Potentiel hydrogene

Potentiel hydrogene

Potentiel hydrogène

Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir PH.
Le pH en phase aqueuse au quotidien :
Substance pH approximatif
Acide chlorhydrique molaire
0
Drainage minier acide (DMA)
<1,0
Acide d'un accumulateurs ou batterie
<1,0
Acide gastrique
2,0
Jus de citron
2,4 - 2,6
Cola[1]
2,5
Vinaigre
2,5 - 2,9
Jus dorange ou de pomme
3,5
Bière
4,5
Café
5,0
Thé
5,5
Pluie acide
< 5,6
Lait
6,5
Eau pure
7,0
Salive humaine
6,57,4
Sang
7,347,45
Eau de mer
8,0
Savon
9,0 à 10,0
Ammoniaque
11,5
Chaux
12,5
Soude ou potasse molaire
14,0

Le potentiel hydrogène (ou pH) mesure l'activité chimique des ions hydrogènes (H+) (appelés aussi couramment protons[note 1]) en solution. Notamment, en solution aqueuse, ces ions sont présents sous la forme de l'ion oxonium (également, et improprement, appelé ion hydronium). Plus couramment, le pH mesure lacidité ou la basicité dune solution. Ainsi, dans un milieu aqueux à 25°C, une solution avec un pH :

  • inférieur à 7 est acide ;
  • supérieur à 7 est basique ;
  • égal à 7 est neutre.

Sommaire

Historique

En 1909, le chimiste danois Søren Sørensen, qui travaille alors sur les effets des concentrations de quelques ions sur des protéines, remarque limportance des ions hydrogènes et décide dintroduire le concept de pH[2]. Dans larticle est évoqué le pH pour la première fois, Sørensen utilise la notation pH[3]. Dans cette publication, il donne au sigle la signification en latin Pondus Hydrogenii (« potentiel de lhydrogène ») ; mais dans les comptes-rendus de travaux quil rédige au sein du Carlsberg Laboratory de lUniversité de Copenhague la même année, p est labréviation du mot allemand potenz (potentiel) et H est le symbole de lhydrogène[4]. Sørensen définit alors lacidité dune solution comme étant le cologarithme décimal de la concentration (exprimée en moles par litre) en ions hydrogène :

p_H=-\log_{10} \left[ H^+ \right] \,

Le principe dune telle échelle de pH est accepté par la communauté scientifique, notamment grâce au chimiste allemand Leonor Michaelis qui publie en 1914 un livre sur la concentration des ions hydrogène[5]. En 1924, suite à lintroduction du concept dactivité, Sørensen publie un nouvel article précisant que le pH dépend plutôt de lactivité que de la concentration en H+[6] Entretemps, la notation pH a été adoptée, sans que lon sache vraiment qui en a été linitiateur :

 pH = -\log_{10} \; a \left( {H^+} \right)

Par la suite, la lettre p est reprise dans plusieurs notations usuelles en chimie, pour désigner le cologarithme : pK, pOH, pClLa signification du sigle pH a été adaptée par chaque langue. Ainsi, en français, on entendra par pH « potentiel hydrogène »[7],[8], on acceptera « potential hydrogen »[9] en anglais, « potenz hydrogene » en allemand ou encore « potencial hidrógeno » en espagnol.

La notion dacidité, qui était à la base uniquement qualitative, sest vue dotée dun caractère quantitatif avec les apports de la théorie de Bronsted-Lowry et du pH. Alors quau début du XXe siècle, on utilisait uniquement des indicateurs de pH pour justifier du caractère acide ou basique dune solution, les évolutions en électrochimie ont permis à lIUPAC de se tourner dans les années 1990 vers une nouvelle définition du pH, permettant des mesures plus précises[2].

Définitions

Définition classique

Depuis le milieu du XXe siècle, lIUPAC reconnaît officiellement la définition de Sørensen du pH[10]. Elle est utilisée dans les programmes scolaires (études supérieures) et les dictionnaires :

pH=-\log \,\, a_H

aH (on utilise aussi la notation a(H+) ou encore [H+]) est lactivité des ions hydrogène H+, sans dimension. Le pH est lui-même une grandeur sans dimension.

Cette définition formelle ne permet pas des mesures directes de pH, ni même des calculs. Le fait que le pH dépende de lactivité des ions hydrogènes induit que le pH dépend de plusieurs autres facteurs, tels que linfluence du solvant. Toutefois, il est possible dobtenir des valeurs approchées de pH par le calcul à laide de définitions plus ou moins exactes de lactivité.

Loi de Nernst

LIUPAC donne aujourdhui une définition du pH à partir dune méthode électrochimique expérimentale. Elle consiste à utiliser la relation de Nernst dans la cellule électrochimique suivante :

Électrode de référence | Solution de KCl concentré | Solution X | H2 | Pt (électrode à hydrogène)

À laide de mesures de la fem (force électro-motrice) de la cellule avec une solution X et une solution S de référence, on obtient :

\text{pH(X)} = \text{pH(S)} + \frac{(E_{\text{S}} - E_{\text{X}})F}{RT \ln 10}

avec

pH(X: pH de la solution inconnue
pH(S: pH tabulé de la solution de référence S
E(X: fem de la cellule avec la solution inconnue X
E(S: fem de la cellule avec la solution de référence S à la place de la solution X
F = 96 485 Cmol-1 : Constante de Faraday
R = 8,314472 Jmol-1K-1 : Constante universelle des gaz parfaits
T : température absolue, en kelvin


Cette définition du pH a été standardisée par la norme ISO 31-8 en 1992[11].

En solution aqueuse

Définitions approximatives

Les manipulations liées au pH en chimie étant le plus souvent réalisées en milieu aqueux, on peut déterminer plusieurs définitions approchées du pH en solution aqueuse. En utilisant deux définitions différentes de lactivité chimique, on peut écrire les deux relations ci-dessous. Elles sont valables dans le domaine limité des solutions aqueuses de concentrations en ions inférieures à 0 1 mol⋅L-1 et nétant ni trop acide, ni trop basique, cest-à-dire pour des pH entre 2 et 12 environ[12].

pH=-\log_{10} \left( \gamma _H \frac{[H^+]}{C_0} \right)

avec

γH est le coefficient dactivité des ions H+, sans dimension
[H+] est la concentration molaire en ions H+, en mol.L-1
C0 = 1 mol⋅L-1 est la concentration standard

et

pH=-\log_{10} \left( \gamma _H \frac{m_H}{m_0} \right)

avec

γH est le coefficient dactivité des ions H+, sans dimension
mH est la molalité des ions H+, en mol.kg-1
m0 = 1 mol⋅kg-1 est la molalité standard

Pour des concentrations encore plus faibles en ions en solution, on peut assimiler lactivité des ions H+ à leur concentration (le coefficient dactivité tend vers 1). On peut écrire :

pH=-\log_{10} \, [H^+]

Par abus décriture, lécriture nest pas homogène, La concentration standard C0 étant souvent omise pour simplifier la notation. Cette relation est la plus connue et est la plus utilisée dans lenseignement secondaire.

Pour des acides forts en solution aqueuse à des concentrations supérieurs à 1 mol⋅kg-1, l'approximation précédente n'est plus valable : il faut se ramener à la définition pH = log(a(H3O + )) l'activité des ions oxonium a(H3O + ) tend vers 1 quand la concentration augmente, soit un pH qui tend vers 0 + .

De même pour des bases fortes en solution aqueuse à des concentrations supérieurs à 1 mol⋅kg-1, l'activité des ion hydroxydes HO- tend vers 1 ; or, par définition de Ke, produit ionique de l'eau valant 10 14 à 25 °C, on a K_e = a(H_3 O^+) \cdot a(HO^-) donc a(H3O + ) ne peut être supérieur à Ke, soit un pH qui tend vers 14 quand la concentration en base forte augmente.

Hydratation des ions H+

Article détaillé : Ion hydronium.

Acides et bases

Bronsted et Lowry ont donné une définition simple des concepts dacide et de base comme étant respectivement un donneur et un accepteur de proton. Dautres conceptions de lacidité sont utilisées dans les milieux non protiques (milieux lespèce échangeable nest pas le proton), telle la théorie de Lewis :

Théorie Acide Base Domaine dapplication
Arrhenius donneur de H+ donneur de OH- eau
Bronsted donneur de H+ accepteur de H+ solvant protique
Lewis accepteur de paire e- donneur de paire e- cas général

Exemples :

  • OH- est une base dArrhenius, Bronsted et Lewis ;
  • NH3 est une base de Bronsted et Lewis, mais pas dArrhenius ;
  • BF3 est un acide de Lewis, mais ni dArrhenius, ni de Bronsted.

Autoprotolyse

Le pH varie dans lintervalle défini grâce à la constante dauto-protolyse du solvant.

En solution aqueuse, à température et pression standard (CNTP), un pH de 7,0 indique la neutralité car leau, amphotère, se dissocie naturellement en ions H+ et OH- aux concentrations de 1,0×10-7 mol⋅L-1. Cette dissociation est appelée autoprotolyse de leau :

  • leau est une base : H2O (l) = H+ (aq) + OH- (aq)
  • leau est un acide : H2O (l) + H+ (aq) = H3O+ (aq)
  • d la réaction : H2O (l) + H2O (l) = H3O+ (aq) + OH- (aq)

Dans les conditions normales de température et de pression (TPN), le produit ionique de leau ([H+][OH-]) vaut 1,0116 ×10-14, d pKe = 13,995. On peut également définir le pOH (-log aOH-), de sorte que pH + pOH = pKe.

Le pH doit être redéfinià partir de léquation de Nernsten cas de changement de conditions de température, de pression ou de solvant.

Influence de la pression et de la température

Le produit ionique de leau ([H+][OH-]) varie avec la pression et la température : sous 1 013 hPa et à 24,9 °C (TPN), le produit ionique vaut 1,0116 ×10-14, d pKe = 13,995 ; sous 1010 Pa et à 799,9 °C, pKe nest que de 7,68 : le pH dune eau neutre est alors de 3,84 ! Sous une atmosphère de 1 013 hPa (pression de vapeur deau saturante), on a :

  • à 0 °C : pKe = 14,938, d le pH de la neutralité = 7,4690 ;
  • à 25 °C : pKe = 13,995, d le pH de la neutralité = 6,9975 ;
  • à 100 °C : pKe = 12,265, d le pH de la neutralité = 6,1325.

Le produit ionique de leau varie selon léquation suivante (Marshall et Franck, 1981:

log Ke* = -4,098 - 3245,2/T + 2,2362 ×105/T2 - 3,984 ×107/T3 + (13,957+1262,3/T + 8,5641 ×105/T2) log de*

dans laquelle Ke* = Ke/(mol.kg-1) et de*=de/(g.cm-3) (pression de vapeur).

Influence du solvant

Dans dautres solvants que leau, le pH nest pas fonction de la dissociation de leau. Par exemple, le pH de neutralité de lacétonitrile est de 27 (TPN) et non de 7,0.

Le pH est défini en solution non aqueuse par rapport à la concentration en protons solvatés et non pas par rapport à la concentration en protons dissociés. En effet, dans certains solvants peu solvatants, le pH dun acide fort et concentré nest pas nécessairement faible. Dautre part, selon les propriétés du solvant, léchelle de pH se trouve décalée par rapport à leau. Ainsi, dans leau lacide sulfurique est un acide fort, tandis que dans léthanol, cest un acide faible. Travailler en milieu non aqueux rend le calcul du pH très compliqué.

Acidité et alcalinité

Un pH moins élevé que celui de la neutralité (par exemple 5 pour une solution aqueuse) indique une augmentation de lacidité, et un pH plus élevé (par exemple 9 pour une solution aqueuse) indique une augmentation de lalcalinité, cest-à-dire de la basicité.

Un acide diminuera le pH dune solution neutre ou basique ; une base augmentera le pH dune solution acide ou neutre. Lorsque le pH dune solution est peu sensible aux acides et aux bases, on dit quil sagit dune solution tampon (de pH) ; cest le cas du sang, du lait ou de leau de mer, qui renferment des couples acido-basiques susceptibles damortir les fluctuations du pH, tels anhydride carbonique / hydrogénocarbonate / carbonate, acide phosphorique / hydrogénophosphate / phosphate, acide borique / borate.

Le pH dune solution dite physiologique est de 7,41.

Activité et concentration

Pour des concentrations ioniques importantes, lactivité ne peut plus être assimilée à la concentration et on doit tenir compte de la force ionique, par exemple grâce à la théorie de Debye-Hückel. Le pH dune solution décamolaire dacide fort nest donc pas égal à -1 comme le pH dune solution décamolaire de base forte nest pas égal à 15. Lagressivité de telles solutions et leur force ionique importante rend la mesure du pH délicate avec les habituelles électrodes de verre. On a donc recours à dautres méthodes sappuyant sur les indicateurs colorés (spectroscopie UV ou RMN). Pour des concentrations élevées de H+, on peut définir par analogie dautres échelles de mesure dacidité, telle léchelle de Hammett H0.

Mesure et indicateurs

Rouleau de papier pH

Lactivité dun ion nétant pas directement mesurable, on mesure la force électromotrice engendrée par une différence de pH, d lutilisation dune référence. Cette relation suit la loi de Nernst :

 \rm{pH}\left( X \right) = \rm{pH}\left( S \right) + \ln \left(10\right).R.T.F^{-1} \left[ E(S)-E(X) \right]

dans laquelle X est la solution dont le pH est inconnu et S, la solution de référence ; avec ln(10).R.T.F-1 = 59 159 mV à 298 K (R est la constante des gaz parfaits, T, la température et F, la constante de Faraday).

Généralement, le pH est mesuré par électrochimie avec un pH-mètre, appareil comportant une électrode combinée spéciale, dite électrode de verre, ou deux électrodes séparées. Lélectrode de référence est en général au calomel saturé (ECS).

Il existe de nombreuses façons de mesurer lacidité, on utilise fréquemment des indicateurs de pH.

Formules de calcul approché du pH pour des solutions aqueuses

a 25°C pKe = 14

Cas d'un acide fort

 \rm{pH} = -\rm{log}_{10}(C_a) \ \ \ , Ca est la concentration en acide en mol/L

Cette relation nest pas valable pour des concentrations inférieures à 1×10-7 mol⋅L-1 et ne devrait sappliquer quavec des concentrations supérieures à 1×10-5 mol⋅L-1. Son application à une solution diluée à 10-8 donne en effet pH = 8, ce qui est absurde puisque la solution est acide et non alcaline (le pH dune telle solution est de 6,98) ;

Dans le cas dun monoacide, le pH se calcule en résolvant léquation du troisième degré suivante : (H+)3 + Ka (H+)2 - (H+) [Ke + Ka C] - Ka.Ke = 0 ;

Dans le cas limite K_a \to +\infty, léquation précédente devient alors (H + )2 CaH + Ke = 0 d on déduit que \textrm{H}^+ = \frac{C_a + \sqrt{C_a^2 + 4K_e}}{2}. Lorsque C_a \gg 2\sqrt{K_e} \approx 2\cdot 10^{-7}, on a \textrm{pH} = - \log_{10} \textrm{H}^+ \approx -\log_{10} C_a.

Cas d'une base forte

 \rm{pH} = pK_e + \log_{10}(C_b) ~ Cb est la concentration en base en mol.L-1.

Cette relation est soumise aux mêmes remarques que pour le cas dun acide fort.

Cas d'un acide faible

 \rm{pH} = \frac{1}{2}(pK_a - \log_{10}(C_a)) ~ le pKa est celui de lacide.

Cas d'une base faible

 \rm{pH} = \frac{1}{2}(pK_a+pK_e+\log_{10}(C_b)) ~ le pKa est celui de lacide créé.

Cas d'un mélange de solutions de pH connus

 \rm{pH} = -\rm{log} \left(\frac{V_1.10^{-\rm{pH}_1}+V_2.10^{-\rm{pH}_2}}{V_1+V_2}\right)

Cette formule est très approximative, notamment si les acides ou bases utilisés sont faibles, et devrait être utilisée avec la plus grande prudence.

pH négatif

En conséquence des formules précédentes, lorsque la concentration est supérieure à 1, ce qui na rien dimpossible, le pH devient négatif.

Dans des solutions assez peu concentrées (on dit « solution diluée »), lacidité est mesurée par la concentration en ions hydronium (oxonium) ou [H3O+], car les ions H+ sassocient avec [H2O]. Cependant, aux fortes concentrations, cet effet est en partie contrebalancé par les coefficients dactivité qui seffondrent aux concentrations élevées. Néanmoins, il est possible dobtenir des pH négatifs.

Par exemple, les laboratoires peuvent se procurer un acide chlorydrique [HCl] concentré commercial (37 % en masse) qui fournit un pH denviron -1,1 ; de même, une solution saturée en NaOH a un pH de 15,0.

Les produits plus acides que lacide sulfurique à 100 %, sont qualifiés de superacides[13]. Ceux-ci sont couramment utilisés, notamment comme catalyseurs pour lisomérisation et le craquage des alcanes[14],[15].

pH d'un sol

Article détaillé : Acidification des sols.

Le pH dun sol a une influence sur lassimilation des nutriments et oligo-éléments par une plante.

Annexes

Bibliographie

  • L. Lopes, « Méthode de la réaction prépondérante : proposition dune approche quantitative systématisée », dans Bulletin de lunion des physiciens, vol102, no 904, Mai 2008, p. 707-726 [texte intégral] 

Notes

  1. Un ion hydrogène est un atome d'hydrogène qui a perdu qui a perdu son unique électron. Or le noyau dhydrogène n'est constitué que dun proton. Un ion H+ n'est donc effectivement plus qu'un proton.

Références

  1. « Lacidité, le pH » sur le site de lacadémie dOrléans-Tours
  2. a et b (en) Søren Sørenson, Chemical Achievers - The Human Face of the Chemical Science, Chemical Heritage Foundation. Consulté le 2007-01-09
  3. (de) Søren Peder Lauritz Sørensen, « Enzymstudien. II: Mitteilung. Über die Messung und die Bedeutung der Wasserstoffionenkoncentration bei enzymatischen Prozessen », dans Biochemische Zeitschrift, volume 21, 1909, p. 131-304
  4. (en) Comptes rendus des travaux du laboratoire Carlsberg, vol. 8, p. 1, Copenhague, 1909(ISSN 0075-7497)
  5. (en) Søren Peter Lauritz Sørensen sur le site [1]
  6. (en) Patrick Gormley, « The facts about pH », 2003.
  7. « pH » dans le Trésor de la langue française informatisé
  8. pH sur Futura-Sciences. Consulté le 10/05/2006
  9. pH quiz Study Guide sur http://www.morrisonlabs.com/
  10. (en)« Manual of Symbols and Terminology for Physicochemical Quantities and Units », 2e rév., dans Pure Appl. Chem. no 51, p. 1, 1979
  11. (en) Organisation internationale de normalisation, ISO Standards Handbook: Quantities and units,ISO, Genève, 1993, (ISBN 92-67-10185-4)
  12. (en) Ian Mills, Tomislav Cvitas, Klaus Homann et al., Quantities, Units and Symbols in Physical Chemistry ("Green Book"), Blackwell Science (pour lIUPAC), 1993, 2e éd. (1er éd. 1988), p. 62, (ISBN 0-632-03583-8), [Green Book de lIUPAC lire en ligne]
  13. R.J. Gillespie. Accounts of Chemical Research, Vol. 1, 1968, p.202.
  14. (en) George A. Olah, Schlosberg RH. "Chemistry in Super Acids. I. Hydrogen Exchange and Polycondensation of Methane and Alkanes in FSO3HSbF5 ("Magic Acid") Solution. Protonation of Alkanes and the Intermediacy of CH5+ and Related Hydrocarbon Ions. The High Chemical Reactivity of "Paraffins" in Ionic Solution Reactions". Journal of the American Chemical Society, vol.90 (10) , 1968, p.27262727
  15. (en) Réponse de Richard Barrans à un étudiant, sur le site "Ask a scientist:lien

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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