Première direction générale du KGB de l'URSS

Première direction générale du KGB de l'URSS

Première direction générale du KGB

Première direction générale (espionnage) du KGB
Первое главное управление (внешняя разведка) Комитета государственной безопасности (КГБ)
Création 18 mars 1954
Dissolution 24 octobre 1991
Type Service sous l'autorité du Président du KGB près le Conseil des ministres de l'URSS (18 mars 1954-5 juillet 1978), plus tard - du Président du KGB de l'URSS (5 juillet 1978-24 octobre 1991)
Siège Loubianka de 1954 à 1972
après 1972 - Iassénévo
Moscou
URSS Union soviétique
Budget inconnu
Effectifs inconnu
Affiliation(s) Institut Andropov du Drapeau rouge du KGB
Groupe spécial "Vympel"
Site web svr.gov.ru successeur officiel

La Première direction générale (-Gué-OU) du Comité de sécurité d'Etat (en russe : Первое главное управление (ПГУ) Комитета государственной безопасности (КГБ)) était de 1954 à 1991 la forme administrative de l'espionnage politique extérieur soviétique et russe existant depuis le 20 décembre 1920[1] qui est profondément idéologique et extrêmement corporatiste, dont lidéologie fondatrice est le tchéquisme bolchevik. Il rend un hommage particulier à Félix Dzerjinskison père créateur et idéologue initial.

Sommaire

Histoire administrative de la -Gué-Ou du KGB

Lors de la courte période transitoire après la mort de Staline en mars 1953, lespionnage politique tchékiste provisoirement a été confié à la Deuxième direction générale (-Gué-Ou) du nouveau ministère de lintérieur de lURSS agrandi par la fusion des MVD et MGB anciens.

Un des hauts dirigeants de la -Gué-Ou du MVD était Alexandre Panuchkine [2] qui sest fait remarqué par la plus haute hiérarchie du Kremlin encore dans la période des grands nettoyages de 1938-1939 il avait dirigé le troisième département spécial du NKVD chargé des opérations secrètes, dont les filatures et arrestations des "ennemis du peuple". Ensuite il a été le Rézidiente et ambassadeur en Chine et aux Etats-Unis à lépoque la diplomatie et lespionnage soviétiques ne faisaient quun. Après la Deuxième guerre mondiale Panuchkine était déjà le grand patron de lespionnage extérieur soviétique qui sappelait le Comité dinformation (près le Conseil des ministres et ensuite près le Ministère des affaires étrangères de lURSS).

Le 13 mars 1954 a été créé un organisme administratif à part - le Comité de sécurité dEtat (le KGB) auprès du Conseil des ministres de lURSS. Lancien premier adjoint du ministre de lintérieur (MVD) de lURSS, le général-colonel Ivan Sérov est devenu le premier président de la corporation professionnelle tchékiste placée sous le strict contrôle idéologique du Comité central du PCUS dirigé par son nouveau premier secrétaire Nikita Khrouchtchev.

Donc, le 18 mars 1954 par l'ordre du président du KGB lespionnage politique soviétique a été définitivement confié à la Première direction principale (la -Gué-Ou) du KGB nouvellement créé il est resté pendant 37,5 ans jusquen octobre 1991.

Le premier chef de la -Gué-Ou était toujours le même Alexandre Panuchkine qui, en revanche, nest resté à la tête de la -Gué-Ou quune année. Lorsque Panuchkine est devenu haut fonctionnaire dans lappareil du Comité central du Parti communiste, cétait son premier adjoint, un autre espion professionnel, le général Alexandre Sakharovskiy qui a été dabord pendant un an chef par intérim puis en 1956 a définitivement pris la direction de lespionnage politique. Sakharovsky va rester 16 ans en tout à la tête de la -Gué-Ou. [3]

Devenu plus puissant sous limpulsion de Youri Andropov, ancien haut fonctionnaire du Parti nommé son président en 1968, le KGB change radicalement de statut le 5 juillet 1978. Il est libéré de la tutelle du Conseil des ministres de lURSS et devient le KGB de lURSSespèce dun super ministère indépendant, dont le Président est membre de droit du Politburo du Comité central du PCUS. Par la même occasion, grandit le statut de la -Gué-Ou dont le chef depuis 1974 Vladimir Krioutchkov devient à partir du novembre 1978 ladjoint (de droit) du Président du KGB de lURSS. Krioutchkov est resté à la tête de la -Gué-Ou pendant 14 ans pour sasseoir à son tour en 1988 dans le fauteuil du Président du KGB et membre du Politburo ayant appartenu à son ancien patron Youri Andropov.

Une pâle mais fidèle ombre dAndropov, ne voulant pas de concurrents et espérant mettre fin à linfluence corporatiste des anciens espions émérites de la guerre froide, Vladimir Krioutchkov qui en quittant la direction de la -Gué-Ou avait le rang militaire de général darmée, hésite pendant un an avant de mettre comme son remplaçant à Iassénévo Léonid Chebarchine, à lépoquesimple général-major. Lidée de Krioutchkov est primitive : le nouveau patron de lespionnage du KGB sera à sa botte car il na pas assez de carrure pour faire de lombre même à une ombre lamentable dAndropov, doit tout à son bienfaiteur et na aucun savoir-faire des intrigues du Kremlin.

De toute façon, les jours de lancienne Union soviétique sont déjà comptés et avec elledu KGB et de son espionnage politique, pense-t-on à lépoque. Comme suite au Putsch de Moscou daoût 1991, coup d'état manqué à la fin de la pérestroïka en URSS, le renseignement extérieur (espionnage) politique de l'Union soviétique cesse dêtre une constituante administrative du KGB.

Un homme de lextérieur, Vadim Bakatine est nommé à la tête du KGB par le président de lURSS Mikhaïl Gorbatchev dans un seul et unique butcasser définitivement la machine monstrueuse tchékiste en la faisant éclater en morceaux. Le liquidateur du KGB propose un civil, académicien arabisant, président de la chambre haute du parlement de lURSS et candidat aux membres du Politburo Ievgueni Primakov à la tête de la -Gué-Ou afin de casser à son tour la corporation fermée des espions.

Le 24 octobre 1991 la -Gué-Ou est administrativement séparée du KGB et devient un organisme autonome qui est baptisé dabord le Service central de renseignement de l'URSS. Après la dislocation de lURSS, le SCR devient le Service des renseignements extérieurs de la Fédération de Russie - depuis le mois de décembre 1991 et jusquà maintenant.

Contrairement aux ordres reçus de Gorbatchev, le nouveau directeur civil du SVR non seulement ne casse pas la corporation tchékiste de lespionnage, mais la préserve autant que possible, la renforce et lui donne une impulsion quelle na pas connue depuis le bon vieux temps dAndropov.

Bases juridiques et idéologiques des activités de la -Gué-Ou du KGB

  • LOukase n°137/40 du 13 mars 1954 du Præsidium du Soviet suprême (parlement) de lURSS portant sur la création du KGB auprès du Conseil des ministres de lURSS, signé par le maréchal Kliment Vorochilov [4].
  • Les statuts secrets du KGB auprès du Conseil des ministres de lURSS avec les amendements adoptés par le paragraphe XVIII du protocole secret n°200-P du 9 janvier 1959 du Præsidium du Comité central du Parti communiste de l'Union soviétique (PCUS), signé par le premier secrétaire Nikita Khrouchtchev [5].
  • Les Constitutionslois fondamentales de lURSS de 1936 et 1977.
  • Les décisions des congrès du PCUS et des plénums du Comité central du PCUS.
  • Les décisions secrètes du Conseil des ministres de lURSS.
  • La loi de lURSS portant sur lobligation universelle militaire des citoyens de lURSS
  • La loi de lURSS portant sur la défense
  • Le serment militaire de lURSS (pour servir les intérêts du Parti communiste de lURSS).
  • Les décisions secrètes de la direction du KGB et des organismes du PCUS dans ses structures.
  • Les conventions secrètes des pays du Pacte de Varsovie.
  • Les conventions et les accords signés par lURSS avec les pays étrangers.
  • Les accords secrets de coopération signés par le KGB avec les organes de sécurité des pays étrangers.
  • Les accords secrets de coopération signés par la -Gué-Ou du KGB avec les services despionnages des pays étrangers.
  • La loi de lURSS n°15 (ВВСС 15-419) du 1 avril 1991 portant sur la "Liste des ministères et autres organismes de la direction centrale dEtat"
  • La loi de lURSS n°2159-I (ВВСС 91-22) du 16 mai 1991 portant sur les "Organes de sécurité dEtat en URSS"
  • La loi de lURSS n°124-N du 3 décembre 1991 portant sur la "Réorganisation des organes de sécurité dEtat"
  • Autres documents publics et/ou secrets.

Composition de la -Gué-Ou du KGB

La -Gué-Ou du KGB se composait de lappareil central (administration centrale) basé à Moscou, des représentations déconcentrées sur tout le territoire de lURSS, des représentations officielles du KGB à létranger dans les pays "amis", ainsi que des rézidientouras secrètes ou clandestines du KGB à létranger, dites "légales" et "illégales", dans les pays "ennemis".

Organigramme de l'appareil central (administration centrale) de la -Gué-Ou du KGB

Depuis 1954 lorganigramme de la -Gué-Ou a changé plusieurs fois. Voici comment il peut être résumé vers les années 1980-1991. [6]

Direction

Les Chefs de la -Gué-Ou du KGB

La -Gué-Ou du KGB était dirigée par les Chefs militaires ou civils, dont voici la liste complète :

  • PANUCHKINE Alexandre Sémionovitch (1954-1955), premier chef [7]
  • SAKHAROVSKIY Alexandre Mikhaïlovitch (1955-1956 par intérim, 1956-1971), général-lieutenant, ensuite général-colonel [8]
  • MORTINE Fiodor Konstantinovitch (1971-1974), général-lieutenant [9]
  • KRIUOTCHKOV Vladimir Alexandrovitch (1974-1988), général-lieutenant, ensuite général-colonel, puis général darmée, devenu en 1988 le Président du KGB de lURSS et membre du Politburo [10]
  • KIRPITCHEKO Vadim Alexéyévitch, (1988-1989), chef par intérim, général-lieutenant [11]
  • CHEBARCHINE Léonid Vladimirovitch (1989-1991), général-major, ensuite général-lieutenant [12]
  • PRIMAKOV Yevguéni Maximovitch (septembre-octobre 1991), le seul et unique chef civil
Les premiers adjoints au Chef de la -Gué-Ou du KGB
Les chefs adjoints de la -Gué-Ou du KGB

Les chefs adjoints de la -Gué-Ou du KGB le plus souvent dirigeaient les directions géographiques et/ou fonctionnelles les plus importantes.

Adjoints du chef de la -Gué-Ou, directeurs de la Direction "S" du KGB
  • KOROTKOV Alexandre Mikhaïlovitch (19541956) [18]
  • KROKHINE Alexeï Alexeyévitch (19561958) [19]
  • PAVLOV Vitaly Grigoriyévitch (19581961) [20]
  • TSYMBAL Mikhaïl Stépanovitch (19611966)
  • LAZAREV Anatoly Ivanovitch (19661974)
  • KIRPITCHENKO Vadim Alexeyevitch, (1974-1979), ensuite le Premier adjoint au Directeur général de la -Gué-OU du KGB (1979-1991), puis chef de groupe des consultants près le Directeur du SVR de Russie (1991-1997), décédé en 2005. [21]
  • DROZDOV Youri Ivanovitch , (1979-1991), actuellement à la retraite, CEO du cabinet Namakon ("Намакон") [22]
  • JOURAVLIOV Youri Ivanovitch (1991)
Divers
  • Comité du PCUS de la -Gué-Ou du KGB
  • Secrétariat du chef de la -Gué-Ou du KGB
  • Chancellerie de la -Gué-Ou du KGB
  • Groupe de consultants auprès du Chef de la -Gué-Ou du KGB
  • Département juridique

Départements opérationnels dits "géographiques" de la -Gué-Ou du KGB

La majorité des départements opérationnels dits "géographiques" de la -Gué-Ou du KGB assuraient la direction générale et coordination de toutes les activités despionnage du KGB dans leurs pays respectifs, ainsi que fournissaient le contingent des éléments opérationnels pour la ligne "PR" dans les Rézidientouras dites "légales" à létranger.

Départements opérationnels particuliers de la -Gué-Ou du KGB

Trois départements opérationnels avaient des particularités :

  • 11e: les contacts avec les pays socialistesdirection générales des activités des représentations officielles du KGB dans les pays du Pacte de Varsovie et certains autres pays "frères", dont Cuba et Mongolie
  • 19e: émigration russe à l'étranger - la ligne "EM" dans les Rézidientouras dites "légales" à létranger.
  • 20e: les contacts avec les pays du tiers monde (en voie de développement) - direction des activités des représentations officielles et/ou des conseillers du KGB dans les pays "amis", dont la Syrie et l'Afghanistan (après 1979),

Directions opérationnelles spécialisées

Les directions opérationnelles spécialisées de la -Gué-Ou du KGB assuraient la direction générale des activités despionnage du KGB dans leurs domaines réservés respectifs, ainsi que fournissaient le contingent des éléments opérationnels pour les lignes respectives dans les Rézidientouras dites "légales" à létranger.

Directions dites "fonctionnelles"

  • Direction "RI" (d'analyse et évaluation d'information) [34]
  • Direction "R" (dispositif de planification et d'analyse)
  • Direction "OT" (dispositif technique)
  • Direction "I" (service informatique) [35]
  • Direction du personnel
  • Direction de la logistique et du patrimoine

Services

  • Service "A" (désinformation : opérations actives) [36]
  • Service "R" (communications radio)
  • Service "A" de la huitième direction générale du KGB (cryptologie)

Autres

  • 15e département: d'enregistrement et d'archives
  • 16e département: interceptions électroniques et des opérations de décryptage des émissions des services spéciaux des pays de l'Ouest [37]

Etablissements de formation et de recherches

  • Institut décoré de l'Ordre du drapeau rouge et portant le nom de Youri Andropov ("KI" abréviation de "Krasnoznamennyi Institoute") [38]
  • Institut de recherches des problématiques de renseignement ("NIIRP")
  • Cours de formation continue des cadres dirigeants ("OUSSO")
  • Centre de formation autonome ("Vympel")

Les représentations territoriales (services déconcentrés) de la -Gué-Ou du KGB en URSS

A Moscoula capitale de lURSS

  • Direction "RT" (opérations effectuées à partir du territoire d'URSS) – appareil central des représentations de la PGOU sur le territoire de lURSS
  • 1er département dans la Direction du KGB pour la ville de Moscou et sa région

Représentations déconcentrées en provinces soviétiques

  • Les premières directions dans les appareils centraux des KGB des républiques socialistes soviétiques de lURSS, à lexception de la RSFSR - 14 en tout, dans les capitales des républiques
  • Les premiers départements dans les directions territoriales du KGB des républiques autonomes, régions et oblasts de toute lURSS (dans les chefs-lieux)
  • Les premières sections des départements territoriaux du KGB dans les chefs-lieux des "raions" de toute lURSS.

Les représentations de la PGOU à létranger

Suivant le degré de "lamitié" entre lURSS et les pays du monde, les antennes du KGB à létranger étaient soit les représentations officielles du KGB auprès des organes de sécurité des pays "frères", soit des conseillers du KGB dans certains pays "amis", soit dans les pays "ennemis" - les antennes secrètes ou rézidientouras (dites "légales") sous le toit diplomatique des ambassades de lURSS ou les antennes complètement clandestines (dites "illégales").

Les représentations officielles du KGB dans les pays "frères" (socialistes)

A partir de 1953 sont créés les représentations officielles des organes de sécurité dEtat soviétiques dans les pays du pacte de Varsovie et dans dautres pays "frères": [39]

Les représentations officielles principales du KGB étaient toujours basées dans les capitales des pays daccueil.

Dans les certaines provinces des pays daccueil, il pouvait y avoir des groupes de conseillers du KGB sur le terrain (par exemple, Vladimir Poutine en 1986-1990 faisait partie du petit groupe du KGB basé dans la ville de Dresde en RDA)

Les représentations officielles ou conseillers du KGB dans les pays "amis"

Les antennes dites "légales" dans les pays "ennemis"

Le plus souvent les rézidientouras ou antennes dites "légales" se trouvaient sous la couverture des ambassades ou des consulats dURSS dans les grands pays étrangers. Ces antennes possédaient les moyens importants techniques et les télécommunications codées. [49]

Les antennes dites "illégales" dans les pays "ennemis"

Les rézidientouras ou antennes dites illégales étaient des réseaux clandestins autonomes dépendant de la Direction "S" de la -Gué-Ou du KGB.

Même étant très fragiles en cas de défaillances (n'ayant aucune protection diplomatique), les rézidientourass clandestines, dites "illégales", étaient la forme idéale opérationnelle car quasiment indécelables par les services "ennemis" du contre-espionnage. Ces structures étaient complètement autonomes et possédaient le plus souvent l'équipement radio nécessaire qui leur permettait les communications codées directes avec le "Centre" (administration centrale à Moscou) sans passer par l'intermédiaire des antennes "légales" sous le toit des représentations officielles diplomatiques soviétiques à l'étranger.

Toutes les opérations réellement importantes (dont le nombre reste assez limité) passaient uniquement par ces réseaux clandestins.

Références

  1. russe : PGOU du KGB
  2. russe : Biographie de Panuchkine
  3. russe : Biographie de Sakharovskiy
  4. russe : Texte de l'oukase n°137/40 du 13 mars 1954 du Præsidium du Soviet suprême (parlement) de lURSS portant sur la création du KGB auprès du Conseil des ministres de lURSS - image au format JPEG
  5. russe : Texte des statuts secrets du KGB auprès du Conseil des ministres de lURSS adoptés par le paragraphe XVIII du protocole secret n°200-P du 9 janvier 1959 du Præsidium du Comité central du PCUS
  6. russe : Première direction générale du KGB
  7. russe : Biographie de Panuchkine
  8. russe : Biographie de Sakharovskiy
  9. russe : Biographie de Mortine
  10. russe : Biographie de Krioutchkov
  11. russe : Biographie de Kirpitchenko
  12. russe : Biographie de Chebarchine
  13. russe : Biographie de Sakharovskiy
  14. russe : Biographie de Mortine
  15. russe : Biographie de Krioutchkov
  16. russe : Biographie dIvanov
  17. russe : Biographie de Kirpitchenko
  18. russe : Biographie de Korotkov
  19. russe : Biographie de Krokhine
  20. russe : Biographie de Pavlov
  21. russe : Biographie de Kirpitchenko
  22. russe : Biographie de Drozdov
  23. russe : 1er Département de la Première direction générale du KGB
  24. russe : 2e Département de la Première direction générale du KGB
  25. russe : 3e Département de la Première direction générale du KGB
  26. russe : 4e Département de la Première direction générale du KGB
  27. russe : 7e Département de la Première direction générale du KGB
  28. russe : 17e Département de la Première direction générale du KGB
  29. russe : Direction "K" de la Première direction générale du KGB
  30. russe : Direction "T" de la Première direction générale du KGB
  31. russe : 10e Département de la Première direction générale du KGB
  32. russe : Direction "S" de la Première direction générale du KGB
  33. russe : 13e Département de la Première direction générale du KGB
  34. russe : Direction "RI" de la Première direction générale du KGB
  35. russe : Direction "I" de la Première direction générale du KGB
  36. russe : Département "D" - Service "A" de la Première direction générale du KGB
  37. russe : 16e Département de la Première direction générale du KGB
  38. russe : Institut décoré de l'Ordre du drapeau rouge et portant le nom de Youri Andropov
  39. russe : Les représentations officielles du KGB dans les pays "frères" (socialistes)
  40. russe : Représentation du KGB en RDA
  41. russe : Représentation du KGB en Pologne
  42. russe : Représentation du KGB en Tchécoslovaquie
  43. russe : Représentation du KGB en Hongrie
  44. russe : Représentation du KGB en Bulgarie
  45. russe : Représentation du KGB au Cuba
  46. russe : Représentation du KGB en Chine
  47. russe : Représentation du KGB en Albanie
  48. russe : Représentation du KGB en Afghanistan
  49. russe : Les antennes dites "légales" dans les pays "ennemis"
  50. russe : Rézidientoura du KGB à Washington
  51. russe : Rézidientoura du KGB à New-York
  52. russe : Rézidientoura du KGB en Grande-Bretagne
  53. russe : Rézidientoura du KGB en RFA
  54. russe : Représentation du KGB en RDA
  55. russe : Rézidientoura du KGB en France
  56. russe : Rézidientoura du KGB en Autriche
  57. russe : Rézidientoura du KGB en Italie
  58. russe : Rézidientoura du KGB en Suède
  59. russe : Rézidientoura du KGB en Finlande
  60. russe : Rézidientoura du KGB en Inde
  61. russe : Rézidientoura du KGB en Iran
  62. russe : Rézidientoura du KGB en Chine
  63. russe : Rézidientoura du KGB au Japon

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

En français

  • Christopher Andrew, Oleg Gordievsky, Le KGB dans le monde, 1917-1990, Fayard, 1990. ISBN : 2213026009
  • Christopher Andrew, Vassili Mitrokhine, Le KGB contre l'Ouest : 1917-1991 , Fayard , 2000. ISBN : 2213607443
  • John Barron, Enquête sur le KGB, Fayard, 1984.
  • Hélène Blanc, KGB Connexion : Le système Poutine, Hors Commerce, 2004. ISBN : 2915286159
  • Brian Freemantle, Le KGB, 1986. ISBN : 2259014348
  • Jean-Louis Loubet del Bayle, Police et politique. Une approche sociologique, L'Harmattan, 2006.
  • Roumiana Ougartchinska, KGB & Cie à l'assaut de l'Europe, Éditions Anne Carrére, 2005. ISBN : 2843372887
  • Nadine Marie-Schwartzenberg, Le KGB, PUF, Que sais-je ? n°2757, 1993.
  • Ronald Seth, SMERSH, Stock, 1970.
  • Thierry Wolton, Le KGB en France, Editions Grasset, 1986.
  • Kim Philby, Ma guerre silencieuse, Editions Robert Laffont, 1968. Les mémoires du célèbre agent double (MI6-KGB).

En anglais

  • Oleg Gordievsky, Christopher Andrew, KGB: The Inside Story, Hodder & Stoughton, 1990. (ISBN 0-340-48561-2)
  • Oleg Gordievsky, Christopher Andrew, The KGB, HarperCollins, 1990. (ISBN 0-06-016605-3)
  • Oleg Gordievsky, Christopher Andrew, Instructions from the Centre: Top Secret Files on KGB Foreign Operations, 1975-85, Hodder & Stoughton, 1991. (ISBN 0-340-56650-7).
  • Oleg Gordievsky, Christopher Andrew, More Instructions from the Centre: Top Secret Files on KGB Foreign Operations, 1975-85, Frank Cass Publishers, 1992. (ISBN 0-7146-3475-1).
  • Oleg Gordievsky, Next Stop Execution (autobiography), Londres, Macmillan, 1995. (ISBN 0-333-62086-0)
  • Jakob Andersen, Oleg Gordievsky, De Røde Spioner - KGB's operationer i Danmark fra Stalin til Jeltsin, fra Stauning til Nyrup, Copenhagen, Høst & Søn, 2002. (ISBN 8-7142-9856-2)

En russe

  • Алексушин Г. В. "История правоохранительных органов", Самара, Издательство АНО «ИА ВВС» и АНО «Ретроспектива», 2005.
  • Рыбников В. В., Алексушин Г. В. "История правоохранительных органов Отечества. Учебное пособие для вузов", М., Издательство «Щит-М», 2007, ISBN 978-5-93004-254-2
  • Север А., "История КГБ", М., издательство "Алгоритм", 2008, 336 pages, série "Щит и меч. К 90-летию ВЧК", ISBN 978-5-9265-0545-7, tirage 5 mille ex.
  • Север А., "Спецназ КГБ. Гриф секретности снят!", M., издательство "Яуза Эксмо", 2008, 800 pages, ISBN 978-5-699-30397-7, tirage 5 mille ex.
  • А. Н. Яковлев, "Лубянка. Органы ВЧК-ОГПУ-НКГБ-МГБ-МВД-КГБ. 19171991", Справочник. М., 2003

Liens externes

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