- Championnats du monde de cyclisme sur piste féminin
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Championnats du monde de cyclisme sur piste
Championnats du monde de cyclisme sur piste Création 1893 Organisateur(s) International Cycling Association
de 1893 à 1899
Union cycliste internationale
depuis 1900Catégorie Open Périodicité Annuel Site Web officiel http://www.uci.ch/ Pour la dernière compétition, voir :
Championnats du monde de cyclisme sur piste 2009modifier Article principal : Championnat du monde de cyclisme.Les Championnats du monde de cyclisme sur piste se tiennent tous les ans depuis 1893 à l'exception des périodes de guerre mondiale. Ils proposent aux pistards de s'affronter pour le titre mondial dans différentes épreuves. Au début de XXIe siècle, neuf disciplines pour les hommes et six pour les femmes sont proposées.
La première édition des championnats du monde amateurs de cyclisme sur piste a eu lieu à Chicago en 1893 avec trois épreuves seulement : l’Américain Arthur A. Zimmermann remporte le sprint et l'épreuve des 10 kilomètres et le Sud-Africain Lawrence Meintjes remporte le 100 kilomètres de demi-fond derrière derny. Les épreuves féminines ont débuté en 1958 avec deux épreuves, la vitesse et la poursuite, sous le statut amateur. En 1992, les épreuves professionnelles et amateurs masculines ont été réunifiées et intitulées open.
Depuis 1893, les épreuves masculines ont compté quinze disciplines différentes et les épreuves féminines sixe disciplines. Mais certaines épreuves masculines ont été retirées :
- Trois épreuves ont été réunifiées à partir de 1992 : vitesse, poursuite et demi-fond amateurs.
- Deux épreuves ont été supprimées à partir de 1995 : tandem, demi-fond.
D'autres épreuves ont été ajoutées au début du XXIe siècle : le keirin, la course aux points et la vitesse par équipe ou olympique.
Sommaire
Histoire des championnats
Avant-guerre, la domination européenne
La première compétition étant reconnue comme championnats du monde s'est déroulée en 1893 à Chicago lors de l'exposition universelle[1]. L'officialisation de son palmarès découle de la création, en 1892, de la première organisation mondiale de cyclisme nommée International Cycling Association. Ces championnats se sont disputés entre coureurs amateurs sur trois épreuves : le demi-fond, la vitesse, et les 10 kilomètres[note 1] ; sur deux jours, les 11 et 12 août 1893. Les concurrents sont en majorité issu du continent américain, et plus précisément des États-Unis, et c'est ainsi que sur neuf médailles distribuées, sept ont été remportées par ces derniers. Le premier champion du monde, est un américain : Arthur Zimmerman, il réalise un doublé vitesse[2] et 10 kilomètres[3], et finalement, un sud-africain, Lawrence Meintjes remporte la course de 100 kilomètres demi-fond derrière derny[4]. Il est à noter que le nombre de concurrents est assez restreint, avec seulement neuf coureurs recensés pour la course des 10 km, six pour la vitesse et une douzaine de coureurs pour le demi-fond[1].
Les éditions des cinq années suivantes se sont déroulés en Europe, elles sont l'occasion pour les coureurs de ce continent de truster les places d'honneur[5]. Les championnats du monde de 1894 à Anvers sont les derniers ouverts aux seuls coureurs amateurs. Ils sont également la dernière apparition de l'épreuve des 10 kilomètres dans des championnats[3]. L'année suivante, à Cologne, quatre titres sont décernés, deux pour les amateurs, et deux pour les professionnels. Il s'agit des épreuves de vitesse et de demi-fond, il en est de même jusqu'en 1898 à Vienne. Ainsi, tous les titres ont été remportés par des Européens à l'exception du championnat de vitesse de 1898 remporté par un Américain A. Banker George[6]. Le bilan de cinq années de championnat en Europe est favorables aux coureurs anglais avec cinq titres sur dix-huit, trois titres pour des coureurs allemands et hollandais, deux pour des français et le premier titre pour un coureur norvégien, belge, irlandais et danois. Le premier titre professionnel de demi-fond[7] est attribué à Jimmy Michael et le premier titre professionnel de vitesse[6] à Robert Protin.
L'édition 1899 s'est déroulée au Canada, à Montréal. L'occasion a été prise par les coureurs nord-américains pour refaire apparition dans les meilleures places. Ainsi, sur quatre titres, deux sont remportés par des États-Unien[5] et deux par des Anglais. De plus, sur les douze médailles distribuées, six ont été remportées par des États-Unien et deux par des Canadiens, le reste étant réparti entre les Anglais, Français et Canadien.
Douze nouvelles éditions se sont déroulées sur le continent européen, de 1900 à Paris jusqu'en 1911 à Rome. C'est ainsi que les coureurs européens ont repris leur mainmise sur les titres mondiaux, il s'agit en particulier des coureurs Français ayant raflé trois titres sur quatre à Paris en 1900 et en 1907[5]. La tendance a exceptionnellement été inversée lors des championnats de Londres en 1904 avec trois victoires États-Unienne. Les titres de ces championnats ont été répartis entre les Français avec treize titres, les Anglais avec neuf titres, les Danois, cinq titres, les Allemands et les États-Uniens avec quatre titres, puis deux pour les Suisses et finalement un titre pour la Belgique, les Pays-Bas et l'Italie.
L'année suivante, en 1912, Newark aux États-Unis accueil la nouvelle édition pour la distribution de trois titres. Exceptionnellement, l'épreuve de demi-fond amateur n'est pas courue est c'est ainsi que les trois titres décernés sont gagnés par des Américains. De plus, ils réalisent un triplé sur les épreuves de vitesse amateur[2] et de demi-fond professionnel[7]. Les deux dernière médailles sont remportés sur la vitesse professionnelle par un Australien et un Français. Les deux dernières éditions avant-guerre eurent lieu à Leipzig en Allemagne puis Copenhague au Danemark. La première a offert deux titres à la Grande-Bretagne, un à la France, et à l'Allemagne. L'année suivante, en 1914 à Copenhague n'a permis de décerner qu'un seul titre celui du demi-fond amateur remporté par le Hollandais Cor Blekemolen[4]. Il fut par l'occasion, et jusqu'en 1957, le dernier champion du monde amateur de demi-fond. Cette épreuve n'étant pas reconduite.
La Première Guerre mondiale est la cause de cinq années d'années d'interruption.
Le retour des championnats eurent lieu à Anvers en Belgique, en 1920. Après l'arrêt du demi-fond amateur, seul trois épreuves sont au programme[5] et il en sera de même jusqu'en 1939. Ces vingts éditions se sont toutes déroulés en Europe permettant aux coureurs du continent de conserver leur supériorité sur la discipline. Quatre nations ont dominé la cyclisme sur piste. Il s'agit des Pays-Pas et de la France avec quatorze titres, de la Belgique avec onze titres puis de l'Allemagne avec neuf victoires. Il est à noter les quatre titres consécutifs en vitesse professionnel du français Lucien Michard puis les six victoires consécutives dans la même discipline de Jef Scherens, un belge[6]. Mais la dernière édition à Milan en Italie est interrompu à cause de la déclaration de guerre, la finale de la vitesse individuelle n'a pas été courue, malgré la troisième place de l'Allemand Albert Richter, et le demi-fond non plus.
Une nouvelle fois, la Seconde Guerre mondiale marque une pause dans l'histoire du cyclisme sur piste. Mais cette interruption permet un renouvellement des championnats avec de nouvelles disciplines. Le bilan de ces premières années de championnats montrent nettement une domination des nations européenne dans le cyclisme mondiale. Les pays comme l'Allemagne, la Belgique, la France, la Grande-Bretagne et les Pays-Bas ont été les acteurs principaux de ces compétitions.
Après-guerre, le renouveau des championnats
Les championnats du monde refont leur apparition à Zurich en 1946 dans le pays de l'Union cycliste internationale, la Suisse. Deux nouvelles épreuves ont été présentées dans cette édition. Il s'agit de la poursuite individuel qui est proposé aux coureurs professionnels sur une distance de 5 000 mètres et aux amateurs sur 4 000 mètres[5]. Les douze éditions entre 1946 et les championnats de 1957 à Rocourt en Belgique sont courus, comme souvent, le continent européen. Ils sont par ailleurs les derniers championnats ouverts uniquement aux hommes.
Les premiers champions du monde de poursuite sont le Hollandais Gerrit Peters[8] pour la course professionnelle et le Français Roger Rioland[9] pour la course amateur. Cette période est également l'occasion pour le cyclisme sur piste italien de s'imposer sur la scène mondiale[5]. Avec 24 titres en douze éditions ces derniers devance de loin les Anglais et les Français dont le nombre de titre est de huit puis les Hollandais et les Belges avec respectivement six et cinq titres. Les Européens restent leader sur le plan mondial, mais une nation émerge, c'est l'Australie avec Sydney Patterson quatre fois champion du monde. Ses titres sont répartis sur la vitesse amateur en 1949, la poursuite amateur en 1950 et deux en poursuite professionnel en 1952 et 1953. Graham French apporte également un titre pour son pays en 1956 dans le demi-fond[7]. Le Danemark avec trois titres, la Suisse avec deux et l'Espagne avec un titre complètent les nations championnes dans cette période.
Il a fallut attendre l'année 1958 pour voir les premières féminines sur les championnats du monde[10]. La compétition se déroule à Paris et propose huit disciplines : la vitesse et la poursuite pour les professionnels, les amateurs et les féminines, et le demi-fond pour les professionnels et amateurs[note 2] messieurs. Les premières féminines de l'histoire à être championne du monde sont les Soviets Galina Ermolaeva en vitesse et Ludmila Kotchetova en poursuite. Ces neufs épreuves seront présentes comme tel jusqu'au championnat de Zurich en 1961.
L'année suivante, à Milan, apparait l'épreuve de poursuite par équipes ouverte au coureurs amateurs[10]. L'Allemagne de l'Ouest est la première équipe victorieuse de cette épreuve par équipe[11]. Le podium est complété par le Danemark et l'Union Soviétique. Toutes ces épreuves ont lieu jusqu'au championnat de Saint-Sébastien en Espagne. La Belgique et l'Union Soviétique sont les nations émergentes de cette période, la première en remportant huit titres et la deuxième, à égalité avec l'Italie, en remportant sept titres. À l'inverse, l'Angleterre et la France, ne sont plus en état de force, ils ne remportent respectivement que deux et un titres.
En 1966, à Francfort est couru pour la première fois la vitesse amateur en tandem mais également l'épreuve du kilomètre amateur. Il en est de même l'année suivante à Amsterdam. Exceptionnellement, en 1968, les championnats amateurs et professionnels ne sont plus disputés en même temps. Les premiers ont lieu à Montevideo, au Brésil. Les prix décernés sont ceux de la vitesse, de la vitesse en tandem, du kilomètre, et de la poursuite individuelle et en équipe. Quant aux championnats professionnels, ils ont lieu à Rome avec les épreuves de vitesse et de poursuite pour les hommes et les femmes, mais également le demi-fond professionnel et amateur. Cette caractéristique de la division des championnats est renouvelée l'année suivante, mais la plupart des épreuves sont organisées à Brno en République tchèque. Seul la vitesse et la poursuite individuelle professionnelles ont lieu à Anvers en Belgique. C'est la raison pour laquelle elles sont remportées par deux coureurs locaux.
L'organisation des championnats a retrouvé une structure classique à Leicester en 1970, à Varèse en 1971 puis à Saint-Sébastien en 1973. Les onze épreuves ont eu lieu dans la même période. La quasi totalité de ces titres ont encore été gagnés par des Européens, à l'exception de la poursuite amateur de 1971 où Martin Rodriguez offre un premier titre mondial à son pays, la Colombie[9] et de la vitesse féminine de 1973 remporté par une Américaine Sheila Young. L'année 1972 est une année olympique, or à cette époque, seul les coureurs amateurs sont autorisés à courir. Pour cette raison, seule les épreuves professionnelles sont organisés lors des championnats de Marseille. Les deux titres féminins sont remportés par des coureurs Soviets, deux sont décernés à des Belges, et l'Allemagne et la Grande-Bretagne se partagent un titre chacun.
Après plus de cinquante organisations consécutives sur le continent européen, les championnats s'exportent exceptionnellement au Canada à Montréal[5]. Mais contrairement aux derniers exports, les coureurs Américains ne raflent pas les titres, ils doivent se contenter d'une médaille de bronze en vitesse féminine. Le palmarès offre trois titres aux Allemands de l'ouest, deux titres aux Tchèques, aux Soviets et aux Hollandais et un aux Danois et aux Suisses. Mais cet export hors Europe n'est pas renouvelé l'année suivante, puisque l'édition 1975 à lieu en Belgique à Rocourt. L'année olympique 1976 marque la même dissociation Jeux olympiques pour les amateurs et championnat du monde pour les professionnels. Ces derniers ont lieu à Monteroni en Italie. Sur les sept titres décernés, deux sont Hollandais. L'Australie, les États-Unis, la Pologne, l'Italie et l'Allemagne remportent un titre.
En 1977, San Cristóbal, au Venezuela, accueil pour la première fois les meilleurs coureurs de monde. Douze épreuves sont proposées avec la course aux points qui fait sa première apparition[12]. La victoire dans cette épreuve reviens au Belge Stan Tourné, mais c'est une nouvelle nation qui émerge, le Japon. Ses représentants effectuent un doublé sur l'épreuve professionnelle de vitesse avec Koichi Nakano et Yoshikazu Sugata respectivement premier et second. Les mêmes épreuves sont proposées à Munich et à Amsterdam avant qu'une nouvelle année olympique ne tronque la compétition organisée en France, à Besançon. Deux nouvelles épreuves sont malgré tout proposées : le keirin et la course aux points professionnelle remportée respectivement par l'Australien Danny Clark[13] et le Belge Stan Tourné[14]. Ces quatorze épreuves sont dorénavant disputer lors des championnats de Brno en 1981 jusqu'à Zurich en 1983 puis de Bassano del Grappa 1985 en Italie jusqu'à Vienne en 1987. 1984 et 1888 étant de nouvelles années olympiques, les championnats de Barcelone et de Gand ne présentent en amateur que le demi-fond et la vitesse en tandem mais toutes les courses professionnelles.
Les championnats du monde de Lyon en 1989 sont l'occasion d'inclure de décerné un nouveau titre : la course aux points féminine. La Britannique Sally Hodge devient la première championne de la discipline. L'édition suivante a lieu sur le continent asiatique, à Maebashi au Japon. Ce championnat, ainsi que le suivant à Stuttgart proposent pour la dernière fois quinze épreuves distinguant les coureurs professionnels et amateurs. Le championnat de 1992 à Valence se déroulent sans les épreuves olympiques mais conservent pour la toute dernière fois le demi-fond et la vitesse en tandem amateur.
En effet, l'Union cycliste internationale a décidé de réunir les deux fédérations que sont la FIAC[note 3] et la FICP[note 4] au sein de son organisation[15]. Les noms de professionnel et amateur ne sont donc plus utilisés pour distinguer les titres, mais le terme open est introduit, il signifie que la compétition professionnelle est ouverte aux coureurs amateurs.
L'ère open
Il a été décidé de supprimer la distinction entre coureurs amateurs et coureurs professionnels pour aboutir à une seule compétition dite open. Des compétitions séparées pour les jeunes de moins de 25 ans furent créées simultanément. Cette nouvelle organisation semblait plus adaptée aux conditions économiques de vie des coureurs amateurs qui étaient fréquemment de faux amateurs, notamment dans les pays de l'est européen.
Les premiers championnats de l'ère open, en 1993, ont lieu à Hamar en Norvège. Onze disciplines sont proposées[10], il s'agit de la vitesse homme, femme et tandem ; du kilomètre homme ; du keirin ; de la course aux points homme et femme ; de la poursuite individuelle homme et femme ; de la poursuite par équipe et du demi-fond. Mais ce format ne dur que deux ans et subit quelques modifications après les championnats de Palerme. Le tandem étant jugé trop dangereux est remplacé par la vitesse par équipes et le demi-fond par la course à l'américaine puis le 500 mètres féminin est également introduit. Cela porte à douze le nombre de compétitions organisées lors du championnat du monde 1995. Un format qui est conservé sept ans jusqu'aux championnats d'Anvers en 2001 car dès les championnats de Ballerup en 2002 trois autres disciplines sont incluses : la keirin féminin et les courses scratch homme et femme. Mais d'autres épreuves viennent se greffer aux championnats en 2007, il s'agit de l'Omnium puis l'Omnium féminin aux championnats de Pruszkow en 2009.
Localisation des championnats
Les résultats
Les championnats du monde de cyclisme sur piste Type Discipline Type Discipline Épreuves masculines Keirin Épreuves féminines Keirin Kilomètre 500 mètres Vitesse individuelle Vitesse Vitesse par équipes[note 5] Vitesse par équipes Tandem Poursuite Poursuite individuelle Poursuite par équipes Poursuite par équipes Course aux points Américaine Course scratch Demi-fond Omnium Course aux points Course scratch Omnium Les compétitions de vitesse, de poursuite et de demi-fond possédaient deux classement « amateur » et « professionnel » distincts avant 1993. Depuis elles ont été réunifiées sous l'appellation « open ». Cette même année, la course aux points a été intégrée sous le même terme.
Les compétitions de vitesse en tandem et de demi-fond ne sont plus organisées depuis 1995. Les causes sont que les épreuves de tandem ont été jugées dangereuses et celles de demi-fond derrière derny qui sont difficiles à organiser, ont de plus été considérées comme désuètes, présentant de moins en moins d'intérêt pour un public toujours impatient du fait de leur longueur, et par ailleurs comptant très peu de pays pratiquants. Elles ont été remplacées par des disciplines plus rapides : le keirin, la course aux points et la vitesse par équipes.
Notes et références
- Notes
- ↑ L'épreuve de 10 kilomètres de l'époque est équivalente au scratch d'aujourd'hui.
- ↑ Disputé dans un temps de une heure
- ↑ FIAC signifie Fédération internationale amateur de cyclisme
- ↑ FICP signifie Fédération internationale de cyclisme professionnel
- ↑ La vitesse par équipes est également appelée la vitesse « olympique ».
- Références
- ↑ a et b Mémoire du cyclisme, « Les premiers championnats du monde de cyclisme en 1893 » sur http://www.memoire-du-cyclisme.net/. Consulté le 1er septembre 2009
- ↑ a et b Mémoire du cyclisme, « Championnats du monde de vitesse (amateurs) » sur http://www.memoire-du-cyclisme.net/. Consulté le 1er septembre 2009
- ↑ a et b Mémoire du cyclisme, « Championnats du monde de vitesse sur 10 km » sur http://www.memoire-du-cyclisme.net/. Consulté le 1er septembre 2009
- ↑ a et b Mémoire du cyclisme, « Championnats du monde de demi-fond (amateurs) » sur http://www.memoire-du-cyclisme.net/. Consulté le 1er septembre 2009
- ↑ a , b , c , d , e , f et g (en) Bike Cult, « World Championship Track Cycling 1957 to 1893 » sur http://www.bikecult.com/. Mis en ligne le 29 mars 2009, consulté le 2 septembre 2009
- ↑ a , b et c Mémoire du cyclisme, « Championnats du monde de vitesse (professionnel) » sur http://www.memoire-du-cyclisme.net/. Consulté le 2 septembre 2009
- ↑ a , b et c Mémoire du cyclisme, « Championnats du monde de demi-fond (professionel) » sur http://www.memoire-du-cyclisme.net/. Consulté le 1er septembre 2009
- ↑ Mémoire du cyclisme, « Championnats du monde de poursuite des professionnels » sur http://www.memoire-du-cyclisme.net/. Consulté le 3 septembre 2009
- ↑ a et b Mémoire du cyclisme, « Championnats du monde de poursuite des amateurs » sur http://www.memoire-du-cyclisme.net/. Consulté le 3 septembre 2009
- ↑ a , b et c (en) Bike Cult, « World Championship Track Cycling 2009 to 1958 » sur http://www.bikecult.com/. Mis en ligne le 29 mars 2009, consulté le 3 septembre 2009
- ↑ Mémoire du cyclisme, « Championnats du monde de poursuite par équipes » sur http://www.memoire-du-cyclisme.net/. Consulté le 3 septembre 2009
- ↑ Mémoire du cyclisme, « Championnats du monde de course aux points amateurs » sur http://www.memoire-du-cyclisme.net/. Consulté le 3 septembre 2009
- ↑ Mémoire du cyclisme, « Championnats du monde de keirin » sur http://www.memoire-du-cyclisme.net/. Consulté le 3 septembre 2009
- ↑ Mémoire du cyclisme, « Championnats du monde de course aux points professionnel » sur http://www.memoire-du-cyclisme.net/. Consulté le 3 septembre 2009
- ↑ Union cycliste internationale, « Histoire » sur http://www.uci.ch/. Consulté le 3 septembre 2009
Annexes
Articles connexes
Liens externes
- (en) (fr) Union cycliste internationale, « Union cycliste internationale ». Mis en ligne le 1997, consulté le 29 août 2009
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