Simon Meusnier-Badger

Simon Meusnier-Badger
Simon Meusnier-Badger
Nom de naissance François Simon Meusnier
Naissance 1759
Tours
Décès 1833 (à 74 ans)
Tours
Nationalité Flag of France.svg
Profession Soyeux
Autres activités Pamphlétaire
Famille Meusnier et Badger
Compléments
Emprisonné à la prison du Luxembourg,

Simon Meusnier-Badger est né en 1759 à Tours et mort en 1833 à Tours.

Avant la Révolution, Simon Meusnier-Badger est apprêteur et négociant en soierie. Après 1789, il est nommé, ou élu, administrateur du département d'Indre-et-Loire, commandant du 2ème bataillon de volontaires d’Indre-et-Loire, secrétaire de la Société populaire et montagnarde de Tours, conseiller du Représentant du peuple Jean Guimberteau, Commissaire en mission à La Flèche, membre du Comité de sûreté générale près l'armée de l'Ouest, Président du Comité de surveillance révolutionnaire de Tours. En 1794, Simon Meusnier-Badger est arrêté et emprisonné à la prison du Luxembourg, d’où il écrit : Conte moral et politique, Liberté, égalité, fraternité ou la mort. Il est libéré et ses dénonciateurs, Sénar et Turreau sont jetés en prison.

Sommaire

Sa famille

Simon Meusnier est le fils du sieur Étienne Meusnier, négociant en soierie, et Jeanne Lhermite. Il est apparenté à l'architecte Pierre Meusnier, au général Jean-Baptiste Marie Meusnier de La Place et aussi par alliance aux Moisant, la famille du maire, puis député de Tours Henri Jacques Goüin-Moisant, des soyeux comme sa famille. Les Meusnier sont suffisamment riches pour que son frère, maître René Meusnier achète une charge de conseiller du roi et une étude de notaire royal à Rochecorbon[1].

Blason des Badger.

Simon Meusnier se marie avec Hélène Badger (1761-1790), le 19 août 1785, à Tours (paroisse Saint-Venant). Ses parents s'opposent à ce mariage, mais sont déboutés par le Lieutenant général de Touraine. Son cousin germain, Charles Meusnier, est témoin à son mariage et René Julien Papion, fils aîné de Pierre. Les Papion du Château sont une famille anoblie en 1781 très connue de Tours. L’hôtel particulier des Papion du Château est aussi manufacture royale de damas et de velours. La présence de ce Papion du Château montre bien que Meusnier-Badger n’est pas un ouvrier, comme il va essayer de le faire croire dans ses écrits quand il sera arrêté. Son beau-père, Humphrey Badger (1719-1792) est natif de Compton, un village à côté de Winchester. Il devient le directeur de la calandre royale de Tours en 1758. Le montant de sa rente est de 1.200 livres[2]. Il perçoit aussi les taxes au nom du roi de 1758 à 1789, dont la capitation. Le rôle de la capitation de la grande fabrique et de ses dépendances, pour la ville de Tours est énorme[3]. Il semble apparenté à des familles nobles irlandaises[4] Simon est aussi le beau-frère de Nicolas Joubert de l’Hiberderie. Après son mariage, il se fait appeler Meusnier-Badger.

Biographie

Locataire de la calandre royale (1788)

Simon Meusnier-Badger travaille dans le domaine des apprêts et de l'ennoblissement des étoffes de la calandre royale de Tours. Comme apprêteur de soierie, Simon, mari d'Hélène Badger, loue l'ancien hospice qui sert de local à cette petite manufacture royale, dont le bail le 16 juillet 1788, est de 500 livres. Le locataire précédent était son beau-père, Humphrey Badger, depuis le 20 mars 1780[5]. Il élève seul ses trois enfants, car sa femme décède et du fait de la mévente des soieries pour cause de Révolution française, il va se retrouver est dans un état voisin de la misère. Mais, il hérite au décès de son père de différentes rentes lui procurant une rente annuelle de 300 livres. Cette rente varie toutefois en fonction des récoltes. Il doit donc s’agir de terres d’une valeur d'environ 5.000 à 10.000 livres. À titre de comparaison le salaire d’un cocher à Paris est de 100 livres. Il devient donc un petit rentier, qui loue la calandre royale et est négociant en soie, matière vendue exclusivement aux aristocrates et aux financiers.

Contre les prêtres réfractaires, les royalistes et les déserteurs tourangeaux (1792)

Simon Meusnier-Badger lutte avec ses avec ses gardes nationaux contre les prêtres réfractaires, les royalistes et les déserteurs.

Le 9 prairial, Meusnier-Badger fait une pétition afin que l’établissement de la calandre soit soustrait de la vente des domaines nationaux[6]. Malgré cela, nous retrouvons Simon membre de la société des amis de la constitution dès 1790. Ce choix est certainement dû à la famille de sa femme qui est favorable à la Révolution. Sur Lyon, le cousin germain de sa femme, Louis-Benoist Badger, est un soyeux futur vice-président des sections de Lyon[7]. Son beau-père, Humphrey Badger, meurt à Tours le 25 septembre 1792[8].

Bien avant cette date, Meusnier-Badger devient garde national, puis très rapidement est nommé caporal, sergent et sous-lieutenant. La prise des Tuileries le réjouit. Il souhaite ardemment la mort du roi, qu'il qualifie de tyran, mais ne parle pas des massacres de Septembre dans son livre. Toutefois, dès le 26 août 1792, Meusnier-Badger demande, avec 26 citoyens de Tours, la déportation de 189 prêtres réfractaires. Ces prêtres tourangeaux apprennent le 26 août qu'ils ont 15 jours pour fuir à l'étranger sous peine d'être déportés en Guyane.

Dans toute la France on excite le zèle des clubs pour découvrir des vocations de mouchards. Simon Meusnier-Badger remarque qu’un avocat sans cause du nom de Sénar, chassé de L'Île-Bouchard, défend le tyran et les prêtres réfractaires. Il le dénonce très certainement, mais moins de deux plus tard, il se retrouvera à la prison du Luxembourg dénoncé à son tour par cet individu.

Meusnier-Badger, pourtant administrateur du département d'Indre-et-Loire, part à cette époque avec ses gardes nationaux lutter contre les prêtres réfractaires dans des dizaines de villages de Touraine. À cette époque, il fait de lourds sacrifices pécuniaires pour combattre les ennemis de la Révolution. Il ne travaille plus et se sert de sa rente pour financer ses expéditions contre les ennemis de la révolution. Simon Meusnier-Badger libère Bourgueil, Chouzé-sur-Loire, et La Chapelle Blanche et y rétablit la tranquillité. Il réussit à cette époque à faire s’enrôler un de ses neveux et l’un des ouvriers de sa calandre en octobre 1792. Il est ensuite envoyé par les administrateurs du département à Beaumont-la-Ronce commander un détachement de gendarmerie et de cavalerie pour lutter contre les royalistes et capturer ou tuer les déserteurs qui refusent la conscription.

Commandant du 2e bataillon (1793)

La guerre de Vendée n’est pas une guerre comme les autres.

En mars 1793[9], Meusnier-Badger part combattre les Vendéens. Il est nommé commandant provisoire du 2e bataillon de volontaires nationaux d’Indre-et-Loire. Il commande des paysans, artisans et manouvriers venant principalement du Chinonais. À cette époque sont admis 226 citoyens en qualité de volontaires pour se joindre aux 574 hommes[10]. Le bataillon a été formé le 10 août 1791. Sur son drapeau du la légende avers : est République française et la légende revers est : Discipline et soumission aux lois militaires.

Le 14 mars 1793, à leur arrivée dans Cholet les Vendéens font fuir la cavalerie républicaine, impressionnée par l'arrivée d'une armée très nombreuse. Meusnier-Badger arrête le lendemain à Montreuil-Bellay aux confins de trois provinces, l'Anjou, la Touraine et le Poitou, une colonne de 300 déserteurs. Il parvient à les faire marcher sur Doué-la-Fontaine.

Le 16 mars 1793[11], Meusnier-Badger a en face de lui l’une des trois armées vendéennes, l'armée catholique et royale d'Anjou, qui combat en Anjou et dans le Haut-Poitou. Lui et les hommes de son bataillon défendent Coron et Vihiers. En vain ! le 18 juillet 1793 les rebelles vendéens reprendront Vihiers. Mais le 2e bataillon de volontaires d’Indre-et-Loire devient en 1793 le 2 e bataillon de la 10ème demi-Brigade d’infanterie de bataille. C’est ce qu’on appellera l’amalgame des deux armées sous la Révolution.

Secrétaire de la Société populaire et montagnarde de Tours

En avril 1793, Simon Meusnier-Badger est renvoyé à la calandre de Tours où il est, écrira-t’il, réclamé. Cela semble vrai, il reçoit un certificat de bonne conduite et devient le secrétaire de la Société populaire et montagnarde de Tours. Avec la Terreur, la société populaire devient obligatoire. Dans chaque ville, une société populaire assure de concert avec les municipalités et les comités de surveillance la bonne application des lois et décrets révolutionnaires et dénonce les contre-révolutionnaires. Malgré sa tâche importante au niveau de Tours, il trouve le temps demander que l'administration accepte la vente par les douanes des étoffes de soie et de coton de la calandre.

Commissaire en mission à La Flèche (fin 1793)

Meusnier-Badger combat les rescapés de la bataille du Mans (1793).

En octobre 1793, Simon Meusnier-Badger est le conseiller du Représentant du peuple Jean Guimberteau en mission dans la Vienne, le Maine-et-Loire, l’Indre-et-Loire, le Loir-et-Cher et la Sarthe[12]. Au début ils s’occupent de réquisition de chevaux[13], mais du fait d’une extension des pouvoirs Représentant du peuple, par décret du 19 octobre 1793, ils se mettent à épurer les autorités locales en Loir-et-Cher et en Indre-et-Loire[14].

C’est certainement, grâce à l’influence de Guimberteau que Simon Meusnier-Badger est nommé commissaire en mission à La Flèche, sous-préfecture de la Sarthe. Ses fonctions ne sont pas qu’administratives et répressives. Le 12 décembre 1793, Henri de La Rochejaquelein à la tête de 40 000 insurgés (hommes, femmes et enfants) se replie sur Le Mans. Tous les républicains situés outre Loire se portent à sa rencontre. Henri de La Rochejaquelein n'est pas taille face à une telle débauche de moyens. Les armées de Kléber, François Westermann, Tilly et Marceau marchent sur les Vendéens. C'est une véritable boucherie. Comme, les survivants des armées royalistes vendéens s'enfuient vers Laval et La Flèche, Meusnier-Badger les combat autour de La Flèche. Après avoir financé en partie avec son argent ses luttes contre les royalistes et les curés, cette fois-ci, il n’hésite pas à traverser une rivière en plein hiver pour poursuivre ses ennemis.

Le 14 décembre 1793[15] François Meusnier-Badger est désigné comme membre du comité de sûreté générale près l'armée de l'Ouest.

Président du Comité de Surveillance Révolutionnaire de Tours

Simon Meusnier-Badger précise qu’il est nommé comme Président du comité de surveillance révolutionnaire de Tours grâce à l’appui du Représentant du peuple en mission René Levasseur (1747-1834), originaire du Mans. Ce révolutionnaire est un régicide, robespierriste, un des ennemis les plus féroces des Girondins[16], qui a soutenu la création du tribunal révolutionnaire. Leur complicité montre que Meusnier-Badger est totalement acquis aux idées robespierristes.

Hélas pour lui, Sénar, tombé dans un état proche de la mendicité, parvient, grâce à l'aide de Amar et Vadier à devenir secrétaire-rédacteur au comité de sûreté générale de Tours. Il se fait surtout remarquer par ses méthodes pour interroger les prévenus et son zèle révolutionnaire outrancier[17]. Sénar le dénonce au Comité de surveillance de la société populaire montagnarde de Tours le 12 prairial[18]. Meusnier-Badger répond à un libelle de Sénard intitulé Les brigands de la Vendée en évidence, vers l’an II[19]

Son emprisonnement (hiver et printemps 1794)

Au-dessus de la porte de cette geôle révolutionnaire est certainement écrit la liberté ou la mort. Simon Meusnier-Badger prolonge la devise : Liberté, égalité, fraternité ou la mort.

Simon Meusnier-Badger devient l'une de ses victimes. Il est arrêté et emprisonné à la prison du Luxembourg, où il écrit dès son arrivée dans sa geôle pour se défendre : Conte moral et politique, Liberté, égalité, fraternité ou la mort[20]. La prison du Luxembourg, réservée d'abord aux députés prévenus de fédéralisme, ne tarde pas à recevoir un brillant contingent de suspects de qualité ; nobles accompagnés de leurs domestiques, dames du plus haut rang traînant à leur suite de fringantes femmes de chambre. Là aussi son renfermés des Anglais et des Anglaises. La vie qu'on y mène jusqu'au moment où le régime de la Terreur atteint ses extrêmes limites est on pourrait presque dire charmante[21].

Sénar écrira dans ses Mémoires : … à l'époque de mai 1793, la poudre délivrée aux troupes républicaines était mêlée de poussière de charbon : fait consigné sur les registres de la première commission militaire que je présidais. Il en est résulté qu'ils ont été approvisionnés de boulets de canon par Meunier-Badger en correspondance avec son beau-frère alors en Angleterre, ce qui fut constaté par les procès-verbaux des commissaires du comité de sûreté générale, l'an II[22]. Turreau, l’organisateur des colonnes infernales reprend ces accusations dans ses Mémoires pour servir à l'histoire de la guerre de la Vendée : En 1793, il en est résulté que Vendéens ont été approvisionnés de boulets de canon par Meunier-Badger en correspondance avec son beau-frère alors en Angleterre. Meusnier-Badger est aussi accusé d’avoir des boulets de canon dans sa manufacture.

Simon Meusnier-Badger répond que ces boulets servaient de temps immémorial à la calandre, dont il est fermier. 31 mars[23]. Le 29 mars 1794[24], l’immense majorité des membres de la Société populaire et montagnarde de Tours pétitionne en sa faveur pour cette accusation d'avoir chez lui des boulets non déclarés[25]. Les langues se délient : un témoin dépose que Sénar et les commissaires du comité de sûreté générale ont voulu le forcer à dire que Meunier-Badger avait porté la cocarde blanche en Vendée ce qui est faux[26].

Meusnier-Badger est le président du comité de surveillance révolutionnaire de Tours.

Cependant Sénar est dénoncé au club des Jacobins de Paris, par ses amis de Tours, pour y avoir opprimé les patriotes, et pour y avoir dit que le signe sacré de la liberté (le bonnet rouge) était un signe de carnage. Meusnier-Badger est libéré. Son oppresseur, Sénar est renfermé dans l'enceinte du comité de sûreté générale, d'où il ne sort plus qu'accompagné d'un gendarme. Après la mort de Maximilien de Robespierre, il est arrêté comme terroriste; et bientôt il envoie du fond de sa prison des dénonciations fréquentes contre ses anciens complices, mais aussi ses victimes innocentées.

Joseph de Rosny écrit : Il serait difficile d’énumérer les nombreuses victimes de la tyrannie de Gabriel Jérôme Sénar (1760-1796). Cependant parmi les personnes connues on compte les citoyens Rouger, Meusnier-Badger, La Grave, Cabaral, Chau, Chadereau, Béranger, La Baube[27], Ogier, Papion[28], Poirier, Bournier, Le Boucher, Martigni, Morgueil, Marcombe, femme Sein, Casnac, Bistenant, Laferrière, Gaulthier, Poirier de Nace, Renault-Desvernières Jacques-Philippe Renault des Vernières guillotiné, Soreau, Japhet, Drouet, Billard, Ferand, La Roberdière, Célérion, Le Lâche, Duhoux, Ducluseaux, Maréchal, Esnault, Duchemin, Bourguignon, Bénévent, Bassereau[29], Desplanques[30], Barré, Tourneporte, Demon, Louis Texier-Olivier[29], Richard (femme Louis Texier-Olivier), Jean-Baptiste Leroux[29], Vaulivert, Chalmel, Gourrault, Berjou[29], Guérin, Haguelon, Courtalou, Beaurepaire, La Ribellerie, Dumaine, Fontenaille, Damboise, Feury, Javerlac, Auvinet, Macurtin, Legendre, Guertin, de Berc, Quinquelle, Moigneul, Quertin, Careau, Boule, Hareng, Martin, Barbier, Jean-Baptiste Allain-Dupré[29], Esterou, Callien, Torterue, La Radée, Métayer, Baillon, Mornand, Richer, Rétrif-Hervé, Desrivaux, Pitay, Brulet, Clémenderice...[31].

L'abandon de la Terreur après le 27 juillet 1794, le 9 Thermidor, marque la disparition de tous ces comités. Simon Meusnier-Badger ne fait plus parler de lui. Il redevient un soyeux de Tours. Le 21 décembre 1794[32], soit deux ans après sa mort, les républicains récupèrent les biens de Humphrey Badger, le beau-père de Simon, car il est Anglais.

Simon Meusnier-Badger élève tout seul ses trois enfants et est le grand-père de la femme de Frédéric Le Clerc, petit-neveu du député à la Convention nationale, Claude-Nicolas Leclerc. La mère du mari de sa petite-fille, Emmanuelle du Chastel, qui vit avec Pierre Bretonneau est cousine du général Louis Claude du Chastel et du député Gaspard-Séverin Duchastel qui eux-aussi luttèrent contre les Vendéens.

Notes et références de l'article

  1. Il supervisera la vente des biens nationaux dans le district de Tours. Ses décisions ne sont pas contestées... Caisso, René, La vente des biens nationaux de première origine dans le district de Tours : 1790-1822 /, Paris : Bibliothèque Nationale, 1967, p.53.
  2. C.873 AD 37
  3. Bosseboeuf, dans La Fabrique de Soieries de Tours Bosseboeuf, La Fabrique de Soieries de Tours Paul Bousrez 1900, Bulletins et Mémoires de la Société Archéologique de Touraine, Mémoires tome XL1 dont Histoire de la Fabrique des Soieries de Tours et Inventaires du Mobilier Ecclésiastique et civil par Bosseboeuf… Mémoires tome XXXXIII (1904) dont La Manufacture des Tapisseries de Tours par Bosseboeuf, Mémoires tome XXXXIX (1910).
  4. Le 24 décembre 1775, messire Robert Black Wood Baronet Blackwood, of Ballyliddy (Ireland), gentilhomme irlandais, demeurant à Belfast, à Tours, est logé dans la maison depuis quatre mois de sire Badger aussi Irlandais, paroisse de Saint Pierre des Corps. Il fait une donation entre vifs et irrévocable à demoiselle Esther Badger, 17 ans, demeurant à l'hôtel de la Calandre, quartier de la porte des prés, proche place Daumont, paroisse de Saint Venant.
  5. Les grandes usines, études industrielles en France et à l'étranger, de Julien François Turgan, p.275.
  6. Série L. Fo 37 vo
  7. Il fera deux rapports sur l'insurrection fédéraliste et royaliste de Lyon de novembre 1793, réprimée par Fouché et Jean Marie Collot d'Herbois. Rapport et pétition sur les troubles arrivés à Lyon, présentés et lues à la barre de la Convention Nationale, le lundi 25 avril 1793, l'an II de la République Française. (Signé : Genet-Bronze, Pelzin et Badger.), Paris, impr. de A.-J. Gorsas et Badger, Louis-Benoist, Les sections de Lyon, aux citoyens du district de Montbrison, éd. de 1793.
  8. 5 Nivôse an I
  9. Ventôse an I
  10. Revue de l'Anjou - Page 412, 1903.
  11. 26 Ventôse an I
  12. Par décret du 8 octobre 1793.
  13. VII-298-303.
  14. VII-501
  15. 24 Frimaire An II
  16. J. Tulard, J.F. Fayard, A. Fierro, Histoire et dictionnaire de la R.F., Robert Laffont 1989, p. 950.
  17. J. Tulard, J.F. Fayard, A. Fierro, Histoire et dictionnaire de la R.F., Robert Laffont 1989, p. 1094.
  18. A.D. 37, Lz 701 (ancien 3213)
  19. A.D. 37, Lz 711. impr. Vauquer et Lhéritier
  20. Paris impr. de Massot, Cote et fonds 4-LB41-1030, Tolbiac Catalogue des livres composant la bibliothèque de feu m. Jules ..., de Jules-Antoine Taschereau, p.82.
  21. Histoire de la Révolution française, de Louis Blanc, p.86.
  22. Révélations puisées dans les cartons des Comités de Salut public et de Sûreté générale ou mémoires (inédits)... publiés par Alexis Dumesnil... Sénart, 1824.
  23. 11 Germinal an II, Revue de l'Anjou - Page 145, 1904.
  24. 9 Germinal an II
  25. Revue de l'Anjou - Page 145, 1904.
  26. Revue de l'Anjou - Page 309, 1904.
  27. Baron de
  28. René Julien Papion, témoin au mariage de Meusnier-Badger, auteur de Mémoire sur la mendicité, présenté à l'Assemblée nationale / par M. Papion le jeune, Papion (17..-18.. ; citoyen de Tours), 1791 et Adresse sur les moyens de prospérité du commerce, & sur les secours à lui donner / présentée par M. Papion, le jeune, Papion (17..-18.. ; citoyen de Tours), 1791
  29. a, b, c, d et e Administrateur du département d'Indre-et-Loire
  30. Louis-Thomas Desplanques Prêtre, maire de Saint-Cyr-sur-Loire en 1792, fut le premier à contracter mariage ; nommé le 4 novembre 1793 membre du Comité de surveillance ...
  31. Les infortunes de La Galetierre pendant le régime décemviral... par A.-J. Rosny, Rosny, Joseph de (1771-1814), 1798-1799, p.28.. consultable sur Gallica
  32. 1er Nivôse an III

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