- Mostaganem
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Mostaganem Administration Nom algérien مـسـتـغـانـم Pays Algérie Wilaya Mostaganem Daïra Mostaganem Code ONS 2701 Code postal 27000 Culture et démographie Population 145 696 hab. (2008[1]) Densité 2 914 hab./km2 Géographie Coordonnées Altitude 85 m Superficie 50 km2 Mostaganem (arabe : مستغانم, Moustaghanim ; prononcé localement Mestghalem), est une commune algérienne de la wilaya de Mostaganem dont elle est le chef-lieu. C'est une ville portuaire de la Méditerranée, située au nord-ouest de l'Algérie, à 365 km à l'ouest d'Alger.
Sommaire
Géographie
Situation
Le territoire de la commune de Mostaganem est situé à l'ouest de sa wilaya.
Relief
Mostaganem est située à 104 mètres d'altitude sur le rebord d’un plateau côtier. La ville contemple à l’ouest la large baie d’Arzew que termine le djebel Orousse ; elle est considérée comme la capitale de la Dahra.
La ville est assise sur les rives de l’Aïn Sefra dont, à plusieurs reprises et notamment en 1927, elle a eu à redouter les crues. Elle se compose d’une ville neuve, très étendue, et d’une vieille ville, plus compacte, accrochées de part et d’autre d’un profond ravin creusé par l’Aïn Sefra, qui arrose des jardins. La localité est située au débouché des plaines du Chélif et de la Macta.
Climat
Données climatiques à Mostaganem. mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température moyenne (°C) 11 12 14 17 19 21 24 25 23 20 16 13 17 Précipitations (mm) 92 72 60 40 35 9 2 3 16 46 76 75 524 Source : Weatherbase, statistiques sur 10 ans[2].Toponymie
L’étymologie du mot "Mustaghanim", n'a pas d'explication précise donnée par les historiens ou les géographes arabes, cependant plusieurs essais d’explication sont diversement conservés chez les populations locales."Mustaghanim" serait composé de deux termes distincts, mais il existe plusieurs significations des deux termes[3]:
- Machta (station hivernale) et Ghanem (riche éleveur de moutons).
- Marsa et Ranem, qui signifie le port du butin.
- Misk el Ghanem, qui signifie abondance de troupeaux.
Enfin, pour quelques historiens de l’antiquité, ce serait plutôt à un port romain Murustaga que Mostaganem devrait son étymologie[3].
Histoire
Antiquité
Le site est occupé par les Phéniciens. Port punique du nom de Murustaga, la ville fut reconstruite par les Romains qui lui donnèrent, au temps de Gallien (260-268), le nom de Cartenna. Le site semble avoir été occupé durant le haut Moyen Âge[4].
Période islamique
La région de Mostaganem est le foyer des tribus Zénètes des Maghraoua, la ville fait partie des villes de cette confédération dont le territoire est la Dahra[5]. En 1082 le prince Almoravide Youssef Ibn Tachfin y construit un fort appelé "Bordj El-Mehal", l’ancienne citadelle de Mostaganem. La ville appartient ensuite aux Zyanides de Tlemcen, puis aux Mérinides de Fès, dont l’un d’eux, Abu al-Hasan ben Uthman, a construit la grande mosquée en 1340[6].
La cité n'a cessé de s'agrandir et de s'orner de monuments, elle acquit aussi la réputation de ville du savoir avec une vie mystique intense, ainsi qu'en témoignent les nombreux sanctuaires[6].La ville est citée dans le grand ouvrage d'El Idrissi: « petite ville située au fond d'un golf, possède des bazars, des bains, des jardins et beaucoup d'eau. »[5].
Période ottomane
En 1511, les Espagnols imposèrent aux habitants de Mostaganem un traité de capitulation. Pour prévenir cette occupation les Ottomans prennent la ville en 1516[7].
Après plusieurs années de résistance, les habitants firent appel à Kheïr Ed Dine Barberousse avec l’aide duquel ils infligèrent aux Espagnols une sérieuse défaite devant Mazaghran (août 1558). Mostaganem passa alors sous la domination des Ottomans , elle fut agrandie et fortifiée par Kheïr Ed Dine. Mostaganem devient alors une rivale d’Oran Espagnole, et voit son importance croître[7].
Mostaganem et sa région ont abrité de nombreux Maures d'Espagne, qui ont construit de nombreux quartiers et villages et fondé de grandes exploitations agricoles. Le commerce avec l'Espagne (et avant Al-Andalus) était aussi très actif[5].L'arrivée de ces Andalous, chassés d'Espagne par la Reconquista, va donner un grand élan à l'agriculture et à l'artisanat. Le quartier turc "tobbana" est construit[7].en 1792, les Ottomans font transférer une partie de la population de la ville à Oran, devenue la nouvelle capitale de l'ouest algérien après sa prise des espagnoles[7].
La colonisation française
À la solde de la France, la garnison d'Ottomans d’Alger et de Kouloughlis résista aux Français à deux reprises (1832 et 1833).
C’est une grande place forte maritime que les troupes françaises doivent prendre d’assaut en juillet 1833, car l'armée française avait peur que la ville tombe sous le contrôle de l'émir Abd El-Kader[8]. En 1834, les Français autorisent l'Emir à déléguer un consul dans la ville. Par Le traité deTafna l'émir délaisse la ville aux Français [9].
Le général[Lequel ?] en fait une garnison importante où est formé en 1847 le premier régiment de tirailleurs algériens, les turcos, sous les ordres du commandant Bosquet.
La ville s'est agrandit à mesure que la colonisation peuple l’immédiat arrière-pays et que le développement des communications la met en relation avec les régions de l’intérieur.La ville va connaître de nombreux changements. Le percement de rues et de boulevards, sur le modèle des villes européennes, va provoquer la disparition de nombreux vestiges et monuments [9].
C'est du balcon de l'hôtel de ville de Mostaganem, en juin 1958, que le général de Gaulle prononce pour la seule et unique fois "Vive l'Algérie française".
Démographie
Selon le recensement général de la population et de l'habitat de 2008. La population de la commune de Mostaganem est évalué à 145,696 habitants.
Année Population 1977 (recensement) [10] 86 081 1987 (recensement) [10] 115 212 1998 (recensement) [1] 130 288 2008 (recensement) [1] 145 696 Pyramide des âges
Société
Mostaganem est une ville dite citadine,malgré un exode rural important venu des localités rurales de la région. De nombreuses familles revendiquent des origines turques et andalouses. Elles continuent, malgré l’urbanisation accélérée de la ville, à former des isolats citadins conservateurs en milieu urbain[12].
On distingue deux parlers à Mostaganem, un vieux parler citadin au sein des familles sédentaire dites « Hadars » et un nouveau parler urbain qui emprunte à la fois des parlers citadins et des parlers ruraux et qui est influencé par le koinè chez les jeunes locutrices d’origine urbaine .On note également un parler rural chez les locuteurs récemment immigrés en ville[12].
Éducation
Article détaillé : Université de Mostaganem.La ville abrite l'Université Abdelhamid Ibn Badis Mostaganem, créée officiellement en 1987, elle compte 07 sites universitaires répartis à travers la ville .Cette université représente le principal établissement d'enseignement supérieur dans la wilaya de Mostaganem et figure dans les cinq grandes universités Algérienne[13].
L'université dispose d'une bibliothèque centrale inaugurée en 2004 par le président Abdelaziz Bouteflika. Elle est composée de plusieurs bibliothèques décentralisées affiliées aux facultés et à l’institut des sciences et techniques des activités physiques et sportives[14].
La ville possède également plusieurs établissements scolaires publics .A la rentrée scolaire 2007/2008, la commune comptait 59 écoles primaires accueillant 17.498 élèves,25 collèges accueillant 11.654 élèves et 10 lycées pour 5.859 élèves inscrits[15].
Culture et patrimoine
Culture
Mostaganem est l'un des centres urbains qui accueille la musique arabo-andalouse en Algérie, mais aussi la musique populaire citadine chaâbi et la musique patrimoniale des Aïssaouas [16].
Mostaganem a organisé plusieurs festivals tel que le festival du théâtre scolaire, de la musique chaâbi, de la musique andalouse et des Aïssaouas [16].La ville dispose d'une école régionale des beaux-arts[17] .
Mostaganem est une ville mystique réputée par ses saints marabouts, ses savants et ses érudits dans les domaines du culte et de la théologie dont ils constituent une des particularités fantastiques propres à la région du Dahra où sont enterrés selon les croyances populaires, plus de quarante- quatre saints connus sous l'appellation « Rabâa ou rabiine (quarante quatre) chechias». La ville est aussi connu pour la poésie soufie, cette forme d'expression artistique est interprétée par plusieurs associations musicales traditionnelles , interprètes et compositeurs de musique, notamment dans le style chaâbi et arabo-andalouse[18].
La ville arbitre aussi plusieurs confréries soufies telles que la zaouïa alaouia, dont elle est originaire de l'historique faubourg de Tigditt. Cette importante confrérie porte le nom de son fondateur, Ahmed Benalioua Ibn Mostefa qui est l'auteur d'un grand nombre d'ouvrages dans le domaine de la recherche théologique[18].
Un long métrage, intitulé Harragas, revient sur cette ville portuaire algérienne, située à 200 km des côtes espagnoles. Le film est consacré au phénomène des immigrés clandestins surnommés « harragas » ou « brûleurs » qui fuient leur pays clandestinement par des embarcations de fortune pour rejoindre le littoral européen de la Méditerranée[19],[20].
Quartiers historiques
Le quartier de Tigdit, est le noyau ancien de Mostaganem, situé hors des murs de la ville. Le quartier abrite de vieilles mosquées ainsi que des sanctuaires dont celui de Sidi Maâzouz al-Bahri, un mystique berbère du XIIe siècle[21].Le nom de Tigdit, est cité comme le premier toponyme de Mostaganem , il vient du berbère et signifie «sablière», de ('igdi', 'ijdi'), nom du sable en berbère[9].
Le quartier de Tobbana (en turc Top Hana), était le quartier turc de le ville, il est situé au nord de l'actuelle place du "1er Novembre 1954", c'est dans ce quartier où était disposée la batterie qui surveillait le port[7].
Le quartier de Derb,est l'un des plus vieux quartiers de le ville, construit sur une colline rocailleuse qui domine le ravin de Aïn Sefra, le quartier est une zone de transition entre la ville moderne et l'ancestral faubourg de Tigditt.Ce quartier renfermait toutes les institutions et autres structures de vie communautaire où vivaient en harmonie les communautés juives, arabes, turques et kouroughlies.Il abrite la synagogue et l'une des plus vieille mosquée de la cité, construite en 1340-1341 par Abu El Hassan. Le quartier a subi une grande dégradation pendant la colonisation française qui s'est poursuivi après indépendance du pays[22].
Musées
Mostaganem dispose de plusieurs musées dont celui du Moudjahid implanté sur la place de la Révolution,le musée du tombeau du "Bey Bouchlaghem" et de sa femme "Lalla Aïchouche" et le musée de "Dar-El-Kaïd " consacré aux arts populaires [23].
Un musée régional est en cours de réalisation dans la localité de Kharouba, ce musée a pour but de conserver et garder les pièces archéologiques et œuvres d'art témoignant de différentes époques historiques de la région ouest du pays[24].
Patrimoine matériel
Mostaganem dispose d'un patrimoine matériel riche. Les monuments de la grande mosquée et du fort de l'est, ont été restaurés et classé par le ministère de la culture algérien[25].
D'autres monuments ont été proposés au classement tel que :"Dar El Kaïd" qui fut transformé en musée des Arts populaires, l'église St-Eugène Baptiste devenue un lieu de culte musulman, " Dar Choâra" (palais des Poètes) , "Dar El Mufti", les tombeaux de bey Bouchlaghem, du bey Mustapha El Ahmar et Sidi Abdallah Boukabrine, le port fluvial de Quiza, "Dar Hamid El Abd "et l'ancienne caserne du Génie à El Arsa[25].
Urbanisme
- L'ancien quartier du Derb el Houd (quartier juif) et de Tobbana (de Top Haneh, rappelant la batterie qui surveillait le port) est situé au nord de la place en partant du siège de la Daïra. Il est traversé par la rue Mahieddine Benamour ; celle-ci passe devant l’ancienne maison du caïd (Dar el Kaïd transformée en 2004 en musée des arts populaires), où était la résidence du représentant du bey de Mascara et de Hamid el Abd (chef de la confédération des Mehals XVIe siècle), et atteint le cœur de ce quartier ou El Kria (le centre), à proximité de l’ancien bordj El Mehal (construit 1082). Celui-ci fut transformé en prison civile.
- La partie de la ville comprise entre l’avenue Benaïed Bendehiba et le quartier Matemore ont été considérablement modifiées depuis 1927 : une crue subite de l’Aïn Sefra avait dans la nuit du 27 novembre, emporté l’ancienne place Gambetta avec son square, ses arbres, et les maisons environnantes causant de nombreuses victimes. Des travaux furent alors entrepris pour éviter de nouvelles inondations, le lit de l'Oued creusé et la place Gambetta remplacée par trois ponts. En 1968 fut décidé l’aménagement d’une nouvelle esplanade qui remplace les ponts.
- Au nord du quartier de Matemore, se trouve la porte des Medjaher, à proximité du parc du 20-Août (construit en 1964). Le parc est ouvert par une porte monumentale, avec de curieuses architectures pseudo-japonaises. La terrasse offre une jolie vue sur la ville, le port et la baie d’Arzew. À côté, dominant l’oued l’ancien fort turc fut construit au XIIIe siècle puis restauré par les Ottomans au XVIIIe siècle et les Français au XIXe siècle (transformé en musée d'archéologie en 2004). De là, on peut rentrer en ville par la porte d’El Arsa (des vergers) que voisinent les koubbas du bey Bouchlaghem (XVIIIe siècle) et de sa femme Lalla Aïchouche ; en suivant le rempart on voit également le tombeau du Bey Mustapha El Ahmar (XVIIIe siècle), fort endommagé par les Français, transformé aujourd’hui en maison de l’artisanat 2003 (ancienne poudrière 1936).
- Le Parc de Mostaganem, ou "Arsa", sur les hauteurs du centre ville.
Économie
Mostaganem est située dans une zone à vocation agricole de premier rang et à proximité du premier pôle gazier et pétrolier d’Arzew. La ville se dote d'un port d'une structure de moyenne envergure géré par l'Entreprise portuaire de Mostaganem (EPM). Le ministère des transports algérien a choisi le port de Mostaganem parmi ceux censés faire baisser la tension sur le port d'Alger. Le port connaît une intense activité, après sa désignation parmi les ports destinés à recevoir des marchandises hors conteneurs, mais sa capacité de réception reste limitée[26].
La région de Mostaganem est riche en faune marine. Un port de pêche et de plaisance, en cours de réalisation à la Salamandre, sera achevé au début de l'année 2012 selon la Direction locale des travaux publics. Cette infrastructure permettra aussi de désengorger le port commercial de la ville[27].
En 2009, quatre lignes maritimes régulières relient le port de Mostaganem vers des villes internationales : Houston, Anvers, Brême et enfin une nouvelle ligne reliant la province espagnole de Castellón à Mostaganem[28].
Tourisme
Mostaganem est une destination touristique privilégiée au niveau local. Elle offre d'énormes opportunités et peut devenir un futur pôle du tourisme balnéaire grâce à ses plages : à l'ouest la plage des Sablettes et le port de la Salamandre, à l'est les plages d'Aïn Brahim, Petit-Port, Ouilis et du Cap Ivi où la pinède descend jusqu'à la mer.
Vie quotidienne
Jumelages
La ville est jumelée avec :
Personnalités liées à Mostaganem
- Ould Abderahmane Abdelkader, dit Kaki, dramaturge, y est né en 1934[16].
- Mohammed Chouikh, metteur en scène, y est né en 1943.
- Moulay Belhamissi[Pourquoi ?], historien.
- Kadda Medjeded, parolier, y né en 1954.
- Khaled Kelkal, islamiste algérien membre du Groupe islamique armé (GIA) et le principal responsable de la vague d'attentats commise en France à l'été 1995, y est né en 1971.
- Hadj Moulay Benkrizi[Pourquoi ?], maître de la musique arabo-andalouse.
- Maâzouz Bouadjadj, maître de la musique populaire citadine chaâbi, y est né[16].
- Habib Bettahar[Pourquoi ?], musicien du chaâbi.
- Cheikh Abdelkader Bentobdji, poète, y est né en 1871[30].
- Sidi Lakhdar Ben Khlouf, poète, le saint-patron de la ville et de sa région[31].
- Mohammed Khadda, peintre, y est né le 14 mars 1930.
- Messaoud Aït Abderrahmane,ancien footballeur international Algérien,y est né en 1970.
- Muhammad ibn 'Ali al-Sanusi, fondateur de la confrérie Senussi, est originaire de Mostaganem. Son petit-fils Idris al-Mahdi devint roi de Libye en 1951.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de l'université de Mostaganem
- Revue de l'université
- Entreprise Portuaire de Mostaganem
- Maison de la Culture de Mostaganem
Bibliographie
- Marcel Coquerel, Mostaganem est mort[réf. incomplète]
Notes et références
- Données du recensement général de la population et de l'habitat, 2008 », Geohive.com, 2008. Consulté le 7 juin 2010. Office national des statistique (Algérie), «
- Mostaganem, Algeria sur www.weatherbase.com. Consulté le 07 septembre 2011.
- [1] Mostaganem Histoire,Culture et patrimoine
- Mon beau pays Mostaganem (I) ,Info Soir du 26/09/2006
- [2] p229, Par F. Elie de La Primaudaie Le commerce et la navigation de l'Algérie avant la conquête français
- Mon beau pays Mostaganem (II) ,Info Soir du 27/09/2006
- Mon beau pays Mostaganem (III), Info Soir du 29/09/2006
- Algériennes, Reynaud, 1836 [3] Henri Jean François Edmond Pellissier, Annales
- http://www.infosoir.com/imp.php?id=53876 Mon beau pays Mostaganem (V), Info Soir du 01/10/2006
- Mostaghanem en World Gazetteer
- Mostaganem — Population résidente par age, par sexe et par commune. Consulté le 25 septembre 2011.
- Remarques sur le parler urbain de Mostaganem, Synergies Algérie n° 4 - 2009 pp. 69-81 Ibtissem Chachou.
- La Présentation de l'Université de Mostaganem sur sont site officiel
- Présentation de la bibliothèque centrale sur le site officiel de l'université de Mostaganem
- Présentation de la wilaya de Mostaganem sur le site ANDI
- Mostaganem : Le Dahra privé de ses festivals d'été. Le Soir d'Algérie du 06/06/2005. Consulté le 14/08/2011.
- PEINTURE À MOSTAGANEM : Azur et les Beaux-Arts honorent les majors de promotion. Le Soir d'Algérie du 15/07/2008. Consulté le 14/08/2011.
- Ah ! si Mosta m'était contée... ,Le Soir d'Algérie du 28/06/2008
- Harragas, film de Merzak Allouache
- http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=142108.html
- Mon beau pays Mostaganem (IV), Info Soir du 29/09/2006
- Derb Non assistance à patrimoine en danger ! ,El Watan du 31/01/2007
- MOSTAGANEM: CELEBRATION DU MOIS DU PATRIMOINE :La culture à l'honneur Sid Ahmed Hadjar ,Le Soir d'Algérie du 12/05/2005
- Réalisation d'un musée régional à Mostaganem , Le Midi Libre du 05/09/2011
- Protection du patrimoine historique et culturel à Mostaganem ,Liberté du 14/05/2008
- « Le port de Mostaganem ne peut pas recevoir les gros navires », La Tribune, 5 octobre 2009.
- « Le port de pêche de la Salamandre livré début 2012 », Le Maghreb du 8 novembre 2011.
- « Mostaganem : une nouvelle ligne maritime vers l'Espagne », Le Quotidien d'Oran, 7 mai 2009.
- Mostaganem : Jumelage avec Perpignan. Le Quotidien d'Oran du 20/04/2010. Consulté le 14/08/2011.
- Mostaganem se souvient de Abdelkader Bentobdji. Info Soir du 05/03/2004. Consulté le 15/08/2011.
- Mostaganem, La culture des waadates rythme Misk el ghnaim:Redécouvrir les qasidate de Sidi Lakhdar Benkhlouf. Le Midi Libre du 18/08/2009. Consulté le 15/08/2011.
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