Halles de Paris

Halles de Paris

48° 51′ 44″ N 2° 20′ 44″ E / 48.8622303, 2.3456669

La rue centrale partageant les Halles en deux au niveau du chevet de l'église saint-Eustache et suivant le tracé l'actuelle Allée André-Breton (cliché prit dans les années 1970).
Vue du Forum des Halles

Les Halles de Paris était le nom donné aux Halles centrales, marché de vente en gros de produits alimentaires frais, situé au cœur de Paris, dans le 1er arrondissement et qui donnèrent leur nom au quartier environnant.

Ce vaste marché qui s'y tenait jusqu'au début des années 1970 a été remplacé aujourd'hui par un espace vert (le Jardin des Halles), un centre commercial souterrain (le Forum des Halles), et par de nombreux endroits consacrés aux loisirs (piscine, cinéma). La gare RER Châtelet - Les Halles, située juste en dessous du complexe, est la plus grande gare souterraine du monde et permet un accès depuis toute la région parisienne.

Sommaire

Les Halles centrales

Les Halles de Paris occupent une zone de 10 hectares, à cheval sur les 1er, 2e, 3e et 4e arrondissements de la ville de Paris, donc en son centre géographique sur la rive droite. Elles sont le décor principal du Ventre de Paris d'Émile Zola.

Historique

Jusqu'à la fin du XVIIe siècle

  • 1135. Louis VII ordonne le transfert du marché central de la place de Grève au centre de Paris, au lieu-dit Les Champeaux, à l’endroit d’anciens marécages situés alors extra muros, à l'emplacement actuel.
  • 1181-1183. Philippe-Auguste achète la foire Saint-Ladre ou Saint-Lazare située dans les faubourgs du nord de la ville, et dépendante de la léproserie située dans l'enclos Saint-Lazare, en 1183[1] ou 1181[2] et la transfère à l'emplacement même des futures Halles[3]. Deux bâtiments couverts sont élevés pour assainir le nouveau marché en 1183. Très intéressé par le développement de ce marché central, Philippe Auguste réglemente lui-même le commerce des denrées essentielles : viande, pain et vin. Quelques années plus tard, Philippe Auguste acquiert l'entière propriété des terrains en payant une redevance à l'évêché de Paris. Il s'agit d'un bazar immense où, sur des emplacements spéciaux, se vendent des denrées alimentaires, du textile, des chaussures, de la mercerie. Les marchands s'installent sous des abris particuliers, proches des maisons où se trouvaient les commerces fixes des fabricants. C'est ainsi que la rue de la Grande Friperie devient le lieu des commerces de fripes. Progressivement, d'autres marchands viennent s'installer autour de ceux qui avaient déjà leur emplacement. Compte tenu de l'augmentation des échanges, Philippe Auguste fait construire les premières halles pour les drapiers et tisserands, mais le marché continue de s'étendre, de telle sorte qu'à partir du XVIe siècle, on envisage sa réorganisation et l'élargissement des voies.
  • 1543. François Ier entreprend la reconstruction des Halles. Il s'y prend de manière à ce que Paris y gagne, et le Trésor aussi. Au terme d'un édit du 20 septembre, il ordonne « la vente aux enchères des places vides des halles » annonçant la renonciation des Domaines à la faculté de rachat ; en retour de quoi les acquéreurs avaient obligation d'exécuter, dans des délais fixés, la démolition de bâtisses existantes et la reconstruction de « maisons et manoirs commodes ». Jusqu'en 1572, on fait bâtir des maisons avec, généralement, au rez-de-chaussée, des portiques ou galeries couvertes connus sous le nom de « piliers des Halles », qui disparaissent lors de la construction des pavillons Baltard. Au centre de ces galeries à arcades se trouve le « carreau », marché du pain, du beurre, du fromage et des œufs.

XVIIIe siècle

  • 1789. Le cimetière des Innocents, situé à proximité, entre les rues Saint-Denis, de la Lingerie, de la Ferronnerie et aux Fers, est à son tour aménagé en marché aux fleurs, fruits et légumes. La Révolution française, puis le Premier Empire, modifient la conception urbaine de la ville. Le cœur de Paris souffre de problèmes d'hygiène et de sécurité et l'on commence à s'interroger sur l'approvisionnement de la capitale.

XIXe siècle

Vue d'oiseau des Halles centrales de Paris en 1863 conçues par Victor Baltard[4].
  • 1808. Napoléon Ier entreprend une réorganisation cohérente des marchés couverts et élabore une réglementation sur l'abattage des animaux. Il projette de faire construire une halle centrale entre le marché des Innocents et la Halle aux blés. Malgré tout, dès 1830, les problèmes de circulation et d'hygiène ressurgissent, ce qui incite le préfet Claude Berthelot de Rambuteau à créer, en 1842, la Commission des Halles, qui a pour mission d'étudier l'intérêt de garder les Halles à leur emplacement ou bien de les déplacer.
    Le concours d'architecture lancé en 1848 est remporté par Victor Baltard, qui près bien des tâtonnements et des hésitations, présente son projet définitif en 1854. Il projette d'édifier douze pavillons couverts de vitrage avec des parois en verre et des colonnettes en fonte. Ces pavillons sont regroupés en deux groupes séparé par une rue centrale à ciel ouvert située au niveau du chevet de l'église saint-Eustache (suivant le traçé de l'actuel Allée André-Breton), chacun des six pavillons des deux groupes étant réunis entre eux par des rues couverte. Dix pavillons sont construits entre 1852 et 1870. La construction des deux derniers s'achève en 1936[5].

XXe siècle

  • 1963. Le préfet de Paris propose la rénovation de la rive droite, de la Seine à la gare de l'Est. 670 hectares et 150 000 habitants sont concernés. Le projet est repoussé, mais le Conseil de Paris crée une Société d'études d'aménagement des Halles et secteurs limitrophes.
  • 1968. Les premiers projets d'aménagement sont repoussés par le Conseil de Paris. La surface de rénovation est réduite de 32 à 15 hectares, le reste fera l'objet d'une réhabilitation. Un aménagement souterrain est envisagé.
  • 1969. Transfert du marché vers Rungis et La Villette entre le 27 février et le 1er mars. Cette opération considéré à l'époque comme étant le « déménagement du siècle » concerna 20 000 personnes, 1 000 entreprises de gros, 10 000 m3 de matériel, 5 000 tonnes de marchandises et 1 500 camions[6]. Les 3 et 4 mars suivant, le marché de Rungis ouvrait officiellement ses portes.
    En attendant, le début des travaux de démolition qui interviendront deux ans plus tard, la mairie de Paris autorise l'organisation de manifestations culturelles dans les pavillons.
    Le président de la République, Georges Pompidou, décide de construire un centre culturel à Beaubourg.
  • 1971. Démolition des six premiers pavillons situés à l'est de la rue Baltard pour permettre la construction de la gare RER et du Forum.
  • 1973. Démolition des Pavillons Baltard de la viande, des îlots sud des Halles et des îlots Beaubourg. Pendant l'été, le film de Marco Ferreri, Touche pas à la femme blanche !, est tourné dans le « trou » des Halles. Celui-ci apparaît aussi dans Le Locataire de Roman Polanski.
    Deux de ces pavillons seront préservés :
    • Le no 8, qui abritait le marché aux œufs et à la volaille, sera démonté et reconstruit à Nogent-sur-Marne pour y abriter une salle de spectacle qui sera justement baptisée « Pavillon Baltard ».
    • Le deuxième qui est présent dans un parc de la ville de Yokohama au Japon, ne reprend que la partie haute de la structure originale en fonte.
    Les matériaux de construction de l'ensemble des pavillons ainsi démolis seront vendus au prix de la feraille.
  • 1974. Élu président de la République, Valéry Giscard d'Estaing décide l'abandon du centre de commerce international et la création d'un jardin à son emplacement.
  • 1975. Le projet choisi par les Parisiens est rejeté au profit dans un premier temps de celui de l'architecte espagnol Ricardo Bofill puis de Jean Willerval. Le centre commercial « le forum » est de l'architecte Claude Vasconi. Un concours est d'abord organisé pour l'aménagement de la partie Lescot directement au-dessus de la gare RER. L'équipe composée des architectes Georges Pencreac'h et Claude Vasconi l'emporte avec le projet du Forum des Halles, inauguré en 1979. Une deuxième consultation est par la suite organisée pour la partie aérienne, emportée par Ricardo Bofill , dont le projet avance jusqu'à l'édification du gros œuvre à R+2, avant que le maire de Paris (Jacques Chirac) décide de tout raser en imposant à la place l'architecte Jean Willerval et ses « parapluies », inaugurés en 1983. Ce sera un échec complet.
  • 1977. Inauguration de la station du RER le 7 décembre, et déplacement de la station Les Halles de la ligne 4 pour une meilleure correspondance.
  • 1979. Inauguration du forum de commerce et de loisirs le 4 septembre.
  • 1983. Construction de deux hôtels, de logements et de bureaux.
  • 1985. Ouverture de la deuxième partie du Forum souterrain (architecte : Paul Chemetov).

XXIe siècle

Panorama du quartier des Halles. Paris 2004.
  • 2004. Un concours d'architecture est lancé par la mairie pour une rénovation totale du quartier. Quatre équipes d'architectes sont sélectionnées : Jean Nouvel, MVRDV/Winy Maas, OMA/Rem Koolhaas et David Mangin. Le 15 décembre, le maire de Paris Bertrand Delanoë annonce le choix de la commission d'appel d'offres pour le réaménagement des Halles de Paris. C'est le projet de l'architecte et urbaniste français David Mangin qui remporte les suffrages, plus pour son parti pris que pour le projet en lui-même qui ne sera pas concrétisé tel quel. Son rôle est de coordonner la mise en œuvre du projet, dont il réalisera une partie. Les conditions qui ont amené à ce choix déclenchent une polémique importante chez nombre d'observateurs de l'urbanisme parisien. Un concours international sera organisé, afin de déterminer le projet définitif. Les premiers travaux devraient commencer en 2009.
Travaux de rénovation en février 2011
  • 2007. En juillet 2007, les architectes français Patrick Berger et Jacques Anziutti gagnent le projet du futur « carreau des Halles », qui devrait remplacer l’actuel Forum des Halles[7].
  • 2010 : en avril, début des travaux de réaménagement[8].

À partir du 17 mai 2011 fermerture d´une partie la rue des Halles à la circulation des voitures.

Du ventre au cœur

Ce « ventre de Paris », évoqué par Zola du temps des marchés de gros, est devenu le « cœur » de la capitale, avec une ville souterraine sur plusieurs niveaux. C'est à la fois :

  • la plus grande gare de la ville, Châtelet - Les Halles, avec trois lignes de RER, cinq de métro, 15 de bus et 13 de Noctiliens où passent en moyenne 800 000 voyageurs quotidiens ;
  • le plus fréquenté des centres commerciaux, le Forum, avec ses 41 millions de clients annuels, comprenant 23 salles de cinéma ;
  • la piscine la plus fréquentée ;
  • un jardin de plus de quatre hectares ;
  • de nombreux équipements publics ;
  • un réseau de voiries, essentiellement souterraines.

Malgré tout, certains reproches ont été formulés, notamment que le lieu manque de surface alimentaire et d'une bonne signalisation.

Ce site est desservi par la station Châtelet - Les Halles Metro-M.svg  (1) (4) (7) (11) (14), RER.svg (A)(B)(D)

Les différentes halles

La Halle au blé

En raison des encombrements du marché des Halles centrales, on édifie encore, de 1763 à 1767, la Halle au blé dont Nicolas Le Camus de Mézières en est l'architecte. Celle-ci est construite sur l'emplacement de l'hôtel de Soissons, dont on distingue encore aujourd'hui la colonne astronomique de Catherine de Médicis, possède une coupole en bois, construite en 1782, laquelle brûla en 1802. Cette coupole est remplacée par une nouvelle structure en fer, recouverte dans un premier temps de feuilles de plomb, puis de vitres qui, elle-même subit un nouvelle incendie en 1854. De nouveau rénové, cet l'édifice devint le siège de la Bourse de commerce.

La Halle aux cuirs

  • Fief des pelletiers et autres mégisseurs, leur installation dans le quartier du Jardin des Plantes (Ve arrondissement) n'est pas très ancienne, même si l'Institution, elle, est multi-séculaire. Saint Louis installe la première Halle dans le quartier des Innocents, rue de la Lingerie.
  • 1785. Celle-ci est transférée rue Mauconseil, sur l'emplacement de l'ancienne Comédie Italienne, où elle demeure jusqu'en 1866.
  • 1866. La nouvelle Halle aux cuirs est inaugurée le 18 mars. Construite sur des dépendances de l'ancien Hospice des Cent filles, elle occupe une superficie d'un hectare situé à l'emplacement de l'actuelle Faculté de Lettres Censier dépendant de l'Université Paris 3, et forme donc un quadrilatère borné par les rues Censier, de la Clef, de Santeuil et du Fer-à-Moulin. En plus des bureaux, le bâtiment est doté d'immenses magasins dont l'entrée principale se trouvait rue de Santeuil ; une cour de 1 350 m² formant le carreau de la Halle ; au-dessus sont installés deux étages de magasins ; au-dessous, d'immenses souterrains servent de caves pour y recevoir huiles, essences, vernis et tout corps gras indispensable à la mégisserie. Une ordonnance de police du 12 mars 1866 en fixe le fonctionnement et les heures d'ouverture, de fermeture et de vente[9].
  • 1906. Dans la nuit du 11 au 12 mai, elle subit un terrible incendie qui la détruit totalement. La halle au cuir ne sera pas reconstruit au même endroit, car le quartier où elle s'élevait s'était complètement transformé en quelques années par la construction de nouvelles habitations dont les occupants ne seraient pas accommodés des inconvénients de ces industries mégissières toutes proches. D'autant plus que la prison Sainte-Pélagie, situé dans le quartier, fut désaffectée et démolie en 1899. Tandis que la Bièvre, envahie jusqu'ici par les pestilences des abattoirs, des hôpitaux, des égouts, des industries pelletières (tannerie et teinturerie) fut désormais recouverte sur cette partie de son cours[9].

La Halle aux draps

Fief des maîtres drapiers et des maîtres tapissiers, elle se trouvait à l'emplacement des Gobelins dans le Ve arrondissement.

La Halle aux gibiers

Bâtie en 1810 par l'architecte Célestin-Joseph Happe, elle était située quai des Grands-Augustins.

La Halle aux herbes

Fief des herboristes et des maraîchers, elle est présente dans de nombreuses villes de France. Pour des raisons historiques, elle était à Paris située dans le Pavillon fruits et légumes des Halles centrales.

La Halle aux veaux

Bâtie en 1774 par Nicolas Lenoir, elle était située rue de Poissy.

La Halle aux vieux linges

Bâtie en 1811 par Jacques Molinos, elle était située rue du Temple.

La Halle aux vins

La Halle aux vins

Fief des marchands de vin, appelés familièrement « les pinardiers ». Elle se trouvait depuis 1666, quai Saint-Bernard, sur l'emplacement de l'actuel Campus de Jussieu (Faculté des sciences), toujours dans le Ve arrondissement de Paris, le long de la Seine d'où les chalands arrivaient. Construite de 1958 à 1972, la Faculté est inaugurée en 1970 (Paris VII) et en 1971 (Paris VI). Durant longtemps on l'appela familièrement « la faculté des Sciences de la Halle aux vins » et sa grande tour « la tour Zamanski », du nom du doyen de la faculté. Ces appellations non officielles sont passées de mode aujourd'hui. On trouve également, sur l'ancienne emprise de la halle aux vins, l'Institut du monde arabe inauguré en 1987.

Article détaillé : Halle aux vins de Paris.

Grenier de réserve

Bâtie en 1807 par Delanoy, il était situé boulevard Bourdon.

Notes et références

  1. Histoire de Saint-Lazare (1122-1912) (1e éd.) / Eugène Pottet 1912(p. 12)
  2. Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments par Félix Lazare,... et Louis Lazare,... 1844-1849 (p. 367/368)
  3. ? Fondation du marché des Champeaux par Louis VI en 1137, sur l'actuel site du Forum des Halles.
  4. Planche parue dans Victor Baltard et Félix Callet, Monographie des Halles centrales de Paris, construites sous le règne de Napoléon III et sous l'administration de M. le Baron Haussmann, sénateur, préfet du département de la Seine, A. Morel, Paris, 1863.
  5. Photographie
  6. « Le grand déménagement » sur rungisinternational.com
  7. Source : Libération 2 juillet 2007.
  8. http://www.parisleshalles.fr/sites/default/files/journal3.pdf
  9. a et b Article paru en 1906 sur l'incendie 11-12 mai

Bibliographie

  • La vie secrète des Halles de Paris, Philippe Mellot, 240 pages, éditions Omnibus, 2010

Article connexe

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Liens et documents externes


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