Confédération générale du travail

Confédération générale du travail
Force ouvrière
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Contexte général
Zone d’influence Drapeau de France France
Fiche d’identité
Fondateur Léon Jouhaux
Fondation 1947
Siège central 141, avenue du Maine
75014 Paris
Secrétaire
général(e)
Jean-Claude Mailly
Affiliation
internationale
Confédération syndicale internationale
Affiliation
européenne
Confédération européenne des syndicats
Membres 500 000[1]
Slogan « La force syndicale »
Site web www.force-ouvriere.fr

Force ouvrière ou FO — nom usuel de la Confédération générale du travail - Force ouvrière (CGT-FO), qui témoigne de ses origines cégétistes — est une confédération syndicale française, créée en 1947.

Troisième organisation syndicale en importance, derrière la CGT et la CFDT, FO a recueilli, sur la période 2005-2006, 12,7% des voix aux élections professionnelles[2] et 15,81% aux élections prud'homales de 2008[3].

FO fait partie des cinq confédérations de syndicats de salariés français considérées, par présomption irréfragable, jusqu'au 31 décembre 2012, comme représentatives par l'État[4].
Sa représentativité lui permet de participer aux négociations nationales interprofessionnelles et d'être représentée dans les organismes paritaires.

Sommaire

Histoire

Force ouvrière est l'héritière de la branche réformiste de la CGT, syndicat qui a été, dès sa création en 1895, tiraillé entre une tendance réformiste et une tendance révolutionnaire puis communiste. Cette dernière tendance, minoritaire jusqu'à la Libération, a déjà fait scission en 1921 (création de la CGTU) avant de renforcer ses positions au sein de la CGT réunifiée au moment du Front populaire. L'échec des grèves de 1938 contre Daladier affaiblit l'aile communiste de la CGT, finalement exclue en 1939 au moment de la signature du pacte germano-soviétique.
Mais, après la Seconde Guerre mondiale, c'est la tendance réformiste (non communiste) qui se trouve en minorité et crée, en 1947, la Confédération générale du travail-Force ouvrière (CGT-FO).

Origines de la CGT

La Première Guerre mondiale montre les premières divergences : la CGT est divisée entre une majorité (dont la direction) ralliée à l'Union Sacrée et à l'effort de guerre, et une minorité, pacifiste, dénonçant la guerre et soulignant la nécessité de maintenir l'activité revendicative.

Quelques dates
  • 1921 : scission entre la CGT et la CGT-U (U comme « unitaire »), laquelle regroupe au départ les éléments (divers) de la CGT hostiles à la Guerre et se reconnaissant dans la perspective révolutionnaire ouverte en Russie. La CGTU devient l'instrument syndical du Parti communiste. La CGT redevient la centrale majoritaire, tandis que la CGTU se marginalise.
  • 1936 : en mars, réunification de la CGT ; la division demeure toutefois dans les faits entre les « confédérés » et les « unitaires », issus de l'ex-CGTU.
  • 1939 : exclusion des dirigeants de la CGT refusant de condamner le pacte germano-soviétique.
  • 1943 : les « accords du Perreux » réunifient la CGT.

Naissance de Force ouvrière

En 1945, le rapport des forces est nettement favorable aux ex-unitaires qui contrôlent 21 fédérations sur 30.
Les ex-confédérés sont, eux, regroupés autour du journal clandestin Résistance ouvrière, créé en 1943, et autour de Léon Jouhaux, rentré de déportation le 8 mai 1945. Résistance ouvrière devient Force ouvrière.

Dans un premier temps, et pendant plus d'un an, la perspective des confédérés consiste à obtenir ce qu'ils appellent le « redressement interne » de la CGT, sur les principes de la vieille CGT ; il n'est donc pas question d'une scission.
La doctrine des confédérés est celle de l'« indépendance syndicale », indépendance en particulier vis-à-vis du PCF, et du gouvernement, car le PCF a des ministres au gouvernement. Les syndicats contrôlés par le PCF sont fortement encouragés à soutenir la production nationale. C'est l'époque où Maurice Thorez, dirigeant du PCF, déclare : « la grève, c'est l'arme des trusts. »

En septembre 1945, lors du premier comité confédéral national (CCN) depuis la Libération, les ex-unitaires obtiennent la majorité au bureau confédéral et désignent Benoît Frachon comme second secrétaire général. Certains ex-confédérés y voient une politique de prise de contrôle par l'appareil communiste et refusent l'étouffement des revendications.

En août 1946 une scission se produit dans la Fédération des PTT. En septembre, prenant acte de l'échec de la tactique dite du « redressement interne », les confédérés constituent les groupes d'Amis de Force ouvrière, amorce d'une organisation syndicale parallèle à la CGT.

En mai 1947, suite au conflit de Renault, les ministres communistes sont exclus du gouvernement. En septembre, Moscou condamne le plan Marshall et exige de tous les partis communistes qu'ils suivent cette condamnation et rompent avec les gouvernements en place. La CGT se range lors de ces conflits du côté du PCF.

La tension consécutive à ces événements précipite la scission, qui se produit lors de la seconde conférence nationale des groupes FO, les 18 et 19 décembre 1947. Le 19 décembre, Léon Jouhaux et quatre secrétaires confédéraux quittent la CGT.

Le congrès constitutif a lieu le 12 avril 1948. Parallèlement, FO devient une des chevilles ouvrières de la Confédération internationale des syndicats libres (CISL), scission de la fédération syndicale mondiale rejetant l'influence communiste.

L'indépendance syndicale

FO revendique le principe de l'indépendance syndicale. Cette indépendance vaut à l'égard des partis politiques, des gouvernements, de l'État, du patronat et des Églises. Dans les faits, FO rassemble, à l'époque, tous ceux qui s'opposent aux communistes.
Pendant longtemps la centrale est dominée par les socialistes mais elle accueille aussi des militants anarchistes[5] et trotskystes, en particulier ceux proches de l'OCI ou de Lutte ouvrière (Arlette Laguiller), et même des gaullistes.
FO reçoit le soutien logistique et financier de syndicats belges, allemands, et de l'AFL-CIO américaine sous l'égide de son tout récent FTUC (Free Trade Union Committee) et d'Irving Brown[6],[7],[8], membre éminent de la CIA[9],[10] qui souhaite « créer en France et en Italie des syndicats non communistes pour affaiblir la CGT et son homologue italienne, la CGIL[11] ». Le ministère du Travail verse également des subsides, pris sur les fonds de l'ex-Charte du travail (extorqués aux travailleurs par le gouvernement de Pétain).

Développement de FO

Cortège FO lors d'une manifestation anti-CPE, mars 2006.

Lors de sa création, en 1947, Léon Jouhaux et Robert Bothereau n'ont pas réussi à attirer la majorité du syndicat. La nouvelle organisation est particulièrement peu représentée dans le secteur privé.

L'ère Bergeron

La deuxième époque de FO est marquée par le long mandat d'André Bergeron, qui érige en pratique constante la négociation contractuelle, marquant une grande défiance envers la CGT. Bien que membre du Parti socialiste, Bergeron entretient des rapports cordiaux avec les gouvernements gaullistes. Interlocuteur privilégié du pouvoir exécutif et des employeurs, FO joue un rôle modérateur pendant la crise de Mai 68. Elle s'oppose aux communistes comme au projet d'autogestion porté par la CFDT. Elle se montre également sceptique par rapport à l'Union de la gauche et à son Programme commun.

Concernant l'indépendance à l'égard du politique, un danger guettait FO dès sa naissance, à savoir sa dépendance à l'égard du parti socialiste (SFIO). Il aurait pu se faire qu'à la fin des années 1940 et dans les années 1950, FO soit dans l'orbite de la SFIO, comme la CGT l'était pour le PCF, et la CFTC pour le MRP. Même s'il y eut des ambiguïtés et d'inévitables compromissions, cela ne s'est pas réalisé. La tradition de la charte d'Amiens et de la vieille CGT comptait énormément dans l'esprit des militants qui ont fondé FO.

Deux autres facteurs comptent : d'abord, le gaullisme qui, installé au pouvoir, annihile la SFIO ; ensuite le congrès socialiste d'Épinay, en 1971, qui met fin à la SFIO, fonde le Parti socialiste (PS), et amène à la direction du PS « modernisé » un certain nombre de militants partageant plutôt les valeurs de la CFTC, devenue CFDT en 1964.

À la fin des années 1960 et dans les années 1970, FO prend plusieurs positions qui se veulent des manifestations de son indépendance et de son originalité dans le paysage syndical français et européen.
Ainsi, en 1969, FO appelle à voter « non » au référendum proposé par De Gaulle. Ce référendum a un double objectif : la mise en œuvre de la régionalisation et la création d'un Sénat corporatiste, associant dans une même chambre les représentants des intérêts économiques, c'est-à-dire patronat et syndicats. FO fait le rapprochement avec la charte du Travail du régime de Vichy.

En 1984, le syndicalisme enseignant à FO, jusqu'alors quasiment inexistant depuis 1948, se développe après le passage de militants venus de syndicats de la FEN, qui appartiennent notamment à la tendance EE-FUO, réputée proche du Parti des travailleurs, et dont le plus connu est Jean-Jacques Marie.

L'ère Blondel

Lorsque Bergeron se retire en 1989, son dauphin Claude Pitous est battu par Marc Blondel qui devient le nouveau secrétaire général.
Blondel engage FO sur une voie plus combative, marquée notamment par le conflit de 1995 contre le plan Juppé et une symbolique poignée de main avec Louis Viannet, secrétaire général de la CGT.

À l'origine, au plan syndical, de la création de nombreuses structures de protection sociale collective (UNEDIC - retraites complémentaires, notamment), Force ouvrière a toujours considéré que la pratique contractuelle est un outil important pour construire et développer des droits collectifs à tous les niveaux (interprofessionnel, branches d'activité, entreprises). En ce sens, elle revendique avoir toujours combattu le « tout État » comme le « tout marché ».

Son objectif est de défendre le service public et la sécurité sociale comme des structures assurant des droits égaux aux citoyens en cohérence avec les valeurs républicaines (liberté, égalité, fraternité, laïcité). Cela explique le combat mené en 1995 contre l'étatisation de la sécurité sociale ou les conflits avec le patronat sur la refondation sociale, qui est considérée comme la livraison au marché de toutes les structures collectives et solidaires. FO perd, suite à ce conflit, la présidence de la Caisse nationale d'assurance maladie (CNAM), après avoir déjà perdue celle de l'UNEDIC, dont hérite la CFDT.

En 1998, Jacques Mairé et Jean Grosset, respectivement secrétaire général et secrétaire général adjoint de l'union départementale de Paris, en désaccord avec la ligne suivie par la confédération, décident de rejoindre l'UNSA.

FO s'engage, en 2003, contre la loi Fillon sur les retraites et propose aux organisations syndicales la grève générale, proposition non reprise et ignorée par les médias de masse.

L'arrivée de Jean-Claude Mailly

En février 2004, Jean-Claude Mailly succède à Marc Blondel au poste de secrétaire général.

En 2008, FO n'est pas signataire du texte du 9 avril (appelé « position commune ») sur la représentativité syndicale. Ce texte, par son article 17, permet, selon la centrale, la dérogation du temps de travail et donc la remise en cause des 35 heures.

En 2010, FO formule des propositions pour réformer le système des retraites et participe aux cinq grandes journées de grèves et de manifestations. Le syndicat réclame une hausse des cotisations vieillesse et une taxation de nouveaux revenus du capital ; il propose notamment une taxe de 3 % sur les bénéfices non réinvestis et des cotisations sur l'intéressement, la participation et les stock-options[12].
FO dénonce la plupart des mesures prises par le ministre du travail Eric Woerth dans la loi de réforme des retraites, demande le retrait du plan « Fillon-Sarkozy » et une négociation sur un nouveau plan intégrant les propositions et revendications des syndicats.

Structures

Adhérents

Lors des élections prud'homales de 2008, Force ouvrière a montré un effritement par rapport à celles de 2002.

Résultats des élections prud'homales
Organisation syndicale 1987 1992 1997 2002 2008
FO 20,50 20,46 20,55 18,28 15,81 %
Résultats comparés 2002/2008 par collège[13]
Collège 2002 2008
Industrie 19,6 % 17,6 %
Commerce 20,3 % 17,1%
Agriculture 17,7 % 16,2%
Activités diverses 19,0 % 15,7%
Encadrement 9,5 % 9,3 %
Global 18,28 % 15,81 %
Nombre d'adhérents

Jusqu'en 2011, FO ne communiquait pas le nombre de ses adhérents.
La Confédération syndicale internationale indique 800 000 adhérents[14].
La CIA comme certains analystes du syndicalisme français évaluent ce nombre à 300 000[15],[16].
Dans un entretien avec le journal Les Échos à l'occasion du XXIIe congrès de l'organisation, Jean-Claude Mailly a estimé ce nombre à 500 000[1].

Fédérations

Force ouvrière revendique 15 000[réf. nécessaire] implantations syndicales réparties sur tout le territoire (métropole et DOM-TOM avec 103 unions départementales), et dans tous les secteurs d'activité avec 26 fédérations professionnelles[17] regroupées au sein de la Confédération Force ouvrière.

  1. Fédération nationale de l'action sociale - Force ouvrière (Fnas-FO)
  2. Fédération de l'administration générale de l'État - Force ouvrière (Fage-FO)
  3. Fédération générale des travailleurs de l'agriculture, de l'alimentation, des tabacs et des services annexes - Force ouvrière (FGTA-FO)
  4. Fédération générale - Force ouvrière (FG-FO)
  5. Fédération syndicale Force ouvrière des cheminots (FO-Cheminots)
  6. Fédération Force ouvrière de la coiffure, de l'esthétique et de la parfumerie (FO-Coiffure)
  7. FO Défense
  8. Fédération nationale de l'enseignement, de la culture et de la formation professionnelle - FO
  9. Fédération des employés et cadres - Force ouvrière
  10. Fédération nationale de l'énergie et des mines - Force ouvrière
  11. Fédération de l'équipement, de l'environnement, des transports et des services - Force ouvrière
  12. Fédération des Finances - Force ouvrière
  13. Fédération générale des fonctionnaires - Force ouvrière
  14. Fédération Force ouvrière de la chimie
  15. Fédération du livre - Force ouvrière (Livre FO)
  16. FO Métaux
  17. Fédération nationale FO de la pharmacie
  18. Syndicat général de la police-Force ouvrière
  19. FO communication
  20. Fédération Force ouvrière des personnels des services publics et des services de santé
  21. FO Textiles
  22. Fédération nationale des transports et de la logistique Force ouvrière - UNCP
  23. Fédération des arts, des spectacles, de l’audiovisuel, de la presse, de la communication et du multimédia - Force ouvrière (Fasap-FO)
  24. Union des cadres et ingénieurs - Force ouvrière (FO-Cadres)
  25. Fédération Force ouvrière des voyageurs et représentants placiers

Direction

Force ouvrière n'a eu qu'un seul président, Léon Jouhaux (prix Nobel de la paix en 1951), de 1948 à 1954. L'organisation est, depuis, dirigée par un secrétaire général assisté de secrétaires confédéraux.

Les secrétaires généraux de Force ouvrière
1948-1963 Robert Bothereau
1963-1989 André Bergeron
1989-2004 Marc Blondel
Depuis 2004 Jean-Claude Mailly

Participation aux structures internationales

Au plan européen et mondial, Force ouvrière est membre de la Confédération européenne des syndicats (CES) et de la Confédération syndicale internationale (CSI).
FO participe aux travaux du Comité syndical consultatif auprès de l'OCDE (TUAC). Elle est également impliquée dans les « activités pour les travailleurs » de l'Organisation internationale du travail à Genève.

Bibliographie

  • Histoire de la CGT-FO et de son union départementale de Paris 1895-2099, Gérard da Silva, préface de Jean-Claude Mailly et Marc Blondel, L'Harmattan, coll. Mouvement social et laïcité, 2009
  • Force ouvrière, Alain Bergounioux, Le Seuil, Paris, 1975

Voir aussi

Membres célèbres

Marc Blondel | André Bergeron | Louis Saillant | Arlette Laguiller | Camille Mourguès | Pierre Lambert | Maurice Joyeux | Léon Jouhaux

Articles connexes

Syndicalisme | Anarcho-syndicalisme | Syndicalisme révolutionnaire | Syndicalisme de lutte | Charte d'Amiens | Trotskysme | Plan Marshall | Fédération anarchiste | Extrême gauche | Gauche | SFIO | Parti socialiste | Mouvements politiques | Bureau confédéral de la Confédération générale du travail

Liens externes

Notes et références

  1. a et b Entretien de Jean-Claude Mailly avec Les Échos (11 février 2011).
  2. Résultats sur le site du ministère du travail.
  3. Résultats 2008 sur le site du ministère du travail.
  4. Depuis la loi « portant rénovation de la démocratie sociale » publiée au Journal officiel du 21 août 2008, les règles de représentativité syndicale ont changé. Désormais, ce sont les élections en entreprise qui la conditionne, au niveau des entreprises de plus de 10 salariés dès l'entrée en vigueur de la loi de 2008, ainsi que dans les branches professionnelles et au niveau interprofessionnel. Il faudra toutefois attendre le 1er janvier 2013, avec les conclusions de la direction générale du travail, qui effectue l'agrégation des résultats des élections professionnelles en entreprise, ainsi que le scrutin qui doit être organisé dans les entreprises de moins de 10 salariés (TPE), pour déterminer la représentativité syndicale par branches professionnelles ainsi qu'au niveau national.
  5. « 1948 : Les anarchistes rejoignent à regret la CGT-Force ouvrière », in Alternative libertaire, 1er mai 2008. (OCLC 473252082).
  6. Roger Faligot et Rémi Kauffer, Éminences grises, Fayard, 1992.
  7. Georges Walter, Souvenirs curieux d’une espèce de Hongrois, Taillandier, 2008.
  8. François Caron, « 1946 : quand la CIA installe ses bureaux à Lens », L'Oreiller du Roy, n° 2, décembre 2008, pp. 64-74.
  9. « The major trade union, the CGT, was controlled by the Communist Party, and an anti-communist union confederation, Force ouvrière (FO), was created with the help of the American CIA » écrivent Alistair Cole et Gino Raymond dans Redefining the French Republic, Manchester University Press, 2006, p. 119.
  10. « [...] Irving Brown's operations in France, especially his funding of the Force Ouvrière [...] » dans Hugh Wilford, The mighty wurlitzer: how the CIA played America, Harvard University Press, 2008, p. 68.
  11. Frédéric Charpier, La CIA en France. 60 ans d'ingérence dans les affaires françaises, Seuil, 2008, p. 40-43.
  12. Article sur le site Webmanager Center.
  13. UNSA Magazine, n° 113, janvier 2009.
  14. [PDF] Le nombre des adhérents des confédérations déclarés à la CSI
  15. Entrée « France » dans le CIA World Factbook.
  16. Dominique Andolfatto – Dominique Labbé, Les Syndiqués en France (1990-2006), Institut d’études politiques de Grenoble-PACTE, 2007, p. 78.
  17. Liste des fédérations professionnelles sur le site de Force ouvrière.

Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Confédération générale du travail de Wikipédia en français (auteurs)

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