William Edmund Ironside

William Edmund Ironside
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William Edmund Ironside
Edmund Ironside.jpg
Naissance 6 mai 1880
Édimbourg, Écosse
Décès 22 septembre 1959 (à 79 ans)
Queen Alexandra Military Hospital, Londres, Royaume-Uni
Origine Britannique
Allégeance Drapeau : Royaume-Uni Royaume-Uni
Arme Flag of the British Army.svg Armée de terre britannique
Grade Field Marshal
Années de service 1899 - 1940
Conflits Seconde Guerre des Boers,
Première Guerre mondiale,
Campagne dans le nord de la Russie,
Seconde Guerre mondiale
Commandement 99th Infantry Brigade (1918)
Allied Troops Archangel (1918-1919)
Force de Perse du nord (1921)
Staff College, Camberley (1922-1926)
2e division d'infanterie (1926-1928)
District de Meerut (Inde)
Eastern Command (1936-1938)
Gouverneur et commandant en chef Gibraltar (1938-1939)
Inspecteur général des forces outre mers (1939)
Chief of the Imperial General Staff (1939-1940)
Commandant en chef des Home forces (1940)
Faits d'armes Seconde Guerre des Boers,
Première Guerre mondiale,
Campagne dans le nord de la Russie,
Seconde Guerre mondiale
Distinctions Citation militaire britannique,
Ordre du service distingué (1915),
Ordre de Saint-Michel et Saint-George (1918),
Ordre du Bain (1938),
Fait baron Ironside d'Archangel (1941),
Ordre de l'Empire britannique (1952),
Croix de guerre avec palmes (2nd classe),
Ordre de Saint-Vladimir,
Ordre du Soleil levant (3ème classe) (1922),
Officier de la Légion d'honneur,
Grand croix de la Légion d'honneur (1946)

Le field marshal William Edmund Ironside, 1er baron Ironside (6 mai 1880 - 22 septembre 1959) était un officier de l'armée de terre britannique qui a servi comme chef d'état-major impérial durant la première année de la Seconde Guerre mondiale.

Ironside a rejoint la Royal Artillery en 1899, et a servi pendant la guerre des Boers, suivie d'une brève période d'espionnage sur les forces coloniales allemandes dans le Sud-Ouest africain. De retour au service régulier, il a servi au sein d'une division de l'armée régulière au cours des deux premières années de la Première Guerre mondiale, avant d'être nommé en tant que chef d'état major de la toute nouvelle 4ème division canadienne, formée en 1916. En 1918, il reçut le commandement d'une brigade sur le front occidental, mais a rapidement été promu commandant de la force d'intervention alliée dans le nord de la Russie en 1919, puis une force d'occupation alliée en Turquie, et enfin d'une force britannique en Perse en 1921. On lui a offert le poste de commandant des forces britanniques en Irak, mais il n'a pas été en mesure de prendre le poste à cause de blessures suite à un accident d'avion.

Il est ensuite retourné à l'armée de terre comme commandant de l'Ecole des cadres, à Camberley, où il est devenu un défenseur des idées de J. F. C. Fuller, un promoteur de la mécanisation. Il a ensuite commandé une division, et des districts militaires en Grande-Bretagne et en Inde, mais sa jeunesse et son approche brutale ont limité ses perspectives de carrière, et après avoir été chef de l'état-major général impérial en 1937, il devient gouverneur de Gibraltar, un poste traditionnel avant la retraite. Il a été rappelé de son "exil" à la mi-1939, et nommé inspecteur général des Forces outre mers, un rôle qui a conduit la plupart des observateurs a s'attendre à ce qu'on lui confierait le commandement de la Force expéditionnaire britannique dès le déclenchement de la guerre.

Cependant, après des manœuvres politiques, Lord Gort a reçu ce commandement, et Ironside a été nommé chef de l'état-major général impérial. Il pensait avoir un tempérament inadapté à cette tâche, mais s'est senti obligé de l'accepter. Au début de 1940, il a fortement soutenu une intervention des Alliés en Scandinavie, mais ce plan a été abandonné à la dernière minute lorsque la guerre d'Hiver finno-soviétique a pris fin. Lors de l'invasion de la Norvège et la bataille de France, il est peu intervenu; son implication dans la dernière a été limitée par une rupture des relations entre lui et Gort. Il a été remplacé comme chef de l'état-major général impérial à la fin du mois de mai, et a pris le poste pour lequel il était plus adapté; commandant en chef des Home Forces, responsable de la défenses contre l'invasion et commandant de l'armée de terre en cas de débarquement allemand. Toutefois, il a servi moins de deux mois à ce poste avant d'être remplacé. Après cela, Ironside a été promu au rang de field-marshal et reçu une pairie, en tant que baron Ironside, il se retira à Norfolk pour écrire, et ne pris plus part au service actif et n'au plus de poste officiel.

Sommaire

Enfance

Ironside est né à Edimbourg, en Ecosse, le 6 mai 1880. Son père, le chirurgien-major William Ironside de la Royal Horse Artillery, est décédé peu après, laissant sa femme veuve, à élever leurs fil avezc une pension de l'armée limitée. Comme le coût de la vie, à la fin du XIXe siècle, était considérablement plus faible en Europe qu'en Grande-Bretagne, elle a beaucoup voyagé à travers le continent, où le jeune Edmund a commencé à acquérir un large éventail de langues étrangères[1]. Cette compréhension du langage serait devenu l'un des des caractéristiques qui définirait son caractère; à l'âge adulte, il parlerait couramment sept langues, avec une compréhension de dix langues ou plus[2].

Il a été instruit dans les écoles de Saint Andrews, avant d'être envoyé à la Tonbridge School dans le Kent pour ses études secondaires; à l'âge de seize ans, il quitte Tonbridge pour un répétiteur, n'ayant pas montré beaucoup de promesses académiques. Il a été admis à l'Académie militaire royale, à Woolwich, en janvier 1898, à l'âge de dix-sept ans. À Woolwich, il s'épanouit, travaille dur dans ses études et dans le sport, il apprit la boxe, et devint le capitaine de la seconde équipe de rugby et joue pour l'Ecosse. Il était fait pour ces deux sports, 1.93 m pour 108 kg, pour lequel il a été surnommé «Tiny» (minuscule) par ses condisciples. Le nom est resté, et l'a suivit pour le reste de sa vie[3].

Guerre des Boers

Après avoir fréquenté l'Académie royale militaire de Woolwich, il a intégré la Royal Artillery, le 25 juin 1899[4] Plus tard cette même année, il fut envoyé en Afrique du Sud, avec le 44e batterie du Royal Field Artillery[5]. Il a combattu tout au long de la seconde guerre des Boers, et a été blessé trois fois[6], Il a été promu au grade de lieutenant[4] et a reçu sa première citation en 1901[7].

A la fin de la guerre, il faisait partie de la petite force qui a escorté Jan Smuts aux négociations de paix. Il s'est ensuite fait passé pour un Boers parlans l'afrikaans, et a pris un travail comme charretier travaillant pour les forces coloniales allemandes dans le Sud-Ouest africain. Ce travail de renseignement s'est toutefois terminée sans succès; il a été identifié, et s'est échappé peu de temps avant d'être capturé[5]. Cette escapade l'a conduit, plus tard, à prétendre que Richard Hannay, un personnage dans les romans de John Buchan, a été basé sur son histoire personnelle[6] Il est intéressant de noter qu'Ironside appréciait ces romans, lisant Mr Standfast installé de façon invraisemblablement romantique, sur le siège passager d'un biplan à cockpit ouvert volant de l'Irak en Perse[8].

Il est ensuite affecté en Inde, où il a servi avec le I Battery RHA, et en Afrique du Sud, avec la Y Battery RHA[5]. Il a été promu au grade de capitaine en février 1908, a nommé en tant que capitaine du personnel en septembre de la même année, puis comme major de brigade en juin 1909[4]. Il rentra chez lui en septembre 1912[9], afin d'assister à l'Ecole des cadres, à Camberley[6].

Première Guerre mondiale

Les deux années d'étude d'Ironside à l'école des cadres, qu'il trouve peu stimulante, sont brutalement stoppées par le déclenchement de la Première Guerre mondiale en août 1914[6]; le 5 août, il a été nommé en tant que capitaine d'état major[4], et affecté à Boulogne-sur-Mer puis à Saint-Nazaire, les deux bases de l'armée de terre soutenant le corps expéditionnaire[6]. Selon certains, il était l'un des premiers officiers britanniques à arriver en France[10]. Il a été promu major et rattachés à la 6ème division d'infanterie, fraichement arrivée à la fin octobre 1914[6], comme officier d'état major général, grade 3 (GSO3)[4]. Il est resté avec la division, et a été promu GSO2 en février 1915.

Il a été promu lieutenant-colonel à titre temporaire et GSO1 in mars 1916[11]. Il avait espéré être fait GSO1 -. Chef d'état major divisionnaire - à la 6e division, mais à sa grande surprise, il a été affecté à la 4ème division canadienne nouvellement formée, en tant que GSO1. Ironside a poussé pour un régime d'entraînement dur, avec l'intention de mener la division au front aussi rapidement que possible et d'éviter qu'elle ne soit éclater pour renforcer les trois autres divisions du Corps canadien. En raison de l'inexpérience du commandant de division, David Watson - un soldat volontaire avec peu d'expérience professionnelle - il se trouva presque à commander la division à plusieurs reprises, en notant dans ses mémoires que Watson transmettait les ordres d'Ironside sous son propre nom[12]. A son arrivée en France, à la fin de 1916, la division a participé à la fin de la bataille de la Somme, avant d'être déplacée vers le nord pour se préparer à l'attaque de la crête de Vimy. Pendant la phase finale des combats de Vimy, Ironside a pris le commandement officieux de la division, outrepassant une commande ambiguë de Watson - qui était alors hors de contact au quartier général - pour stopper l'attaque, et ordonnant personnellement aux bataillons de tête dans l'action[13].

Il est resté avec la division tout au long de l'année 1917, avec laquelle il a combattu à la bataille de Passchendaele[6], et en janvier 1918 a été nommé à une affectation administrative, en tant que commandant de la Small Arms School (École des armes légères), avec le grade temporaire de colonel[14]. Il est cependant rapidement revenu sur le front occidental, quand il a été nommé commandant de la 99ème brigade d'infanterie avec le grade provisoire de brigadier-général à la fin du mois de mars[6].

Russie et Perse

Ironside est resté avec la 99e brigade seulement six mois; en septembre 1918, il a été affecté à la la force expéditionnaire alliée combattant les bolcheviks en Russie septentrionale, et en novembre s'est vu confié le commandement de cette force. Ce fut son premier commandement indépendant, et il s'y jeta corps et âme. Pendant plus d'un an, il a voyagé en permanence le long de la Dvina septentrionale pour garder le contrôle de ses forces internationales dispersées, et à un moment échappa de peu à une tentative d'assassinat. Toutefois, l'Armée rouge a pris l'avantage dans la guerre civile russe et à la fin de 1919, il fut contraint d'abandonner l'Armée blanche à son sort. En novembre il remis le commandement à Henry Rawlinson, qui superviserait un éventuel retrait, et est retourné en Grande-Bretagne[6]. Ironside a été fait chevalier commandeur de l'ordre du Bain[15], et promu major-général[16] pour sa efforts; ce qui lui fit de lui un des plus jeunes major-généraux de l'armée[17].

Au début de 1920, il a commandé une mission militaire qui a supervisé le retrait des forces roumaines laissé en Hongrie après la guerre hongro-roumaine de 1919, et durant l'été a été affecté à la force d'occupation d'Izmit, en Turquie, alors qu'il se préparait à se retirer. Sa troisième affectation à l'étranger de l'année a été en Perse à la fin août, où - entre autres - il a nommé Reza Khan au commandement de la brigade d'élite cosaque[6]; Khan allait plus tard prendre le contrôle du pays, et devenir Shah de 1925 à 1941. Le niveau exact de la participation britannique dans le coup d'État de Khan est encore un sujet de débat historique, mais il est presque certain que Ironside a au moins fourni des conseils aux comploteurs[18],[19],[20]. A son départ de la Perse en 1921, le Shah lui a décerné l'Ordre du Lion et du Soleil[21].

Après la Perse, il a assisté à la Conférence du Caire, où Winston Churchill l'a persuadé de prendre le commandement de la force britanniques, nouvellement réorganisée, en Irak , mais de retour en Perse, en avril, l'avion qu'il pilotait s'est écrasé et il a été rapatrié après plusieurs mois de hôpital[6].

Entre deux guerres

Après avoir récupéré de ses blessures en demi-solde, Ironside retourne au service actif en tant que commandant du Staff College en mai 1922. Il a passé un plein mandat de quatre ans là-bas, gérant efficacement l'école, publiant également plusieurs articles et un livre sur la bataille de Tannenberg. Plus important pour sa future carrière, il est devenu le mentor de J. F. C. Fuller, qui a été nommé maître de conférences au Collège au même moment, et est devenu une connaissance proche de Basil Liddell Hart. Les idées de Fuller ont profondément influées sur Ironside, qui est devenu un partisan de la réforme de l'armée pour en faire une force blindées d'élite avec un soutien aérien, et pour former un seul ministère de la défense pour contrôler les différents services[22]. Il a fréquemment fait valoir la nécessité d'accélérer la modernisation de l'armée et son réarmement, et mis en évidence le problème des «viels hommes» qui remplissaient encore les rangs supérieurs de l'armée. Au final, il a dû être réprimandé par le chef d'état-major général impérial, Sir George Milne[6].

Après Camberley, il est nommé commandant de la 2e division, poste qu'il a occupé pendant deux ans avec peu d'effet ou d'intérêt - il était frustré par le fait de devoir former une force d'infanterie sans équipement moderne - et ensuite envoyé en Inde pour commander le district de Meerut, en 1928. Il aimait la vie en Inde, mais a constaté que la situation militaire était tout aussi inintéressante; l'équipement était démodé, comme l'étaient les officiers du régiment et les plans stratégiques. Il a été promu lieutenant-général en mars 1931, et part pour l'Angleterre en mai, où il est retourné à la demi-solde avec l'improbable sinécure de connétable de la Tour de Londres. Il a été soulagé de cette triste tâche par un poste en Inde comme quartier-maître général en 1933, pour lequel il a beaucoup voyagé, traversant le pays pour visiter des régiments et superviser le processus d'indianisation. Pour tout cela, cependant, il était le meilleur pour un mauvais travail; mais était encore loin du War Office, et incapable d'influer notablement sur la préparation de l'armée pour une guerre future[6].

Préparation pour la guerre

Il rentra au Royaume-Uni en 1936, récemment promu général, pour prendre le commandement de l'Eastern Command, l'un des commandement régionaux (au niveau des corps d'armée) au Royaume-Uni, responsable d'une seule division régulière et trois divisions territoriales.[23] A ce poste, il s'est rendu compte qu'une guerre européenne viendrait plutôt tôt que tard, et que l'armée était dans un état précaire pour défendre le pays. Toutefois, il a trouvé que, comme avec ses postes antérieurs, il n'avait que peu de prise sur les évenements à l'Eastern Command - les grandes décisions seraient prises à Whitehall. Il semble perdre toute chance aux plus hautes fonctions en 1937, quand il est réprimandé sur sa mauvaise gestion d'une force mobile lors d'exercices annuels; alors qu'il était considéré comme un candidat potentiel au poste de chef d'état-major général impérial, mais il lui a été préféré Lord Gort, qu'Ironside considérait comme inapte à la tâche. Officiellement, Hore-Belisha lui a dit qu'il était trop vieux pour le poste, à 57 ans. Il a été nommé aide de camp du roi en octobre, une poste purement cérémonielle, et au début de 1938, il accepte l'offre d'une affectation en tant que gouverneur de Gibraltar, généralement considéré comme un rôle tranquille pour prendre sa retraite.[24]

Il a accepté Gibraltar car on lui a suggérer qu'en cas de guerre, il pourrait être transféré au commandement des forces au Moyen-Orient, et comme il croyait qu'aucune force majeure ne pourrait être utilement envoyée en France, cela lui paraissait être l'objectif principal de l'attention britannique dans la guerre.[25] Il a pris le poste de gouverneur en novembre 1938, et se consacra à la préparation de la colonie en vue de la guerre; là bas, enfin, il avait le champ libre. Sous son mandat, les défenses ont été renforcées et la garnison préparée pour un long siège.[6]

En décembre 1938, un mois seulement après qu'il avait pris le poste, Hore-Belisha avait commencé à envisager la possibilité de rappeler Ironside pour le nommer inspecteur général des Forces outre mers. Cela lui a donné la responsabilité globale de l'état de préparation des forces basées en dehors du Royaume-Uni, et il inquietait beaucoup de gens au War Office sur le fait qu'il allait l'interpréter comme un tremplin vers le commandement formel de la Force expéditionnaire au déclenchement de la guerre. Cependant, après quelques débats, Hore-Belisha est allé de l'avant et a offert le poste à Ironside en mai, nommant un inspecteur général des Home Forces au même moment, les deux sous la direction de Lord Gort.[26] La décision de rappeler Ironside peut avoir été aidé par le fait que Hore-Belisha a été particulièrement tributaire de l'avis de Basil Liddell-Hart, une vieille connaissance d'Ironside, et commençait déjà à se brouiller avec Gort.[27]

Seconde Guerre mondiale

Norvège

Bataille de France

Défense de la patrie

Retraite et écriture

Honneurs

Notes

  1. Ironside (1962), p. 13
  2. La question de savoir quelles langues parlaient Ironside, et avec quel niveau, est une question intéressante. Cairns dit qu'il était "crédité d'une bonne connaissance d'une douzaine de langues différentes à dix-huit". Bond note simplement qu'il était un interprète dans sept langues (Bond, p. 17). Harold Nicolson a noté que lorsqu'il était enfant, il avait appris le flamand, et pendant la guerre des Boers il a appris le «Taal», mais il n'est pas clair a quelle langue ce terme fait réfèrence (Nicolson, p. 675). Il était un interprète de première classe dans cinq langues (en allemand, en danois, en norvégien, en néerlandais, et en afrikaans), un interprète de deuxième classe en français, et avait une connaissance de la langue russe, turque et en persan; au moment de la rédaction en 1940, il pouvait parler un total de quatorze langues (Nicolson, p. 674). Si on inclut l'anglais, cela donne un total de onze ou douze, si le "Taal" est comptabilisé. Dans son journal, il a noté qu'il appris l'italien en 1919, et accesoirement il avait appris le Magyar / Hongrois, (Ironside (1972), p. 8); il note également une conversation avec un vieil homme en Perse qui «parlait bien l'ourdou" (Ironside (1972), p. 173), suggérant fortement qu'Ironside lui-même le parlé assez bien pour porter un jugement. Cela donne quatorze ou quinze au total, avec la possibilité que certaines autres n'aient tout simplement pas mentionnées.
  3. Cairns (2004); Bond, pp. 16-17
  4. a, b, c, d et e (en) Quarterly Army List for the quarter ending 31st March 1915, London, HMSO, 1915 [lire en ligne], p. 630 
  5. a, b et c Ironside (1962), p. 14
  6. a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m et n Cairns (2004)
  7. Modèle:London Gazette
  8. Ironside (1972), p. 143
  9. Modèle:London Gazette
  10. Life, 31 July 1939, p. 62. Online edition
  11. Modèle:London Gazette
  12. Ironside (1972), pp. 70-4; Cairns (2004)
  13. Ironside (1972), pp. 74-75
  14. (en) Quarterly Army List for the quarter ending 31st March 1918, London, HMSO, 1918 [lire en ligne], p. 259 
  15. Modèle:London Gazette
  16. Modèle:London Gazette
  17. Bond, p. 18
  18. The Cambridge History of Iran, vol. 7 (1991); pp. 210, 219-220
  19. p. 313 of Nikki R. Keddie, « Class Structure and Political Power in Iran since 1796 », dans Iranian Studies, vol. 11, no 1/4, 1978, p. 305–330 [lien DOI] 
  20. p. 538 of Homayoun Katouzian, « Nationalist Trends in Iran, 1921-1926 », dans International Journal of Middle East Studies, vol. 10, no 4, 1978, p. 533–551 
  21. p. 140 of Denis Wilson, « Sir John Malcolm and the Order of the Lion and Sun », dans Iran, vol. 17, 1979, p. 135–141 [lien DOI] 
  22. Cairns (2004); Holden Reid (2009)
  23. Ironside (1962), p. 21
  24. Cairns (2004); Bond, pp. 19-20
  25. Bond, pp. 19-20
  26. Bond, p. 20
  27. Bond [chapter on Gort], p. 37

Références

  • Erreur dans la syntaxe du modèle ArticleJohn C Cairns, « Ironside, (William) Edmund, first Baron Ironside (1880–1959) », dans , Oxford University Press, septembre 2004 [texte intégral [subscription required], lien DOI (pages consultées le 2008-01-14)] 
  • Erreur dans la syntaxe du modèle ArticleBrian Holden Reid, « Fuller, John Frederick Charles (1878–1966) », dans , Oxford University Press, septembre 2009 [texte intégral [subscription required], lien DOI (pages consultées le 2009-12-24)] 
  • (en) Julian Jackson, The Fall of France, Oxford University Press, 2003 (ISBN 019280300X) 
  • Bond, Brian - "Ironside". In (en) Churchill's Generals, Abacus, 1999 (ISBN 0349113173) 
  • Bond, Brian - "Gort". In (en) Churchill's Generals, Abacus, 1999 (ISBN 0349113173) 
  • (en) Anita J. Prażmowska, Britain, Poland and the Eastern Front, 1939, Cambridge University Press, 2004 (ISBN 0521529387) 
  • (en) Edmund Ironside, The Ironside diaries, 1937-1940, Constable, 1962 (ISBN 0837173698) 
  • (en) Edmund Ironside, High Road to Command: The Diaries of Major-Gen. Sir Edmund Ironside 1920–1922, Leo Cooper, 1972 

Bibliographie pour approfondir

  • (en) James Eastwood, General Ironside, Pilot Press, 1940 
  • (en) Andrew Soutar, With Ironside in North Russia, Hutchinson, 1940 
  • (en) Tony Heathcote, The British Field Marshals 1736-1997, Pen & Sword, 1999 (ISBN 0850526965) 
  • Quinlivian, Peter (2006). Forgotten Valour: The Story of Arthur Sullivan VC. Sydney: New Holland. ISBN 978-1-74110-486-8.
Dépêches officielles
  • Operations carried out by the Allied Forces under my Command during the period from 1 October 1918, to 11 August 1919
  • in the Modèle:London Gazette
  • Operations carried out by the Allied Forces under my Command during the period from 11 August 1919, to 27 September 1919.
  • in the Modèle:London Gazette

Liens externes

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