- DACIE
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Dacie
- Pour la province romaine Dacia Felix (106 - 256 après JC), voir la Dacie romaine.
La Dacie est dans l’Antiquité un territoire de la région carpato-danubiano-pontique correspondant approximativement à celui de la Roumanie actuelle. La Dacie (du latin Dacia) tire son nom du nom romain de ses occupants principaux, les Daces, qui sont très proches des Thraces. Ils parlaient un dialecte thrace (langue indo-européenne).
La Dacie était également peuplée par les Sarmates, les Scythes, et les Bastarnes. On relève quelques peuplements celtes, et probablement un certain nombre de colons grecs et commerçants romains. Les ennemis des Daces sont les Romains et parfois certains Celtes. Leurs alliés sont les Thraces et les Grecs, jusqu'à la conquête de la Grèce par l'Empire romain.
Plus tard, après 256, les alliés des tribus daces restantes sont les Goths dans une « fédération de peuples barbares ». Les Goths sont les derniers à s'être alliés mais n'étaient qu'une minorité de ces peuples appelés dans les sources historiques "envahisseurs goths". Ces envahisseurs englobaient surtout des peuples aussi divers que des Scythes/Sarmates, Daces/Gètes/Carpes ainsi que des Vénèthes du Dniepr (ancêtres des Slaves de nos jours (ces derniers, qui peuplaient une grande partie de l'Europe, étaient pratiquement inconnus des Romains avant ces invasions). Cette confusion entre Goths et les autres ennemis des Romains en Europe occidentale fait que les premières études historiques avaient tendance à mélanger Goths et Gètes, croyant qu'il s'agissait du même peuple (avant qu'on découvre l'origine germanique des Goths). On évoque aussi des alliances tardives avec les Huns vers le IIIe siècle (Zosimus, IV 34).
Les invasions, encouragées par les Daces libres, qui apparaissent sur un fond d'insurrections dans la province de Dacie romaine sont la raison principale de la retraite d'Aurélien. C'est la première grande province perdue par l'Empire Romain à un moment où il était encore assez puissant. Cependant, la perte ne fut pas officiellement admise : le terme utilisé était que la province entière avait été déplacée au Sud du Danube.
Quelques historiens prennent à la lettre ce déplacement, et considèrent que les régions au nord du Danube sont restées faiblement habitées pendant une période allant jusqu'à 600. Mais pour la plupart des historiens, les Daces romanisés sont quand même et probablement les ancêtres des Roumains actuels. Selon Lovinescu, un auteur peu connu, contemporain de Mircea Eliade, dans les traditions roumaines, la Dacie apparaît sous différents noms : Dochia, Baba Dochia, Deciana, Baba Gaïa… Dacia felix serait à certaine époque, une divinité collective dace, confondue avec Gaïa, le grand principe féminin, selon une association courante dans l'antiquité. C'est une part de la vieille énigme de l'Origine du peuple roumain.
Sommaire
Présentation
Organisation sociale
Les Daces sont divisés en deux classes : une aristocratie (tarabostes) et le peuple ordinaire (comati). Les aristocrates, classe privilégiée, seuls autorisés à se couvrir la tête, portent un chapeau de feutre (ainsi tarabostesei = pileati). Les autres, soldats, paysans et artisans, portent les cheveux longs (capillati).
Ils vivent originellement dans des huttes de bois regroupées en villages entourés par une palissade, puis, à une époque tardive, ils construisent des forteresses et des tours coniques en pierre.
Selon Platon (Charmide), un Thrace vénérant Zalmoxis (donc Dace), lui aurait appris une mélodie pour rendre un homme immortel.
On a découvert dans une région des Gèto-Daces (à Histria) un instrument musical, datant du IIIe siècle av. J.-C., formé de trois flûtes de bois.
Deux types d'armes existent alors de manière certaine : armes de lutte à distance et armes de lutte au corps à corps. La cavalerie a un rôle de harcèlement, visant à attirer l'ennemi, lui tendre des pièges, et le mettre en position défavorable. Les Daces ne semblent pas avoir jamais utilisé des techniques massives avec des unités rigides et nombreuses.
Pour les luttes au corps à corps, les Daces préfèrent porter une arme spécifique, la sica, ornée des symboles sacrés. Cette arme est ensuite adoptée par une partie des gladiateurs à Rome, appelés thraces par les Romains. Sur la colonne trajane on peut voir des daces utilisant des faux de guerres (falx) dont la lame de taille égale au manche est dans la continuité de celui ci. Une version à une main existe aussi, peut être la romphée (romphaia) des thraces. Les légionnaires romains durent adopter leur équipement en conséquence, se protégeant le bras droit par des plaques articulées pour éviter d'être mutilés par ces faux.
Religion
Voir Religion des Daces. Voir Le christianisme en Dacie.
Leur religion serait à base de divinations et d'initiations. Les Daces croient en l'immortalité de l'âme, sous forme d'une continuation du "soi" après la mort dans un autre monde, un monde où Zalmoxis les attend. (Zalmoxis étant le premier homme à avoir eu accès à ce monde). La présence de quelques divinités, pour la vie sur terre, témoigne d'une croyance pas complètement monothéiste.
L'image ci-contre est un détail en Aleksandrovo dans le sud-est de la Bulgarie. Le personnage a été identifié comme étant Zalmoxis.
Les Daces se donnent le nom de loups ou ceux qui sont semblables aux loups. Ainsi, les Daces ont deux types de symboles de guerre : le drapeau et le dragon avec tête de loup et queue de serpent, qui vole en se gonflant.
L'objet ci-contre trouvé à Biertan à coté de Sibiu témoigne de l'activité chrétienne et latinisante au début du 4e siecle. EGO ZENOVIUS VOTUM POSUI, "Moi, Zenovius, j'ai offert ce cadeau".
Activités
Leurs principales activités sont l'agriculture et l'élevage. Les chevaux sont surtout utilisés comme animaux de trait.
Les richesses des Daces sont constituées de très importantes réserves d'or, de sel et de céréales. Ils exploitent les mines d'or et d'argent de l'actuelle Transylvanie.
Ils ont développé une civilisation agricole, possèdent de l'or et de l'argent et pratiquent le commerce.
Le commerce extérieur est important, au vu du nombre de monnaies étrangères trouvées dans le pays, et s'effectue surtout avec la Grèce, puis avec l'Empire romain.
Dès la fin du IIe siècle av. J.-C., ils commencent à fabriquer des pièces en or, sans doute avec l'aide des colons grecs. La plupart sont des contrefaçons parfaites des pièces romaines, mais une partie des pièces ne sont pas des contrefaçons, car comportant également des inscriptions en alphabet grec.
Les plus nombreuses sont les statères en or au nom de KOSON, ainsi nommées d'après l'inscription KOSON qui y figure, et qu'on suppose être le nom du chef des Daces dans une région après l'assassinat de Burebista en Dacie (et de César à Rome le même année). À l'avers de ces pièces, on voit un consul romain entouré de deux licteurs et un monogramme qui semble être la composition des lettres B et R. En exergue, KOSON en alphabet grec. Le revers présente un aigle avec les ailes éployées, une serre sur un sceptre, et, dans l'autre serre, une couronne. 8,41 grammes or, 18-21 mm diamètre (description de Constantin Preda). Ces pièces ressemblent aux deniers de Brutus (les licteurs) et de Pomponius (l'aigle de la Victoire). Ils auraient pu être frappés par Brutus pour obtenir le soutien militaire de Kozon dans le cadre de la guerre contre Octave et Marc-Antoine avant la bataille de Philippes. Appien affirme en effet que Brutus a battu monnaie avec de l’or et de l’argent que lui avait fournis la femme d’un membre de la dynastie, un roi de Thrace. De nombreux thraces ont combattu dans les rangs de Brutus lors de cette bataille décisive.
Les Daces connaissent et utilisent un calendrier solaire sacré, qui est conservé à l'intérieur de la cité de Sarmizegetusa. Ce serait un des plus précis de toute l'Antiquité, puisque l'erreur de ce calendrier ne serait que de 1h 15 min 3 sec chaque année (8840 ans si on applique des corrections tout les 3 ans). Voir ici et ici, ainsi que des images 3D
Médecine. Ils connaissent de nombreuses plantes médicinales, et pratiquent une médecine holistique. Les noms de ces plantes ont été sauvegardés par les Grecs, sans que leur traduction soit correctement fournie.
Les Daces vus par les Romains
Les Daces se trouvent à Rome, avec d'autres populations originaires de la région actuelle des Balkans, comme les Illyriens par exemple, dès la période entre 44 av. J.-C. (mort de Jules César) et 31 av. J.-C., lors de l'instauration du principat d'Auguste.
Ils ont de nombreuses occupations, dont la plus importante reste celle de gladiateur, qui leur convient bien, vu leur goût pour la lutte individuelle. Les gladiateurs s'entraînent dans de petites arènes nommées ludus. On connaît quatre dénominations de ces arènes : Dacicus, Gallicus, Magnus, Matutinus. L'existence de l'arène Dacicus suggère un nombre important de Daces lutant comme gladiateurs.
Plus tard, lorsque la Dacie devient province romaine, les Daces se dirigent plus vers les activités militaires, devenant membres de la garde impériale - les prétoriens et la garde à cheval. La présence dace à Rome dans la garde impériale se manifeste dans de nombreuses inscriptions en marbre, dédiées aux empereurs, et sur lesquelles se relèvent également les noms des soldats, avec le lieu d’origine : Aurelius Valerius - Drubeta, Antonius Bassinass - Zermizegetusa, Titus Lempronius Augustus - Apulum. Sur un total de 120 noms daces, 15 sont originaires de Sarmizegetusa. Parmi eux, on remarque Claudiano, centurion de la 6e cohorte.
Une autre inscription concerne Iulius Secondinus, natione Dacus, prétorien appelé de nouveau au service, âgé de 85 ans, dans des conditions où à cette époque on dépasse rarement l'âge de 50 ans.
Les inscriptions des pierres funèbres des soldats appartenant à la garde impériale portent avec une certaine distinction le lieu d'origine des décédés. Par exemple : natione Tharx - pour les thraces ; Lucius Avilius Dacus, dont le nom est écrit en marbre (70 av. J.-C.), deux siècles avant la conquête de la Dacie.
Une autre inscription a été découverte sur Via Flaminia, dédiée à la mémoire de la reine Zia, veuve du roi des costoboces, Dieporus, mise par ses petits-enfants Natoporus et Driglisa. Il semblerait que des prisonniers d'origine royale et noble aient été reçus sur Via Flaminia.
Trajan, empereur romain, déclare : «Recevant l'empire pourrissant et faible, dans toutes ses directions, de cette tyrannie qui l'avait travaillé longtemps à l'intérieur et des nombreuses invasions des Gètes d'en dehors, j'ai été le seul à avoir osé attaquer ces peuples de l'autre côté du Danube. J'ai conquis même ces Gètes, la plus guerrière des nations qui ait jamais existé, non seulement par le corps, mais aussi par ces maximes de Zalmoxis, qui vit avec eux dans une telle vénération qu'il les a touchés si profondément dans leur cœur. Car ne croyant pas qu’ils meurent, mais qu'ils changent seulement leur habitation… »
Voir Dacie romaine
Cités de Dacie
Voir une Liste des cités daces.
Fichier:Buridava residence palace reconstruction.jpgLa capitale de la province romaine Dacia Felix était Ulpia Traiana Sarmizegetusa, (du nom de l'empereur Trajan, Ulpius Traianus), se situe aujourd'hui dans le judet d'Hunedoara, en Roumanie. Il ne faut pas la confondre Ulpia avec l'ancienne capitale des Daces sous Décébale, Sarmizegetusa, située à 40 km de Ulpia, dans les monts Orăştie.
- Acidava (Slatina)
- Aegyssus (Tulcea)
- Apoulon (Alba Iulia)
- Buridava (Râmnicu Vâlcea)
- Cumidava (Râşnov)
- Dakidava (Şimleu Silvaniei)
- Dierna/Tierna (Orşova) (Tierna)
- Germisara/Germizera (Geoagiu)
- Pelendava (Craiova)
- Petrodava (Piatra Neamţ)
- Sangidava (Topliţa)
- Sucidava/Succidava (Corabia)
- Singidava (Deva)
- Utidava (Târgu Ocna)
- Ziridava (Pecica)
- Drubeta
- Napoca (Cluj-Napoca, Cluj)
- Potaissa (Turda, Cluj)
- Apulum (Alba-Iulia, Judeţ de Alba)
N.B. : dava signifie "cité" en dace.
Histoire
Voir la Chronologie de la Dacie.
La période dace
- vers 2400-1700 av. J.-C., à la fin du néolithique, une peuplade d'origine indo-européenne, s'installe sur un territoire qui deviendra plus tard approximativement celui de la Dacie. Commence alors une civilisation florissante, avec de nombreux objets en or et argent et le culte de Zalmoxis.
- 700 av. J.-C., installation de colonies grecques sur les bords de la mer Noire
- 112-109 av. J.-C., puis 74 av. J.-C., 60-59 av. J.-C. et ainsi de suite, des conflits avec les Romains. Burebista gagne sans difficulté toutes les batailles contre les Celtes et lutte contre César du côté de Pompée, mais il arrive trop tard. Burebista est assassiné par l'aristocratie dace la même année que Jules César, très peu de temps après celui-ci.
La période romaine
Tous ces détails sur ces deux conflits se trouvent dans Dion Cassius, mais aussi en plus explicite sur la colonne trajane, construite à Rome par Apollodore de Damas. Pour cette occasion, l'Empire romain mobilise plus de 150 000 hommes pendant six ans. Ils construisent un pont en pierres sur le Danube, premier du genre dans le monde, utilisé non pour la conquête, mais plutôt après celle-ci (comme on le voit sur la colonne Trajane, puisqu'un nouveau pont flottant a été utilisé pour l'attaque, le pont en pierre et bois antérieur ayant été brûlé).
Après la conquête des cités qui font obstacle avant la capitale (Blidaru, Costeşti, Piatra Roşie, Băniţa, Capâlna, Tilisca), commence le siège de Sarmizegetusa Regia. La cité, conquise après une résistance féroce, est détruite jusqu'à ses fondations. Seul le calendrier sacré est épargné.
Toutes les forteresses daces sont détruites. Une partie des Daces réussissent néanmoins à s'échapper de Sarmizegetusa, avec Décébale à leur tête, et organisent une résistance. Comme ils sont pourchassés, pour ralentir la poursuite et ne pas tomber prisonnier, leur chef Décébale se suicide.
Des traîtres, issus de l'aristocratie dace, aident les Romains à retrouver l'emplacement des trésors (évalués par Jérôme Carcopino à 165 500 kg d'or et 331 000 kg d'argent - [réf. nécessaire]) qu'ils emportent à Rome. Une légende naît, selon laquelle il resterait encore un grand nombre de trésors cachés. Les habitants de cette région croient fermement à une « malédiction de Décébale », une série de malheurs pour qui trouve des trésors et les vend à l'ennemi.
Du côté romain, la construction de la colonne Trajane n'est pas la seule façon de célébrer la conquête d'une partie de la Dacie. L'État romain donne une fête de 123 jours, pendant lesquels la population peut boire et manger à volonté aux frais de l'État, avec la participation de 10 000 gladiateurs et 11 000 animaux.
La province est limitée par la Transylvanie et l'Olténie. Entre 14 % et 50 % du territoire sont sous contrôle romain. On peut le voir sur certaines cartes [1]. Elle reste sous l'autorité d'un gouverneur de rang prétorien. La Légion XIII Gemina, avec de nombreux auxiliaires, a ses quartiers dans la province.
Chronologie
- 85-89 ap. J.-C., les Daces engagent deux grandes guerres contre les Romains, avec des incursions profondes dans l'Empire romain qui font des ravages. Victoire de Décébale, roi des Daces. Décébale accepte de se reconnaître client de l’Empire, mais omet de rendre les prisonniers et les étendards des légions. Un traité sanctionne le statu quo.
- 101-102 ap. J.-C., pour mettre fin à cet accord humiliant, Trajan lance sa première campagne. En 105-106 ap. J.-C., lors de la deuxième campagne, une partie de la Dacie devient province romaine.
- 256 ap. J.-C., attaque des Carpes (les Daces libres) alliés aux Goths (qui vont continuer l'attaque vers le sud du Danube). La Dacie est alors perdue par les Romains et passe sous contrôle des Carpes et des Goths. En témoigne l'arrêt brutal des inscriptions romaines et des monnaies dans le pays après 256.
Après la retraite romaine de Dacie
Voir : Thraco-Romains
- 271-275 - La retraite aurélienne de l'administration et des forces militaires au Sud du Danube et la création de la Dacie Aurélienne en Mésie pour favoriser l'échange entre les Daces du Nord et les Daces qui voulaient se réfugier au Sud. C'est aussi une raison politique : ne pas admettre la perte définitive d'une province entière.
- Après le retrait romain et la division de l'empire en deux, plusieurs empereurs d'origine dace vont diriger la partie orientale de l'Empire romain (voir Galère). Des échanges importants entre la Dacie du Nord du Danube et du Sud du Danube expliquent l'origine latine du peuple roumain malgré une occupation de la Dacie courte et partielle. Voir Origine du peuple roumain pour plus de détails.
Voir aussi
Notes et références
Bibliographie
Liens internes
- Liste des cités daces
- Liste des tribus daces
- Dace (langue)
- Origine du peuple roumain
- Religion des Daces
- Christianisme en Dacie
- Dacie Romaine
- Décébale
- Liste des rois Daces
- Antiquité tardive
Liens externes
- relatifs à la Dacie
- Dacia nemuritoare:
- (ro) (en) sarmisegetuza - site énorme avec des informations très bien écrites en roumain, quelques pages en anglais.
- (ro) www.dacii.ro - dacia nemuritoare (la Dacie qui ne meurt pas), site pour l'échange des informations relatives aux Daces, forums.
- (ro) dacia webring site fait par dacia nemuritoare pour réunir tous les autres sites sur internet qui s'intéressent au sujet.
- (ro) (en) dacica - documents qui, si ce ne sont pas des faux, sont des écritures daces.
- (ro) (en) www.dacia.org - immense source documentaire ouvert à toutes les hypothèses alternatives sur la préhistoire et les Daces.
- La Roumanie dans l'Histoire
- (ro) (fr) (en) L'institut pour la mémoire culturelle (un peu en français et anglais)
- (ro) dacia - les présentations de la Dacie d'une personne, documentées.
- (ro) Proiect Dacia - "le but de ce projet est de présenter objectivement une partie de l'histoire très mal connue par le grand public (roumain) ; elle répond à une nécessité et une demande grandissante de la part du public."
- (ro) thèse de doctorat par quelqu'un du musée National d'histoire roumain : "Les Gèto-daces dans la configuration démographique de la Dacie romaine."
- Dacia nemuritoare:
- relatif à la chute de l'empire sous la pression des Goths et des Carpo-daces (Carpodaces dans le texte).
- relatif à l'histoire de la Roumanie.
- (ro) istoria - l'histoire officielle sur le site du gouvernement.
- La Dacie des Romains : des provinces éphémères par Yann Le Bohec, professeur d’histoire romaine à l’université Paris IV-Sorbonne.
- Portail de l’histoire
Catégorie : Histoire de la Dacie
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