- Serge Venturini
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Serge Venturini Serge Venturini à l'âge de 20 ansActivités Poète Naissance 1955
Paris FranceLangue d'écriture Français Genres poésie philosophique Serge Venturini est un poète français, né le 12 octobre 1955 à Paris[1]. C'est un poète du devenir humain. Il écrit dans le devenir de la poésie. Sa poétique est traversée par de nombreuses métamorphoses : Poétique du devenir humain (2000), Poétique du posthumain (2007), Poétique du transhumain (2009), au Journal du transvisible (2009). Sa poésie philosophique est en lutte contre les conformismes, elle cherche l'éclatement des genres et n'éclaire que par renversements. Serge Venturini dirige depuis 2009, la collection « Lettres arméniennes »[2] aux Éditions L'Harmattan. Sa poésie engagée est celle d'un « itinérant avec la brûlante et dense vérité de sa parole en actes[3]. »
Sommaire
Parcours
Serge Venturini est poète et professeur de Lettres dans le Val-d'Oise depuis 1996, date de son retour en France après quelques séjours à l'étranger, commençant avec le Liban (1979-1981) et le Maroc (1981-1984). Après un bref retour en France (1984-1987), il séjourne en Arménie (1987-1990) et en Pologne (1990-1996), détaché par le Ministère des Affaires étrangères[4].
Sa mère (née à Figline di Prato) est tantôt couturière, tantôt femme de ménage et son père (né à Rutali) est dessinateur-cartographe à l'Institut géographique national pendant la semaine et guitariste-chanteur, avec son frère Jean, les jours de fête dans les galas corses du Paris des années 1950. Son enfance se déroule non loin du Musée Rodin dans le 7e arrondissement de Paris. De 1955 à 1979, il vit au n°3 rue Rousselet. Il découvre Héraclite, Empédocle, Arthur Rimbaud et Friedrich Nietzsche. Il commence à écrire à l'âge de quinze ans.
Sa poésie du devenir, fulgurante et cristalline selon Geneviève Clancy qui le révéla[5], influencée par les œuvres de Pierre Reverdy et surtout René Char, est au carrefour de la poésie et de la prose, du politique et du philosophique. Elle fut saluée comme telle par Yves Bonnefoy, André du Bouchet, Abdellatif Laâbi et Laurent Terzieff.
Ses livres sont des livres du combat de l'Être. L'air, la terre, l'eau et surtout le feu, tiennent dans cette œuvre une place considérable. La Résistance de la poésie demeure au cœur de ses combats quotidiens pour une parole rebelle toujours plus libre et désenclavée[6]. Il développe sa Poétique du devenir dans un premier livre d'Éclats (1976-1999) avec un questionnement sur le devenir humain.
Le Livre II d'Éclats (2000-2007) poursuit ce travail de réflexion avec un questionnement sur le devenir posthumain. Après le Livre III de sa poétique d'Éclats sur le thème du devenir transhumain, le Livre IV de sa poétique du transvisible est publié en 2010. En effet, fin 2007, il est le créateur d'une théorie selon laquelle il existerait, entre le visible et l'invisible, un passage, le temps d'un éclair, l'instant d'une vision, une transvision : le transvisible[7]. Il a écrit :
« Le noir feu souterrain brûle des os blancs des morts.
Derrière mon nom se cache une vraie machine de guerre.
Mon Verbe n’est pas de plume. ― C’est une lame tranchante. »— Fulguriances, no 79, p. 28.
Le transvisible
Selon Serge Venturini : « Le transvisible est une théorie selon laquelle il existerait, entre le visible et l'invisible, un passage, le temps d'un éclair, l'instant d'une vision[8].
Pour bien comprendre cette théorie qui demeure à forger, il faut revenir à d'autres notions fondatrices du transvisible, car nous ne sommes toujours pas sortis de la caverne de Platon, puisque nous prenons encore l'apparence de la réalité pour la réalité elle-même, dans un monde aux prises avec le piège de l'image, où l'absence d'image est une preuve de non-réalité, de non-vérité et donc de mensonge, où la réalité même devient fiction, et inversement, et où enfin, « dans un monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux », selon Guy Debord[9], dans un monde où le virtuel est devenu une réalité.
La première de ces notions est le posthumain[10], où l'on voit mourir le vieil humanisme né avec la Renaissance italienne[11]. Au-delà de cette notion, comme en une deuxième étape, on se réfère au transhumain[12], comme une nécessité de dépasser la précédente notion. Le trasumanar du Dante demeure une référence capitale à cette problématique. « Transhumaner », aller au-delà de l'humain, « par delà le bien et le mal » selon la parole de Nietzsche.
Le transvisible pourrait, sur le plan symbolique, être matérialisé par une flèche qui partirait du visible pour se perdre dans l'invisible. Figure de la philosophie du devenir et donc de la transformation de l'être, le transvisible est un moment de bascule entre le déjà plus et le pas encore, moment proche de ce qui est onirique, où l'esprit chavire du subconscient de l'état de veille dans le rêve nocturne, et parfois devient rêve prémonitoire. Selon Henri Bergson, retenir ce qui n'est déjà plus, anticiper sur ce qui n'est pas encore, voilà donc la première fonction de la conscience[13].
L'eau aussi semble être une excellente métaphorisation entre le monde liquide (le visible) et la vapeur d'eau (l'invisible). Le vent également, capable d'agiter le feuillage des arbres sans être visible, ou inversement, quand rien ne semble bouger et qu'un souffle vient balayer le visage, à la semblance de la lumière. Autrement encore, quand faute de règles bancaires strictes, l'argent, en tant que valeur monétaire, est devenu de plus en plus immatériel, voire virtuel, transvisible.
D'où la difficulté à clarifier cette fulgurance du passage entre ce qui est visible pour l'œil et l'esprit et ce qui ne l'est plus, comme le dévoile par exemple le fameux procédé du fondu enchaîné au cinéma ; ce passage de transition d'une image à une autre, l'une disparaissant progressivement et l'autre s'intensifiant à son tour. Il en est de même en musique entre un thème et un autre thème.
Entre science et art, un exemple est donné avec l'ingénieur florentin Maurizio Seracini, spécialiste de la réflectographie grâce aux infrarouges, pionnier de la restauration des œuvres de Léonard de Vinci qui a su utiliser les techniques de pointe, afin de retrouver La Bataille d'Anghiari et de visualiser sous l'inachevée peinture actuelle de L'Adoration des mages, un des premiers dessins sous-jacent du maître. Voir, sous l'apparence d'une représentation, une autre réalité. Nous sommes dans le transvisible. Regarder au-delà du voir. Pour Pablo Picasso qui pointait cette difficulté, sous un autre angle, « il faudrait pouvoir montrer les tableaux qui sont sous le tableau. » Et le peintre irlandais Francis Bacon d'ajouter à David Sylvester : « Nous vivons presque toujours derrière des écrans[14]. »
Entre l'« étant » et le « non-étant » donc, dans un monde où les échanges entre les personnes se dématérialisent toujours plus, plus on avance dans le temps. Certains cartésiens n'y voient qu'une forme de l'indéterminé, de l'improbable, de l'« anommable », et rejettent ainsi cette problématique. Tout ce qui n'est pas formulé, n'ayant aucun statut propre, ne mérite donc guère de considération.
Pourtant, quelques-uns comme Merleau-Ponty furent en leur temps passionnés par les rapports du visible et de l'invisible. Ce philosophe y voyait même une profondeur charnelle[15]. Pour le physicien théoricien, Basarab Nicolescu, le fondateur de la transdisciplinarité : « Le vide quantique est plein, plein de toutes les potentialités de la particule de l’univers. » (La transdisciplinarité, Manifeste, 1996[16].) Quelques poètes ont tenté par la parole de toucher la chair de l'invisible. Le vide, le rien, l'impensé dans la matière est riche de potentialités. Il s'agit bien de voir, de passer de l'opaque au translucide, avant d'atteindre la transparence de l'invisible, et ainsi rendre visible, l'invisible[17].
Entre le visible et l'invisible, le réel et le rêve, le transvisible se situe à l'intersection de ces mondes, des mondes, où il joue l'interface. Insistons sur la perméabilité de ces mondes, car certains esprits trop cartésiens sont étrangers à ce dialogue. Les poètes mythographes, vecteurs de transvisibilité, passeurs de lumière, porteurs du feu de la parole, sont des êtres à mi-chemin entre ces deux mondes[18]. Dans le passage du visible à l'invisible, du monde des vivants au monde des morts, le transvisible transfigure le temps[19]. »
Œuvres
- D'aurorales clartés : Choix de poèmes réunis par l'auteur, 1971-1995, Gutenberg XXIe siècle, Paris, 2000 (OCLC 47692464).
Livre dédié à Ossip Mandelstam
- Éclats : d'une poétique du devenir humain, 1976-1999, (Livre I), Éditions L'Harmattan, coll. « Poètes des cinq continents », Paris, 2000 (OCLC 44448871).
Livre dédié à Paul Celan
- Article sur le livre : Paul Van Melle, « J'ai trouvé une autre Bible », dans Bulletin, no 44 (2000), La Hulpe.
- Le sens de la terre, suivi de L’Effeuillée, Aphrodite en trente variations, 1999-2003, Éditions Didro, Paris, 2004 (ISBN 2-910726-64-9)[20].
Livre dédié à Yves Battistini
- Article sur le livre : Paul Van Melle, « Prose... sans ateliers », Bulletin, no 84, La Hulpe.
- (hy) (fr) Sayat-Nova, Odes arméniennes (traduction des 47 odes), avec Élisabeth Mouradian, Éditions L'Harmattan, coll. « Poètes des cinq continents », Paris, 2006 (ISBN 2-296-01398-8)[5].
Livre dédié à Sergueï Paradjanov
- Articles sur ce livre labellisé pour l'année de l'Arménie, septembre 2006-juillet 2007 : « Arménie, mon amie ! ».
- Livre retenu pour la sélection du Prix Charles Aznavour, le 19 novembre 2006, au Festival du Livre arménien de Marseille[21].
- Annie Pilibossian, dans Bulletin de l'ACAM, no 66 (janvier-mars 2007), Val-de-Marne.
- Paul Van Melle, « Ressusciter les auteurs méconnus », dans Bulletin, no 208 (septembre 2006), La Hulpe.
- (hy) Article en langue arménienne, « Les œuvres de Sayat-Nova en français ! », dans La République d'Arménie (Hayastani Hanrapetoutyoun), 16 février 2007, Erevan[22].
- Article : Jean-Baptiste Para, « Historiens de l'Antiquité », dans Europe, no 945-946 (janvier-février 2008), p. 345-346.
- Éclats d’une poétique du devenir posthumain, 2000-2007, (Livre II), Éditions L'Harmattan, coll. « Poètes des cinq continents », Paris, 2007 (ISBN 978-2-296-03301-6).
Livre dédié à Lucie Aubrac
- Paul Van Melle, « Pour une poétique de la pensée », dans Bulletin, no 214, La Hulpe.
- Fulguriances et autres figures, 1980-2007, postface de Philippe Tancelin, Éditions L'Harmattan, coll. « Poètes des cinq continents », 2008, (ISBN 978-2-296-05656-5).
Livre dédié à Alexandre Blok
- Lecture de Fulguriances au Théâtre Noir du Lucernaire de Paris, lundi 16 juin 2008, montage et dramaturgie : Philippe Tancelin, Dan Vimard, mise en espace : Dan Vimard et la compagnie Kaléidoscope Bleu avec la collaboration du CICEP (Centre International et interuniversitaire de Créations d'Espaces Poétiques, créé en 1981 par Jean-Pierre Faye, Geneviève Clancy, Stéphanette Vendeville et Philippe Tancelin).
- Article sur le livre : Paul Van Melle, « Penser... en silence ou non » , dans Bulletin, no 224, La Hulpe.
- (hy) (fr) Serge Venturini / Սերժ Վենտուրինի, Et gravir / Եւ լեռն ի վեր, traduction d'un choix de textes par Benjamin Tchavouchian, Élisabeth Mouradian, maître d'œuvre de la version arménienne bilingue (français-arménien) Hovik Vardoumian, Éditions « Fêtes », Erevan, 2008, 113 p. (ISBN 978-99941-59-42-0)[5].
- Article sur le livre : Annie Pilibossian, dans Bulletin de l'ACAM, no 70, (août-décembre 2008), p. 11.
- (hy) Article sur le livre : Hovik Vardoumian, Գրական թերթ, « Նրա երկրորդ հայրենիքը », « Sa deuxième patrie », dans Journal littéraire, no 36 (2955) (24 octobre 2008), Erevan, p. 6.
- Article de Hovik Vardoumian, « La deuxième patrie du poète Serge Venturini : L'Arménie ! », publié par Armenews, le jeudi 25 décembre 2008[23].
- Éclats d’une poétique du devenir transhumain, 2003-2008 (Livre III), Éditions L'Harmattan, coll. « Poètes des cinq continents », Paris, 2009 (ISBN 978-2-296-09603-5).
Livre dédié à Missak Manouchian, « à l'homme-poète, révolutionnaire résistant »
- Article sur le livre : Proses pour mieux vivre de Paul Van Melle, mensuel littéraire des Éditions du Gril (Groupe de Réflexion et d'Information littéraires), septembre 2009, Belgique, no 234, p. 14.
- Hovik Vardoumian (trad. Élisabeth Mouradian, préface Serge Venturini), L'Immortel et autres nouvelles, Éditions L'Harmattan, coll. « Lettres arméniennes », Paris, 2009 (ISBN 978-2-296-10160-9).
- Émission de radio « Au fil des pages » dirigée par Pérouz et Sathénig (Radio Ayp fm 99.5) du 6 mars 2010[24].
- Éclats d’une poétique du devenir, Journal du transvisible (2007-2009) (Livre IV), Éditions L'Harmattan, coll. « Poètes des cinq continents », Paris, 23 février 2010 (ISBN 978-2-296-11117-2)[25].
- Article sur le livre : Paul Van Melle, « La poésie prend tous les visages », dans Bulletin, no 241 (2010), La Hulpe.
- (hy) (fr) Yéghiché Tcharents, Եղիշե Չարենցի, Դանթեական առասպել (1915-1916)/Légende dantesque (1915-1916), présentation, traduction de l'arménien, postface et notes de Serge Venturini avec l'aide d'Élisabeth Mouradian, Éditions L'Harmattan, coll. « Lettres arméniennes », no 2, Paris, 10 décembre 2010 (ISBN 978-2-296-13174-3).
Livre dédié à Liu Xiaobo
- Article de Liliane Pekmezian : « La Légende dantesque du jeune Yéghiché Tcharentz », mensuel « France-Arménie », numéro d'avril 2011, p.59. [2] Consulté le 1er avril 2011.
- Article sur le livre de Marc Valery, « Depuis qu'il a épousé l'Arménie... », 31 janvier 2011, sur le site « Voce di Rutali in Corsica »[26].
- Émission de radio « Au fil des pages » dirigée par Pérouz et Sathénig (Radio Ayp fm 99.5) du 19 février 2011[27].
- Article sur le livre : Dominique Achard, sur le blog « Lire Délivre... ! » Année 2, no 6, janvier 2011, p. 8[28].
- Avant tout et en dépit de tout (2000-2010), Éditions L'Harmattan, coll. « Poètes des cinq continents », Paris, janvier 2011 (ISBN 978-2-296-13176-7).
Livre dédié à Marina Tsvetaeva
- Émission de radio « Au fil des pages » dirigée par Pérouz et Sathénig (Radio Ayp fm 99.5) du 26 février 2011[29].
- Article sur le livre : Paul Van Melle, « Avant tout et en dépit de tout », dans Bulletin, no 249 (2011), La Hulpe.
- Article sur le livre : Annie Pilibossian, dans Bulletin de l'ACAM, no 77, p. 6, (Janvier-juin 2011), Val-de-Marne.
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Monument Sayat-Nova à Erevan, place de l'Opéra.
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Sergueï Paradjanov, réalisateur du film « Sayat-Nova » en 1968.
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Gavit de Geghard.
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Portrait de Missak Manouchian.
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Portrait de Yéghiché Tcharents.
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Hovik Vardoumian et Serge Venturini en 2011.
Notes et références
- Serge Venturini, Éditions L'Harmattan. Consulté le 20 mars 2010
- Au fil des pages sur AYP FM, 19 mars 2011. Consulté le 20 mars 2011.
- XXIe siècle, Paris 2000, (ISBN 9782845580223). 4e de couverture du livre D'aurorales clartés, Éditions Gutenberg
- Voir Archives du MAE, DRH, 1970-2000.
- « Livres arméniens - Serge Venturini », Association culturelle arménienne de Marne-la-Vallée. Consulté le 19 mai 2007
- [1] Consulté le 24 avril 2010 Voir l'article de Gil Pressnitzer sur son site « Esprits Nomades »
- Éditions L'Harmattan, Paris, février 2010, collection « Poètes des cinq continents » (ISBN 978-2-296-11117-2) 4e de couv. du Livre IV des Éclats, 2007-2009
- lire en ligne (page consultée le 30 avril 2008)]. Serge Venturini, « Le pont franchi du transvisible » [
- Guy Debord, La Société du spectacle, Éditions Champ libre, Paris, 1977, p. 11.
- Chapitre.com. Consulté le 30 avril 2008. Serge Venturini, Éclats d'une poétique du devenir posthumain, résumé disponible sur
- lire en ligne (page consultée le 30 avril 2008)]. Serge Venturini, « Réfléchir le passage entre visible et invisible », janvier 2008, [
- Christophe Barbier, « Comment éviter l'apocalypse? », entrevue avec Jacques Attali, L'Express, 26 octobre 2006 [lire en ligne (page consultée le 30 avril 2008)].
- Henri Bergson, L'énergie spirituelle, éd. Alcan, p. 5-6.
- Alain Jouffroy dans Manifeste de la poésie vécue, Coll. « L'Infini », Gallimard 1994, (ISBN 9782070739622), p.36. Cité par
- Maurice Merleau-Ponty. Voir le chapitre « Philosophie » de l'article
- ISBN 9782268022086), p. 91. Basarab Nicolescu, La transdisciplinarité (Manifeste), Éditions du Rocher, 1996 (
- lire en ligne (page consultée le 30 avril 2008)]. Serge Venturini, « Le tigre de l'œil », 22 décembre 2007, [
- Empédocle, autre signe », 23 janvier 2008, [lire en ligne (page consultée le 30 avril 2008)]. Serge Venturini, « La sandale d'
- L'Harmattan, coll. Poètes des cinq continents, Paris, février 2010, (ISBN 978-2-296-11117-2), p. 145. Serge Venturini, Éclats d'une poétique du devenir, Journal du transvisible, éd.
- « Cumulatif 2004 », Bibliographie nationale française. Consulté le 19 mai 2007
- Prix Charles Aznavour 2006
- « Faut-il ressusciter Sayat-Nova en Europe ? », Éditions L'Harmattan. Consulté le 19 mai 2007
- « La deuxième patrie du poète Serge Venturini : L'Arménie ! » sur Armenews, 25 décembre 2008. Consulté le 5 avril 2009.
- Auteurs contemporains d’Arménie (1/4) : Hovik Vardoumyan, L’immortel et autres nouvelles sur http://radio-aypfm.com/, 6 mars 2010. Consulté le 3 mars 2011.
- Serge Venturini (n. 1955) sur ACAM. Consulté le 4 mars 2010.
- Depuis qu'il a épousé l'Arménie... » sur Voce di Rutali in Corsica, 31 janvier 2011. Consulté le 27 février 2011. Marc Valery, «
- Fables et poésie (3) : « Légende dantesque », de Yéghiché Tcharents sur http://radio-aypfm.com/, 19 février 2011. Consulté le 27 février 2011.
- disponible sur le site (page consultée le 29 mai 2011)]. De la librairie associative : « El Camino » [
- http://radio-aypfm.com/rechercher.php?date=26-02-2011&emission=0&animateur=128&guest=serge_venturini Fables et poésie (4) : « Avant tout et en dépit de tout », de Serge Venturini] sur http://radio-aypfm.com/, 26 février 2011. Consulté le 27 février 2011. [
Voir aussi
Liens externes
- (hy) Rédaction, « Ardyounavet handipoum » (« Une rencontre constructive »), dans Grakan tert (« Journal littéraire »), no 3078, 29 juillet 2011, p. 2, traduit dans Elisabeth Mouradian, « Des écrivains arméniens rencontrent la traductrice Elisabeth Mouradian et le poète français Serge Venturini » sur Nouvelles d'Arménie Magazine, 30 août 2011. Consulté le 30 août 2011.
- Émission de radio à propos du livre « Et gravir » dans Au Fil des pages sur AYP FM (27 février 2010). Consulté le 20 février 2011.
- Textes et traductions de Serge Venturini, « « Alexandre Blok » », Espritsnomades.com. Consulté le 19 mai 2007
- Serge Venturini, « « Missak Manouchian, le poète » », Centre de recherches sur la diaspora arménienne. Consulté le 19 mai 2007
- « Lucie Aubrac », billet de Serge Venturini, site d'Angèle Paoli/Terres de femmes. Consulté le 14 avril 2009.
- « Je suis le feu, Sò u focu » en français et en corse, poème de Serge Venturini, traduit par Jean-Baptiste Giacomoni, site d'Angèle Paoli/Terres de femmes. Consulté le 14 avril 2009.
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- D'aurorales clartés : Choix de poèmes réunis par l'auteur, 1971-1995, Gutenberg XXIe siècle, Paris, 2000 (OCLC 47692464).
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