Francis Marroux

Francis Marroux
Francis Marroux
Naissance 1915
Montboucher-sur-Jabron, Drôme
Décès 27 décembre 1987 (à 72 ans)
Montélimar, Drôme
Allégeance Drapeau de France France
Arme Gendarmerie nationale
Grade Officier honoraire
Années de service - 1969
Hommages Chevalier de la Légion d'honneur
Médaille militaire
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Médaille de la Gendarmerie nationale
Médaille de la Résistance
Autres fonctions Chauffeur du général de Gaulle

Francis Marroux, né en 1915 à Montboucher-sur-Jabron, dans la Drôme, mort le 27 décembre 1987 à Montélimar (Drôme), est un officier de gendarmerie et résistant français. Il a été le chauffeur attitré du général de Gaulle, notamment lors des attentats de Pont-sur-Seine et du Petit-Clamart.

Sommaire

Activité dans la Résistance

Jeune brigadier cantonné au camp de Satory, Francis Marroux rejoint la Résistance au cours de l'année 1941 par l'intermédiaire d'un de ses officiers, le capitaine Robert-Pol Dupuy, tête du réseau de Satory qui noyaute la Gendarmerie de la région parisienne. Dans ce cadre, il participe aux opérations sur l'ouest et le sud de la capitale[1].

En 1943, Francis Marroux prend le maquis en Dordogne avec quatre collègues[2]. Retrouvant le capitaine Dupuy, il prépare avec lui et les résistants de Limoges l'évasion d'un groupe d'officiers français internés à Évaux-les-Bains, dont deux généraux[3],[1].

Sous l'impulsion de Dupuy, le secteur de la Résistance de Dordogne-sud dont le brigadier Marroux fait désormais partie reforme le 50e Régiment d'infanterie de ligne, libère Périgueux, Angoulême, Cognac, Saintes et rejoint le général de Larminat dans les Forces françaises de l'ouest.

Redevenu gendarme après la guerre, Francis Marroux est en poste au 1er escadron de chars de Satory. Il a le grade de maréchal-des-logis. En janvier 1959, il est appelé par son ancien chef de la Résistance, devenu colonel[4] : Robert-Pol Dupuy vient en effet d'être nommé commandant militaire du palais de l'Élysée et lui demande de devenir le chauffeur en titre du chef de l'État.

Carrière à l'Élysée

Sur le plan administratif, pour ce nouveau poste qu'il accepte, Francis Marroux est détaché de son escadron de chars jusqu'au 1er juillet 1967. Après cette date, il reste détaché à la présidence de la République mais est affecté à l'escadron moto de la Garde républicaine[5].

De janvier 1959 au 28 avril 1969, date de la démission du général de Gaulle, Francis Marroux assure à l'Élysée tous les déplacements officiels du chef de l'État. Il assure aussi tous ses déplacements privés, notamment les transports à l'aérodrome de Villacoublay que le général et madame de Gaulle ont l'habitude d'utiliser pour se rendre en hélicoptère à Colombey-les-Deux-Églises. C'est lors d'un de ces trajets que la voiture conduite par Francis Marroux est prise sous le feu d'armes automatiques, au rond-point du Petit-Clamart.

Il effectue ce service durant les dix années que le général de Gaulle passe à la présidence. Désireux de suivre ce dernier après sa démission, il fait valoir ses droits à la retraite le 1er juin 1969[5]. À cette occasion, après avoir fait toute sa carrière en tant que sous-officier d'active[6], Francis Marroux est nommé officier honoraire de la Gendarmerie nationale. S'installant dès lors au domaine de la Boisserie[7],[8], résidence personnelle de l'ancien chef d'État, il devient son chauffeur privé et son homme de confiance.

Le 9 novembre 1970, dans les minutes précédant le décès du général dans sa bibliothèque, Francis Marroux descend un matelas du premier étage et y installe celui-ci[8]. Aidé du médecin qui constate peu après le décès et du prêtre venu administrer les derniers sacrements, il transporte ensuite le corps dans le salon voisin où il est recouvert jusqu'à mi-poitrine du drapeau français[8]. Après les obsèques, il reste auprès de madame de Gaulle jusqu'en septembre 1978, date à laquelle elle décide de s'installer dans une maison de retraite. Pour ce trajet, il la conduit une dernière fois[8].

Conduite durant les attentats

Modèle de Citroen DS

La notoriété de Francis Marroux tient moins à son emploi à la présidence de la République qu'à la façon dont il l'a exercé et, surtout, à la période pendant laquelle il l'a exercé[9]. Ses quatre premières années à l'Élysée coincident en effet avec le conflit algérien, moment où la sécurité du chef de l'État prend une importance majeure : le général de Gaulle est alors « le chef d'État le plus menacé du globe »[10]. Entre mars et septembre 1962, par exemple, les services de police dénombrent plus d'une tentative d'assassinat par semaine contre la personne du président de la République[10].

De ce fait, la conduite du véhicule présidentiel — qu'il s'agisse de déplacements officiels ou privés — fait partie des points les plus sensibles de la sécurité et Francis Marroux en a la responsabilité. « Conducteur d’une exceptionnelle qualité et d’un sang-froid à toute épreuve »[10], il est confronté à plusieurs reprises à des situations critiques. Deux d'entre elles marquent cette période : l'attentat de Pont-sur-Seine et celui du Petit-Clamart.

Attentat de Pont-sur-Seine

Le 8 septembre 1961, sur la ligne droite menant de Nogent-sur-Seine à Pont-sur-Seine, Francis Marroux conduit la DS présidentielle vers Colombey-les-Deux-Églises. Il est à la tête d'un convoi de cinq voitures et roule à 110 km/h. À 21 h 35[10], le véhicule qu'il conduit passe à hauteur d'un tas de sable d'où jaillit une violente explosion. Il s'agit d'un engin chargé de 43 kilos de plastic et d'un bidon de 20 litres de napalm[11]. Selon Armand Belvisi, un des auteurs de l'attentat condamné ensuite à six ans de prison[12], la puissance de la déflagration projette la DS de l'autre côté de la route[13]. Le napalm répand immédiatement « un mur de flammes » sur la chaussée[10]. Les flammes « montaient jusqu'en haut des arbres et couraient sur toute la route » relate ultérieurement l'aide de camp[14]. Dans cette situation, Francis Marroux accélère tout en redressant la trajectoire du véhicule. Il ne s'arrête que quelques kilomètres plus loin afin que le président de la République et son épouse puissent changer de voiture et poursuivre leur trajet jusqu'à Colombey.

La DS objet de cet attentat est aujourd'hui exposée dans un musée privé[15] au château de Montjalin[16], à Sauvigny-le-Bois dans l'Yonne.

Attentat du Petit-Clamart

Article détaillé : Attentat du Petit-Clamart.

Plus connu car abondamment commenté, l'attentat du Petit-Clamart est un événement majeur de la carrière de Francis Marroux. Le 22 août 1962 vers 19 h 30, un convoi de deux voitures escortées par deux motards quitte l'Élysée sous la pluie en direction de l'aérodrome de Villacoublay. Dans le second véhicule conduit par Francis Marroux — une DS 19 immatriculée 5249 HU 75 — se tiennent le général et madame de Gaulle ainsi que leur gendre, le colonel Alain de Boissieu[17].

A 22 h 08, peu avant le rond-point du Petit-Clamart, dans les Hauts-de-Seine, le convoi est pris sous le feu nourri d'un commando. Cet attentat, le plus grave perpétré contre Charles de Gaulle[18], a été soigneusement préparé : le commando comprend douze hommes qui disposent de quatre véhicules, d'explosifs, de fusils-mitrailleurs et pistolets-mitrailleurs[17]. La puissance de feu est considérable : on dénombrera 187 balles tirées, 14 impacts sur la voiture présidentielle dont plusieurs à hauteur des têtes du général et de madame de Gaulle[17].

Dès les premiers tirs, les pneus avant de la DS présidentielle crèvent, la glace arrière vole en éclats[17]. Dans cet état, malgré le sol mouillé et roulant sur deux jantes[19], Francis Marroux a la présence d'esprit de rétrograder puis accélère et maintient une vive allure jusqu'à l'aérodrome de Villacoublay[17]. En descendant, le général de Gaulle remercie le « courageux conducteur »[8].

Pour son travail au service du Président de la République en cette occasion et en d'autres, Francis Marroux est décoré de la Légion d'honneur à titre militaire.

Une reconstitution de la DS du Petit-Clamart est exposée au musée Charles de Gaulle à Lille. Racheté par le colonel Dupuy peu après l'attentat, le véhicule d'origine a été offert par sa famille à l'institut Charles de Gaulle[20]. Trop endommagé, il a été remplacé : les numéros de châssis et de moteur ainsi que la date de mise en circulation de l'autombile présentée ne correspondent pas à ceux de la DS présidentielle. Seules les plaques d'immatriculation sont d'origine[21].

Notoriété

Militaire soumis au devoir de réserve, Francis Marroux n'a jamais accordé aucune interview pendant son service actif. Il n'a pas, non plus, répondu aux demandes des journalistes et éditeurs après sa retraite[22]. En dépit de cette discrétion, son rôle à la présidence de la République reste très documenté.

La plupart des ouvrages biographiques consacrés au général de Gaulle mentionnent son nom et son action déterminante en certaines circonstances. Tous les articles de presse et essais concernant l'attentat du Petit-Clamart soulignent bien évidemment son rôle. L'amiral Philippe de Gaulle l'évoque à plusieurs reprises dans un livre d'entretiens consacré à son père[8]. Il faut également mentionner son apparition dans des ouvrages romanesques, notamment le best-seller de Frederick Forsyth, Chacal, adapté par la suite au cinéma, qui le cite nommément et de façon détaillée[23], lui donnant une certaine célébrité outre-Atlantique[24].

En 1987, l'annonce du décès de Francis Marroux fait l'objet de titres dans la presse française, tant nationale que régionale, rarement observés pour un chauffeur, fût-il de chef d'État[25]. Ainsi, France Soir n° 13.492 du 28 décembre 1987 consacre à cette information cinq colonnes sur plus de la moitié de sa une, titrant sur l'homme « qui avait sauvé de Gaulle au Petit-Clamart ». Cette annonce est reprise dans les rubriques nécrologiques de la presse nord-américaine[26] qui parlent de l'homme « credited with saving the General de Gaulle » (reconnu pour avoir sauvé le général de Gaulle).

Famille

Francis Marroux est issu d'une famille de petite noblesse du bas Dauphiné comptant des militaires et des résistants. Il descend du baron Josias de Marroux[27], mort le 1er août 1592 avec soixante-dix de ses hommes, dans la défense du château de Saint-Martin-Laguépie contre les troupes de la Ligue commandées par le duc de Joyeuse[28].

Son frère officier d'infanterie, Roger Marie Joseph Marroux, né le 17 juillet 1923 à Montboucher-sur-Jabron, mort le 15 janvier 1973 à Peyrouse (Hautes-Pyrénées), se distingue également par ses actions au service de la France. Il obtient de nombreuses décorations et citations, notamment lors de la campagne d'Italie en 1943-1944, où son commandement et sa conduite, lors de la meurtrière bataille du mont Cassin, sont pour l'Armée française un « magnifique exemple pour ses tirailleurs »[29]. Le général de Gaulle écrira plus tard du régiment auquel Roger Marroux appartient : « Le 4e régiment de tirailleurs tunisiens accomplit un des faits d'armes les plus brillants de la guerre au prix de pertes énormes »[30]. Il est ensuite de tous les théâtres d'opérations extérieures : Indochine[31], Tunisie, Algérie, etc.

Le cousin de Francis Marroux, Edmond Joseph, résistant né le 19 mars 1899 à Montboucher-sur-Jabron, meurt le 31 mars 1945 en déportation au camp d'Ellrich, annexe de Dora en Allemagne[32]. Sa cousine par alliance, femme d'Edmond, née Marie Célie Julia Garaud le 29 septembre 1904 à Empurany dans l'Ardèche, elle aussi résistante, décède au camp de Ravensbruck en Allemagne le 10 mai 1944[32].

Francis Marroux repose aujourd'hui dans le cimetière de son village natal de la Drôme, Montboucher-sur-Jabron.

Bibliographie

Notes et références

  1. a et b Gendarme Bertin, « Hommage au général Robert-Pol Dupuy », ministère de la Défense, 1er septembre 1996.
  2. Lieutenant Fournie, chef Bertoux, chef Lansemant et gendarme Poix.
  3. Centre national d'entraînement des forces de gendarmerie (CNEFG) de Saint-Astier, « Le général Robert-Pol Dupuy », Servir et défendre [lire en ligne (page consultée le 2 octobre 2010)]
  4. Robert-Pol Dupuy deviendra en 1960 général de brigade dans la deuxième section du cadre de l'État-Major général.
  5. a et b Jean d'Escrienne, « Hommage à Francis Marroux », Espoir, n° 63, archives de la fondation Charles de Gaulle, cote 923 ESP (page consultée le 2 octobre 2010)]
  6. Francis Marroux termine sa carrière avec le grade d'adjudant-chef de la Gendarmerie nationale.
  7. Il habite la maison face à la grille d'entrée de La Boisserie.
  8. a, b, c, d, e et f Philippe de Gaulle, Charles de Gaulle, mon père : Entretiens avec Michel Tauriac, Plon, Paris, 2003, extrait dans Le Point, 18 janvier 2007 (page consultée le 2 octobre 2010)]
  9. Sans oublier sa fidélité remarquée au général de Gaulle, qu'il suit jusque dans sa retraite.
  10. a, b, c, d et e Jacques Delarue, « Objectif n° 1 : tuer De Gaulle ! », Les Collections de L'Histoire, février 1998 [lire en ligne (page consultée le 2 octobre 2010)]
  11. L'examen des débris a été effectué par le professeur Henri Forestier, ingénieur en chef, chef du service des explosifs au laboratoire de la police, et Marc Wilmet, maître de conférence à l'Ecole polytechnique.
  12. Reportage ORTF, « A Troyes, le procès des auteurs de l'attentat de Pont sur Seine », 5 septembre 1962 document Institut national de l'audiovisuel (page consultée le 2 octobre 2010)]
  13. Armand Belvisi, L'attentat, Publibook, Paris 2001.
  14. Valérie Alanièce, « 1961 : l'attentat raté de Pont-sur-Seine », L'Est-Éclair, 11 octobre 2009 [lire en ligne (page consultée le 2 octobre 2010)]
  15. Le musée des voitures de chefs d'État (page consultée le 2 octobre 2010)
  16. Monument historique inscrit, notice PA00113846 sur la base Mérimée
  17. a, b, c, d et e Jean Lacouture, Charles de Gaulle – Le souverain 1959-1970, t. III, Le Seuil, Paris 1986.
  18. Georges Fleury, Tuez de Gaulle ! Histoire de l'attentat du Petit Clamart, Grasset, Paris 1996.
  19. Yves-Frédéric Jaffré, « Le procès du Petit-Clamart », p. 235, Nouvelles éditions latines, Le Vaumain (Oise), 1963 (ISBN 9782723313179)
  20. Les DS présidentielles, musée Charles de Gaulle, Lille (page consultée le 2 octobre 2010)]
  21. Pascal Ceaux, « La fausse DS du Petit-Clamart », Le Monde, n° 16831, 7 mars 1999. en ligne sur lissey.e-monsite.com (page consultée le 2 octobre 2010)]
  22. Ces demandes furent particulièrement nombreuses après la démission puis le décès du général de Gaulle.
  23. En particulier, Frederick Forsyth explique à ses lecteurs : « Ses nerfs à toute épreuve, la rapidité de ses réflexes et sa technique au volant lui avaient valu d'être nommé chauffeur personnel de de Gaulle » (p. 11). Plus loin : « Deux pneus lacérés par les projectiles accusèrent une telle baisse de pression qu'à cette vitesse élevée, la voiture amorça une embardée et se mit à déraper de l'avant. Ce fut alors que Francis Marroux sauva la vie du Président » (p. 17).
  24. Cf. les nécrologies citées en note ci-dessous.
  25. Entre autres, pour les seules parutions du 29 décembre 1987, Le Monde, Le Parisien, Libération, Le Figaro, Le Courrier Picard.
  26. Voir notamment Los Angeles Times, 1er janvier 1988 [lire en ligne (page consultée le 2 octobre 2010)] - Orlando Sentinel, 29 décembre 1987 [lire en ligne (page consultée le 2 octobre 2010)]
  27. La particule est abandonnée par les membres de cette famille à la Révolution française. Le titre s'éteint avec Auguste Rogier Joseph, dernier baron de Marroux, exécuté par pendaison le 23 juillet 1792 lors d'un mouvement populaire à Marseille, comme « suspect contre la patrie ».
  28. Association Lou viel castel, Saint-Martin-Laguépie [lire en ligne (page consultée le 2 octobre 2010)]
  29. Décision n° 20 du 8 novembre 1954, secrétariat d'État aux Forces armées : « Au cours des attaques du Belvédère du 25 au 27 janvier 1944, dans des circonstances très difficiles et sous les feux les plus violents, a été un magnifique exemple pour tous ses tirailleurs. Signé : J. Chevallier ». Cette citation à l'ordre du régiment comporte l'attribution de la Croix de guerre avec étoile de bronze.
  30. Charles de Gaulle, Mémoires de guerre. L'unité. 1942-1944, t. II, Plon, Paris, 1960, p. 267.
  31. Il y obtient la Croix de guerre des T.O.E.
  32. a et b Journal officiel de la République française du 9 décembre 1994 [page 17491 lire en ligne (page consultée le 2 octobre 2010)]

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