- Baptême chrétien
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Baptême
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Le baptême (du verbe grec ancien baptizein, fréquentatif du verbe baptein, « plonger dans un liquide ») est un rite ou un sacrement marquant l'entrée d'une personne dans une Église chrétienne. C'est la cérémonie par laquelle on témoigne être chrétien. Purifiés dans l’eau les nouveaux chrétiens sont plongés dans la vie du Christ ressuscité.
L'ondoiement est une cérémonie simplifiée du baptême utilisée en cas de risque imminent de décès (mention d'enfant ondoyé dans les anciens registres paroissiaux) et qui se limite à verser de l’eau sur la tête de la personne en prononçant les paroles sacramentelles : « Je te baptise au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit ».
Introduction
Pour tout chrétien, la référence est le baptême de Jésus par Jean-Baptiste dans le Jourdain, décrit dans l'évangile selon Matthieu, chapitre 3, 13-17 :
« Alors Jésus vint de la Galilée au Jourdain vers Jean, pour être baptisé par lui. Mais Jean s'y opposait, en disant : C'est moi qui ai besoin d'être baptisé par toi, et tu viens à moi ! Jésus lui répondit : Laisse faire maintenant, car il est convenable que nous accomplissions ainsi tout ce qui est juste. Et Jean ne lui résista plus. Dès que Jésus eut été baptisé, il sortit de l'eau. Et voici, les cieux s'ouvrirent, et il vit l'Esprit de Dieu descendre comme une colombe et venir sur lui. Et voici, une voix fit entendre des cieux ces paroles: Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection. »« On ne naît pas chrétien, on le devient » affirmait Tertullien, un des Pères de l'Église, dans son Apologie du Christianisme, chapitre 18. Du fait qu'il apparaît explicitement dans le Nouveau Testament, le baptême est un sacrement commun à toutes les Églises chrétiennes. C'est aussi, pour celles qui le reconnaissent comme tel, un sacrement partagé : ainsi, un baptisé dans la foi orthodoxe qui se convertit au catholicisme n'a pas à se faire rebaptiser, et vice-versa.
Le baptême peut être pratiqué sur de jeunes enfants ou sur des adultes, selon les époques ou les Églises. Pour la Bible, « il y a un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême » (Éphesiens 4:5).
Certaines confessions chrétiennes estiment que le baptême doit résulter d'un choix personnel : le baptisé doit donc être capable de faire ce choix. Certaines églises retardent l'âge du bapteme de leurs fidèles en se réclamant de l'anabaptisme jusqu'à l'âge de la confirmation, par exemple. L'empereur Constantin ne se fît baptiser que sur son lit de mort.
Rares sont celles qui, si le fidèle a été baptisé avant l'âge de raison, exigent qu'il soit baptisé de nouveau, Par opposition, on nomme parfois Pédobaptisme doctrine favorable à la pratique du baptême des jeunes enfants.
La forme du baptême diffère selon les Églises.
- Aujourd'hui l'Église latine pratique essentiellement le baptême par aspersion (versement d'une petite quantité d'eau sur la tête).
- Les Églises byzantines préfèrent le baptême par immersion, totale ou partielle — le néophyte entre dans l'eau jusqu'aux genoux, puis on lui verse de l'eau sur la tête.
- Les Églises protestantes pratiquent les deux formes, mais les protestants évangéliques pratiquent fréquemment le baptême par immersion.
Le baptême dans les différentes églises chrétiennes[1]
Dénomination Enseignement concernant le baptême Type de baptême Baptême des petits enfants ? Le baptême régénère, procure la vie spirituelle Catholiques romains Nécessaire pour l’effusion de la puissance de sanctification appelée grâce, qui place l’homme sur le chemin du salut. Essentiellement par effusion. Oui. Oui. Eglise Orthodoxe Le « mystère » du baptême est la participation à la mort et à la résurrection du Christ. Il nous permet de participer au renouvellement de la nature humaine par le Christ, but de l'incarnation de Dieu en homme Par triple immersion, l’aspersion n’étant pratiquée qu’en cas d’urgence. Oui. Ils reçoivent également la communion et le chrême (onction). Oui. Episcopaliens (Anglicans, Anglo-Catholiques) Nécessaire au salut parce qu’il confère la nouvelle naissance spirituelle Par immersion ou effusion. Oui. Oui. Sauf pour certaines tendances évangéliques. Luthériens L’instrument dont se sert l’Esprit de Dieu pour procurer la vie nouvelle et faire du pécheur un enfant de Dieu. Par aspersion, immersion ou effusion. Oui. Non. Méthodistes (Arminians, Wesleyans) Le baptême n’est pas nécessaire au salut, puisqu’il est le signe extérieur qu’on appartient à la communauté chrétienne. Par aspersion, immersion ou effusion. Oui. Non. Églises réformées (Calvinisme) Ordonnance, rituel symbolique et sceau de la foi dans le cœur de l’adulte. Par aspersion, immersion ou effusion. Oui, pour indiquer que leurs parents chrétiens sont membres de la communauté de l’alliance. Non; Pentecôtistes, Assemblées de Dieu, Charismatiques Le baptême d’eau est une ordonnance, un rituel symbolique par lequel on professe qu’on a accepté le Christ comme son Sauveur personnel. Par immersion. L’accent est mis sur la nécessité d’un « second » (deuxième) baptême, le baptême de l’Esprit qui se manifeste par le parler en langues. Non, mais les enfants sont présentés à Dieu, à qui on demande de les bénir. Non; Adventistes du Septième Jour Ordonnance, rite symbolique qui n’est pas nécessaire au salut. Occasion donnée à un croyant de confesser sa foi personnelle en Christ Uniquement par immersion. Non. Le baptême est réservé à ceux qui sont assez âgés pour exprimer leur foi et attester qu’ils se sont convertis. Les enfants sont « dédiés » ou « présentés » à Dieu. Non; Baptistes Ordonnance divine et rituel symbolique. Signe qu’on a déjà trouvé le salut, mais qui lui-même n’est pas nécessaire au salut. Uniquement par immersion. Non. Le baptême est un acte de confession, accompli par une personne convertie capable de confesser sa foi. Non; Mennonites Ordonnance, rituel symbolique et sceau de la foi dans le cœur de l’adulte. Par aspersion, immersion ou effusion. Non. Le baptême est un acte de confession, accompli par une personne convertie capable de confesser sa foi. — Quakers Simple symbole extérieur qui n’a plus à être pratiqué. Ne croient pas dans le baptême d’eau, mais seulement en une purification intérieure permanente de l’esprit humain par une vie de discipline régie par le Saint-Esprit. — — Armée du Salut Ne pratiquent plus le baptême car estiment que le baptême ne devait être pratiqué qu’au temps de Jésus. — — — Églises unies diverses les églises unies réunissent plusieurs tendaces, comme leur nom l'indique. La perception du baptême dépend donc du courant théologique Par aspersion. idem. Dans certains courants Le baptême est administré au moment de la confirmation. Les enfants sont « présentés » à la communauté ou « dédiés » à Dieu par leurs parents, parrains et marraines. — Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours Alliance de prendre le nom du Christ, de se souvenir de lui, de garder ses commandements et de persévérer jusqu'à la fin. Baptême par immersion suivi du don du Saint-Esprit par imposition des mains administrés par quelqu’un détenant la prêtrise de Melchisédek. Non. Bénédiction paternelle (ou représentant) du nouveau-né. Baptême par immersion à partir de l'âge de responsabilité, 8 ans. Nouvelle naissance spirituelle. Présence constante du Saint-Esprit pour ceux qui obéissent aux commandements — Témoins de Jéhovah (Antitrinitaires) Nécessaire au salut, mais pas suffisant, puisqu’il n’est que le symbole du renoncement au péché. par immersion, mais non administré dans leurs lieux de réunion (Salles du Royaume) Non. — Le rite catholique
Article détaillé : Baptême catholique.Pour l'Église catholique, le baptême est le premier des trois sacrements de l'initiation chrétienne, avec l'Eucharistie (la communion) et la Confirmation. Pour les personnes ayant l'âge de raison (enfants et adultes), il est précédé d'une période de préparation, appelée catéchuménat, au cours de laquelle le futur baptisé, le catéchumène, découvre la foi pour laquelle il demande le baptême. Pour les nouveau-nés, les parents suivent une préparation au baptême qui les aide à comprendre le sens de ce sacrement.
Le baptême dans l'Église orthodoxe
Le baptême est la participation, pour chaque chrétien, à la mort et à la résurrection du Christ. C'est pourquoi il est nécessaire à la participation du renouvellement de l'homme dans le Christ. Ce renouvellement, c'est la mort du "vieil homme", du vieil Adam, de l'homme de la Chute, pour "revêtir le Christ", présenté par Saint Paul comme le nouvel Adam.
Le Baptême est donc véritablement une re-naissance.
Article détaillé : Baptême orthodoxe.Le baptême chez les baptistes et d'autres Évangéliques
« Nul ne naît chrétien mais chacun est invité à le devenir. » C'est pourquoi ces chrétiens pratiquent le baptême des croyants sur profession personnelle de leur foi, c’est-à-dire que le croyant doit pouvoir expliquer pourquoi il mène cette action. Ce baptême s'effectue par immersion complète. Ils ne pratiquent pas le baptême des petits enfants, car ces derniers ne peuvent avoir pleine conscience de ce qu'est le baptême. Il relève d'une décision prise à la suite du Salut par grâce. Le baptême n'a aucun pouvoir salutaire, et ne purifie pas. Rappelons que selon la Parole de Dieu, le baptême « n’est pas la purification des souillures du corps, mais l’engagement d’une bonne conscience envers Dieu ». 1 Pierre 3:21. Le baptème est le premier acte d'obéissance de la vie chrétienne.
Le baptême dans l'Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours
Baptême par immersion :
Le terme « baptême » vient d'un mot grec signifiant « plonger » ou « immerger ». Le baptême par immersion dans l'eau est une ordonnance administrée par l'autorité de la prêtrise. Il est précédé par la foi en Jésus-Christ et par le repentir. Il est une alliance par laquelle la personne entrant dans les eaux du baptême s'engage à prendre sur elle le nom de Jésus-Christ, à se souvenir toujours de lui, à garder ses commandements (décalogue) et à persévérer jusqu'à la fin (Matt 10:22).
Le baptême est une ordonnance de salut essentielle. Personne ne peut entrer dans le royaume de Dieu sans avoir contracté cette alliance.
Selon les enseignements de Jésus-Christ, le baptême d'eau doit être suivi des dons du Saint Esprit par imposition des mains, sinon il est incomplet (Jean 3:5, Actes 19:5-6 et 2 Néphi 31:13–14, dans le Livre de Mormon).
Adam fut le premier à être baptisé (Moïse 6:64–65, dans la Perle de Grand Prix). Jésus fut également baptisé pour accomplir tout ce qui est juste et pour montrer le chemin à toute l'humanité (Matthieu 3:13–17 ; 2 Néphi 31:5–12).
Baptême des nouveau-nés :
Le Seigneur condamne le baptême des nouveau-nés (Moroni 8:10–21, dans le Livre de Mormon). Les enfants naissent innocents et sans péché. Satan n'a le pouvoir de tenter les petits enfants que lorsqu'ils commencent à devenir responsables (D&A 29:46–47, dans Doctrine et Alliances), de sorte qu'ils n'ont pas besoin de se repentir ou d'être baptisés. Les enfants ne peuvent se faire baptiser que quand ils atteignent l'âge de responsabilité qui est huit ans (D&A 68:25–27).
Du fait que tout le monde sur la terre n'a pas l'occasion d'accepter l'Évangile pendant l'existence mortelle, le Seigneur a autorisé les baptêmes accomplis par procuration pour les morts. C'est pourquoi, ceux qui acceptent l'Évangile enseigné dans le monde des esprits peuvent se qualifier pour entrer dans le royaume de Dieu. Selon les saints des derniers jours (mormons), ces principes seraient présents dans la Bible (1 Cor 15:29, 1 Pierre 3:19-20, 1 Pierre 4:6, Jean 5:25}. (salut pour les morts).
Le baptême chez les Témoins de Jéhovah
Article détaillé : Baptême chez les Témoins de Jéhovah.Pour pouvoir être baptisé, le candidat doit d'abord s'être voué à Jéhovah dans la prière, puis en faire la demande principalement au surveillant-président de sa congrégation. Trois anciens visiteront successivement le postulant afin de lui poser les 104 questions figurant dans le livre Organisés pour faire la volonté de Jéhovah, celles-ci ayant pour but de vérifier les connaissances du futur baptisé sur la doctrine du mouvement. Les anciens s'assureront également que le postulant mène une vie conforme aux directives de l'organisation. Si ses réponses sont jugées satisfaisantes, il sera admis au baptême.
Le baptême représente pour les futurs Témoins de Jéhovah en âge de le demander, une étape d’une importance capitale dans leur engagement religieux. Il est pour eux, la seule manière de se positionner officiellement pour le nom de Jéhovah et de lui vouer ainsi leur vie. C'est la seule voie que proposent les Témoins de Jéhovah pour échapper à la destruction du « système de choses mauvais » actuel lors de la grande bataille d’Har-Maguédon, que livrera Jésus afin d’instaurer par la suite un paradis sur terre. On peut lire dans le livre La connaissance qui mène à la vie éternelle[2]:
« Une personne vouée à Dieu et baptisée qui s’efforce de suivre fidèlement l’exemple de Jésus est précieuse aux yeux de Dieu. (...) Les prophéties bibliques montrent que pour Dieu ces personnes sont marquées pour survivre lors de l’exécution de son jugement qui va bientôt s’abattre sur le présent système de choses méchant.(...) Êtes-vous « dans la disposition qu’il faut pour la vie éternelle » (Actes 13 :48) ? Avez-vous le désir sincère de recevoir la marque réservée à ceux qui servent Dieu ? Cette marque inclut l’offrande de soi et le baptême, qui sont indispensables pour être sauvés. »Il n'y a pas de baptême des nouveau-nés, étant donné que le consentement conscient du candidat est nécessaire à son baptême. Toutefois, les enfants ont la possibilité de se faire baptiser, si les membres du mouvement estiment qu'ils ont une pleine connaissance de leur acte, et s'ils respectent les principes bibliques tels qu'enseignés par les Témoins de Jéhovah.
Les baptêmes sont pratiqués durant les assemblées régionales (trois par an), le candidat est baptisé par immersion. En 2006, le rapport annuel publié par la Société Watchtower fait état de 248 327 baptêmes dans le monde, dont 2 507 pour la France.
Le baptême dans l'Esprit et le baptême par le feu
Le Renouveau Charismatique a mis à l'honneur une cérémonie d'invocation à l'Esprit Saint, appelée « baptême dans l'Esprit ». Pour éviter la confusion avec le baptême, unique et définitif, cette cérémonie porte aussi le nom d' « effusion de l'Esprit ».
Le Nouveau Testament (Mt. 3, 11 = Lc 3, 16) fait allusion à trois types de baptême: par l'eau (c'est le baptême de conversion, ou repentance, de Jean-Baptiste), par l'Esprit (c'est le baptême institué par Jésus par l'envoi de son Esprit, Ac. 1, 5) et par le feu[3]. Cette dernière expression est à rattacher à la tradition judéo-chrétienne qui est témoin de l'effusion d'une lumière au moment du baptême de Jésus.[4]
Autres sens
Le prénom de l'enfant étant choisi au moment du baptême, le mot « baptiser » a pris le sens de « donner un nom ». Le « baptême » peut aussi désigner « une première fois » : le baptême du feu.
En Belgique, le « baptême d'étudiant» est une sorte de bizutage encadré, qui permet, celui-ci terminé, de porter un couvre-chef distinctif : une calotte pour les écoles et universités catholiques (sauf à Liège) ou une casquette à visière longue, appelée penne, dans les écoles et universités de l'État ou non confessionnelles (penne pour tous les réseaux à Liège). À Louvain-la-Neuve, le droit de porter de la calotte n'est pas relié au baptême et s'obtient lors d'une corona. Ce bizutage encadré, organisé en plusieurs activités, a pour but de transmettre les valeurs propres à l'école ou à l'université.
Il existe en France un baptême civil. Cette cérémonie est née à la Révolution française.
Dans le bouddhisme, il existe un rite ressemblant au baptême, tel que le dit la formule : « Je prends refuge dans le Bouddha, dans sa Loi (dharma) et dans ses moines (sangha) ». Contrairement au baptême, cette profession de foi n’est pas définitive, elle peut se reprendre à tout moment.
On parle aussi de baptême pour les navires. Ce baptême a lieu lors de la mise à l'eau lorsque la marraine donne le nom, casse une bouteille de champagne sur la coque et qu'on retire les cales qui retiennent le bateau pour qu'il glisse jusqu'à l'eau.
Une pratique venue d'Allemagne consiste à se faire « débaptiser », par exemple pour échapper à l'impôt ecclésiastique. En France, les motivations relèvent plutôt d'une mise en conformité avec des convictions personnelles. La question est ouverte de savoir si le « débaptême » est possible. Sur la forme, il est possible de se faire rayer des registres paroissiaux. Sur le fond, le chrétien a toujours la liberté de renoncer à son baptême. Mais d’un point de vue théologique, les avis divergent sur la possibilité de revenir en arrière sur une grâce reçue de Dieu : dans cette optique où les dons de Dieu sont définitifs (« Dieu ne reprend jamais ce qu’il a donné »), le baptisé ne peut pas être « débaptisé », il renonce simplement à vivre selon son baptême.
La démarche de débaptisation est surtout utilisée par les athées militants soucieux de ne plus compter parmi les statistiques de l'Église catholique, celle-ci évaluant le nombre de ses membres dans le monde en fonction du nombre de baptisés.
Les rites d'eau et leur origine
Le baptême dérive du bain rituel juif (mikvé) et s'appuie sur un symbolisme que Carl Gustav Jung et bien d'autres psychanalystes rapprochent de la vie intra utérine. Immersion évoquant tout à la fois la noyade, la purification, la mort et la re-(naissance)[5].
Bibliographie
- LeGrand Richards, L'ordonnance du baptême (Une œuvre merveilleuse et un prodige, Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, Salt Lake City, 1950)
- Jean-Philippe Revel, Traité des sacrements I. Baptême et sacramentalité, 2 vol., Éditions du Cerf, 2004-5.
- Jacques Gelis, Les enfants des limbes, Paris, Audibert, 2005.
- Alfred Kuen, Le baptême hier et aujourd'hui, 408 p., Editions Emmaüs, St. Légier, 1995
- André Gounelle, Le baptême : Le débat entre les Églises , Les Bergers et les Mages, 1996
Références
- ↑ Bonne Nouvelle. Numéro 3. St Louis, MO. 2003. p 18-19
- ↑ La connaissance qui mène à la vie éternelle, page 180
- ↑ A. HAMMAN, Le baptême par le feu (article de 1951), dans Etudes patristiques, 1991, 79-84
- ↑ Voir le dossier par exemple dans D. VIGNE, Christ au Jourdain. Le baptême de Jésus dans la tradition judéo-chrétienne, [Ét. bibl. 16], Paris, 1992; v. aussi G. WINKLER, “Die Licht-Erscheinung bei der Taufe Jesu und der Ursprung des Epiphaniefestes…”, Oriens Christianus, 1994, 177-229
- ↑ Psychanalyse du rite baptismal
Voir aussi
Articles connexes
- Sacrement
- Ordonnance de Villers-Cotterêts : registre des baptêmes et des sépultures sous l'Ancien Régime (voir Histoire de l'état civil en France)
- Débaptisation | Baptême civil
- Représentation du baptême de Jésus
Liens externes
- Sacrements > Baptême, Conférence des évêques de France
- Rituel catholique du baptême des enfants
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