Rob Roy (roman)

Rob Roy (roman)
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Rob Roy
par l’auteur des
Puritains d’Écosse
Rob Roy dans la crypte de la cathédrale de Glasgow,illustration d’une édition écossaise de 1886
Rob Roy dans la crypte de la cathédrale de Glasgow,
illustration d’une édition écossaise de 1886

Auteur « the Author of Waverley »
(Walter Scott)
Genre roman historique
Version originale
Titre original Rob Roy
Éditeur original Archibald Constable, Édimbourg
• Longman, Hurst, Rees, Orme and Brown, Londres
Langue originale anglais
scots des Lowlands
gaélique écossais anglicisé
Pays d'origine Drapeau d'Écosse Écosse
Lieu de parution original Édimbourg, Londres
Date de parution originale 31 décembre 1817
Version française
Traducteur A.-J.-B. D. (Auguste-Jean-Baptiste Defauconpret)
Lieu de parution Paris
Éditeur H. Nicolle[1]
Date de parution 1818
Type de média 4 vol. in-12
Série Waverley Novels
Chronologie
L'Antiquaire
Ivanhoé

Rob Roy est un roman historique de Walter Scott, paru en 1817.

Préparant son livre, l’auteur visite en juillet 1817 le Loch Lomond, la caverne de Rob Roy et la cathédrale de Glasgow. Il commence à écrire en août. Le roman paraît le Hogmanay (31 décembre) de cette même année. Comme Waverley, il est publié anonymement, et en trois volumes. Devant le succès, un bateau affrété à Leith part pour Londres, ne transportant rien d’autre qu’une édition entière.

Seul roman de Scott écrit à la première personne[2] (le narrateur, Frank, est un jeune Anglais), c’est une œuvre réaliste où l’activité économique joue un rôle important[3].

Sommaire

Cadre historique

La crise personnelle que traverse le narrateur vient en contrepoint de la crise historique précédant la première rébellion jacobite, celle de 1715 (« le Quinze »). C’est la crise qui intéresse Scott, plus que son dénouement. C’est elle qui fournit le sujet du livre. La rébellion et son écrasement ne sont que rapidement évoqués dans les dernières pages.

En 1707, l’acte d’Union met fin à l’indépendance de l’Écosse, et donne naissance à la Grande-Bretagne. En 1714, le protestant George de Hanovre accède au trône. En Écosse, surtout dans le nord, les rancœurs nationalistes et le changement de dynastie créent une situation explosive. Depuis l’acte d’Union, les impôts augmentent, les alcools sont taxés, tandis que l’ouverture du commerce écossais au marché américain se fait attendre[4]. Dans le nord, les populations sont trop nombreuses pour des ressources trop maigres[5], tandis que le sud est actif et moderne. Aux querelles entre jacobites et hanovriens s’ajoutent les haines entre Highlanders et Lowlanders, et se mêlent les causes inexplicables de discorde héréditaire.

Depuis 1689, les souverains achetaient le calme en accordant des pensions aux chefs de clans — permettant à ceux-ci de subvenir aux besoins des affamés. Mais depuis l’avènement du roi George, ces pensions ne sont plus versées. Les chefs ne peuvent plus soutenir leurs clans[6].

En quête de lui-même, le héros scottien finit par se trouver, au terme d’un parcours qui aura servi de lien : entre la poésie et le monde des affaires, entre l’Angleterre commerçante et l’Angleterre aristocratique, entre la ville et la campagne, entre le présent et le passé, entre l’Angleterre et l’Écosse, entre Highlands et Lowlands, entre catholiques et protestants, entre whigs et tories, entre jacobites et hanovriens[7].

Devant l’amer constat que « tout change et tout meurt[8] », ce qui importe pour Scott n’est pas de nier le changement ou le progrès, mais de lui survivre, en sauvant du passé ce qui peut être sauvé[9].

Résumé

En 1715, Frank Osbaldistone refuse de se destiner au commerce et à la succession de son père, riche négociant londonien. Le jeune homme est alors déshérité au profit de Rashleigh, un obscur cousin. Il est de plus exilé dans la famille de ce dernier, à Osbaldistone Hall, dans les monts Cheviot.

Créatures frustes partageant leur temps entre chasse et orgies, son oncle et ses cousins perpétuent la tradition aristocratique de la famille. Seul, Rashleigh est fin, cultivé, très capable, mais il est également un sordide et jaloux intrigant. L’amertume du séjour est atténuée par la présence de la lumineuse Diana Vernon, amazone au franc-parler sidérant.

Injustement accusé d’avoir détroussé un agent du gouvernement, Frank est tiré d’affaire par l’intervention d’un certain Robert Campbell.

Frank s’interroge sur l’atmosphère de mystère qui entoure la si franche Diana, sur les liens troubles qu’elle entretient avec le révulsant Rashleigh et avec un inconnu fantomatique dont on sent la présence dans le château.

Rashleigh s’en va prendre à Londres la place de Frank. Les rênes de l’affaire lui sont confiés temporairement. Il en profite pour soustraire des effets de la caisse, mettant en péril la maison Osbaldistone et Tresham. Il s’enfuit en Écosse.

vue d’une crypte
La crypte de la cathédrale de Glasgow, où Frank est approché par Rob Roy.

Alerté, Frank se rend à son tour en Écosse, à Glasgow, pour y rejoindre Owen, le premier commis de son père, qui tente de sauver la situation. C’est Robert Campbell qui permet à Frank de retrouver le commis : le malheureux a été jeté en prison par des créanciers locaux. Il n’est délivré que par l’intercession d’un plus humain et plus avisé partenaire, le bailli Nicol Jarvie.

Frank retrouve également Rashleigh, avec qui il se bat en duel. Les choses vont mal tourner pour Rashleigh, lorsque le bras de Frank est arrêté par Robert Campbell, toujours lui. Ce Campbell est en réalité Robert MacGregor, dit Rob Roy, marchand de bestiaux ruiné, devenu chef de hors-la-loi.

Frank, accompagné de son domestique et de Nicol Jarvie, se rend dans les Highlands pour tenter de remettre la main sur les effets dérobés à son père. Mais, dans l’auberge d’Aberfoil, suite à une méprise, tous trois sont arrêtés et emmenés par les « habits rouges ». Sur les bords du loch Ard, la petite troupe tombe dans une embuscade tendue par des femmes, des vieillards et des enfants conduits par Helen Campbell, la farouche épouse de Rob Roy.

L’implacable Helen se propose d’exécuter les quelques soldats survivants, ainsi que leurs trois prisonniers. Le sauvage supplice du douanier Morris leur donne un avant-goût de ce qui les attend. Mais Helen a appris que, sur trahison de Rashleigh, son mari a été capturé (Rashleigh, conspirateur jacobite, a trahi les jacobites à grande échelle). Alors, accordant un sursis à Frank, elle le charge de porter un message lourd de menaces aux geôliers de Rob, lequel doit être pendu le lendemain.

Mettant à profit la traversée du gué d’Avondow, Rob Roy s’enfuit à la nage. Frank, soupçonné de l’avoir aidé, préfère s’éclipser. Il se retrouve de nuit, à pied, sur la route d’Aberfoil. Il a la surprise d’y rencontrer deux cavaliers. L’un d’eux est Diana Vernon, qui lui remet les effets dérobés par Rashleigh. L’autre est un inconnu, ce qui suscite la jalousie de Frank. Les deux cavaliers poursuivent leur chemin.

À Glasgow, Frank retrouve son père et Owen. Tous trois regagnent précipitamment Londres, car la rébellion se déclenche. Frank part combattre dans les troupes gouvernementales du général Carpenter.

La rébellion écrasée, Frank apprend la mort de son oncle et de cinq de ses cousins. Il hérite d’Olsbadistone Hall, car son oncle l’a couché sur son testament — n’accordant qu’un shilling à Rashleigh, en raison de sa traîtrise. Frank découvre que Diana et son conspirateur de père se cachent dans le château. Rashleigh les fait arrêter tous les trois, mais Rob Roy et ses Highlanders interviennent et Rob Roy tue Rashleigh. Le père de Diana a mal supporté toutes ces aventures. Il va mourir. Frank va donc pouvoir arracher Diana au couvent auquel ce père s’obstinait à la promettre.

Personnages

  • Francis (Frank) Osbaldistone, le narrateur anglais, vingt-deux ans. Il n’a rien du fade et irrésolu Waverley. Orgueilleux, obstiné, parfois emporté, Frank sait ce qu’il veut. Presbytérien et hanovrien, il aime certes une jeune fille catholique et jacobite, il n’est certes pas dénué de compassion pour les insurgés, il veille certes à la sûreté de ceux qui lui demandent asile, mais il n’embrasse pas leur cause pour autant. Partisan décidé du gouvernement, il reste fidèle à sa religion et au roi George, se portant volontaire pour combattre l’insurrection[10].
  • William Osbaldistone, père de Francis, aristocrate du Northumberland, déshérité et chassé par son propre père pour avoir choisi la voie du commerce. Habile, hardi, entreprenant, imaginatif, énergique, il est devenu un riche négociant de Crane Alley, à Londres.
statue colorée, à flanc de montagne, dans la verdure
Statue de Rob Roy.
  • Joseph Owen, premier commis de la maison Osbaldistone et Tresham. Grave et sérieux, un petit air d’importance où perce la bonté. S’exprime en termes comptables dans la conversation courante.
  • Morris, jaugeur sur le port de Geenock, à l’embouchure de la Clyde. Poltron. « Animal à deux pieds, avec une tête d’oie et un cœur de poule. »
  • Robert MacGregor, alias Robert Campbell, alias Rob Roy (Robert le Roux), figure historique. Highlander, marchand de bestiaux ruiné. Devenu chef de bande, il rackette les éleveurs des Lowlands. Il a partie liée avec les jacobites, mais il est surtout « de son propre parti » : les grands se méfient de lui, et il se méfie des grands. N’étant pas cruel de nature, il évite les exactions qui pourraient lui attirer des haines inutiles. Il fait souvent preuve de clémence et de générosité, ce qui lui vaut une réputation de Robin des Bois.
  • Diana Vernon, dix-huit ans, de père anglais et de mère écossaise, nièce de sir Hildebrand Osbaldistone. Catholique. Enjouée, fine, simple. Élevée comme un garçon parmi ses rustres de cousins, elle a développé une étonnante personnalité faite d’indépendance d’allure, de vivacité d’esprit et de solide franchise. Elle est néanmoins entourée de mystère, car c’est une conspiratrice jacobite. Par ailleurs, un arrangement de famille l’oblige ou à entrer au couvent ou à épouser un Osbaldistone — Thorncliff ayant été désigné par sir Hildebrand.
  • Sir Hildebrand Osbaldistone, chasseur enragé, grand mangeur et grand buveur. Catholique. Frère cadet du père de Frank, il a hérité du titre et du domaine lorsque son aîné a été chassé. Malgré la brusquerie de ses manières, en dépit de son ton rustique et grossier, il n’a pas mauvais fond.
  • Thorncliff Osbaldistone, fils de sir Hildebrand. Campagnard sans la moindre éducation. Brusque, ombrageux et querelleur. Il est destiné à épouser Diana, qu’il n’aime pas mais qu’il considère comme sa propriété. Aussi est-il jaloux de la faveur de Frank auprès de la jeune fille.
  • Rashleigh Osbaldistone, vingt-deux ans, le plus jeune des six fils de sir Hildebrand. D’abord destiné à l’état ecclésiastique, il a étudié au séminaire des jésuites de Saint-Omer. « Personnage satanique[11] », d’une méchanceté absolue. Hideux, intelligent, fier et ambitieux, séducteur envoûtant, perfide, haineux, scélérat, jaloux, hypocrite, traître. Conspirateur jacobite, mais surtout « abominable scélérat[12] ».
  • Les quatre autres fils de sir Hildebrand sont lourds et raboteux comme les pierres de Stonehenge : Percy est ivrogne, John homme des bois, Dick ne vit que pour les chevaux et Wilfred est sot.
  • Andrew Fairservice, Écossais de la paroisse de Dreepdayly (à quelques miles à l’ouest de Glasgow), où l’on fait venir les choux sous cloche. Presbytérien. Jardinier d’Osbaldistone Hall, puis domestique de Frank. D’humeur caustique, anti-Anglais, adversaire de l’acte d’Union : si un cheval se déferre, c’est la faute à l’acte d’Union. Calamiteux, il a toujours la langue trop longue. Impertinent, importun, opiniâtre, exaspérant, couard, égoïste, il possède l’art d’affecter le plus grand attachement pour son maître. Contrebandier à ses heures. Poète à ses heures : « Un chou-fleur est si brillant au clair de lune qu’il ressemble à une dame parée de diamants. »
  • La vieille Marthe Simpson, femme de charge d’Osbaldistone Hall. Bien que préférant le vin, elle est flattée que Diana l’invite à prendre le thé pour jouer les chaperons, lors d’entrevues tardives avec Frank.
  • Le squire Inglewood, jacobite blanchi. Mangeur et ivrogne, il exerce avec indolence les fonctions de juge de paix.
  • Joseph Jobson, protestant, hanovrien, cupide et corrompu, clerc d’Inglewood.
  • MacCallum More, duc d’Argyle, figure historique. Chef du clan Campbell, il protège dans une certaine mesure les débris du clan MacGregor[13]. Il a du crédit à la Chambre des Lords car, n’appartenant à aucun parti, il souffle le chaud et le froid. Il y fait des discours éloquents et énergiques contenant principalement l’éloge de sa famille et de son clan, ainsi que des compliments sincères qu’il s’adresse à lui-même.
  • MacVittie et MacFin, négociants de Gallowgate, à Glasgow, correspondants de la maison Osbaldistone et Tresham. Serviles et déférents quand tout va bien. Intransigeants et agressifs à la première alerte.
  • Dougal Gregor, Highlander aux ordres de Rob Roy. Enfermé à la prison de Glasgow, il séduit par son air de franchise et de simplicité, à tel point qu’on lui confie la fonction de porte-clefs.
  • Bailli Nicol Jarvie. Banquier, magistrat, négociant de tissus en gros de Salt Market, à Glasgow. Écossais des Lowlands, whig. Pointilleux, dur en affaires, industrieux. Plein de son mérite, mais franc et simple. Si ses manières manquent un peu de délicatesse, le fond de son cœur est excellent. Hâbleur, d’une verve imagée : « ... bâillant de temps en temps comme si j’avais voulu avaler l’église de Saint-Enoch ». Cousin éloigné de Rob Roy.
  • Mattie, servante de Nicol Jarvie, orpheline, petite-cousine du laird de Limmerfield.
  • Helen Campbell, épouse de Rob Roy. Terrible femme, rude, sombre, fière, résolue, inflexible, belliqueuse. Jacobite. Elle hait ce qui n’est pas des Highlands, et particulièrement ce qui est anglais.
  • Jeannie MacAlpine, aubergiste du clachan (hameau) d’Aberfoil. Native du comté de Lennox, dans les Lowlands. « Une honnête femme, dit-elle, vivrait plus tranquille en enfer qu’aux frontières des Highlands. » Sa hutte misérable est pourvue de deux portes : l’une pour les humains, l’autre pour les animaux (poules, chevaux, chèvres, vaches, cochons mélangés) ; ce qui, dans son hameau, fait qualifier Jeannie d’orgueilleuse.
  • Allan Iverach, Highlander, chef d’un clan de l’ouest. Ennemi de Rob Roy.
  • Inverashalloch, Highlander, chef d’un clan de l’ouest. Ennemi de Rob Roy qui a tué, à Invernenty, Duncan MacLaren, son cousin au septième degré.
  • Duncan Galbraith de Garschattachin, Écossais des Lowlands, major de la milice du comté de Lennox. Il s’estime loyal à la fois envers le roi Jacques et envers le roi George. Débiteur désinvolte de Nicol Jarvie.
  • Duc de Montrose, figure historique. Écossais hanovrien. Important partisan de l'acte d'Union. Une mésentente avec Rob Roy aurait eu pour conséquence l’expropriation des MacGregor. Ayant saisi les terres de Rob Roy, Montrose sera combattu par celui-ci jusqu’en 1722.
  • Sir Frederick Vernon, comte de Beauchamp, père de Diana. Anglais, catholique rigide. Conspirateur incorrigible, agent de la maison Stuart. On le croit mort, durant presque tout le livre.

Accueil

Le succès public du livre est immédiat : on en vend en quinze jours dix mille exemplaires. Les critiques apprécient la peinture des personnages, mais soulignent quelques faiblesses dans l'intrigue.

Personnages

Lors de la parution, certains critiques se disent déçus de ce que Rob Roy ne soit pas présenté sous un jour plus impressionnant. Mais, en général, la critique est élogieuse. On compare souvent Scott à Shakespeare pour ce qui est de la vigueur dans la peinture des caractères — avec mention spéciale à ceux d’Andrew Fairservice et de Nicol Jarvie. Quant à Diana Vernon, elle émerveille aussi bien lecteurs que critiques par sa hardiesse et par sa finesse de vues[14].

Intrigue

L’intrigue a fait l’objet de critiques concernant son manque d'unité[15], et une fin quelque peu désinvolte qui voit huit personnages mourir coup sur coup pour permettre à Frank d’être heureux[16]. Scott lui-même reconnaît que le roman — la fin notamment — peut donner une impression de négligence. Il dit s’être trouvé incapable de donner au dénouement sa vraie dimension[17].

L’avis de Stevenson

Dans son essai Rosa Quo Loquorum, Stevenson détaille ses découragements d’enfant tentant de lire Rob Roy, mais aussi les étapes de surprise et de bonheur qui ponctuèrent sa découverte du roman. « J’ose affirmer au vu de tout le monde qu’il s’agit là du meilleur roman de Walter Scott, et que Walter Scott n’est pas loin d’être le plus grand des romanciers[18]. »

Références culturelles

Notes et références

  1. Une autre édition est parue chez J.-G. Dentu, à Paris, la même année : Robert le Rouge Mac Gregor ou les Montagnards écossais, par l’auteur des Puritains d’Écosse, traduit — selon Quérard — par H. Villemain, 4 vol. in-12. On ne sait laquelle des deux éditions parut la première.
  2. Henri Suhamy, Sir Walter Scott, Fallois, 1993, p. 257.
  3. Michel Crouzet, « Préface » de Walter Scott, Waverley, Rob Roy, La Fiancée de Lammermoor, coll. « Bouquins », Robert Laffont, 1981, p. 31. Henri Suhamy, op. cit., p. 258.
  4. p. 504 de l’édition « Bouquins » citée.
  5. p. 551 et 552.
  6. p. 554 et 555.
  7. Michel Crouzet, id., p. 31.
  8. Henri Suhamy, op. cit., p. 264.
  9. Michel Crouzet, id., p. 21 et 22.
  10. Henri Suhamy, op. cit., p. 258.
  11. Michel Crouzet, id., p. 17.
  12. p. 664.
  13. Michel Crouzet, op. cit., p. 972.
  14. (en) « Rob Roy », in Walter Scott, sur Edinburgh University Library.
  15. Voir Michel Crouzet, op. cit., p. 9 et 10.
  16. Henri Suhamy, op. cit., p. 263.
  17. Michel Crouzet, op. cit., p. 959. Henri Suhamy défend Scott sur ce point, faisant valoir que les morts s’amoncellent vite en période troublée ; et rappelant que, des onze frères et sœurs de Scott, il ne reste plus qu’un survivant (Tom) l’année où Walter écrit Rob Roy. Henri Suhamy, op. cit., p. 263.
  18. Robert Louis Stevenson, « Rosa Quo Loquorum », dans Essais sur l’art de la fiction, Payot & Rivages, 2007, p. 84-86. À noter quelques imprécisions et confusions, dans les souvenirs de lecture de Stevenson.
  19. Site Hector Berlioz.

Bibliographie

(en) E. M. W. Tillyard, The Epic Strain in the English Novel, Londres, Chatto & Windus, 1958.

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