Guerre civile mexicaine

Guerre civile mexicaine

Révolution mexicaine

La révolution mexicaine dont le début est fixé officiellement au Mexique au 20 novembre 1910, jour de la Révolution, dura jusqu'au départ en exil de Díaz le 27 mai 1911. Elle est suivie par une guerre civile entre factions révolutionnaires et entre conservateurs et révolutionnaires.

Sommaire

Les prémices

La hausse des prix des biens de consommation courante et la forte diminution des salaires réels.

Les lois de colonisation et celles dite des terres incultes (à la suite des lois de Réforme promulguées par Benito Juárez et de la Constitution de 1857) confisquèrent les propriétés et les terres de l'Église qui furent vendues au profit de l'État mexicain aux spéculateurs et et grands propriétaires terriens mais qui ruinèrent les petits propriétaires et détruisirent en ne reconnaissant pas les propriétés collectives des villages, propriétés qui furent peu à peu absorbées par les grandes haciendas.

L'effondrement du cours de l'argent métal qui de 1 à 16, par rapport à l'or avant 1870 à 1 à 39 en 1904 ce qui fit perdre plus de la moitié du pouvoir d'achat aux salariés payés en pesos argent.

La crise économique qui affecta les États-Unis peu avant 1910.

Les frères Flores Magón, surtout Ricardo, ainsi que leur Parti libéral mexicain, figurent parmi les fondateurs du Partido Liberal Mexicano. Il créa le 7 août 1900 avec son frère à Mexico, le journal anti-porfiriste et porte-parole du PLM : Regeneración [1]. Se déclarant anarchiste, il était très clairement le précurseur le plus important de la révolution. Le 2 avril 1903, ont lieu à Puebla des manifestations de commémoration de la victoire sur les Français et les libéraux y participant sortent des pancartes reprenant le slogan de Porfirio Díaz à ses débuts : « Suffrage effectif - Pas de réélection ». Cela dégénère en manifestation contre le gouvernement [2]. En ce qui concerne le PLM, il publie son « manifeste-programme  » le 1er juillet 1906  :

1) dans les écoles primaires, le travail manuel devra être obligatoire

2) les maîtres de l'enseignement primaire devront être mieux payés

3) les ejidos et des terres en friches seront restituées aux paysans

4) fondation d'une banque agricole

5) les étrangers ne pourront acquérir des biens immobiliers, sauf s'ils acquièrent la nationalité mexicaine

6) la journée de travail sera de huit heures et le travail des jeunes enfants sera interdit

7) un salaire minimum devra être fixé, tant à la ville qu'à la campagne

8) le repos dominical sera considéré comme obligatoire

9) les magasins de vente (tiendas de raya) seront abolis sur tout le territoire

10) il devra être accordé des pensions de retraite et des indemnités pour les accidents de travail

11) une loi devra être édictée pour garantir les droits des travailleurs

12) la race indigène devra être protégée [3]

Une rupture très marquante entre la jeunesse de la population par rapport à l'âge élevé du personnel gouvernemental. La majorité des membres du gouvernement dépasse les 60 ans [4]. De plus, Díaz avait démilitarisé le pays, il ne restait que dix huit mille soldats avec des généraux de plus de 70 ans, pour dix millions d'habitants. Alors que les diplômés se multiplient, les débouchés sont de moins en moins présents. Les petits fonctionnaires mécontents vont alors chercher des espoirs dans la révolution [5].

Avant la révolution, plusieurs évènements ont également montré la volonté de changement. Notamment avec le général Bernardo Reyes qui était l’unique espérance des mécontents mais aussi des ambitieux qui cherchaient une place au gouvernement en 1908 [6]. Díaz lança contre lui les Cientificos et l’envoya en Europe pour une mission. La vice-présidence reviendra donc à Corral, déjà à ce poste depuis 1904 [7]. Un des évènements les plus connus fut l’affaire Creelman[8]. En 1908, il reçut l’autorisation de Díaz de l’interviewer et fut envoyé par le Pearson’s Magazine, mensuel américain. Dans cet interview, ce dernier prétendait envisager la naissance d’un parti d’opposition [9] et de ne pas se présenter pour les élections de 1910. Cette interview contribua à agiter les esprits et notamment celui d’un propriétaire foncier venant de l'état de Morelos, Emiliano Zapata. Les divers partis politiques sont : le parti rééléctioniste, le parti reyiste (partisan du général Reyes comme vice-président), le parti national porfiriste, tous en faveur de Díaz ; et le parti antiréélectioniste fondé par Francisco I. Madero, un seul parti oscillait entre le pouvoir et l'opposition le national démocratique [10]. En janvier 1907[11], les grèves dans l'industrie textile dans les États de Veracruz de Tlaxcala et de Puebla se terminent par les massacre de Rio Blanco, à Veracruz qui fit près de 200 morts. Dès 1908 des soulèvements eurent lieu, principalement dans les États de Sinaloa, Yucatán, Coahuila, état ou se souleva à Viesca le 24 juin 1908 avec Benito Ibarra, et Chihuahua qui fut le fait des frères Florés Magón, José Inés Salazar, Praxedis Guerrero, et Francisco Manrique. Ces révoltes en armes obéissaient directement au manifeste de Saint-Louis dans le Missouri et aux plans du parti Libéral[12].

La montée de Madero

En décembre 1908, un livre intitulé : La sucesión présidencial en 1910 paraît avec comme sous-titre : « El Partido Nacional Democratico ». L’auteur de ce livre est Francisco Indalecio Madero. L’idée centrale de ce livre est la non-réélection et le suffrage universel[13]. C'est l'affaire Creelman qui l'encouragea à publier son livre [14]. Le 22 mai 1909, il fonde le Parti Anti-réélectionniste à Mexico[15]. Le 15 avril, l’Assemblée nationale anti-réélectionniste se réunit et élit candidat à la présidence Madero et à la vice-présidence, Francisco Vásquez Gomez. Dix jours plus tard, leur programme sort avec le slogan « Pas de réélection, Suffrage universel » [16]. Il se lance alors dans une grande campagne contre Díaz. Malgré sa petite taille, sa voix suraiguë et ses tics nerveux, il récolta un réel succès[17]. Le gouvernement réprime cette campagne en l’accusant de monter l’opinion publique contre le président en place et l’arrête à Monterrey dans la soirée du 16 juin[18] 1910, quelques jours avant le vote[19]. Madero est détenu à San Luis Potosí. Le résultat des élections du 26 juin donne la victoire à Díaz[20] et Corral à la vice-présidence[21]. S’en suivirent des fêtes somptueuses pour fêter l’indépendance et le quatre-vingtième anniversaire du président[22]. Après 45 jours de détention, Madero est libéré sous caution et est assigné à une résidence surveillée[23]. Mais durant la nuit du 5 au 6 octobre, il s’enfuit à San Antonio, au Texas, où il rejoint ses partisans. Là-bas, il rédige le Plan de San Luis Potosí, daté pourtant du 5 octobre[24]. Dans ce Plan de San Luis Potosí, Madero proclame la nullité des élections, la non-réélection et sa présidence provisoire[25]. Ce plan devient vite le programme de la révolution. Il fixe la date de l’insurrection au 20 novembre. Dans son plan, Madero fait des promesses concernent la restitution des terres collectives appartenent aux villages du Morelos. Ce sont ces promesses, selon Silva Herzog, qui vont décider Zapata à s’engager dans la révolution[26].

Reproduction d'une photographie stéréoscopique prise en 1905 de la Calle San Francisco, Mexico

Début de la Révolution

Le 13 novembre, par crainte de révolte, les autorités mexicaines procédèrent à des vagues d’arrestations des madéristes à Mexico. Cinq jours plus tard, la police encerclait la maison d’Aquiles Serdán. Dans sa maison, se trouvait un important dépôt d’armes et de munitions afin de préparer la révolution. Après une vaine résistance de plusieurs heures, ses amis et lui sont tués[27]. Sa mort semble marquer l’arrêt de la révolution mais, à la date prévue, le 20 novembre, Pascual Orozco prend les armes avec un groupe de mineurs tandis que Pancho Villa, un ancien voleur de bétail et chef de bandits[28], se joint à Madero (contre la promesse de l'oubli de ses fautes et un grade de colonel) près de la ville de Chihuahua[29]. Madero, désespéré, apprit cette nouvelle alors qu’il s’apprêtait à partir pour l’Europe[30]. La révolte reste néanmoins sporadique[31]. En février 1911, Madero rentre au Mexique et le mois suivant, Emiliano Zapata se soulève pour soutenir les promesses agraires de Madero[32]. Le 8 mai, les chefs militaires madéristes, dont Orozco et Villa, concentrent leurs troupes et marchent sur Ciudad Juárez[33]. Le 10 mai, après trois jours de combat, Ciudad Juárez tombe aux mains des madéristes[34]. C’est une victoire purement symbolique car cette ville n’est qu’une petite bourgade au Nord, non loin de la frontière et des milliers de kilomètres de la capitale[35]. C’est avant tout une défaite morale[36]. Selon Jean Meyer, la décision de Díaz était déjà prise. En effet, selon lui, Díaz avait peur de l’intervention des États-Unis qui avait apporté leur soutien à Madero[37]. Le 21 mai, un accord est signé entre les madéristes et les fédéraux dans l’Hôtel des Douanes de Ciudad Juárez. Cet accord met fin aux combats, prévoit la démission de Porfirio Díaz et la constitution d’un gouvernement provisoire. Quatre jours plus tard, Porfirio Díaz et Corral démissionnent et le 27 mai, Díaz embarque à bord de l’Ipiranga de Vera Cruz pour partir en exil vers Paris[38]. Díaz voulait en quittant le pays lui eviter une guerre civile. Entre-temps, un cabinet provisoire est formé et Francisco León de la Barra est président provisoire, du 26 mai au 6 novembre, afin de convoquer des élections[39]. Après une marche triomphale, Madero arrive le 7 juin à Mexico[40]. L’ambassadeur américain Harry Lane Wilson, ayant joué un grand rôle dans la chute de Díaz, écrivait à son arrivée « La révolution n’est pas terminée, Madero tombera bientôt. » [41]. Le 9 juillet, il décide de dissoudre le Parti Anti-Réélectionniste et de créer le Parti Constitutionnel Progressiste. Au moins, l’assemblée de ce parti décide de désigner Madero comme candidat à la présidence et Pino Suárez à la vice-présidence, en remplaçant Francisco Vásquez Gomez[42]. En attendant les éléctions, un gouvernement provisoire est dirigé par Francisco León de la Barra, ancien gouverneur de l'État de Mexico.

La présidence éphémère de Madero

Le 6 novembre[43], il est élu avec 90% des voix, tandis que Pino Suárez récolta les deux tiers des voix, le reste allant à de la Barra, le candidat du parti Catholique[44]. Fin novembre, Zapata deçu par la lenteur du gouvernement madériste à rendre les terres communales accaparées par les propriétaires terriens aux villageois se soulève en proposant son Plan de Ayala. Madero envoie le général Victoriano Huerta dans l'État de Morelos réprimer les partisans de Zapata. En décembre, le général Reyes se révolte ainsi qu’Orozco en janvier 1912[45]. La présidence de Madero tourne court pour plusieurs raisons. La classe moyenne au pouvoir était presque ignorante au point de vue politique tandis que les porfiristes essayaient de les contrôler. On a également reproché à Madero d’avoir été trop modéré par rapport aux porfiristes[46].

La décade tragique

Après une présidence de 16 mois, Madero est confronté au général Victoriano Huerta. Ce dernier complote avec Henry Lane Wilson afin dre renverser Madero. La fin de Madero s’étend sur ce qu’on appelle la decena trágica. Un coup d’état est déclenché le 9 février par un groupe de militaires[47]. Le 18 février, le président est arrêté dans le palais présidentiel. Dans la nuit du 22 février, il est assassiné par balle avec son vice-président[14]. Selon la version officielle, ils ont été tués lors d’une tentative d’évasion[48].

L'opposition de Venustiano Carranza

Pour diminuer les affrontements sanglants Venustiano Carranza, partisan de l'application stricte de la Constitution libérale de 1857 et ex-sénateur porfiriste de l'état septentrional de Coahuila forma l'exécutif constitutionnel Ejército Constitucionalista dont les premiers decret datent d'avril 1913 : - Décret no 1 du 20 avril : Reconnait les grades de tous ceux ayant combattu dans les armées madéristes, ainsi que ceux des militaires de l'armée fédérale sauf ceux qui ont participé au soulèvement de Felix Díaz à Veracruz en octobre 1912 ni au coup d'État de février 1913. - Décret no 2 du 24 avril : Désavoue toutes les dispositions et actes qui auraient émané ou qui émaneraient du gouvernement de Victoriano Huerta, de même que des gouvernements locaux. - Décret no 3 du 26 avril : Autorise l'émission de 5 millions de pesos en papier monnaie ayant cours légal et de circulation forcée. - Décret no 4 du 15 mai : Ressuscite la terriclova, reconnait aux propriétaires tant mexicains qu'étrangers le droit de réclamer, après victoire des révolutionnaires, des indemnités correspondant aux dommages occasionnés pendant la révolution madériste ainsi que de la lutte qui commençait. - Décret no 5 du 14 mai : Ressuscite la loi Juárez du 25 janvier 1862 contre les traîtres à la patrie, dans le but de l'appliquer aux auteurs du coup d'État de la Ciudadela. Cette loi ne prévoyait que deux peines 8 ans de prison ou la mort. - Décret no 6 du 4 juillet : Organise l'armée constitutionaliste en sept corps avec chacun leur nom et leur zone d'opérations. Après le plan d'Agua Prieta du 23 avril 1920, Carranza, afin de pacifier le pays, adopta la plus grande partie des demandes sociales exigées par certains des révolutionnaires dans une nouvelle constitution de nature progressiste. Il a réussi à mettre en forme les textes, mais son désir de pacifier le pays fut plus fort que son habileté à résoudre les problèmes qui étaient à l'origine de la violence, aussi un par un les chefs de factions furent assassinés. Zapata sur ordre de Carranza en 1919 et Francisco Villa sur ordre d'Obregón en 1923.

La prise de pouvoir d'Obregón

Le gouvernement de Carranza dura peu. Le général Álvaro Obregón, qui était son ministre de la guerre et la marine, se souleva pour présenter sa candidature officielle dans les élections fédérales suivante. Carranza fut tué le 21 mai 1920 alors qu'il prenait le chemin de Veracruz pour y établir son gouvernement. Obregón assuma le pouvoir et démontra non seulement qu'il était un militaire habile, mais qu'il savait terminer de pacifier militairement la majeure partie du pays, sinon un politicien adroit qui fut le mandataire des multiples syndicats et centrales ouvrières. Obregón voulait se faire réélire, contrairement à la Constitution de 1917 et il fut assassiné en 1928 par un extrémiste catholique. Il eut pour successeur le général Plutarco Elías Calles, dont l'application à la lettre de la Constitution de 1917 et la promulgation de lois en découlant sur la laïcité de la sociétét provoquèrent la Guerra Cristera et fonda en mars 1929 le PNR qui deviendra plus tard le Partido Revolucionario Institucional (PRI), qui se maintiendrait à la présidence de la république pour plus de 70 ans.

Notes et références

  1. Le journal se déplaça dans beaucoup de villes jusqu’en 1904 où il installa ses bureaux à Los Angeles jusqu’au moment où les autorités américaines le suppriment. Encyclopedia of Mexico, éd. WERNER S. Michael, Dearborn, Chicago, 1997, p. 492-493.
  2. NUNES A., Les révolutions du Mexique, Flammarion, Paris, 1975, p. 60.
  3. pour le manifeste-programme entier (de 1 à 12) voir Jesus Silva Herzog - La révolution mexicaine - page 54 - FM/petite collection Maspero - Paris (France) -1977 ISBN 2-7071-0191-5
  4. MEYER J., La révolution mexicaine, Calmann-Lévy, Paris, 1973, p. 15 & 33.
  5. Ibidem, p. 16.
  6. Ibidem, p. 28.
  7. Ibidem, p. 29-30.
  8. James Creelman est un journaliste américain né le 12 novembre 1859 à Montréal et décédé à Berlin le 12 février 1915.Dictionary of American biography, éd. MALONE D., Vol. 4, Londres, 1936, p. 533
  9. HUMBERT M., Le Mexique, Que sais-je, PUF, Paris, 1976, p. 106.
  10. Historia sinóptica de México,page 109 Luis Pazos, Editorial Diana 1994- Mexico - ISBN 968-13-2560-5
  11. NUNES A., op. cit., p. 57
  12. SILVA HERZOG Jesús, La révolution mexicaine, trad. de l'espagnol par THIERCELIN Raquel, Paris, Maspero, 1977, p. 85 et suivantes.
  13. NUNES A., op. cit., p. 69.
  14. a  et b Encyclopedia of Mexico, p. 765-767.
  15. NUNES A., op. cit., p. 70.
  16. Ibidem
  17. PLANA M., op. cit., 1993, p. 25 & 27.
  18. Selon Americo Nunes, il aurait été arrêté le 7 juin pour incitation à la rébellion. NUNES A., op. cit., p. 71.
  19. PLANA M., op. cit., p. 26.
  20. Ibidem, p. 26.
  21. Encyclopedia of Mexico, éd. WERNER S. Michael, Dearborn, Chicago, 1997, p. 765-767.
  22. HUMBERT M., Le Mexique, Que sais-je, PUF, Paris, 1976, p. 107.
  23. NUNES A., op. cit., p. 71.
  24. Ibidem
  25. MEYER J., op. cit., p. 37
  26. NUNES A., op. cit., p. 71.
  27. Ibidem, p. 73.
  28. HUMBERT M., op. cit., p. 109.
  29. NUNES A., op. cit., p. 73.
  30. PARKES H. B., Histoire du Mexique, trad. SOUSTELLE J., Paris, 1939, p. 329.
  31. PLANA M., Pancho Villa et la révolution mexicaine, trad. de GAUDENZI B., Casterman, s.l., 1993, p. 27.
  32. JAUFFRET E., Révolution et sacrifice au Mexique, Les éditions du Cerf, Paris, 1986, p. 13.
  33. NUNES A., op. cit., p. 73.
  34. JAUFFRET E., op. cit., p. 13.
  35. MEYER J., La révolution mexicaine, Calmann-Lévy, Paris, 1973, p. 39
  36. NUNES A., op. cit., p. 73.
  37. MEYER J., op. cit., p. 38-39
  38. NUNES A., op. cit., p. 73.
  39. MEYER J., op. cit., p. 309.
  40. JAUFFRET E., op. cit., p. 13.
  41. MEYER J., op. cit., p. 40.
  42. NUNES A., op. cit., p. 74.
  43. Ibidem, p. 74.
  44. MEYER J., op. cit., p. 41.
  45. Encyclopedia of Mexico, p. 765-767
  46. MEYER J., op. cit., p. 40.
  47. PLANA M., op. cit., p. 30.
  48. PLANA M., op. cit., p. 31.

Bibliographie

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  • CHEVALIER F., "Un facteur décisif de la révolution agraire au Mexique : le soulèvement de Zapata, 1911-1919", dans Annales : * Économies, sociétés, civilisations, vol. 16, no 1, Paris, 1961, p. 66-82.
  • Dictionary of American biography, éd. MALONE D., Vol. 4, Londres, 1936.
  • Encyclopedia of Mexico, éd. WERNER S. Michael, Dearborn, Chicago, 1997.
  • HUMBERT M., Le Mexique, Que sais-je, PUF, Paris, 1976.
  • JAUFFRET E., Révolution et sacrifice au Mexique, Les éditions du Cerf, Paris, 1986.
  • MEYER J., La révolution mexicaine, Calmann-Lévy, Paris, 1973.
  • MUSSET A., Le Mexique, Que sais-je, PUF, Paris, 2004.
  • NUNES A., Les révolutions du Mexique, Flammarion, Paris, 1975.
  • PARKES H. B., Histoire du Mexique, trad. SOUSTELLE J., Paris, 1939.
  • PLANA M., Pancho Villa et la révolution mexicaine, trad. de GAUDENZI B., Casterman, s.l., 1993.
  • SILVA H. J., La révolution mexicaine, trad. THIERCELIN R., Maspero, Paris, 1977.
  • WOMACK J., Emiliano Zapata et la révolution mexicaine, trad. ILLOUZ F., Paris, 1976.
  • ZAVALA S., Aperçus sur l’histoire du Mexique, Société des langues néo-latines, Paris, 1963.

Voir aussi

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