Extra terrestre

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Vie extraterrestre

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La vie extraterrestre désigne toute forme de vie existant ailleurs que sur la planète Terre. Son existence reste hypothétique. En effet, aucune vie extraterrestre n’a été découverte à ce jour par les scientifiques. Il existe cependant certains indices qui suggèrent qu’une vie bactérienne sur Mars soit possible.

La communauté scientifique, par l'exobiologie, étudie de manière interdisciplinaire les facteurs et processus, notamment géochimiques et biochimiques, pouvant mener à l'apparition de la vie, d'une manière générale, et à son évolution ; en premier lieu à son origine sur Terre ainsi qu'à la possibilité de vie ailleurs dans le système solaire, voire sur des planètes extrasolaires.

La recherche de la vie extraterrestre et les possibles interactions avec cette dernière sont des thèmes récurrents abordé par la littérature de fiction, particulièrement par la science-fiction et la fantasy.

Sommaire

Recherches intellectuelles de vie extraterrestre

Article détaillé : Exobiologie.

Au Ier siècle av. J.-C., Lucrèce, dans De natura rerum, mentionne la possible existence d’extraterrestres :

« Si la même force, la même nature subsistent pour pouvoir rassembler en tous lieux ces éléments dans le même ordre qu’ils ont été rassemblés sur notre monde, il te faut avouer qu’il y a dans d’autres régions de l’espace d’autres terres que la nôtre, et des races d’hommes différentes, et d’autres espèces sauvages. »

En 1584, dans Le Banquet des Cendres, Giordano Bruno fait également mention de la possibilité d’habitants d’autres mondes :

« La quatrième [partie] affirme […] que ces mondes sont autant d’animaux dotés d’intelligence ; qu’ils abritent une foule innombrable d’individus simples et composés, dotés d’une vie végétative ou d’entendement, tout comme ceux que nous voyons vivre et se développer sur le dos de notre propre monde. »

Vie extraterrestre dans la littérature religieuse

  • Le Coran suggère l'existence d'extraterrestres en plusieurs endroits, (Cor. LXV : 12) :
« Allah a créé sept cieux, et autant de terres. Entre-eux, la révélation descend, afin que vous sachiez qu'Allah est en vérité Omnipotent et qu'Allah embrasse tout chose de son savoir. »

Selon les exégètes musulmans, ce verset parlerait de sept planètes habitées par des espèces humaines et leurs prophètes semblables à Abraham, selon ce qui est rapporté par Ibn Abbas fils de l'oncle de Mahomet dans l'exégèse du Coran, avec une source fiable selon Bayhaqî (H. 384-458) et que reprend notamment ibn Kathir (1301-1371) dans son exégèse du Coran[1]. Ailleurs, le Coran évoque l'existence d'espèces animales à travers les "sept cieux", selon les exégètes dont ibn Kathir[2] : (Cor. XLII : 29) :

« Parmi Ses signes, il y a la création des cieux et de la Terre et les animaux qu'Il a disséminés dans les deux. »

Le paradoxe de Fermi

Article détaillé : Paradoxe de Fermi.

Dans les années 1950, Enrico Fermi a fait la supposition de l’existence d’une seule civilisation extraterrestre capable du voyage intersidéral à une vitesse inférieure à la vitesse de la lumière. Il a supposé cette civilisation intéressée, pour une raison quelconque, à la conquête de notre galaxie, la Voie lactée. Il émit l'hypothèse qu’elle progresserait par bonds, colonisant une planète pendant quelques centaines ou milliers d’années, puis envoyant des dizaines de vaisseaux vers de nouvelles conquêtes.

D'après les calculs de Fermi, l’ensemble de la galaxie serait sous l’emprise de cette civilisation extraterrestre hypothétique après seulement quelques centaines de milliers d'années, la faible vitesse de déplacement des vaisseaux étant largement compensée par l’augmentation exponentielle du nombre de vaisseaux de colonisation. Enrico Fermi exprime alors ce qui deviendra le paradoxe de Fermi : « si les extraterrestres existent, mais où sont-ils donc ? ». Un million d’années ne représentant que peu de chose à l’échelle de la galaxie, ils devraient donc être omniprésents et il devrait être impossible de ne pas les voir.

Depuis son énonciation, plusieurs hypothèses ont été émises pour expliquer le paradoxe de Fermi :

  1. La tendance à la colonisation de la galaxie par une civilisation extraterrestre est une supposition anthropocentrée qui est difficile à démontrer. « Ce n'est pas parce que nous le ferions qu'ils le feraient nécessairement ».
  2. L'humanité n'a pas nécessairement pris conscience de l'existence de toutes les formes de vie qui l'entourent. La découverte récente des organismes thermophiles et de traces de méthane dans l'atmosphère de Mars en sont des exemples. De plus, une civilisation extraterrestre avancée pourrait éventuellement se dissimuler et éviter des contacts avec l'humanité selon l’hypothèse du zoo de John A. Ball. « Ce n'est pas parce que nous ne les voyons pas qu'ils ne sont pas là ».
  3. L'apparition tardive des éléments lourds (plus massifs que le Lithium) dans l'Univers, nécessaire pour le développement de la vie sous sa forme actuellement connue, a pu limiter dans le temps l'apparition de civilisations extraterrestres.

L’équation de Drake

Article détaillé : Équation de Drake.

En 1961, l'astronome américain Frank Drake proposa une équation afin d'estimer le nombre de civilisations extraterrestres présentes dans notre galaxie. Cette équation présente le problème de l’existence ou non des extraterrestres en partant d’une approche positiviste.

Ainsi, Drake propose de calculer la probabilité d’existence de ces extraterrestres dans notre galaxie par la formule : P(ET) = N\!* \ f_p \ n_e \ f_l \ f_i \ f_c \ f_L

où :

  • N\!* est le nombre d’étoiles dans notre Galaxie.
  • fp est la fraction d’étoiles disposant d’un système planétaire.
  • ne est le nombre de planètes (dans un système donné) où la vie est écologiquement possible.
  • fl est la fraction de planètes biocompatibles où la vie est effectivement apparue.
  • fi est la fraction de planètes habitées sur lesquelles une forme de vie intelligente est effectivement apparue.
  • fc est la fraction de planètes habitées par une vie intelligente sur lesquelles on rencontre une civilisation technique capable de communications.
  • fL est la fraction de la durée de vie planétaire accordée à une civilisation technique.

Si le premier terme (N\!*) est connu avec une assez grande précision (environ 4 ×1011 étoiles), la grande difficulté réside dans l’évaluation des autres facteurs qui doivent le réduire. Et selon les évaluations faites par les uns ou les autres, la probabilité varie considérablement (entre quasi impossibilité et profusion de voisins avec qui communiquer).

Cette équation fut popularisée par l'astronome et vulgarisateur scientifique Carl Sagan.

Radioastronomie

L'humanité commence à capter plusieurs sources d'émission d'ondes radio lors des premiers développements de la radioastronomie durant la première moitié du vingtième siècle. Un demi-siècle de science-fiction ayant fortement influencé l'imaginaire des chercheurs (cf. « Œuvres de fiction »), l'hypothèse du message artificiel est souvent envisagée, lors des débuts de la radioastronomie, pour expliquer l'origine de ces derniers.

Pulsars

En 1968, une équipe de radioastronomes anglais découvre un signal radio extrêmement stable et régulier dans le temps, en provenance d’une région fixe du ciel. Le signal est d’abord baptisé « LGM-1 », pour Little Green Men 1 car il est dans un premier temps soupçonné de ne pouvoir être d’origine "naturelle".

Peu après, on découvre qu’il s’agit en fait du signal émis par un pulsar, un résidu ultracompact d’étoile en rotation très rapide, émettant un fort rayonnement électromagnétique le long de son axe magnétique[3], le faisceau émis balaie périodiquement certaines régions du ciel tel un phare.

SETI

Le programme SETI (Search for Extra-Terrestrial Intelligence, pouvant se traduire par « Recherche d'une intelligence extraterrestre ») est un programme de recherche fondamentale d'origine américaine qui a été conçu dans l'objectif d'essayer de repérer des ondes électromagnétiques émises par des civilisations étant entrées dans le stade industriel, technologique et scientifique.

Il regroupe aujourd’hui environ 70 projets internationaux dont l’objectif est de détecter les signaux qu'une intelligence non terrestre pourrait émettre, volontairement ou non, depuis sa planète d'origine. Pour cela, les projets analysent les ondes radio ou laser provenant de l'espace et essayent de détecter les signaux par opposition au bruit de fond.

Le programme suppose qu’une autre forme de vie intelligente envoie des messages comme nous, voire nous cible.

Cette idée semble naitre au XIXe siècle et plusieurs idées voient ainsi le jour[4]. On note celle ainsi de Carl Friedrich Gauss qui projetait de planter un champ de pins de forme géométrique au sein d’un champ de blé, le contraste devant être visible par Mars. La découverte des canaux martiens, interprétés alors comme des constructions intelligentes, va relancer plusieurs projets plus ou moins utopiques. Celui de Charles Cros consistait en une lampe électrique braquée au niveau d’un astre et envoyant des signaux périodiques. Nikola Tesla, persuadé d’avoir capté des signaux venant de Mars, étudie, dans les années 1930, la faisabilité d’une communication par ondes hertziennes.

Le Radiotélescope Very Large Array en configuration D.

De nos jours, diverses technologies sont utilisées dans ce but :

Jusqu’à ce jour, et en dehors du fameux "signal Wow!" capté en 1977, l’usage de ces technologies n’a donné aucun résultat concluant qui irait dans le sens de l’existence d’une civilisation extraterrestre comparable à la notre.

Toutefois, pour espérer obtenir un résultat, de telles technologies qui sont tributaires de la vitesse de propagation de la lumière dans le milieu interstellaire doivent pouvoir être mises en œuvre sur le long terme, voire le très long terme. En effet, la radioastronomie n’existant que depuis 1930 et les programmes de recherche de vie extraterrestre étant encore plus récents, cela signifie que le temps passé par l’espèce humaine à rechercher de possibles civilisations extraterrestres est encore très court si on le compare à la durée d’existence des civilisations telles que nous les connaissons.

Par ailleurs, on peut remarquer que l’usage des technologies en question implique notamment que l’hypothétique civilisation extraterrestre émettrice du signal dispose de technologies au moins similaires. Cela implique aussi que cette civilisation peut produire et produit effectivement des signaux exploitables par ces technologies. On peut donc logiquement exclure la possibilité de détecter par ces moyens des civilisations qui ne sont pas suffisamment avancées pour utiliser ces technologies (ou être détectées par elles) ou bien qui, à l’inverse, sont plus avancées technologiquement que nous ne le sommes et utilisent peut-être des technologies dépassant nos connaissances actuelles.

Seule la multiplication des techniques, méthodes et technologies utilisées, ainsi que leur usage à long terme, semblent donc pouvoir permettre d’espérer obtenir un jour le résultat escompté, à savoir la détection d’une intelligence extraterrestre.

Recherche de vie extraterrestre dans le système solaire

Mars

Article détaillé : Vie sur Mars.

Actuellement, un indice d’existence d’une forme de vie extraterrestre sont de petites structures microscopiques attribuées à des bactéries et retrouvées dans des météorites, en particulier ALH84001. La validité de cette découverte reste à confirmer.

La présence de certains gaz (méthane, ammoniac) dans l’atmosphère martienne peut aussi être un indice de vie.

Le projet Beagle 2 est une mission spatiale, préparée avec le concours technique de l’Agence spatiale européenne (ESA) et de financements privés en provenance du Royaume-Uni, qui devait envoyer un robot sur Mars afin d’y rechercher des traces de vie (molécules organiques à base de carbone et oxygène) dans le sol, à faible profondeur. Malgré la destruction de la partie atterrisseur de la sonde, sa partie en orbite est en train de cartographier la surface de Mars en 3 dimensions et avec une définition jamais atteinte. De plus, ce satellite de Mars comporte un radar particulier capable de détecter des éléments liquides à plusieurs centaines de mètres sous la surface, afin de confirmer la présence d’eau dans le sous-sol martien en vue d’éventuelles missions de colonisation de cette planète.

Selon André Debus du CNES, un milliard de bactéries auraient été amenées sur Mars par les différentes explorations états-uniennes et européennes[5], [6], [7]. Selon la NASA[8], l’équipage d’Apollo 12 aurait découvert une colonie de Streptococcus mitis. Celle-ci aurait résisté aux très basses températures du vide et à l’absence de source nutritive et d’énergie.

Il y a également aujourd’hui encore sur cette planète du pergélisol, voire du mollisol[9]. Il est donc possible qu’il y existe encore des traces de vie. Plusieurs sondes spatiales ont été envoyées sur cette planète dans ce but, notamment les sondes Viking, Mars Express et le module Beagle 2, et les robots Mars Exploration Rover 1 et 2. L’hypothèse martienne de l’origine de la bactérie polyextrémophile Deinococcus radiodurans est également envisagée[10]. La sonde Mars Global Surveyor aurait trouvé, par ailleurs, des formes sur Mars faisant penser à de la végétation. Les avis sont partagés sur ce point, mais les images sont facilement consultables sur de nombreux sites[11].

Europe

Article détaillé : Europe (lune)#Surface.

La surface craquelée d'Europe, l'une des lunes galiléennes de Jupiter, laisse présager la présence d'eau sous forme liquide sur ce satellite, ce qui est un critère souvent jugé primordial par les exobiologistes pour l'apparition de la vie. Conséquemment, des chercheurs procèdent à l'étude d'une possible vie extraterrestre (en:Europa (moon)#Possible extraterrestrial life) sur cet astre.

Messages aux extraterrestres

Plusieurs messages ont été envoyés de la Terre vers d’hypothétiques destinataires. Certains sous forme radioélectrique, depuis des radiotélescopes de puissance importante, d’autres sous forme matérielle, avec des sondes spatiales pour support. Partant du principe que les mathématiques sont un langage universel, ces messages utilisent la logique pour leur forme et contenu. L’autre principe est qu’une image vaut mille mots : des représentations graphiques complètent donc le tout, qui informent leur lecteur de notre apparence physique, entre autres.

La plaque de Pioneer.

Sondes ayant emporté une « carte de visite » terrestre :

Messages radio

Message d'Arecibo

Article détaillé : Message d'Arecibo.

Le 16 novembre 1974, profitant de l'ajout d'une surface haute précision au réflecteur du radiotélescope d'Arecibo, des chercheurs lancent un message vers l'amas globulaire M13, qui se trouve à environ 25 000 années-lumière de la Terre. Il consiste en 1 679 nombres binaires. Le message, écrit par, entre autres, Frank Drake et Carl Sagan, donne de l'information sur le système solaire, la Terre et l'humanité.

Projet Cosmic Call

  • Projet Cosmic Call, ces messages conçus par Yvan Dutil et Stéphane Dumas sont envoyés à partir du Evpatoria Deep Space Center, 24 mai, 31 juin et 1er juillet 1999 vers les étoiles HD178428, HD186408, HD1900360 et HD190040. Le 6 juillet 2003, une version modifiée du message est envoyée vers les étoiles Hip 26335, 55 Cnc, Hip 4872, 47 UMa et Hip 7918.
  • Le 5 février 2008, pour célébrer ses 50 ans d’existence, la NASA a envoyé un message vers l’espace contenant un des succès des Beatles : "Across the universe". Ce message a été envoyé vers l’étoile polaire via le réseau d’antennes Deep Space Network, 50 ans jour pour jour après le lancement du premier satellite américain : Explorer 1. Voyageant à la vitesse de la lumière, le message arrivera, très affaibli, environ 430 ans après son envoi (milieu du XXVe siècle), près de l’étoile polaire.

Œuvres de fiction

La Guerre des mondes

Article détaillé : La Guerre des mondes.

Des petits hommes verts de science-fiction aux petits hommes gris des témoignages

Une expression revient très souvent lorsque l’on parle des extraterrestres : Les petits hommes verts ou les aliens.

Bien souvent, cette expression est utilisée pour se moquer de l’éventuelle existence des extraterrestres. Elle fut associée, durant de nombreuses années, aux Martiens. La couleur verte a, peut-être, pour origine le roman d’Edgar Rice Burroughs, A Princess of Mars (1912), où il décrit les différentes espèces de martiens, dont l’une a la peau verte. Cette couleur sera reprise par plusieurs autres auteurs, qui, pour certains, fera même le titre de leur ouvrage, comme Harold Sherman dans The Green Man (1946) ou encore Damon Knight dans The Third Little Green Man (1947). Dans la tradition des contes, la couleur verte est omniprésente pour évoquer certaines créatures féeriques ou fantomatiques. Claude Lecouteaux, dans son ouvrage Les Elfes et les nains, rapporte que cette couleur est l’apanage des forces de l’au-delà.

En mai 1954, le chef du Projet Blue Book de l'US Air Force, le capitaine Edward J. Ruppelt parle d’une rumeur selon laquelle l’armée aurait des pièces remplies de morceaux de soucoupes volantes, et d'extraterrestres conservés dans l’alcool, en ajoutant ironiquement que « habituellement les petits hommes sont verts, mais ceux qui sont entre les mains de l'armée sont gris ». Mais c’est avec la rencontre de Kelly-Hopkinsville dans une ferme du Kentucky, que la représentation des petits hommes gris sera véritablement ancrée dans la conscience populaire. Durant l’été 1955, la famille Sutton déclare avoir été assaillie durant toute une nuit par de nombreux êtres phosphorescents d’un mètre de haut, ayant de grands yeux. Selon leurs dires, ils auraient bataillé pendant plusieurs heures à coups de carabine avec ces étranges assaillants pour finir par s’enfuir et raconter l'histoire à la police. La presse désignera ces êtres comme des little grey men, des petits hommes gris[12]. Aujourd’hui, les sceptiques considèrent que l’explication de la rencontre de Kelly-Hopkinsville est très certainement une méprise complexe avec des rapaces nocturnes (voir aussi modèle sociopsychologique) ou encore des plasmoïdes naturels.

C'est dans ce contexte que parait en septembre 1954 l'œuvre de Fredric Brown, Martiens, go home ! mettant en scène des martiens immatériels insupportables, non sans une pointe d'humour...

Autres types de recherches

Certains projets jugent que l'approche scientifique est trop restreinte pour rechercher des traces de vie extraterrestre. En conséquence, ils développent d'autres approches.

Ufologie

Article détaillé : Ufologie.

Bien qu'elle se concentre plutôt sur le phénomène OVNI, l'ufologie aborde également l'idée de vie extraterrestre (la science étudiant la vie extraterrestre a pour nom précis : l'exobiologie). En effet, la plupart des ufologues supposent que les ovnis sont des engins construits et/ou conduits par une forme de vie intelligente non-humaine.

Astroarchéologie

Article détaillé : Astroarchéologie.

La problématique de la recherche SETI traditionnelle est d'essayer de trouver une preuve de l'existence d'émissions électromagnétiques intelligentes en dehors de la Terre.

Malheureusement, la probabilité d'une telle découverte, si elle n'est pas intentionnelle, est extrêmement faible[réf. nécessaire], d'où la réflexion du Projet Phénix, qui propose une nouvelle approche de la problématique de la découverte de la preuve, puis du stade final, celui du contact direct.

Le Projet Phénix est un tout nouveau programme de recherche SETI, nommé SETAV pour : Recherche d’Artefacts et de Sondes Extraterrestres dans le Système Solaire ou la Terre[13].

Notes et références

  1. (ar)Tafsir (Exégèse) d’ibn kathir du verset (Cor. LXV : 12)
  2. (ar)Tafsir (Exégèse) d’ibn kathir du verset (Cor. XLII : 29)
  3. À distinguer de son axe de rotation, les deux n’étant pas alignés.
  4. F. Raulin-Cerceau, B. Bilodeau, Les pionniers de la communication avec les autres planètes, Pour la Science, mai 2007, p. 12-15
  5. « Mars pourrait être polluée par des bactéries terrestres », dans 'Le Monde', édition du 5 janvier 2006.
  6. Debus A, « Estimation and assessment of Mars contamination », dans Advances in Space Research, vol. 35, no 9, 2005, p. 1648–1653 [lien PMID] 
  7. (en) Estimation and assessment of Mars contamination[pdf]
  8. (en) NASA - Science Fiction or Science Fact?
  9. Rhéologie du pergélisol de Mars
  10. L'hypothèse martienne
  11. (en)A forest on Mars
  12. Magazine L’Histoire numéro 304
  13. The Phenix Project - SETI - SETAV (Search for Extra-Terrestrial Artefact and Visitation)

Voir aussi

Liens internes

Lien externe

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