1911).
  40. ↑ Voir le grand format sur ISM.
  41. ↑ Paris qui chante no 352, 31 octobre 1909, pp. 8-9, qui mentionne en bas de page : « publiée avec l'autorisation de M. Marguaritat »
  42. ↑ a et b Fiche de l’œuvre sur Médihal.
  43. ↑ Voir ce que dit Paul Dubé (DTCFM) sur cette chanson.
  44. ↑ Voir le grand format sur ISM
  45. ↑ Pseudonyme collectif de Marcel Bertal et Louis Maubon, cf. catalogue BNF.
  46. ↑ Voir le grand format sur ISM.
  47. ↑ Publié in Mayol : Recueil de douze chansons, op. cit..
  48. ↑ 1907 selon DTCFM.
  49. ↑ Fiche de l’œuvre sur DTCFM.
  50. ↑ a et b Cf. catalogues des éditions Mayol.
  51. ↑ Datation par la date de copyright mentionné sur le recto de l'image du petit format mis en ligne sur DTDCFM ; datation 1911 selon DTCFM.
  52. ↑ Fiche de l’œuvre sur DTCFM.
  53. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j et k Monogramme « SS » pour Serge de Solomko (1859-1926).
  54. ↑ a, b et c Anagramme d'Henri Christiné.
  55. ↑ Fiche de l’œuvre sur Médihal.
  56. ↑ Grand format sur ISM.
  57. ↑ Fin XIXe (datation par l'éditeur).
  58. ↑ Voir le petit format illustré sur ISM.
  59. ↑ Publiée in Chansons des poilus recueillies et publiées par le Journal sur le Vif, hors série n°1, pp. 2-3. cf. medihal-00591142
  60. ↑ Chanson des mouchoirs Petits formats sur Médihal.
  61. ↑ a et b Dans le style de Serge = monogramme SS
  62. ↑ Les ré-impressions n'ont que la photo de Mayol.
  63. ↑ Fiche de l’œuvre sur Médihal.
  64. ↑ Illustration utilisée en série, i.e. ayant servi à illustrer plusieurs petits formats de chansons différentes.
  65. ↑ Datation par le petit format illustré par Marcel Capy et l'édition Vve Charles Mayol.
  66. ↑ Fiche de l’œuvre sur Médihal.
  67. ↑ Datation par cotage éditeur 1902-1903.
  68. ↑ Circa début XXe.
  69. ↑ Pseudonyme de Georges Mauger (18..-1939), source BNF.
  70. ↑ Fiche de l'œuvre sur ISM
  71. ↑ Selon Paul Dubé, Ah qu' c'est bon est la « seule chanson de Mayol dont la musique fut de Raoul Soler », alors que Mayol a eu dans son répertoire plus d'une dizaine de chansons de Raoul Soler. ex :. La Malakoff.
  72. ↑ Premier quart du XXe.
  73. ↑ Circa fin XIXe.
  74. ↑ Fiche de l’œuvre sur Médihal.
  75. ↑ a et b Fin XIXe (datation par l'éditeur).
  76. ↑ Fiche de l’œuvre sur Médihal.
  77. ↑ Circa fin XIXe-début XXe
  78. ↑ Fiche de l’œuvre sur DTCFM.
  79. ↑ Fiche de l’œuvre sur Médihal.
  80. ↑ Inconnue au catalogue DTCFM (consulté le 26 juillet 2011).
  81. ↑ Cf. rectos ou pages 2 des partitions petits formats ; datation par la signature de l'illustration. Aucun des six petits formats (images sur médihal) ne porte de cotage.
  82. ↑ Fiche de l’œuvre sur Médihal.
  83. ↑ Date annoncée pour la représentation, Paris qui chante no 13, 1re année, 19 avril 1903, couv. verso.
  84. ↑ Datation par les catalogues de l'édition Charles Mayol.
  85. ↑ Fiche de l’œuvre (non datée) sur DTCFM.
  86. ↑ Inconnue de DTDCFM.
  87. ↑ Cette chanson du « répertoire Mayol » est renseignée comme « genre Darius M. » sur les catalogues les plus anciens des éditions Mayol ; voir en ligne l'image sans la mention Mayol sur ISM.
  88. ↑ Datation et renseignements à l'intérieur du petit format illustré sur Médihal.
  89. ↑ Fiche de l’œuvre sur Médihal.
  90. ↑ Paris qui chante no 14, 26 avril 1903, pp. 8-9, avec mention en bas de page : « Le format de piano est en vente chez Mérot, éditeur, 7 rue d'Enghien ».
  91. ↑ a et b Fiche de l’œuvre sur Médihal.
  92. ↑ Datation par contexte : chanson de la Grande Guerre.
  93. ↑ Alan Kelly, op. cit., p. 81.
  94. ↑ Également publié in Paris qui chante, no 1, 1re année, 24 janvier 1903, pp. 6-7, 3 photos de Mayol, et mention sour le titre « créée par Mayol à la Scala ».
  95. ↑ Fiche de l’œuvre sur Médihal ; Fiche Sacem ; la mention de Mayol créateur n'est précisé sous le tire ni à l'intérieur du grand format, ni sur la partition sans couverture destinée aux artistes.
  96. ↑ 1918 selon DTCFM.
  97. ↑ Recto : « chanson », intérieur « chansonnette ».
  98. ↑ Fiche de l’œuvre sur DTCFM.
  99. ↑ Fiche de l’œuvre sur Médihal.
  100. ↑ Avant 1910, le catalogue verso affichant « derniers succès 1910 ».
  101. ↑ Datation par catalogue verso : « supplément au catalogue général 1903 ».
  102. ↑ Dates et cotages similaires sur deux partitions (grand format piano et artiste), confirmation de la date par la notice BNF.
  103. ↑ Chanson datée de 1914 sur DTDCFM
  104. ↑ Entre 1914 et 1918, la chanson évoquant un « poilu ».
  105. ↑ Datation par contexte historique.
  106. ↑ Fiche de l’œuvre sur Médihal.
  107. ↑ Datation approximative par cotage éditeur sur le petit format.
  108. ↑ Cf. catalogue CM66CMFM35.
  109. ↑ La photocopie de petit format proposée par Paul Dubé mentionne « créée par Mayol à l’Alcazar d’été », la chanson n'a pas de fiche sur son site.
  110. ↑ Fiche de l’œuvre sur Médihal.
  111. ↑ Précision intérieure : « visé sous le titre Béguin-Marche ».
  112. ↑ Également publié in Paris qui chante, no 5, 1re année, 22 janvier 1903, pp. 4-5.
  113. ↑ Mention « répertoire» p. 2.
  114. ↑ Fiche de l’œuvre sur Médihal.
  115. ↑ Cf. pour l'édition sans mention l'image du [petit format mis en ligne sur la galerie d'images illustrant la page Bénech et Dumont de DTDCFM ou lien direct image.
  116. ↑ medihal-00595111
  117. ↑ Mauris est un chanteur pensionnaire de la Scala dont on retrouve le nom dans la presse spécialisée.
  118. ↑ Cf. image et fiche de l'œuvre sur DTDCFM.]
  119. ↑ Martin Pénet, p. 814.
  120. ↑ Datation par catalogue Christian Zwarg ; non daté sur DTDCFM.
  121. ↑ Kelly, p. 217.
  122. ↑ Source, in Recueil 10 chansons nouvelles, éd. Vve Charles Mayol, 1911.
  123. ↑ Fiche DTDCFM (éditeur n. p.)
  124. ↑ Créateur « Mayol à l'Eldorado en 1906 (enregistrement à la SACEM en 1909) » selon DTDCFM ; précisons que 1) la date donnée dans ce catalogue (1909) est celle du copyright mentionné sur la partition, et 2) la date du dépôt SACEM n'est pas systématiquement celle du ©. Pour Martin Pénet in Mémoire de la chanson française (T.1, p. 1091) : « Interprètes : Mayol, Angèle Moreau (à l'Eldorado - sept 1906 puis aux Ambassadeurs - juillet 1907) ». Pour Mayol, in Mémoires (p. 193) : « création 1908 », sans précision d'établissement, ce qui est cohérent avec la date du © (1909), Mayol évoquant la « saison » 1908, donc automne 1908-printemps 1909.
  125. ↑ Datation par un petit format de la chanson, créée par Priollet, éd. Herpin.
  126. ↑ Utilisée sur de nombreux petits formats avec des présentations et couleurs différentes (ré-impression). Cf. série « Bouquet muguet rond » sur Médihal.
  127. ↑ Voir le petit format sur ISM. Sur DTDCFM, outre la référence depuis ISM, existe également le titre Ce n'est pas grand chose, référence (sans auteurs, éditeur Vve Charles Mayol), datation « circa 1909 et 1912 ou 1913 ».
  128. ↑ Fiche de l’œuvre sur Médihal.
  129. ↑ Voir le petit format illustré sur ISM ; le petit format a été aussi imprimé sans la mention « chantée par Mayol », cf. sur Médihal.
  130. ↑ Alan Kelly, op. cit., p. 93.
  131. ↑ Datation par catalogue.
  132. ↑ Fiche de l’œuvre sur Médihal.
  133. ↑ Fiche de l’œuvre sur Médihal.
  134. ↑ Fiche de l’œuvre sur Médihal.
  135. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n, o, p, q, r, s, t, u, v, w, x, y, z, aa, ab, ac, ad, ae, af, ag, ah, ai, aj, ak, al, am, an, ao, ap, aq, ar, as, at, au, av, aw, ax, ay, az, ba, bb, bc, bd, be, bf, bg, bh, bi, bj, bk, bl, bm, bn, bo, bp, bq, br, bs, bt, bu, bv, bw, bx, by, bz, ca, cb, cc, cd, ce, cf, cg, ch, ci, cj, ck, cl, cm, cn, co, cp, cq, cr, cs, ct, cu, cv, cw, cx, cy, cz, da, db, dc, dd, de, df, dg, dh, di, dj, dk, dl, dm, dn, do, dp, dq, dr, ds, dt, du, dv, dw, dx, dy, dz, ea, eb, ec, ed, ee, ef, eg, eh, ei, ej, ek, el, em, en, eo, ep, eq, er, es, et, eu, ev, ew, ex, ey, ez, fa, fb, fc, fd, fe, ff, fg, fh, fi, fj, fk, fl, fm, fn, fo, fp, fq, fr, fs, ft, fu, fv, fw, fx, fy, fz, ga, gb, gc, gd, ge, gf, gg, gh, gi, gj, gk, gl, gm, gn, go, gp, gq, gr, gs, gt, gu, gv, gw, gx, gy, gz, ha, hb, hc, hd, he, hf, hg, hh, hi, hj, hk, hl, hm et hn Référence inconnue sur DTDCFM (consultation 20 septembre 2011).
  136. ↑ Datation par signature illustrateur.
  137. ↑ Fiche de l’œuvre sur Médihal.
  138. ↑ Fiche de l'œuvre enregistrée.
  139. ↑ Médihal
  140. ↑ Kelly, op. cit., p. 100  ; selon notice BNF, Gramophone 2-32173 FRBNF37890516.
  141. ↑ Datation par catalogue Christian Zwarg ; consultable FRBNF38344015.
  142. ↑ Kelly, op. cit., p. 100 ; DTDCFM propose une référence non datée, sans précisions de parolier, compositeur et éditeur fiche de l'œuvre enregistrée.
  143. ↑ Cf. Site Archéophone.
  144. ↑ Mayol interprète des chansonniers modernes, au verso de plusieurs chansons de Mayol sur Médihal.
  145. ↑ Répertoire et créations de Mayol sur Médihal.
  146. ↑ Catalogue Ondet sur Médihal.
  147. ↑ a et b Source : Romances, chansons et chansonnettes. Catalogue de J. Rueff, éditeur.
  148. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n, o, p et q Sources : Deux listes de titres des éditions Gruny, en recto des petits formats Lettre à Colombine et Chanson d'adieuChanson d'adieu sur Médihal.
  149. ↑ a et b Source : Catalogue Gaston Gross éditeur au verso de plusieurs chansons, dont La Malakoff sur Médihal.
  150. ↑ Cf. le petit format illustré, édition Digoudé-Diodet sur ISM
  151. ↑ Cf. notice BNF.
  152. ↑ Voir la fiche de l'œuvre sur DTDCFM.
  153. ↑ a, b, c et d Voir la fiche de l'œuvre sur DTDCFM.
  154. ↑ Voir la fiche de l'œuvre sur DTDCFM.
  155. ↑ Voir la fiche de l'œuvre sur DTDCFM.
  156. ↑ Voir la fiche de l'œuvre sur DTDCFM.
  157. ↑ Voir la fiche de l'œuvre sur DTDCFM.
  158. ↑ Voir la fiche de l'œuvre sur DTDCFM.
  159. ↑ Voir la fiche de l'œuvre sur DTDCFM.
  160. ↑ Voir la fiche de l'œuvre sur DTDCFM.
  161. ↑ Voir la fiche de l'œuvre sur DTDCFM.
  162. ↑ Voir la fiche de l'œuvre DTDCFM.
  163. ↑ Voir la fiche de l'œuvre sur DTDCFM.
  164. ↑ Voir la fiche de l'œuvre sur DTDCFM.
  165. ↑ Voir la fiche de l'œuvre sur DTDCFM.
  166. ↑ Voir la fiche de l'œuvre sur DTDCFM.
  167. ↑ Voir la fiche de l'œuvre sur DTDCFM.
  168. ↑ Voir la fiche de l'œuvre sur DTDCFM.
  169. ↑ Voir la fiche de l'œuvre sur DTDCFM.
  170. ↑ Voir la fiche de l'œuvre sur DTDCFM.
  171. ↑ Voir la fiche de l'œuvre sur DTDCFM.
  172. ↑ Voir la fiche de l'œuvre sur DTDCFM.
  173. ↑ Selon les Mémoires de Mayol (p. 117) : « Lancée au Concert Parisien » à la saison 1897 (soit 1897-1898). La co-création n'est pas mentionnée.
  174. ↑ Petit format sur DTCFM
  175. ↑ Mémoires de Mayol, p. 236
  176. ↑ Petit format sur DTCFM. Illustrateur non précisé, dans le style de Serge = monogramme SS
  177. ↑ Mémoires de Mayol, p. 118 : « Créée à Alger […] qui réussit assez bien ».
  178. ↑ Catalogue des éditions Ondet.
  179. ↑ Mémoires de Mayol (p.222). 1918 selon DTCFM.
  180. ↑ Fiche de l’œuvre sur DTCFM (cotage absent).
  181. ↑ Selon DTDCFM : chansonnette grivoise, paroles de Jean Bertet et Vincent Scotto, musique de Vincent Scotto, 1904.
  182. ↑ Music-hall revue : Organe des auteurs, compositeurs, éditeurs et artistes no 1, 1re année, 5 janvier 1902, p. 3 (annonce « chez les éditeurs ») .
  183. ↑ ML'Art lyrique et le music-hall. Journal indépendant des cafés-concerts, concerts et théâtres 1896 no 1, 1re année, 5 janvier 1902, p. 3 (annonce « chez les éditeurs ») .
  184. ↑ a, b et c Music-hall revue : Organe des auteurs, compositeurs, éditeurs et artistes no 1, 1re année, 5 janvier 1902, p. 8.
  185. ↑ Voir DTDCFM, explications sur la discographie et discographie liste.
  186. ↑ Le site DTDCFM précise souvent les paroliers pour des chansons pour lesquelles sont renseignées uniquement des références phonographiques et des précisions de datations antérieures à celles des enregistrements sont également fournies ; la source de ces identifications n'étant jamais précisées, il est impossible de savoir s'il s'agit d'hypothèses de Paul Dubé, ou de renseignements provenant des éditions graphiques des chansons.
  187. ↑ FRBNF37955512 Notice BNF
  188. ↑ Cf. en ligne sur DTDCFM. Selon DTDCFM, paroles et musique M. Franceschini, datation chanson 1911, datation enregistrement 1919 Fiche de l'œuvre enregistrée et enregistrement.
  189. ↑ a et b Alan Kelly, His master's voice/La Voix de son maître : The French Catalogue, p.100.
  190. ↑ Selon DTDCFM, paroles et musique L. Gangloff, datation chanson 1902 Fiche de l'œuvre enregistrée (sans enregistrement).
  191. ↑ Selon DTDCFM : paroles de Mario, musique de Mérel-Remongin, Pathé - 4414 (1920)Fiche de l’œuvre enregistrée et enregistrement
  192. ↑ Selon DTDCFM, paroles de Harry Fragson et Paul Briollet, musique de Harry Fragson (?), 1903 Fiche de l'œuvre enregistrée (sans enregistrement).
  193. ↑ Notice BNF
  194. ↑ Cf. partitions sur ISM.
  195. ↑ Selon DTDCFM : paroles et musique de Caryll (?) 1919.
  196. ↑ Catalogue Christian Zwarg, sans précision (compositeur/parolier)
  197. ↑ Selon DTDCFM, paroles de Paul Marinier, musique de Eugène Ponçin (1902) .
  198. ↑ Fiche de l’œuvre enregistrée
  199. ↑ Fiche de l'œuvre enregistrée.
  200. ↑ Fiche de l'œuvre enregistrée.
  201. ↑ Fiche de l'œuvre enregistrée
  202. ↑ Fiche de l'œuvre enregistrée.
  203. ↑ Fiche de l'œuvre enregistrée.
  204. ↑ Fiche de l'œuvre enregistrée.
  205. ↑ Fiche de l'œuvre enregistrée.
  206. ↑ Fiche de l'œuvre enregistrée.
  207. ↑ Fiche de l'œuvre enregistrée.
  208. ↑ Fiche de l'œuvre enregistrée.
  209. ↑ Fiche de l'œuvre enregistrée.
  210. ↑ Fiche de l'œuvre enregistrée.
  211. ↑ Fiche de l'œuvre enregistrée.
  212. ↑ Fiche de l'œuvre enregistrée.
  213. ↑ Fiche de l'œuvre enregistrée.
  214. ↑ Fiche de l'œuvre enregistrée.
  215. ↑ Fiche de l'œuvre enregistrée.
  216. ↑ Fiche de l'œuvre enregistrée.
  217. ↑ Datation par les Mémoires de Mayol, qui évoque cette chanson : « J'étrennais à Bordeaux la Ballade des trois petits enrhumés… » (p.118).
  218. ↑ Selon DTDCFM, paroles de Herbey, musique de Adolf Stanislas (source pour l'identification du parolier non-précisée).
  219. ↑ Fiche de l'œuvre enregistrée.
  220. ↑ Petit et grand formats, illustrés par Pousthomis sur le site Illustrated Sheet Music.
  221. ↑ Paris qui chante n°352, 31 octobre 1909, pp.8-9.
  222. ↑ Datation impossible.
  223. ↑ Chanson à strophe sans refrain
  224. ↑ Le petit format dont sont tirées les paroles ne permet pas de dater précisément la chanson.
  225. ↑ Archives Gaumont 1917PFIC 00010, catalogué comme « fiction ».
  226. ↑ BIFI
  227. ↑ BIFI
  228. ↑ BIFI
  229. ↑ Notice BNF
  230. ↑ En réalité partielle : il manque notamment les index.
  231. ↑ Notice BNF

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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Félix Mayol de Wikipédia en français (auteurs)

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