Système tonal

Système tonal
Acoustique musicale
Gamme musicale
Gammes et tempéraments
Mesure des intervalles
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Le système tonal désigne l'ensemble des principes et des lois régissant, non seulement la notation de l'intonation, mais la structure, le fonctionnement et la mise en mouvement de celle-ci, dans ses deux dimensions : mélodique et harmonique.

Ce système musical occidental, s'est progressivement mis en place à la Renaissance, et est utilisé dans la musique savantede manière presque exclusivedepuis le XVIIe siècle jusqu'à la fin du XIXe siècle. À partir du XVIIIe siècle il s'est inséré puis circonscrit dans la gamme tempérée (partage d'une octave en douze demi-tons égaux) qui a permis son essor et son extension. Il est aussi la base de musiques comme la chanson, la musique populaire, le rock, le pop et le jazz, dont certains développeront leur règles spécifiques.

Sommaire

Caractéristiques

Le système tonal est le résultat d'une lente évolution qui s'est opérée sur quelque six sièclesde l'époque carolingienne à la fin du Moyen Âge. Apparu à partir de la Renaissance, le système tonal a succédé au système modal dont il est à la fois un appauvrissement et un enrichissement. Enrichissement harmonique, il correspond aussi à un net appauvrissement mélodique, puisqu'on passe de huit modes (et plus) à deux seulement, qui ont tendance à uniformiser les lignes mélodiques. Au cours du XVIe siècle, les deux systèmes ont plus ou moins coexisté, à l'intérieur d'une échelle non encore tempérée : simplement, la "note sensible" tendait à envahir les modes et préludait à l'introduction de la gamme "tonale" . Par ailleurs, quoique abandonné par l'école strictement classique de la seconde moitié du dix-huitième siècle, le système modal est encore largement utilisé jusqu'au XXIe siècle : depuis la fin du dix-neuvième siècle (essor des écoles nationales en Europe), ce sont les systèmes modaux (issus des musiques traditionnelles) qui ont permis de -enrichir la tonalité.

Degrés

Article détaillé : Degré (musique tonale).

Le système tonal repose sur les sept degrés hiérarchisés de l'échelle diatonique, organisés autour du degré fondamental qu'est la tonique — « pôle d'attraction » des autres notesainsi que sur une note dominante, cinquième degré de la gamme : la tonique et la dominante permettent d'établir un système dynamique, la dominante créant une tension, que résout la tonique, les autres degrés se rattachant à l'une ou à l'autre.

Parmi les sept degrés d'une gamme, trois sont considérés comme les « très bons degrés », le premier, le quatrième et le cinquième, parce qu'ils remplissent les trois « fonctions tonales » : fonction de tonique (Ier degré), fonction de dominante (Ve degré) et fonction de sous-dominante (IVe degré). La sous-dominante élargit la tonique (cadence plagale) et amène une cadence (cadence parfaite). Le deuxième degré est employé comme la sous-dominante (il a l'avantage d'être plus dynamique et d'évoluer plus facilement vers une dissonance) et le sixième degré permet une ambiguité conclusive, en même temps qu'une ouverture d'un mode majeur vers son relatif (dans le même souci d'ambiguité). Seul le septième degré, "note sensible", reste fondamental mélodiquement mais inusité harmoniquement. Ce degré est plutôt employé comme un cinquième degré, la dominante, auquel est ajouté une septième mineure et soustrait de sa fondamentale.

Modes

Article détaillé : Mode (musique tonale).

Le mot "mode" définit la structuration d'une échelle musicale (gamme de fréquences), qui, dans les systèmes modaux et tonal, est hiérarchisée. Dans un sens plus restreint, il se réfère au schéma d'intervalles constitutif de chacun des deux "modes", majeur et mineur, de la musique tonale. On n'emploie pas le mot, pour les structures non hiérarchisées (musique atonale en général). Il désigne plus largement toute organisation définie à partir de n'importe quel paramètre sonore, dans la musique moderne (modes rythmiques, modes d'intensités, de timbres…).

Au cours du XVIe siècle, les modes anciens médiévaux disparaissent progressivement : seuls subsisteront les modes majeur et mineur qui sont les héritiers des précédents. Cette suprématie ne sera remise en cause qu'à la fin du XIXe siècle, avec la réutilisation des modes anciens et l'introduction de nouvelles échelles issues des musiques traditionnelles européennes. Le point commun entre ces deux modes, majeur et mineur, est l'apparition d'une "note sensible" (septième degré à distance d'un demi-ton de la tonique), qui permettra l'élaboration de la dynamique tonale (Cette dynamique repose, en effet, sur l'alternance "tonique-dominante-tonique",qui permet la résolution de la tension engendrée par la note sensible sur le degré de la tonique, mélodiquement; harmoniquement, cette résolution est construite sur l'enchaînement "dominante-tonique"). La différence entre le mode majeur et le mode mineur repose précisément sur la position des tons et des demi-tons de l'échelle diatonique par rapport à la tonique. Deux schémas d'intervalles s'imposent : dans le mode majeur, un ton, un ton, un demi-ton, forment le premier tétracorde, puis un ton, un ton, un ton et un demi-ton, pour le second tétracorde; dans le mode mineur : un ton, un demi-ton, un ton, un ton, un demi-ton, un ton et demie, un demi-ton ; on transpose ces schémas pour obtenir les différentes tonalités, à partir des modèles initiaux de do majeur (notes naturelles) et la mineur (seule la sensible est altérée). On distinguera tout de même les modes mélodiques (deux possibilités pour le mode mineur) et les stricts modes harmoniques. A l'écoute, le mode majeur apparaît franc et lumineux, le mode mineur restant beaucoup plus en demi-teinte, avec une pointe de nostalgie (ce qui pousse parfois les compositeurs, depuis l'époque romantique, à une utilisation inverse !)

Le mot « mode » a l'unique signification, en musicologie, de désigner la composition elle-même d'une échelle, quelle qu'elle soit : a) de fréquences; comme les échelles modales et tonales sont hiérarchisées, le mot mode tend à se référer à une échelle hiérarchisée (donc, les échelles atonales ne correspondent pas à des modes); dans un sens plus restreint, le mot mode se réfère à la constitution des deux échelles tonales possibles, majeure et mineure. Pour être précis, le "ton" est la note sur laquelle s'établit la "tonique" de l'échelle considérée, le "mode" est le système (organisation interne, schéma d'intervalles), majeur ou mineur, appliqué à ce "ton", par transposition du modèle initial (do majeur ou la mineur); l'ensemble, "ton" et "mode" se dénommant "tonalité" (ainsi, on peut "tonuler" en changeant de ton, "moduler" en changeant simplement le mode, ou "tonuler et moduler"). b) Par contre, des compositeurs, comme Olivier Messiaen, ont élargi la notion de mode aux rythmes (éléments constitutifs des échelles rythmiques), aux intensités (gammes d'intensités), aux timbres, et à tous les paramètres du son musical.

Mouvement privilégié de quinte juste descendante

La quinte juste est à la racine des musiques traditionnelles du monde entier, même de transmission orale; en Europe aussi, la quinte juste accompagne les chants populaires (par exemple, en "bourdon" tenu). C'est donc cet élément ancestral et populaire que l'on retrouve, à la racine du système savant. Parmi les mouvements mélodiques les plus utilisés dans la musique tonale, l'intervalle de quinte juste occupe une place privilégiéecf. cycle des quintes. C'est un intervalle à la fois structurel (ordre des gammes) , harmonique (présent par exemple dans le mouvement de basse de la tonique à la dominante, ou dans l'accord parfait) et mélodique (de nombreux chants ou phrasés musicaux vocaux tournent autour de la quinte ou s'élaborent en ambitus de quinte). Harmoniquement,ce mouvement régit fréquemment la basse. L'enchaînement des trois bons degrés (V - I - IV) produit deux fois cet intervalle. Par ailleurs, l'enchaînement de l'accord de septième de dominante et de l'accord parfait de toniquearchétype du système tonal, appelé cadence parfaiteest également construit sur un mouvement harmonique de quinte juste à la basse (et un mouvement mélodique de seconde mineure ascendante, la "note sensible" se résolvant sur la tonique) à la partie supérieure (mélodique) .

Mécanisme de tension et de détente

Presque toute la musique tonale est construite sur une alternance de moments de tension (autour de la région de la dominante) et de moments de détente (retour à la tonique).

D'autre part, la dissonance (intervalles de seconde ou de septième, par exemple), réalisée selon certaines règles, est ressentie comme une tension nécessitant une détentecette dernière consistera en une résolution sur la consonance de base la plus proche, à la suite d'un mouvement mélodique d'attraction. Pour plus d'informations sur les enchaînements d'intervalles harmoniques, sur les dissonances, les consonances, etc., consulter l'article Mouvement harmonique.

La sensible, VIIe degré des deux modes, par son attraction vers la tonique située au demi-ton diatonique supérieur, participe également de ce mécanisme, et constitue donc l'un des deux éléments de la relation d'attraction fondamentale du système tonal .

Enfin, concernant l'intervalle de quinte employé à la basse harmonique, à partir de la tonique, on peut dire que la quinte juste ascendanteou son renversement, la quarte juste descendanteest du côté de la tension, tandis que la quinte juste descendanteou son renversement, la quarte juste ascendanteest du côté de la détente (ces intervalles représentent le trajet de la dominante à la tonique, et son inverse).

Procédé d'écriture

Jusqu'à la Renaissance, le procédé d'écritureappelé contrepointconsiste en une superposition de mélodies. A une mélodie ("teneur" en valeurs longues, placée à la basse, à l'époque), on adjoint des "contrechants" (mélodies complémentaires) qui se rejoignent en fin de strophe ou de phrase; ensuite, l'évolution majeure sera le passage de la mélodie au soprano, les contrechants étant alors écrits au-dessous. Cela permettra l'émergence progressive du procédé d'écriture tonaleappelé faussement "monodie", c'est-à-dire "mélodie accompagnée", dès l'opéra baroque, ou mélodie accompagnée d'accords à partir de la période classiquequi remplace par des enchaînements harmoniques la polymélodie de la Renaissance. Dans une "harmonisation" tonale, le compositeur privilégie une mélodie particulière, généralement confiée à la partie supérieure, soutenue par la partie bassechargée de jouer les fondamentales et de remplir les fonctions tonalestandis que les parties intermédiaires remplissent la mission, plus modeste, de complément harmonique (ce qui n'empêche pas les compositeurs de toutes les périodes, "Classique" incluse - Mozart, Haydn, d'écrire de sublimes contrechants dans les parties intermédiaires, restant aussi sensibles (et formés) au contrepoint qu'à l'harmonie.

Dimension harmonique du système tonal

Article détaillé : Harmonie tonale.

Dans la dimension polyphonique d'une oeuvre, on distinguera la polymélodie, qui relève du contrepoint, et les accords, que régissent les règles d'enchaînement de l'harmonie. De fait, tous les compositeurs ont une double conscience, à la fois horizontale (jeu des contrechants) et plus strictement verticale (rapports de simultanéité).

Le mot polymélodieque l'on abrège malencontreusement en polyphonie, est habituellement associé au système modal. On parle alors, plus précisément, de « contrechants » issus d'un son procédé de composition, le contrepointdu XIIe siècle au XVIe siècle.

C'est au contraire le mot harmonie qui est généralement associé au système tonal. On parle alors, plus précisément, d'« harmonie tonale » ou encore, d'« harmonie classique », technique d'écriture qui compléte le contrepoint au cours du XVIe siècle, et qui se perpétue jusqu'au début du XXe siècle. La principale caractéristique de l'harmonie classique par rapport à la polyphonie, est de faire de l'accord une entité autonome avec une fonctionnalité spécifique.

Système tonal et tempérament

Au XVIIIe siècle, influencés par les découvertes dans le domaine de la physique, les musiciens cherchent à unifier les échelles musicales. Cette unification, rendue possible par le tempérament des instruments, et produisant une échelle uniquela gamme tempéréeest indissociable du système tonal. En 1722, Rameau, dans son Traité de lharmonie réduite à ses principes naturels, et Bach, dans Le clavier bien tempéré, donnent, lun la méthode, lautre la mise en pratique, du système tempéré qui installe la tonalité, nouvelle logique dans la construction musicale.

Articles connexes : Gamme tempérée et Gammes et tempéraments.

Évolution au XXe siècle

Parvenus aux confins de lexploration harmonique et stylistique de la musique romantique, les compositeurs du début du XXe siècle essayent de se délier du système tonal, et de purifier lécoute de la musique de ses éternels couplages entre tensions et détentes, que la tonalité lui a inculquées. L’« extra-tonalité » semploie à explorer, parfois en les combinant, tantôt la modalitéDebussy, Moussorgsky, etc. —, tantôt lespace harmonique dans son entierdodécaphonisme —, tantôt lespace rythmiqueStravinskiLa musique dodécaphoniqueœuvres d'Arnold Schönberg, Alban Berg, ou Anton Webern —, utilise des échelles de douze sons, dont aucun degré n'a plus d'importance que les autres. Elle ouvre la voie à l'atonalité.

Depuis la fin du XIXe siècle, le compositeur cherche, crée, bouleverse, tonalités, modes, harmonie, formes, instrumentsIl essaie tout, utilise tout, même les éléments d'un lointain passé venus jusqu'à lui. Le XXe siècle est l'époque des combinaisons les plus inattendues, le règne de l'audace, de la nouveauté, du paradoxe.

Dans un tel contexte, on assiste à une contestation générale du système et des règles d'école : l'échelle diatonique et le système tonal, le principe de la résolution de la dissonance, la mesure et la régularité métrique, etc.

Héritage du passé

Le compositeur dispose de l'apport classiquele système tonal avec ses modes majeur et mineur —, mais il exhume le mode mineur naturel, ainsi que les modes anciens, utilise certaines échelles appartenant à d'autres civilisationsgamme tzigane, gamme arabe, etc. —, ou encore, les modes défectifs, c'est-à-dire, possédant moins de sept degréstelle que la gamme pentatonique, parfois appelée gamme chinoise.

Ces diverses échellesou gammespeuvent être transposées dans n'importe quelle échelle diatonique grâce à l'armure, ou "armature", terme moins usité .

Gammes tzigane, chinoise et japonaise

Nouvelles échelles

La gamme habituelle, la gamme classique, est à la fois heptatonique et diatonique, ce qui signifie que, d'une part, cette gamme est composée de sept degrés, d'autre part, quel que soit le mode, elle est toujours constituée de tons et de demi-tons diatoniques.

Au début du XXe siècle, les compositeurs ont imaginé deux nouvelles gammes dérivées de l'échelle diatonique classique, mais exclusivement formées, l'une, de demi-tonsla gamme chromatique que nous avons déjà rencontrée —, l'autre, de tonsla « gamme par tons ». Ces deux gammes sont donc utilisées de façon atonale, c'est-à-dire sans référence au système tonal.

Gamme chromatique

La gamme chromatique était connue des compositeurs classiquesMonteverdi, Bach, Mozart, etc. —, mais seulement dans le contexte du système tonal.

Or, dès le début du XXe siècle, certains compositeurs modernes utilisent les 12 sons de l'échelle chromatique hors du système tonal : ces 12 sons, traités de façon équivalente, peuvent aussi être employés dans un ordre préétabliappelé série —, sans tonique, sans dominante, sans aucune fonction tonale, etc. Ce système créé de toutes pièces par des compositeurs tels que Schönberg, Berg et Webern, s'appelle le dodécaphonisme et, dans le second cas, musique sérielle. Dans le strict système dodécaphonique, les douze demi-tons ne sont pas hiérarchisés; dans une oeuvre sérielle, c'est la série qui recrée une fonctionnalité dans l'oeuvre.

Le dodécaphonisme impliquant le tempérament égal, est par tributaire de l'écriture traditionnelleappellation des sept notes, appellation des intervalles, pour ne rien dire de la mesure et des instrumentsC'est, d'ailleurs, malgré quelques recherches en quarts de tons, ce qui le limite.

Exemple de gamme chromatique

Gamme par tons

Article détaillé : gamme par tons.

La gamme par tonsparfois improprement appelée gamme chinoise —, est une gamme hexatonique dont les six degrés sont séparés par des tons : elle a été très utilisée par Debussy.

Exemple de gamme par tons.

Vers l'atonalité et la musique concrète

Tout au long du XXe siècle, de nombreux compositeurs démontent méthodiquement et progressivement les différentes pièces de la musique traditionnelle et du système tonal, et s'acheminent vers de nouveaux systèmes.

Voici les principales étapes de ce mouvement :

  • Polytonalité : procédé associant harmoniquement et mélodiquement des éléments appartenant à des tonalités différentes : tout d'abord deuxbi-tonalité —, puis davantage, jusqu'à aboutir à la musique atonale, dont la musique sérielle est un exemple notoire.
  • Utilisation d'échelles formées d'intervalles inférieurs au ton : nouvelles échelles, désormais totalement indépendantes de l'échelle diatonique traditionnelle : échelles au tiers de ton, au quart de tonou autres micro-intervalles —, etc.
  • Musique aléatoire : système privilégiant l'imprévu au détriment du prévumusique à faire, depuis une partition —, en prenant en compte le paramètre du hasard.
  • Musique concrète : système basé sur le collage et le traitement de sons enregistrés sur bande.
  • Abandon des instruments classiquesjugés trop dépendants des conceptions traditionnelleset utilisation directe des sons artificiels produits par des instruments électroniques ou électro-acoustiques.

Le système de notation traditionnelle solfègequi depuis le XIIe siècle environ, était le seul et unique moyen de conserver une trace, même imparfaite, du geste musical, va sérieusement être concurrencé par l'inventiondès la fin du XIXe siècleet surtout la banalisation, au cours de la deuxième moitié du XXe siècle, des divers procédés d'enregistrement et de diffusion sonore : disques, magnétophones, ordinateurs et synthétiseurs.

Par ailleurs, le système de notation traditionnel est inadapté à la plupart des musiques nouvelles. Chaque musique nouvelle suppose son propre système de notation, ses propres règles de codification, « son propre solfège ».

Cependant, et paradoxalement, un siècle après les premières œuvres sérielles, la très grande majorité de la musique consommée dans le monde occidental reste tributaire du système tonalmusique populaire, musique industrielle, et même, tout un pan de la musique savante. « De gré ou de force, nous baignons tous dans la tonalité. »

Bibliographie

  • Heiner Ruland : "Évolution de la musique et de la conscience - Approche pratique des systèmes musicaux", ÉAR, Genève, ISBN 2-88189-173-X.

Articles connexes


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