Ratery

Ratery

Colmars

Page d'aide sur l'homonymie Cet article concerne la commune des Alpes-de-Haute-Provence. Pour la préfecture du Haut-Rhin, voir Colmar.
Colmars

Fort de France
Fort de France

Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Castellane
Canton Allos-Colmars
Code Insee abr. 04061
Code postal 04370
Maire
Mandat en cours
Fernand Dyen
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Verdon-Val d'Allos
Démographie
Population 384 hab. (2006)
Densité 5 hab./km²
Gentilé Colmarsiens
Géographie
Coordonnées 44° 10′ 56″ Nord
       6° 37′ 38″ Est
/ 44.1822222222, 6.62722222222
Altitudes mini. 1178 m — maxi. 2742 m
Superficie 81,82 km²

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Colmars (en occitan vivaro-alpin: Cormarç) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Le nom officiel de la commune, tel que répertorié par le Code officiel géographique de l'INSEE, est « Colmars ». Il est toutefois fait usage, au niveau local, d'une appellation « Colmars-les-Alpes » jusqu'ici non entérinée par un décret, mais présente jusque sur les panneaux d'entrée du bourg.

Ses habitants sont appelés les Colmarsiens.

Sommaire

Géographie

La commune est située au confluent du Verdon et de la Lance, à 1 250 m d’altitude[1]. Le site du bourg est un site inscrit.

Lacs de l’Encombrette et de Lignin.

Toponymie

La première mention de l'origine dans les chartes date de 1040[1]), sous la forme Collo Martio, soit la « colline de Mars » selon Ernest Nègre[2]. Les historiens locaux réfutent cette hypothèse : Adrien Roux par exemple lit Collis Martis comme une corruption de Collis Martini, la colline de saint Martin.[réf. nécessaire]. L'usage s'est en tout cas transmis d'appeler une colline proche de la ville la colline Saint-Martin.

Hameaux

  • Clignon-Haut, Clignon-Bas
  • Chaumie-Haut, Chaumie-Bas

Quartiers

  • Les Espiniers
  • Jardinville
  • La Buissière
  • Miègessoles
  • Le Talier

Sommets et cols[3]

  • La Grande Tour (2 745 m)
  • Tête de l'Encombrette (2 681 m)
  • Tête de Valplane (2 624 m)
  • Le Laupon (2 432 m)
  • Autapie (2 424 m)
  • Roche Cline (2 415 m, en forme de pyramide)
  • Valplane

Communes limitrophes[4]

Histoire

Sur la route du col des Champs, la découverte d’une hache de l’âge du Bronze atteste de l’occupation humaine de la vallée à cette époque[5]. Quelques tombes sous tuiles de l’époque romaine ont également été découvertes[6].

En 1390, Raymond de Turenne incendie la ville, qui se consume entièrement[7].

Époque moderne

Lors des guerres de religion, la place est la cible de plusieurs attaques :

En 1690, un détachement piémontais assiège la place et incendie Villars[9].

Colmars est le centre de la production d’une toile grossière, du genre du cadis et appelée cordeillat ; la production s’exportait vers le Dauphiné et le Piémont[10]. La ville est le siège d’une viguerie jusqu’à la Révolution[11].

Révolution française

En octobre 1790, alors que la crise frumentaire à l’origine de la Révolution persiste, le maire de la commune de Colmars vient à Villars y prendre du grain qu’il y stocke, pour le déplacer à Colmars. Les habitants de Villars s’y opposent, et seule l’intervention de la garnison de Colmars permet le transport. Cet accrochage, qui se double d’un second le 8 novembre[12] débouche sur la scission en deux communes de Colmars et Villars-Colmars en mai 1792.

La société patriotique de la commune y est créée à l’été 1792, après une première tentative qui avait rencontrée l’hostilité de la municipalité au printemps[13].

XIXe et XXe siècles

La production textile reprend au XIXe, dans des fabriques inspirées de la fabrique Honnorat de Saint-André-de-Méouilles[14]. Ces deux fabriques emploient jusqu’à 25 ouvriers (1868)[15], et l’une d’elles se maintient jusqu’en 1926[16].

Héraldique

Blason Colmars.svg

Blasonnement :
d'azur à un monde d'argent, croisé du même, chargé de la lettre O de gueules, adextré de la lettre C d'or, et senestré de la lettre L du même.[17]

Le monde d'argent surmonté de la croix est un symbole papal. Les lettres C, O et L sont les trois premières lettres du nom de la commune (Armes parlantes).

Économie

Agriculture et notamment l’élevage de bétail permettent l’existence de neuf établissement agricoles.

La commune possède aussi :

  • commerces divers ;
  • prestations de services ;
  • locations de meublés pour touristes ;
  • une station de ski de fond Ratery 1700.

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
1892 1926 Adrien Roux président du Conseil général
mars 2001 réélu en 2008[18] Fernand Dyen Entrepreneur en charpenterie

La commune possède une bibliothèque municipale informatisée (catalogue en ligne).

Démographie

Évolution démographique
1700 1716 1717 1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1712 1672 1320 env. 1723[1] 1100 898 927 961 927 986 1033 1055 1097
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
1092 1118 1002 1004 990 818 845 777 708 715 707 717 550
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 -
507 424 405 389 351 311 360 311 314 367 378 384 -
Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale en 2006
Sources : INSEE[19], EHESS[20]
Courbe d'évolution démographique de Colmars depuis 1700

Lieux et monuments

Architecture civile

Les vieux ponts, le Vieux pont (au sud, à quelques mètres du pont plus moderne) et le Pont Haut (au nord) sont classés :

  • le pont Haut : long de 17,1 m et large de 2,8 m, il repose sur une arche de 6 m de portée, avec une hauteur sous clef de 17 m. Il est doté d’une trompe d'élargissement rive gauche du Verdon, et on voit les trous de boulin ménagés pour soutenir le cintre lors de la construction. Il est établi au XVIIe ou au début du XVIIIe siècle pour faire passer la route sur l’adret, moins sensible aux gelées et aux crues. Il est classé monument historique[21],[22] ;
  • le pont Saint-Roch ou pont Bas : construit en aval de Colmars, il fait 22,5 m de long pour une largeur de 2,5 m. L’arche segmentaire mesure 11 m de long et la hauteur du pont est de 7,4 m. Là aussi, les trous de boulin sont visibles. Des demi-arcs de décharge ont été ajoutés lors d’une restauration. Sa date de construction est incertaine, mais il est désaffecté en 1894 et classé monument historique en 1927[23],[24] ;
  • le pont Misson sur la rivière de la Lance est signalé dans D'une rive à l'autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours[25].

Architecture militaire

La construction d’une place forte se justifie par la présence de la frontière avec l’Ubaye à quelques kilomètres au nord de Colmars, Allos relevant alors du duché de Savoie. Colmars fait partie des places royales dès 1593[26]. Cependant, le col d'Allos n’est franchissable que quelques mois dans l’année, et n’est franchissable que par une troupe réduite, sans artillerie : aussi, la fortification de la ville n’a à faire face qu’à des assauts à l’échelle, repoussables par des feux de mousqueterie[27]. C’est ce qui explique son aspect léger, voire peu solide, très éloigné de la massive fortification bastionnée construite par Vauban dans le nord et l’est de la France.

Le bourg est fortifié dès le Moyen Âge. Ses fortifications sont reconstruites après le passage de Raimond de Turenne (1390), puis reprises au XVIe siècle. Après l’attaque savoyarde de 1690 sur Saint-Vincent-les-Forts, Niquet propose des corrections. Les tours bastionnées sont construites à ce moment-là[28]. Vauban fait un voyage dans les Alpes en 1693, mais ne visite pas la ville : il se contente de signer les plans qui lui sont proposés par ses subordonnés à Saint-Paul-de-Vence[29], commandant les deux redoutes appelées « forts »[30]. Ces redoutes et améliorations sont construites par Niquet. Il visite par contre la place en 1700, pour inspecter les travaux qu’il avait commandé, et y trouve de nombreux défauts[31], qui n’ont pas été corrigés selon ses instructions. En effet, en 1713, le traité d'Utrecht rattache l’Ubaye à la France, et Colmars devient alors une place de seconde ligne, puis de troisième ligne après le rattachement de Nice en 1860[32].

L’enceinte urbaine

L’enceinte fortifiée, selon les auteurs, en partie du XIIe siècle et du XIVe siècle (pour les murailles[28]), de la fin du XVIIe siècle (pour Raymond Collier, qui tient compte des améliorations les plus récentes[33]). Elle est défendue par cinq tours bastionnées et deux tours carrées.

Les deux tours carrées, Gravier et Claran, datent, au plus tôt du XIVe, au plus tard du XVIe siècle[28]. La tour Saint-Joseph, rectangulaire, et d’époque incertaine[34], mais rattachée par Raymond Collier aux modifications du XVIIe siècle. Les quatre tours restantes, du Clocher, du Verdon, Dauphine et Garcin, sont de forme pentagonale et dites bastionnées. Datant de 1691, elles avaient déjà été modifiées sous François Ier[35]. Les murs de toutes ces tours ont 80 cm d’épaisseur, et sont donc uniquement des défenses contre le feu de mousqueterie : elles ne peuvent résister ni à l’artillerie névro-balistique (catapultes), ni aux canons[28].

À l’origine, elle n’a que deux portes : les portes de France (au sud) et de Savoie (au nord). Chacune est défendue par une barbacane pentagonale, et par deux tours. Ces barbacanes datent du règne de François Ier[35]. La porte de Savoie est en outre dotée d’une bretèche[33]. Deux autres portes ont été ouvertes au XXe siècle.

Toute l’enceinte n’est équipée que pour résister au feu de mousqueterie, et mal pourvue en postes d’artillerie. Les forts de Savoie (au nord) et de France (au sud) constituent des défenses avancées, mais seul le fort de Savoie est équipé pour accueillir de l’artillerie[26].

L’enceinte et les forts sont classés monuments historiques[36].

Fort de Savoie

Le fort Saint-Martin, ou de Savoie, ou Desaix, est dû à Richerand, qui dessine les plans, et en dirige l’exécution de 1693 à 1695[37]. L’ancienne église collégiale qui se trouvait sur son emplacement est abattue.

Il est renforcé d’échauguettes, pont-levis, d’un haha et de casemates au début du XIXe siècle[38]. Son plan est trapézoïdale ; du côté de la ville, un avant-fort et une tour à canons ronde le renforcent (mais la tour à canon n’a jamais été dotée de système d’évacuation des fumées). Enfin, une communication semi-enterrée et en zigzags relie le fort à la ville. Il possède les seuls logements construits pour la troupe de toute la place : ils ne servaient cependant qu’en cas de siège et en temps de paix, pour abriter la garde tournante. Le reste de la garnison logeait chez l’habitant. Les dortoirs sont équipés de cheminées de ventilation.

Il sert actuellement de salle de spectacles et d’exposition.

Fort de France

Le fort Sud, ou du Calvaire, ou de France, ou Soult, est construit à la même époque que le fort de Savoie, également par Richerand. Il est doté de locaux de réserve enterrés (dont une poudrière), une citerne et une caserne. L’enceinte carrée a 25 m de côté, avec des murs épais de quatre mètres à la base. Les fossés qui l’entourent ont 7 m de large mais moins d’un mètre de profondeur. La terrasse offre un espace restreint pour la manœuvre des canons ; pour rendre les artilleurs invisibles aux vues d’ennemis placés sur les hauteurs voisines, des parapets en pierre sèche sont construits[39].

Diverses améliorations lui ont été apportées au XIXe siècle :

  • le parapet crénelé est créé en 1827 ;
  • les deux courettes latérales ont été couvertes afin d’aménager deux chambres, pour l’officier et les hommes de troupe.

Il a conservé sa double caponnière d’accès construite en 1693-95[40],[39].

Une première restauration, après défrichage et déblaiement, a eu lieu en 1980 par Etudes et Chantiers.

Autres installations militaires

L’arsenal est construit dans la première moitié du XIXe siècle[41]. L’ancien hôpital des Bourgeois, à trois étages et datant du XVIIIe siècle, transformé en caserne au XIXe siècle, et classée monument historique.

Bien que n’ayant eu aucun rôle militaire, et s’étant retrouvée loin des frontières à partir de 1713 et du traité d'Utrecht (rattachement de l’Ubaye à la France), la place n’est déclassée qu’en 1921[26].

Art religieux

L’église est entièrement reconstruite après l’incendie de 1672, entre 1681 et 1696. D’architecture gothique, ses quatre travées sont voûtées d’ogives. Son chœur est voûté d’ogives. Elle n’a qu’un seul collatéral : il est simplement voûté d’arêtes, et la séparation d’avec la nef se fait avec des arches en plein cintre[42]. L’église est imbriquée dans l’enceinte, et le clocher est construit dans un bastion ; sa toiture est faite de tuiles multicolores[43]. Elle est classée monument historique, avec la chapelle de la Vierge accolée[44], ancienne chapelle des pénitents blancs[45].

Plusieurs éléments de son mobilier ont fait l’objet d’un classement comme monument historiques au titre objet :

Chapelles :

  • Saint-Jean (dont le retable est classé),
  • église Sainte-Marie-Madeleine à Clignon,
  • Saint-Joseph (XVIe siècle), qui possède un riche mobilier classé :

Lieux

Cascade de la Lance l’hiver (site classé)

La cascade de la Lance est un site classé.

Divers

Sur la porte de France, se trouve un cadran solaire aux couleurs et à l’aspect militaire, face au sud[54]. Sur la place du presbytère, le cadran date de 1893, époque tardive pour un cadran (l’heure légale datant de 1881 en France)[55]. Raymond Collier précise sa devise : « Si sol deficit, respicit me nemo »[56].

Galerie

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Personnalités liées à la commune

  • Adrien Roux (1864-1947), notaire durant 46 ans, maire en 1892 à 1926, conseiller général, réélu pendant 42 ans de 1895 à 1937, élu président du conseil général le 17 septembre 1912, il devint le doyen de cette assemblée en 1928. Officier de l'instruction publique en 1901, chevalier du Mérite Agricole en 1904, il était promu officier de la Légion d'Honneur le 21 janvier 1938[57].

Voir aussi

Articles de Wikipédia

Liens externes

Bibliographie

  • Mémoires d'Adrien Roux, notaire à Colmars et conseiller général, mort dans les années 1950. L'original se trouve aux archives départementales de Digne.
  • Amis des forts Vauban de Colmars et Association Vauban, Vauban et ses successeurs dans les Alpes de Haute-Provence, Association Vauban, Paris, 1992

Notes et références

  1. a , b , c , d  et e Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », Paris, 1989, Relié, 72 (non-paginé) p. (ISBN 2-7399-5004-7) 
  2. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Volume I : Formations préceltiques, celtiques, romanes Notice 6114, p 403
  3. Carte IGN 3540 OT
  4. Carte du Pays A3V sur [1], consultée le 27 septembre 2008
  5. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, 1986, 559 p., p 9
  6. Raymond Collier, op. cit., p 38
  7. Henri Ribière, « Colmars-les-Alpes », in Amis des forts Vauban de Colmars et Association Vauban, Vauban et ses successeurs dans les Alpes de Haute-Provence, Association Vauban, Paris, 1992, p 89
  8. Pierre Miquel, Les Guerres de religion, Club France Loisirs, 1980, (ISBN 2-7242-0785-8 ), p 211
  9. Henri Ribière, « Colmars-les-Alpes », in Amis des forts Vauban de Colmars et Association Vauban, Vauban et ses successeurs dans les Alpes de Haute-Provence, Association Vauban, Paris, 1992, p 94
  10. Raymond Collier, op. cit., p 414
  11. La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 107
  12. La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 11
  13. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-301
  14. Mireille Mistral, L’industrie Drapière dans la Vallée du Verdon, thèse de doctorat d’État en Sciences économiques, Académie d’Aix-en-Provence, Nice, 1951, 231 p., p 119
  15. Mireille Mistral, op. cit., p 145
  16. Mireille Mistral, op. cit., p 192
  17. Louis de Bresc Armorial des communes de Provence 1866. Réédition - Marcel Petit CPM - Raphèle-lès-Arles 1994
  18. Site de la préfecture des AHP
  19. Colmars sur le site de l'Insee
  20. EHESS, notice communale de Colmars sur le site Cassini, consultée le 10 mars 2009
  21. Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p 70
  22. Arrêté du 29 décembre 1948, notice de la Base Mérimée, consultée le 6 novembre 2008
  23. Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p 71
  24. Arrêté du 8 décembre 1927, notice de la Base Mérimée, consultée le 6 novembre 2008
  25. Cité dans Philippe Autran, Guy Barruol, Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006
  26. a , b  et c Raymond Collier, op. cit., p 332
  27. Amis des forts Vauban de Colmars et Association Vauban, Vauban et ses successeurs dans les Alpes de Haute-Provence, Association Vauban, Paris, 1992
  28. a , b , c  et d Henri Ribière, op. cit., p 89
  29. Henri Ribière, « Colmars-les-Alpes », in Amis des forts Vauban de Colmars et Association Vauban, Vauban et ses successeurs dans les Alpes de Haute-Provence, Association Vauban, Paris, 1992, p 95
  30. Roger Bornecque, « Vauban en Haute-Provence », Amis des forts Vauban de Colmars et Association Vauban, Vauban et ses successeurs dans les Alpes de Haute-Provence, Association Vauban, Paris, 1992, p 16
  31. Roger Bornecque, op. cit., p 19-20
  32. Henri Ribière, op. cit., p 96
  33. a  et b Raymond Collier, op. cit., p 331
  34. Henri Ribières, op. cit., p 89
  35. a  et b Henri Ribière, op. cit., p 90
  36. Aarrêté du 12 février 1923, notice de la Base Mérimée, consultée le 6 novembre 2008
  37. Henri Ribières, op. cit., p 91
  38. notice de la Base Mérimée, consultée le 6 novembre 2008
  39. a  et b Ribière, op. cit., p 90-91
  40. notice de la Base Mérimée, consultée le 6 novembre 2008
  41. notice de la Base Mérimée, consultée le 6 novembre 2008
  42. Raymond Collier, op. cit., p 381-382
  43. Raymond Collier, op. cit., p 514
  44. Arrêté du 18 juillet 1994, notice de la Base Mérimée, consultée le 6 novembre 2008
  45. Henri Ribière, « L’Affaire des trous », op. cit., p 116-117
  46. Arrêté du 25 mars 1956, notice de la Base Palissy, consultée le 6 novembre 2008
  47. Arrêté du 14 novembre 1994, notice de la Base Palissy, consultée le 6 novembre 2008
  48. Arrêté du 13 juin 1988, notice de la Base Palissy, consultée le 6 novembre 2008
  49. Arrêté du 13 juin 1988, notice de la Base Palissy, consultée le 6 novembre 2008
  50. Arrêté du 9 décembre 1988, notice de la Base Palissy, consultée le 6 novembre 2008
  51. Arrêté du 29 janvier 1990, notice de la Base Palissy, consultée le 6 novembre 2008
  52. Arrêté du 3 mars 1958, notice de la Base Palissy, consultée le 6 novembre 2008
  53. Arrêté du 20 décembre 1995, notice de la Base Palissy, consultée le 6 novembre 2008
  54. Jean-Marie Homet et Franck Rozet, Cadrans solaires des Alpes-de-Haute-Provence, Édisud, Aix-en-Provence, 2002, ISBN 2-7449-0309-4, p 89
  55. Homet et Rozet, Cadrans solaires…, p 90
  56. Raymond Collier, op. cit., p 448
  57. [2]
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