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Équipe d'Allemagne de football
Équipe d'Allemagne Généralités Confédération Couleurs blanc et noir Surnom Die Mannschaft (en France), Nationalmannschaft ou Nationalelf (en Allemagne) Classement FIFA 5e (1 juillet 2009)[1] Personnages Sélectionneur Joachim Löw Record de sélections Lothar Matthäus : 150 Meilleur buteur Gerd Müller : 68 Matchs historiques Premier match officiel 5 avril 1908
Suisse 5 - 3 AllemagnePlus large victoire 1er juillet 1912
Allemagne 16 - 0 RussiePlus large défaite 16 mars 1909
Angleterre 9-0 AllemagnePalmarès Coupe du monde Phases finales : 16
Vainqueur en 1954, 1974,
1990Championnat d'Europe Phases finales : 10
Vainqueur en 1972, 1980,
1996Jeux olympiques médaille d'or en 1976 (RDA) Maillots Actualités Pour les résultats en cours, voir :
Équipe d'Allemagne de football en 2009modifier L'équipe d'Allemagne de football est constituée par une sélection des meilleurs joueurs allemands sous l'égide de la DFB. Cet organisme, fédération de l'Allemagne unifiée avant la création de la République démocratique allemande, n'avait autorité que sur le football de la RFA de 1949 à 1990 et a ensuite repris son rôle pan-allemand. Le premier match de l'équipe allemande réunifiée a lieu le 19 décembre 1990 à Stuttgart contre la Suisse. Pendant son existence, l'équipe nationale est-allemande était sous l'autorité de sa propre Fédération, la Fédération d'Allemagne de l'Est de football. La présente page ne traite donc que de l'équipe de RFA pendant les années de séparation.
Sommaire
Couleurs et stade
Couleurs
Les couleurs de l'équipe d'Allemagne se composent d'un maillot blanc, de chaussettes blanches et d'un short noir. Ces couleurs sont celles du drapeau de la Prusse utilisée au 19ème siècle. Outre les couleurs traditionnelles de la Prusse, le maillot affiche aussi pour emblème l'aigle présent sur le drapeau prussien.
Les deuxièmes couleurs de l'équipe (utilisée lors des matchs joués à l'extérieur contre des équipes possédant un maillot blanc) ont varié selon les époques. Le plus souvent, il s'agit d'un maillot vert et d'un short blanc, couleur de la DFB - Deutscher Fussball Bund . Néanmoins, il existe une croyance selon laquelle le choix de ce maillot serait un hommage à l'Irlande, première nation à avoir acceptée de disputer un match amical contre l'Allemagne après la seconde guerre mondiale. Cette croyance est cependant fausse puisque le premier match disputée après la Seconde Guerre Mondiale, fut contre la Suisse en 1950. En dehors du vert, la sélection a parfois joué avec un maillot gris ou noir. Depuis 2004, le second jeu de maillot de l'équipe est rouge suite à une demande du sélectionneur Jürgen Klinsmann, arguant du fait que le rouge est plus intimidant que les autres couleurs et synonyme de succès.
Depuis 1954, l'équipementier de l'équipe d'Allemagne est Adidas. La marque allemande est en contrat avec la sélection jusqu'en 2018.
Stade
L'équipe d'Allemagne n'a pas de stade attitré lorsqu'elle évolue à domicile et en général, change de stade et de ville à chaque rencontre. Néanmoins, c'est à Berlin, la capitale que se sont disputés le plus de matchs (42), suivis par Hambourg (32), Stuttgart (29) et Hanovre (24).
Histoire
Avec trois Coupes du monde (1954, 1974, 1990) et trois Championnats d'Europe (1972, 1980, 1996), le palmarès de la Nationalmannschaft (équipe nationale en allemand, le surnom Mannschaft n'étant pas utilisé en Allemagne même) n'a pas d'égal sur le Vieux Continent et n'est devancé que par le Brésil et par l'Italie au niveau mondial.
Les débuts de l’Allemagne
La Fédération allemande de football (Deutscher Fußball-Bund) est fondée en 1900. Elle est affiliée à la FIFA depuis 1904. Le premier match officiel de l’équipe d'Allemagne de football (Deutsche Fußballnationalmannschaft) fut joué à Bale, contre la Suisse, le 5 avril 1908, qui se solde par une défaite allemande sur le score de 5 buts à 3. La plus large défaite de l’Allemagne fut enregistrée à Oxford, contre l’Angleterre (amateur), le 13 mars 1909, qui se solde par un 9-0 pour les anglais. La plus large victoire de l’Allemagne fut enregistrée à Stockholm contre la Russie (Russie impériale) sur le score de 16 buts à 0, le 1er juillet 1912. Elle ne participa pas à la première édition de la Coupe du monde de football en 1930.
Avant-guerre
L’équipe d'Allemagne de football (Deutsche Fußballnationalmannschaft) enregistre ses premiers résultats probants à l'occasion de la Coupe du monde 1934. Éliminée en demi-finale par la Tchécoslovaquie malgré le but de Rudolf Noack, l'Allemagne s'impose dans la petite finale pour la troisième place, 3-2 contre la Wunderteam autrichienne (doublé d’Ernst Lehner et but d’Edmund Conen). Quatre ans plus tard, l'Allemagne fait figure de favorite suite à l'annexion de l'Autriche. Cinq joueurs de la fameuse équipe autrichienne sont incorporés au onze allemand. Dès son entrée en compétition, l'Allemagne tombe pourtant sur une étonnante équipe suisse qui sort l'Allemagne en deux matches. À égalité 1-1 (but de Josef Gauchel) à l'issue du premier match, les Suisses s'imposent 4-2 (buts d’Ernst Lörtscher (csc) et de Wilhelm Hahnemann) au cours d'une partie rejouée cinq jours après.
La RFA de Sepp Herberger
Déjà sélectionneur entre 1936 et 1942, l'entraîneur Sepp Herberger reprend en charge l'équipe d'Allemagne à partir de 1949. L’équipe d'Allemagne de football (Deutsche Fußballnationalmannschaft) ne participa pas à la Coupe du monde 1950, non autorisée à participer du fait de la Seconde Guerre Mondiale. La DFB est membre de l'UEFA depuis sa création en 1954. L'Allemagne fait son grand retour sur le plan international au cours de la Coupe du monde 1954. Balayés au premier tour 8-3 par le fameux « Onze d'or hongrois », la Mannschaft parvient néanmoins à atteindre la finale où elle retrouve à Berne la Hongrie archi-favorite. Contre toute attente, l'Allemagne s'impose 3-2, après avoir été menée 2-0 (doublé de Helmut Rahn et but de Maximilian Morlock). Cette rencontre, passée à la postérité sous le nom de « miracle de Berne ». Ce succès a une importance qui dépasse le cadre du football pour les Allemands de l'Ouest, symbolisant leur retour dans le concert des nations 5 ans après la fondation de la République fédérale d'Allemagne. Cependant, cette victoire est entachée par des rumeurs de dopage qui courent, suite aux étranges maladies qui se déclarent chez certains champions du monde après la compétition[2]. L'Allemagne confirme quatre ans plus tard en étant présente dans le dernier carré. Éliminés en demi-finale par la Suède (1-3, but de Hans Schäfer), les hommes de Sepp Herberger s'inclinent dans la petite finale pour la troisième place, 6-3 contre la France (buts de Helmut Rahn, de Hans Cieslarczyk et de Hans Schäfer). Au Chili en 1962, les Allemands sont sortis de la Coupe du monde en quarts de finale par la Yougoslavie (1-0). Cette défaite entraîne la mise à l'écart de l'emblématique sélectionneur Sepp Herberger. Helmut Schön lui succède.
L'ère Helmut Schön
Sous la direction d'Helmut Schön, l'Allemagne de l'Ouest va connaître une domination quasi sans partage sur le football européen et mondial, en s'appuyant notamment sur une génération de joueurs habitués à vaincre en club sous les couleurs du Bayern Munich (Franz Beckenbauer, Gerd Müller, Sepp Maier ou Hans-Georg Schwarzenbeck). La RFA remporte un championnat d'Europe (1972 en battant l’URSS (3-0)), en perd un en finale aux tirs au but (1976 contre la Tchécoslovaquie (2-2 tab 5-3)), gagne une nouvelle Coupe du Monde (1974, à domicile) et en perd une autre en finale (1966 avec un score de 4-2 malgré des buts de Helmut Haller et de Wolfgang Weber) après une fin de match confuse et un but litigieux contre l' Angleterre à Wembley. L'Allemagne dispute également au cours de cette période une demi-finale de Coupe du Monde (1970) face à l'Italie à Mexico (3-4, dont cinq buts en prolongation) que beaucoup considèrent comme le plus grand match de tous les temps. Le titre de 1974, qui représente un aboutissement pour des joueurs comme Franz Beckenbauer et Gerd Müller, est acquis après la victoire 2-1 en finale au Stade Olympique de Munich contre les Pays-Bas de Johan Cruyff (buts de Gerd Müller et de Paul Breitner). Seule fausse note dans ce bilan, l'élimination en phase préliminaire du Championnat d'Europe 1968. L'Allemagne y est éliminée des quarts de finale après un match nul 0-0 lors de la dernière journée face à la modeste Albanie qui offre la qualification à la Yougoslavie, laquelle s'imposera facilement face à la France en quarts (1-1, 5-1).
Le titre de champion olympique de l’Allemagne de l’Est en 1976
Il faut rappeler que l’Allemagne de 1945 à 1990, fut divisée entre la RDA et la RFA. Bien que la RFA ait gagné les Coupes du Monde 1954 et 1974, la RDA a aussi remporté un trophée, qui compte dans le palmarès allemand, la médaille d’or olympique en 1976. Lors des JO de Montréal en 1976, il réalise le parcours suivant : au 1er tour, elle fait 0-0 contre le Brésil, puis bat l’Espagne 2-0, ce qui lui permet d’accéder aux quarts de finale. En quarts, elle bat la France par un score de 4 buts à 0. En demi, elle bat l’URSS (2 buts à 1). En finale, elle bat la Pologne 2 buts à 1 et décroche ainsi la médaille d’or olympique.
La consécration du Kaiser sélectionneur
Jupp Derwall remplace Helmut Schön après une décevante Coupe du monde 1978 et la RFA ne tarde pas à renouer avec les succès. L'équipe des Karl-Heinz Rummenigge, Horst Hrubesch et autres Harald Schumacher remporte l'Euro 80 (2-1, doublé de Horst Hrubesch) et dispute la finale du Mundial 82 après un nouveau match de légende gagné face à la France à Séville (3-3, tirs au but). Fatigués physiquement et nerveusement par ce match, les Allemands ne peuvent rien faire en finale face à l' Italie (1-3, but de Paul Breitner). C'est sous la direction du Kaiser Franz Beckenbauer (entraîneur depuis 1984) que l'Allemagne atteint à nouveau les sommets : lors du Mondiale 1990, la RFA de Lothar Matthäus (Ballon d'or 1990) remporte sa troisième Coupe du monde en prenant sa revanche sur l'Argentine (1-0, but d’Andreas Brehme), qui l'avait battue quatre ans plus tôt en finale du Mundial Mexicain. Beckenbauer se retire sur ce triomphe et laisse la place à Berti Vogts. Si la succession du Kaiser ne paraît pas aisée, Berti Vogts permet tout de même à l’équipe d'Allemagne de football (Deutsche Fußballnationalmannschaft) désormais réunifiée de remporter l'Euro 1996 (2-1, doublé d'Oliver Bierhoff), avec un Matthias Sammer élu meilleur joueur du tournois (puis Ballon d'or 1996), 4 ans après une finale perdue en 1992 contre le Danemark (0-2) et 2 ans après un quart de finale perdu contre la Bulgarie au Mondial 1994 aux États-Unis.
Un déclin relatif au début des années 2000
Depuis son dernier titre lors de l'Euro 1996, l’équipe d'Allemagne de football (Deutsche Fußballnationalmannschaft) est rentrée dans le rang européen et mondial. Battue sévèrement 3-0 par la Croatie en quart de finale de la Coupe du monde 1998, elle disparaît dès le premier tour des Euros 2000 et 2004. La preuve à la Coupe des Confédérations 1999 au Mexique où elle est battue par le Brésil (0-4), bat la Nouvelle-Zélande (2-0, buts de Lothar Matthäus et de Michael Preetz) et perd contre les États-Unis (0-2) au premier tour. Mais, preuve que l'Allemagne est toujours présente même quand elle joue mal, elle accède à la finale de la Coupe du monde 2002, un peu à la surprise générale. L'équipe profite d'un tableau facile et se tire d'affaire grâce aux performances du gardien Oliver Kahn, qui laisse toutefois passer deux buts dans la défaite de 0-2 contre le Brésil à Yokohama, au Japon. Une chance est cependant offerte à l'Allemagne en 2006 de renouer avec son passé glorieux avec la tenue sur son propre sol de la dix-huitième Coupe du monde après une petite révolution au sein du football allemand.
Klinsmann et la reconquête
Jürgen Klinsmann prend les rênes de l'équipe en 2004, après le départ de Rudi Völler. Il accorde sa confiance à de jeunes joueurs tels que Bastian Schweinsteiger, Lukas Podolski et Philipp Lahm, avec la ferme intention de bâtir une équipe produisant un football offensif et attractif pour les supporters. Il prend ses responsabilités en préférant le gardien Jens Lehmann à Oliver Kahn. A la Coupe des Confédérations 2005, à domicile, elle bat au 1er tour l’Australie (4-3, buts de Per Mertesacker, de Lukas Podolski, de Kevin Kurányi et de Michael Ballack), puis la Tunisie (3-0, buts de Michael Ballack, de Mike Hanke et de Bastian Schweinsteiger) et fait match nul contre l’Argentine (2-2, buts de Gerald Asamoah et de Kevin Kurányi). Elle perd en demi contre le Brésil (2-3, buts de Lukas Podolski et de Michael Ballack) mais se console en prenant la 3e place en battant le Mexique (4-3 ap, buts de Robert Huth, de Lukas Podolski, de Michael Ballack et de Bastian Schweinsteiger).
Après des résultats irréguliers lors des matches de préparation, l'équipe réalise un bon parcours lors de la Coupe du Monde dont elle est l'hôte. Ainsi, lors du premier tour, l'Allemagne termine première du groupe A avec 9 points, en ayant remporté successivement ses trois matchs de poule (4-2 contre le Costa Rica, 1-0 contre la Pologne et 3-0 contre l'Équateur). Elle remporte son huitième de finale contre la Suède 2-0 (doublé de Lukas Podolski) et se retrouve opposée en quart à l'Argentine. Menée au score, elle refait son retard dans les dernières minutes avant de l'emporter finalement aux tirs au buts grâce a deux arrêts de Jens Lehmann. L'Allemagne atteint une nouvelle fois le dernier carré. Mais en demi-finales contre l'Italie, après un match de longue haleine se terminant aux prolongations, l'Allemagne cède en encaissant 2 buts dans les deux dernières minutes de la seconde prolongation . Quatre jours plus tard, la Mannschaft remporte le match pour la troisième place face au Portugal (3-1, doublé de Bastian Schweinsteiger et but de Armando Teixeira dit Petit (csc)).
Après le départ de Jürgen Klinsmann, son adjoint, Joachim Löw, devient le nouveau sélectionneur de l'équipe allemande. Sous sa conduite, l'Allemagne est le premier pays qualifié pour l'Euro 2008. Durant ce tournois, la Mannschaft sort second du groupe B en battant la Pologne (2-0, doublé d’un polonais d’origine Lukas Podolski) et le pays co-organisateur, l'Autriche (1-0, but de Michael Ballack) mais s'incline face à une Croatie bien organisée (1-2, but de Lukas Podolski). Si les Allemands se montrent brillants en 1/4 face au Portugal (3-2, buts de Bastian Schweinsteiger, de Miroslav Klose et de Michael Ballack), la demi-finale face à la Turquie (3-2, buts de Bastian Schweinsteiger, de Miroslav Klose et Philipp Lahm) n'est remportée in-extremis que grâce à leur réalisme. L'Allemagne déçoit ensuite en finale contre l'Espagne (0-1). Piquée au vif après l'ouverture du score de Fernando Torres à la demi-heure de jeu, l'équipe de Joachim Löw fait preuve d'une faible combativité et d'un jeu sans imagination ni précision. Avec trois Coupes du monde (1954, 1974, 1990) et trois Championnats d'Europe (1972, 1980, 1996), le palmarès de la Nationalmannschaft (équipe nationale en allemand, le surnom Mannschaft n'étant pas utilisé en Allemagne même) n'a pas d'égal sur le Vieux Continent et n'est devancé que par le Brésil et par l'Italie au niveau mondial.
Palmarès
Parcours en Coupe du monde
Parcours en Championnat d'Europe
Parcours à la Coupe des Confédérations
Divers
- Championne olympique en 1976 (Allemagne de l'Est)
Principaux joueurs d'hier et d'aujourd'hui
Gardiens
Défenseurs
Milieux
Attaquants
pour une liste plus complète voir Liste des sélectionnés en équipe d'Allemagne A de football
L'équipe d'aujourd'hui
- Groupe qualification CM 2010
Allemagne
Sélectionneurs
- 1923-1936 : Otto Nerz
- 1936-1964 : Sepp Herberger
- 1964-1978 : Helmut Schön
- 1978-1984 : Jupp Derwall
- 1984-1990 : Franz Beckenbauer
- 1990-1998 : Berti Vogts
- 1998-2000 : Erich Ribbeck
- 2000-2004 : Rudi Völler
- 2004-2006 : Jürgen Klinsmann
- 2006-2010 : Joachim Löw
Records
Joueurs les plus capés et meilleurs buteurs
Record de sélections Sélections Joueur Période Buts 150 Lothar Matthäus 1980–2000 23 108 Jürgen Klinsmann 1987–1998 47 105 Jürgen Kohler 1986–1998 3 103 Franz Beckenbauer 1965–1977 14 102 Joachim Streich** 1969–1984 55 101 Thomas Häßler 1988–2000 11 100 Hans-Jürgen Dörner** 1969–1985 9 100 Ulf Kirsten** 1985–2000 34 96 Berti Vogts 1969–1978 1 Meilleurs buteurs Buts Joueur Période Sélections 68 Gerd Müller 1966–1974 62 55 Joachim Streich** 1969–1984 102 47 Jürgen Klinsmann 1988–1998 108 Rudi Völler 1982–1994 90 45 Karl-Heinz Rummenigge 1977–1986 95 45 Miroslav Klose* 2001–?? 84 43 Uwe Seeler 1954–1970 73 41 Michael Ballack* 1999–?? 87 37 Oliver Bierhoff 1996–2002 70 - 1 étoile = Joueur encore en activité
- 2 étoiles = Joueur d'Allemagne de l'Est intégré au classement de la fédération de football allemande. (référence: [1] )
Citations
- « Le football est un sport inventé par les Anglais qui se joue à onze contre onze,durant 90 minutes et à la fin ce sont toujours les Allemands qui gagnent. » (Gary Lineker, international anglais, après la Coupe du Monde 1990)
Notes
- ↑ Classement mondial sur fr.fifa.com, 1 juillet 2009. Consulté le 1 juillet 2009.
- ↑ Dopage : vingt ans déjà, 1er juillet 1994, L'Humanité
Voir aussi
- Liste des sélectionnés en équipe d'Allemagne A de football
- équipe d'Allemagne de football à la coupe du monde 2006
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