Saint-Germain-des-Prés (Loiret)

Saint-Germain-des-Prés (Loiret)
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47° 57′ 11″ N 2° 50′ 52″ E / 47.9530555556, 2.8477777778

Saint-Germain-des-Prés
La mairie.
La mairie.
Administration
Pays France
Région Centre
Département Loiret
Arrondissement Montargis
Canton Château-Renard
Code commune 45279
Code postal 45220
Maire
Mandat en cours
Bernard Beets
2001-2007
Intercommunalité SIVOM du canton de Château-Renard
Site web http://www.lesgermanopratins.fr/
Démographie
Population 1 864 hab. (2006)
Densité 71 hab./km²
Aire urbaine 68 488 hab. ()
Gentilé Germanopratins[1]
Géographie
Coordonnées 47° 57′ 11″ Nord
       2° 50′ 52″ Est
/ 47.9530555556, 2.8477777778
Altitudes mini. 95 m — maxi. 148 m
Superficie 26,18 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Saint-Germain-des-Prés est une commune française, située dans le département du Loiret et la région Centre.

Sommaire

Géographie

L'Ouanne

Saint-Germain-des-Prés est située dans l'aire urbaine de Montargis, sur la route départementale 943, à 10 km de Montargis, 6 km de Château-Renard et 120 km de Paris par l’autoroute A6.

L'Ouanne traverse le territoire de la commune.

Lieux-dits et écarts

Communes limitrophes

Rose des vents Rose des vents
N
O    SAINT-GERMAIN-DES-PRÉS    E
S

Histoire

Le village de Saint-Germain-des-Prés fut longtemps subordonné à Gy-les-Nonains. On l'appelait d'ailleurs "Saint-Germain-Ies-Gy" , c'est-à-dire "près de Gy".

La situation avantageuse de Gy- les-Nonains était évidemment due à l'importance de son abbaye. Par conséquent, la rive de l'Ouanne la plus passante était autrefois celle de Gy. Mais plusieurs événements renversèrent la vapeur. Au XVIIIe siècle, le couvent disparut. Cent ans plus tard, le chemin de fer fut construit et la route départementale aménagée. St-Germain-des-Prés devint alors la commune prépondérante.

  • La fontaine Saint-Germain

St-Germain-des-Prés tire son nom, paraît-il, du passage de l'évêque d'Auxerre. En 445, Saint-Germain se rendait à l'ouest du Loiret. Il profita de son passage pour ondoyer quelques pèlerins qui se promenaient.

Comme il utilisa l'eau de la fontaine du village pour procéder à ses sacrements, on ne put faire moins que de baptiser cette source "Saint-Germain", ainsi que le village. tant que l'on y était.

Il faut préciser que la fontaine Saint-Germain est assez exceptionnelle. Elle possède en effet la propriété de ne pas geler. Même au Moyen Age, lors des redoutables hivers que connurent nos ancêtres, cette source était la seule qui alimentait toujours la paroisse. De plus, son débit permettait de faire tourner le moulin de Saint-Germain, alors que ceux des alentours restaient bloqués à cause du gel.

La source Saint-Germain représentait donc le pôle d'attraction du village. Elle fut aménagée en lavoir et servit durant des années aux laveuses qui profitaient avec plaisir de cette eau fraîche et courante. Aujourd'hui encore quelques habitantes viennent utiliser le lavoir Saint-Germain.

  • Les châteaux

Cependant, au Moyen Age, malgré l'attrait de la fontaine, Saint-Germain ne possédait pas réellement de bourg. Les anciens l'appelaient "la paroisse des soixante-dix hameaux" .

Le bourg n'était guère qu'un hameau parmi les autres. Jusqu'à la guerre de Cent Ans, la forêt de Montargis recouvrait Saint-Germain sur la moitié de sa superficie. Derrière l'actuelle mairie se dresse la colline de Montanthaume. Un petit château s'élevait à cet emplacement.

Mais le plus important était celui des Essarts. Son nom provient de ce que l'on fut obligé de déboiser pour le bâtir. Ce travail était l’œuvre des essarteurs. Ce château appartenait au sénéchal de Château-Renard et fut rasé à la guerre de Cent Ans. D'autres, moins conséquents furent également détruits : le château de Gisors près des Griboulets, celui de Courbevaux et celui de Pourpris.

Il y avait aussi le Javot, à l’emplacement duquel furent mises au jour des tombes carolingiennes. Tous ces châteaux, ruinés par le passage des Anglais, furent parfois rebâtis. Le sinistre Robin Knowles et sa troupe de soudards - maintes fois évoqués pour tous leurs méfaits dans le canton - causèrent de grands dommages à Saint-Germain.

Par chance, la population avait eu le temps de s'enfuir : conduits par leur seigneur, Gilles Lécuyer, tous les habitants s'étaient réfugiés au château-haut de Château-Renard sous la protection du capitaine Jean Richard. Mais lorsqu'ils regagnèrent leurs maisons, un spectacle de désolation les attendait. Tout n'était plus que ruines et cendres.

L'effet du désastre devait durer de longues années : une génération après le drame, la campagne était toujours sinistrée. Durant cette période tragique, en 1429, Saint- Germain-des-Prés reçut un hôte de marque en la personne de Jeanne d'Arc. Chevauchant vers Gien, la Pucelle s'arrêta à Gisors (Guézard) puis traversa l'Ouanne au gué du pont Guinant.

  • La fontaine Saint-Thibault

Ce sont les moines de Molesmes qui introduisirent le culte de ce saint dans la paroisse. Les religieux, originaires des environs de Tonnerre, s'étaient donné pour mission d'évangéliser et de desservir les paroisses rurales.

Ils s'installèrent donc à Saint- Sébastien, non loin de Château-Renard et étendirent leur influence sur les paroisses alentour. Le culte de saint Thibault vint donc s'associer à une source à côté de laquelle on bâtit une chapelle. L'oratoire Saint- Thibault était alors un édifice beaucoup plus imposant. Plusieurs fois détruite au cours des invasions et des guerres, la chapelle fut toujours reconstruite. Mais la Révolution lui donna le coup de grâce et elle fut réduite à ce qu'elle est aujourd'hui.

Dès le XIle siècle, les bergers s'y rendaient en pèlerinage, trempant leurs moutons dans le ruisseau. Cette coutume persista jusqu'à la fin du XIXe siècle. La fontaine Thibault guérissait, dit-on, " les fièvres intermittentes " ; aussi, les pèlerins venaient y puiser de l'eau. Ils immergeaient leurs vêtements dans la fontaine pour se garantir des épidémies.

Mais les miracles de Saint-Thibault étaient plus conséquents, encore, voyez plutôt ce qu'écrivait Boivin au début du XIXe siècle : " Les jeunes amants surtout, ne manquent pas de venir boire à longs traits. A les en croire, c'est un boire amoureux dont les effets durent toute la vie. On ne peut, quand on en a bu, délaisser ce qu'on aime. Heureuse croyance, noble simplicité des amours.. (...). "

Saint-Thibault faisait une concurrence déloyale à Saint-Valentin...

  • L'ermite de Saint- Thibault

On raconte qu'autrefois, il existait un ermitage attenant à la chapelle Saint-Thibault :

" Un pieux ermite habitait cet asile Il y vivait de dons que lui faisaient ceux qui venaient en pèlerinage. Les consolations qu'il prodiguait aux malheureux, les conseils qu'il donnait à la jeunesse entretenaient l'harmonie et la paix dans toutes les demeures des environs. Sa haute sagesse et sa longue expérience ont longtemps contribué à mettre l'ermitage en vénération. Il mourut quelque temps avant la Révolution et ne fut pas témoin de la destruction de sa paisible retraite ". (A. Boivin)

  • Les moulins

St-Germain-des-Prés mit à profit la force hydraulique dès le Moyen Age. Au XIVe siècle, plusieurs moulins tournaient grâce au courant de l'Ouanne : le moulin de Saint-Germain, qu'entraînait la fontaine, celui de Varennes devenu par la suite Moulin-Plateau, le moulin de Pont-Guinand encore appelé moulin à Tan. Il y avait aussi le moulin de Pouligny; à forge. Celui-ci permettait de travailler le fer extrait du sous-sol de la région. Cette industrie débuta dès le haut Moyen Age, vers l'an 800. La gangue entourant le fer était rejetée dans les prés voisins.

Tout le long de l'Ouanne, les moulins à forge actionnaient marteaux et soufflets. Le minerai du Gâtinais de l'Est, s'il était de médiocre qualité, permettait pourtant de forger toute une artillerie. Celle-ci servait à la défense des châteaux forts. Boulets, pièces de canons provenaient de ces forges. Fort heureusement, les moyens d'exterminer son prochain s'étant modernisés, ces moulins à forge furent reconvertis en moulins à blé ou à foulon. Ils disparurent totalement au XVIe siècle.

  • Reconstructions

Après la guerre de Cent Ans, Saint-Germain-des-Prés pansa ses plaies. L'église, le bourg, les châteaux, tout était en ruines. Les habitants se décidèrent à reconstruire leur église, non sans quelques grincements de dents. Après trois menaces d'excommunication, ils se résolurent à verser les deniers nécessaires aux travaux qui furent effectués sous Louis XI.

On répara aussi certains châteaux, comme celui de Courbevaux. D'autres furent bâtis à cette époque, c'est le cas du château de la Chaponnière.

Toutefois, les guerres de religion portèrent un nouveau coup à la paroisse : en 1562, une troupe de soixante soldats protestants déserteurs incendièrent l'église. Enfin, en 1576, c'est une armée de 14.000 hommes qui traversa la région. Ces protestants allemands causèrent de graves dommages notamment à Pourprlx.

  • De rudes hivers

Outre les guerres, les rigueurs du temps comptaient au nombre des fléaux s’abattant sur nos ancêtres. Un prêtre fameux de Saint-Germain, le curé Beauvisage, en consigna une description précise dans les registres paroissiaux. Ils constituent de véritables bulletins météorologiques de l'époque :

Hiver 1784 : "(...) Les plus anciens vieillards n'ont point entendu dire par leurs ancêtres qu'on ait jamais vu tant de neige dans le païs. On ne pouvoit sortir ni à pied, ni à cheval, ni en voiture. La terre a été ainsi couverte pendant cinq semaines pleines (...). Le gibier et les oiseaux sont morts de faim et de froid. La misère a été grande, et la vie très dure.(...)".

Le curé Beauvisage relate également l'hiver qui précéda la Révolution, terrible entre tous :

"L'hiver de la fin de 1788 et du commencement de 1789 a été le plus rude dont on se souvienne. Il a commencé avec le mois de décembre par une bise aigre et il a continué sur le même pied jusqu'à la mi-janvier. La neige alors est tombée fortement et elle a duré cinq semaines pleines (...). Les rivières les plus rapides ont toutes été gelées. Les jours les plus terribles pour le froid ont été le 30 et le 31 décembre. Le thermomètre de Réaumur descendit de dix-neuf degrés trois quart au-dessous du point de congélagion (sic) (...) Le froid a surpassé celui de 1709, celui de 1776 et de 1784 (...)" .

"Beaucoup de moulins n'allaient plus, et les autres faisoient très peu de besogne, de sorte qu'on ne pu avoir de farine. (...) Autre grande misère les gens n'avoient pas assez de bois, dans un tel froid, et on ne pouvait aller en chercher à cause des neiges; ils n'avoient point de pain, point d'ouvrages. La misère étoit au dernier degré.(...)".

Malgré le froid terrible, la fontaine Saint-Germain ne gelait pas et le moulin tournait toujours. Le curé nota d'ailleurs : "Le moulin du bourg n'a pas cessé d'aller nuit et jour, pendant tous les malheureux temps, on y venoit de six à sept lieues, et il a rendu de grands services au public. La fontaine de Saint-Germain nous a valu cet avantage".

  • La route Montargis Château-Renard

Outre les deux chemins de part et d'autre de l'Ouanne, il existait de nombreuses routes parallèles. Jusqu'à la Révolution, chaque village avait son propre chemin pour rejoindre Montargis. L'arrivée des premières diligences, dix ans avant la Révolution, obligea à choisir une route pour définir un service hebdomadaire. Une fois par semaine. la voiture de poste emmenait donc les voyageurs de Château-Renard à Montargis en passant par le "chemin bas". Celui-ci longeait l'Ouanne au plus près sur la majeure partie de son trajet. Or, un jour de fortes pluies, alors qu'elle empruntait un pont de bois, la diligence se retourna dans le ru de Volteau. Il y eut trois morts. Cet accident motiva le choix d'une autre route et, par voie de conséquence, la construction de la route actuelle en 1830.

  • Les vues du Dr Gastellier

En 1779, le docteur Gastellier, auteur d'un "Essai topographique, minéralogique et historique sur la province du Gâtinais" donne une description tout à fait avantageuse des habitants de Saint-Germain-des-Prés :

"Les habitans sont de taille ordinaire et point forts, les hommes en général y sont mol, faibles et paresseux. Les femmes y sont communément mal faites. Les uns et les autres sont sujets aux maux d'aventure (sic) qui guérissent difficilement. Il y a très peu de vieillards, encore n'y en a-t-il pas de soixante dix ans."

Que les Germanopratains se rassurent, M.Gastellier n'était pas plus tendre avec les gens de Château-Renard :

"Leurs passions dominantes sont l'ivrognerie, la fainéantise qui les tiennent habituellement dans l'indigence. Ils sont tous hommes et femmes d'une taille ordinaire et jouissent d'une bonne santé: on y compte quelques vieillards avancés en âge.(...)" .

Ceci pousserait donc à penser que l'alcool conserve, et que le docteur Gastellier était un grincheux !

Ce texte est tire d'un article de l'Eclaireur du Gâtinais du 20 mai 1999 ecrit par Liliane Violas.

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
    Bernard Beets    

Jumelages

Saint-Germain-des-Prés est jumelée avec Saint-Germain-des-Prés qui se trouve dans le département de Maine-et-Loire.

Démographie

Évolution démographique

En 2008, Saint-Germain-des-Prés comptait 1 883 habitants (soit une augmentation de 10 % par rapport à 1999). La commune occupait le 5 308e rang au niveau national, alors qu'elle était au 5 340e en 1999, et le 68e au niveau départemental sur 334 communes.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Saint-Germain-des-Prés depuis 1793.

Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par loi du 27 février 2002, dite loi de démocratie de proximité[2], afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises.

Pour les communes dont la population est inférieure à 10 000 habitants, les enquêtes sont exhaustives et ont lieu chaque année par roulement au cours d'une période de cinq ans[3]. Pour Saint-Germain-des-Prés, le premier recensement a été fait en 2006[4], les suivants étant en 2011, 2016, etc. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1e janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006, qui, pour Saint-Germain-des-Prés, est un recensement exhaustif[5].

Le maximum de la population a été atteint en 2008 avec 1 883 habitants.

Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 920 972 895 974 1 095 1 087 1 227 1 232 1 314
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 1 265 1 325 1 355 1 408 1 440 1 374 1 451 1 324 1 235
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 1 173 1 175 1 103 998 1 024 1 021 975 1 003 1 029
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 -
Population 1 058 1 045 1 068 1 287 1 578 1 709 1 864 1 883 -
Notes, sources, ... Sources : base Cassini de l'EHESS pour les nombres retenus jusqu'en 1962[6], base Insee à partir de 1968 (population sans doubles comptes puis population municipale à partir de 2006)[7],[8]

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (21,1 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (21,4 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (52 % contre 48,4 % au niveau national et 48,8 % au niveau départemental).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

  • 52 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,8 %, 15 à 29 ans = 14,6 %, 30 à 44 ans = 22,3 %, 45 à 59 ans = 20,8 %, plus de 60 ans = 21,5 %) ;
  • 48 % de femmes (0 à 14 ans = 20,2 %, 15 à 29 ans = 14,2 %, 30 à 44 ans = 21,3 %, 45 à 59 ans = 23,5 %, plus de 60 ans = 20,8 %).
Pyramide des âges à Saint-Germain-des-Prés en 2007 en pourcentage[9]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,4 
90  ans ou +
0,7 
5,3 
75 à 89 ans
5,9 
15,8 
60 à 74 ans
14,2 
20,8 
45 à 59 ans
23,5 
22,3 
30 à 44 ans
21,3 
14,6 
15 à 29 ans
14,2 
20,8 
0 à 14 ans
20,2 
Pyramide des âges du département du Loiret en 2007 en pourcentage[10]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,4 
90  ans ou +
1,2 
6,2 
75 à 89 ans
9,1 
12,6 
60 à 74 ans
13,2 
20,5 
45 à 59 ans
20,2 
20,8 
30 à 44 ans
20,1 
19,7 
15 à 29 ans
18,1 
19,7 
0 à 14 ans
18,1 

Patrimoine

L'église Saint-Germain

L'église Saint-Germain datant du XVe siècle ; le portail et l'élévation ont été inscrits à l'inventaire des Monuments historiques le 3 octobre 1929[11]

Économie

Culture

Enseignement

Saint-Germain-des-Prés est situé dans l'académie d'Orléans-Tours et dans la circonscription de Montargis-Est. La commune possède une école primaire publique, La Claudinerie[12].

Notes et références

  1. Gentilés des communes du Loiret sur www.habitants.fr. Consulté le 8 septembre 2010
  2. Loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V "des opérations de recensement".
  3. INSEE : Les grandes étapes : 2002 – 2009
  4. Calendrier des recensements des communes du département du Loiret sur www.insee.fr, Insee. Consulté le 24 février 2011
  5. Par convention dans Wikipédia, et afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de 5 ans, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 d’afficher dans le tableau des recensements : la population 2006, première population légale connue post-1999, les populations légales suivantes correspondant aux années réelles de recensement et enfin la dernière population légale publiée par l’INSEE. Dans le graphique sont par contre représentés l’ensemble des populations légales connues
  6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 24 février 2011
  7. Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 24 février 2011
  8. Recensement de la population au 1er janvier 2008 sur Insee. Consulté le 24 février 2011
  9. Évolution et structure de la population à Saint-Germain-des-Prés en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 24 février 2011
  10. Résultats du recensement de la population du Loiret en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 24 février 2011
  11. L'église Saint-Germain, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  12. liste des écoles de la circonscription de Montargis-Est sur www.ac-orleans-tours.fr. Consulté le 8 septembre 2010

Voir aussi

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