École polytechnique fédérale de Lausanne

École polytechnique fédérale de Lausanne
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École polytechnique fédérale de Lausanne
École polytechnique fédérale de Lausanne (logo).svg
Informations
Fondation 1853
Type École polytechnique, publique
Régime linguistique Français, anglais
Budget 735 millions CHF
Localisation
Coordonnées 46° 31′ 13″ N 6° 33′ 56″ E / 46.520278, 6.56555646° 31′ 13″ Nord
       6° 33′ 56″ Est
/ 46.520278, 6.565556
  
Ville Lausanne
Pays Drapeau de Suisse Suisse
Campus 55 hectares[1]
Direction
Président Patrick Aebischer
Chiffres clés
Personnel 4 400
Étudiants 7 700
Premier cycle 4 000
Deuxième cycle 1 700
Troisième cycle 2 000
Divers
Affiliation AUE, AUF, TIME, CLUSTER
Site web www.epfl.ch

Géolocalisation sur la carte : Suisse

(Voir situation sur carte : Suisse)
École polytechnique fédérale de Lausanne

L’École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) est une école d'ingénieurs située à Lausanne, en Suisse et fondée en 1853, sous le nom d’École spéciale de Lausanne.

Elle compte à ce jour un peu plus de 7 600 étudiants du bachelor au doctorat[2] et 4 200 collaborateurs dont 250 professeurs[3].

Sommaire

Histoire

Vue aérienne (2009) de l'École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) ; l'EPFL forme avec l'Université de Lausanne (UNIL) (hors de la photo) un vaste campus à proximité du lac Léman

L'école fut fondée en 1853, à l'instigation de Louis Rivier, diplômé de l'École centrale de Paris en 1843, Jean Gay, professeur et recteur de l'Academie de Lausanne, Pierre-Joseph Marguet, ancien élève de l'École polytechnique (France) et Jules Marguet, diplômé de l'École centrale de Paris en 1840. Cette école privée appelée École spéciale de Lausanne est inspirée par l'École centrale de Paris. A ses débuts elle ne compte que 11 élèves et ses locaux sont situées rue du Valentin à Lausanne.

En 1869, elle devint le département technique de l'Académie de Lausanne, ancêtre de l'Université de Lausanne. Lorsque cette dernière fut réorganisée et acquit le statut d'université en 1890, la faculté technique changea son nom en École d'ingénieurs de l'Université de Lausanne.

En 1946, elle fut rebaptisée École polytechnique de l'Université de Lausanne (EPUL) et s'installe à l'Hotel Savoy, avenue de Cour à Lausanne et sur le domaine voisin des Cèdres.

En 1969, l'EPUL fut séparée de l'Université de Lausanne, et devint une institution fédérale sous son nom actuel, rejoignant l'École polytechnique fédérale de Zurich. Il est alors décidé de transférer l'EPFL sur le nouveau site d'Écublens.

À ce jour, l'école est l'un des six établissements publics autonomes qui forment le domaine des Écoles polytechniques fédérales et dépend de l'État fédéral, contrairement aux autres hautes écoles universitaires de Suisse qui sont généralement gérées par les cantons.

L'école

L'École polytechnique fédérale de Lausanne compte environ 12 000 personnes sur le campus, dont environ 7 700 étudiants, 260 professeurs, des collaborateurs scientifiques et techniques et même des entrepreneurs du Parc Scientifique de l'EPFL[3]. On recense plus de 100 nationalités et plus de 43 % des étudiants et 50 % du corps enseignant sont étrangers[4].

Son budget est de 735 millions de francs suisse en 2010. Celui-ci provient à environ 72 % de la confédération suisse, 28 % de tiers (fonds national, industrie, programmes européens) et seulement 0,7 % des taxes étudiantes[5].

L'école encourage également la vie associative et sportive sur le campus. Grâce à 70 associations[6]de tout type allant de la représentation des étudiants comme l'AGEPoly à l'organisation de fêtes ou de festivals comme Balélec, les étudiants peuvent en plus de leurs études acquérir des expériences qui forment un plus pour leur vie professionnelle et sociale.

L'EPFL est membre du réseau Top Industrial Managers for Europe (TIME) créé en 1989 et qui regroupe une cinquantaine d'universités dispensant une formation d'ingénieur. Elle est aussi partenaire avec plus de 150 écoles et universités dans le monde, ce qui permet l'échange d'étudiants[7].

Sa bibliothèque, ouverte au public et intégrée au Learning Center, dispose de 860 places de travail et regroupe plus de 500 000 documents. L'école dispose de son propre journal mensuel, Flash.

Site

Vue aérienne de l'École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), en 2005

L'école se situait depuis 1943 à l'avenue de Cour, n° 29-33, à Lausanne, dans l'ancien Hôtel Savoy. En 1974, commença la construction des nouveaux bâtiments sur le site de Dorigny, à Écublens, à côté de l'Université de Lausanne (UNIL) installée depuis octobre 1970. L'inauguration des premiers bâtiments de l'EPFL à Dorigny eut lieu en 1978.

Le site est depuis en constante évolution, et de nombreuses constructions sont venues se greffer sur le vaste campus formé par l'EPFL à proximité du lac Léman. La première étape de construction, d'un budget de 462 millions de Francs, s'acheva en 1984. Au tournant des années 90, la seconde étape regroupant la coupole et la diagonale fut achevée. Puis ce fut au tour du Parc scientifique (PSE) et du Centre de recherche en physique des plasmas (Tokamak TCV) d'être construits. Enfin l'aménagement du quartier nord débute en 1995 avec la construction du bâtiment de microtechnique, achevée en 1998, et du bâtiment d'architecture terminé en 2000.

La dernière construction en date est le Learning center, construction du bureau japonais SANAA, qui rassemble des espaces de travail, de détente et de services. Il est appelé à devenir le centre du campus. Le dernier projet en date est le centre de conférences de l'EPFL[8], il rassemblera dès 2012 une salle de 3000 places, 505 lits pour étudiants, des salles plus petites ainsi que des commerces et services.

Le site est desservi par la ligne de métro M1 du réseau des Transports publics de la région lausannoise. On compte pas moins de 18 lieux et commerces de restauration sur le campus dont un restaurant haut de gamme (La Table de Vallotton), une épicerie, un bar (le Satellite), ainsi qu'un hôtel (Starling Hotel at EPFL) et 300 logements pour étudiants.

Le campus de l'EPFL a reçu le 11 juin 2009 le 1er prix international des campus durables décerné par l'International Sustainable Campus Network (ISCN)[9]. En effet, depuis les premières études pour la construction du site d'Écublens, l'école a voulu contrôler ses dépenses énergétiques. C'est ainsi que dès 1970 est décidé la construction d'une station de chauffage expérimentale à thermopompes. La station de pompage aspire l'eau du lac Léman à 65 mètres de profondeur à une température constante de 6 °C et rejette l'eau dans la Sorge à 3 °C. L'installation, qui fonctionne toujours parfaitement, couvrait à son origine 90 % de l'énergie nécessaire au chauffage des bâtiments de l'EPFL.

L'EPFL dispose d'un centre sportif et nautique commun avec l'Université de Lausanne (UNIL) au bord du lac Léman qui permet la pratique de nombreuses activités.

L'EPFL a signé en mai 2009, avec le Sheikh Saud bin Saqr, un accord portant sur la création d’un campus de l'école à Ras el Khaïmah (Émirats arabes unis). Ce campus est baptisé « EPFL Middle East »[10].

Formations

L'EPFL propose quatre types de formations :

  • Le Bachelor, d'une durée de 3 ans (une année propédeutique et 2 années de cycle bachelor), qui est sanctionné par le titre de Bachelor of Science et l'obtention de 180 crédits ECTS. L'EPFL propose 13 formations du niveau bachelor dispensées, en français, au sein des 13 sections que compte l'école.
  • Le Master, d'une durée de 3 ou 4 semestres (respectivement 90 ou 120 crédits ECTS), après lequel on obtient le diplôme Master of Science et le titre d'ingénieur de l'EPFL. Il existe 22 programmes de master à l'EPFL, la plupart étant donnés en anglais, ainsi que huit mineurs.
  • L'école doctorale, qui permet de préparer entre 3 et 5 ans un des 18 doctorats que propose l'EPFL et d'obtenir le titre de docteur ès sciences.

Les titres délivrés par l'EPFL sont tous reconnus par l'OAQ, l'Organe d´accréditation et d´assurance qualité des hautes écoles suisses. Les formations en ingénierie sont également accréditées par la CTI (Commission des titres d'ingénieur) en France, où le titre d'ingénieur est protégé. Ce fut un des premiers diplôme étranger à être reconnu par la France et ce par l'arrêté ministériel du 19 octobre 1949[11].

L'EPFL a des accords de double diplôme avec, entre autres, l'école française Télécom ParisTech pour le cursus d'Eurecom, l'Institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace,la Technische Universität München (Tum) et l'ETHZ.

La formation dispensée à l'EPFL est exigeante. En effet, seuls 47 % des étudiants n'ont jamais pris de retard dans l'obtention de crédits. Le taux de réussite en 1re année va de 39 % (section architecture) à 68,7 % (section systèmes de communication), il a été, pour toute l'école, de 50,7 % en 2010/2011 et de 50,6 % en 2009/2010. Il faut cependant noter que 70 % des étudiants de première année ont finalement obtenu leur diplôme[12].

Formes d'admission

  • Les étudiants possédant une maturité suisse, un Baccalauréat ou un titre équivalent avec au moins 14/20 de moyenne pondérée en mathématiques, langue maternelle, première langue vivante et une matière scientifique (sciences physiques ou sciences de la vie et de la terre) sont admis directement à l'EPFL en première année[13].
  • Les étudiants ne possédant pas les notes nécessaires ou ne possédant pas de diplôme équivalent peuvent suivre le cours de mathématique spéciale (CMS) de l'EPFL ou d'une école privée.
  • Les étudiants issus de classe préparatoire aux grandes écoles (CPGE) peuvent être admis en année supérieure après un examen rigoureux de leur dossier[14] ou directement en 3e année par le concours de l'ENS Lyon[15].
  • Toute personne titulaire d'un bachelor délivré par une université reconnue peut déposer sa candidature pour un programme de master.

Organisation

Le chantier du Learning Center (juillet 2009)
Galerie sous le bâtiment de microtechnique
Vue intérieure du bâtiment BC

L'EPFL possède sept facultés, elles-mêmes divisées en instituts et laboratoires :

  • Faculté des sciences de base (SB) : mathématiques, physique et chimie
    • Section de chimie et génie chimique (SCGC)
    • Section de mathématiques (SMA)
    • Section de physique (SPH)
    • Institut de mathématiques des sciences computationnelles et ingénierie (MATHICSE)
    • Institut d'analyse et de calcul scientifique (IACS)
    • Institut de géométrie, algèbre et topologie (IGAT)
    • Institut de mathématiques (IMA)
    • Institut de mathématiques B (IMB)
    • Institut des sciences et ingénierie chimiques (ISIC)
    • Institut de physique de l'énergie et des particules (IPEP)
    • Institut de physique de la matière condensée (ICMP)
    • Institut de physique des systèmes biologiques (IPSB)
    • Institut romand de recherche numérique en physique des matériaux (IRRMA)
    • Institut de théorie des phénomènes physiques (ITP)
    • Centre européen de calcul atomique et moléculaire (CECAM)
    • Centre interfacultaire Bernoulli (CIB)
    • Centre interdisciplinaire de microscopie électronique (CIME)
    • Centre de recherches en physique des plasmas (CRPP)
    • PRN Photonique quantique (PRN-QP)
  • Faculté des Sciences et techniques de l'ingénieur (STI) : génie mécanique, science des matériaux, électronique et microtechniques
    • Section de génie mécanique (SGM)
    • Section de science et génie des matériaux (SMX)
    • Section de génie électrique et électronique (SEL)
    • Section de microtechnique (SMT)
    • Institut interfacultaire de Bioingénierie (STI/SV) (IBI2)
    • Institut de génie électrique et électronique (IEL)
    • Institut de génie mécanique (IGM)
    • Institut de microtechnique (IMT)
    • Institut des matériaux (IMX)
    • Centre inter-institutionnel de biomécanique translationnelle (CBT)
    • Centre de compétence Sciences des matériaux et technologie du CEPF - Leading House EPFL (CCMX)
    • Centre de MicroNanoTechnologie (CMI)
    • Centre pour les neuroprothèses (CPN)
    • Centre de technologies spatiales (CTS)
  • Faculté de l'environnement naturel, architectural et construit (ENAC) : architecture, génie civil, sciences et ingénierie de l'environnement
    • Section d'architecture (SAR)
    • Section de génie civil (SGC)
    • Section des sciences et ingénierie de l'environnement (SSIE)
    • Institut d'architecture et de la ville (IA)
    • Institut d'ingénierie civile (IIC)
    • Institut de l'urbain et des territoires (INTER)
    • Institut d'ingénierie de l'environnement (IIE)
  • Faculté informatique et communications (IC) : informatique et télécommunications
    • Section d'informatique (SIN)
    • Section des systèmes de communication (SSC)
    • Institut d'informatique fondamentale (IIF)
    • Institut des systèmes informatiques et multimédias (ISIM)
    • Institut de systèmes de communication (ISC)
    • PRN Systèmes mobiles d'information et de communication (MICS)
    • Centre Systèmes digitaux avancés (CSDA)
    • Centre Traitement d'information neuronale (CTIN)
    • Centre Global computing (CGC)
  • Faculté des sciences de la vie (SV) : sciences de la vie)
    • Section des sciences de la vie (SSV)
    • Institut des neurosciences (BMI)
    • Institut interfacultaire de Bioingénierie (SV/STI) (IBI1)
    • Institut suisse de recherche expérimentale sur le cancer (ISREC)
    • Institut de recherche en infectiologie (GHI)
    • Centre technologique en neurosciences (CNT)
    • Centre d'application du vivant (CAV)
    • PRN Oncologie moléculaire (PRN-MO)
  • Collège du management de la technologie (CDM) : management
    • Section du management de la technologie (MTE)
    • Section de l'ingénierie financière (IF)
    • Institut de management de la technologie et entrepreneuriat (MTEI)
    • Institut de politique de technologies (TPI)
    • Institut suisse de la finance à l'EPFL (SFI)
    • Centre de management de la technologie EPFL-UNIL (CMT)

Direction

La direction de l'EPFL se compose d'un président, Patrick Aebischer, et de trois vices-présidents :

  • Philippe Gillet : vice-président pour les affaires académiques
  • Adrienne Corboud Fumagalli : vice-présidente en charge de l'innovation et de la valorisation
  • Francis-Luc Perret : vice-président pour la planification et la logistique

Classements et scientométrie

Elle a été classée 102e meilleure université mondiale dans le Classement académique des universités mondiales par l'université Jiao Tong de Shanghai de 2011[16], qui la place en outre au 20e rang mondial (2e européenne) dans la catégorie ingénierie, technologie et informatique[17], 37e en chimie[18] et dans les 51 premières universités en physique[19].

Pour sa part, le mensuel Times Higher Education classe l'EPFL à la 46e position (9e européenne) de son classement 2011-2012 des meilleures universités mondiales[20] et 20e dans les domaines de l'ingénierie et de la technologie.

Par ailleurs, le QS World University Rankings (en)2011/12 classe l'école à la 35e position mondiale[21]. Elle est classée 92e du Classement international professionnel des établissements d'enseignement supérieur établi par l'école Mines ParisTech en 2011. Au classement de Newsweek Top 100 Global Universities', l'EPFL est au 26e rang des universités dans le monde.

Recherche

Tokamak à configuration variable

La recherche scientifique à l'EPFL est menée par 50 instituts et centres et plus de 250 laboratoires. Le nombre de publications s'est élevé à 2700 en 2010, en outre près de 400 brevets ont été déposés et 750 inventions annoncées depuis 2001[22]. Ses chercheurs ont récolté 6 ERC « advanced grants », les bourses du Conseil européen de la recherche et 11 ERC « starting grants » en 2010, ce qui porte à trente le nombre de subventions récoltés depuis 2007[23].

L'EPFL est en possession depuis l'été 2005 d'un super ordinateur Blue Gene construit par IBM. La machine est la quatrième plus puissante de Suisse et se place au 343e rang mondial (juin 2011)[24] avec sa vitesse théorique de 22,8 teraflops.

L'EPFL possède sur son site un réacteur à fusion thermonucléaire Tokamak à configuration variable qui permet une collaboration de l'EPFL dans le projet ITER.

Partenariats scientifiques

Alinghi en 2007
  • L'EPFL est le conseiller scientifique officiel de l'équipe Alinghi, double vainqueur de la Coupe America 2003 et 2007.
  • L'Hydroptère, trimaran volant s'affranchissant du principe d'Archimède et détenteur du record absolu de vitesse à la voile (51,36 nœuds de moyenne sur 500 mètres et 55,5 nœuds soit 103 km/h en vitesse de pointe)[25] et l'Hydroptère.ch.
  • L'EPFL a grandement participé à la construction du SwissCube-1[26] le premier satellite entièrement construit en Suisse dans le cadre du programme CubeSat et mis en orbite le 23 septembre 2009 par le lanceur indien PSLV.
  • Afin de mieux comprendre la relation entre la nutrition et le cerveau, l'EPFL et le Centre de recherche Nestlé ont signé un accord d'une durée de cinq ans. Selon les termes de celui-ci, Nestlé va contribuer à hauteur de 5 millions par année et pour cinq ans, aux travaux du Brain Mind Institute, où deux chaires ont été créées.
  • Logitech et l'EPFL ont annoncé la création de l'incubateur Logitech EPFL. Chaque année cette collaboration offrira un soutien financier, pédagogique et fonctionnel à une sélection de chercheurs et d'étudiants.
  • Breitling Orbiter 3, le premier ballon à avoir fait un tour du monde sans escale en 1999, piloté par Bertrand Piccard et Brian Jones.
  • La Poly-PDG, partenariat académique avec la mythique course de ski-alpinisme Patrouille des glaciers.

Personnalités liées à l'école

Étudiants

Voir la catégorie : Étudiant de l'École polytechnique fédérale de Lausanne.


Enseignants

Voir la catégorie : Enseignant à l'École polytechnique fédérale de Lausanne.
Claude Nicollier, Spationaute et professeur en technologie spatiale


Anciens présidents de l'institution[29]

  • Jean Gay (1853-1874), professeur de mathématiques de 1853 à 1874, professeur et recteur de l'Académie de Lausanne
  • Jules Marguet (1875-1887), membre fondateur
  • William Grenier (1887-1894)
  • Charles Dapples (1894-1898), membre du conseil national
  • Adrien Palaz (1898-1919), diplômé de l'ETHZ, professeur de génie civil
  • Jean Landry (1919-1940)
  • Alfred Stucky (1940-1963), ingénieur civil, professeur d'hydraulique
  • Maurice Cosandey (1963-1978), docteur honoris causa de l'EPFL 1989
  • Bernard Vittoz (1978-1992), ingénieur physicien de l'EPUL, professeur extraordinaire de mécanique
  • Jean-Claude Badoux (1992-2000), ingénieur civil de l'ETHZ, professeur à l'Université de Californie
  • Patrick Aebischer (depuis 2000)

Docteurs honoris causa

Vie étudiante

Vie associative

Traditions et festivités

Photographies

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Notes et références

  1. Pont, Michel, Chronique de l'EPFL 1978-2000, Presses Polytechniques et Universitaires Romandes, 2010, p. 111.
  2. 1982-2010 : étudiants
  3. a et b statistiques epfl sur http://www.epfl.ch
  4. présentation epfl sur www.epfl.ch
  5. Budget EPFL 2010 sur http://epfl.ch
  6. Liste des associations de l'EPFL sur http://epfl.ch
  7. Ecoles partenaires sur http://epfl.ch
  8. >Communiqué de presse de l'EPFL sur http://actualites.epfl.ch
  9. Quarante ans de campus durable sur http://actualites.epfl.ch
  10. Communiqué de presse de l'EPFL sur le campus aux Émirats Arabes Unis sur http://actualites.epfl.ch
  11. http://www.legifrance.gouv.fr/jopdf/common/jo_pdf.jsp?numJO=0&dateJO=19491022&numTexte=&pageDebut=10611&pageFin=
  12. statistiques sur l'échec sur http://sae.epfl.ch
  13. Admission sur certificat étranger sur http://www.crus.ch
  14. Conditions d'admission en année supérieure (ex CPGE) sur http://bachelor.epfl.ch
  15. Admission en 3e année sur concours de l'ENS Lyon sur http://bachelor.epfl.ch
  16. Classement 2011 des universités sur http://www.shanghairanking.com
  17. Classement 2011 en Ingénierie, technologie et informatique sur http://www.shanghairanking.com
  18. Classement 2011 en Chimie sur http://www.shanghairanking.com
  19. Classement 2011 en Physique sur http://www.shanghairanking.com
  20. (en)World University Ranking 2011 sur http://www.timeshighereducation.co.uk
  21. (en)QS World University Ranking 2011 sur http://www.topuniversities.com
  22. Statistique sur la recherche sur http://epfl.ch
  23. Attribution de nouveau ERC sur http://epfl.ch
  24. TOP500 List - juin 2011 (201-300) sur http://top500.org
  25. Site de la collaboration EPFL-Hydroptère
  26. SwissCube Website
  27. a et b http://a3.epfl.ch/alumni-award-2007.html
  28. http://actualites.epfl.ch/newspaper-article?np_id=1450&np_eid=101&catid=107
  29. Liste des présidents de l'EPFL

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

  • Histoire de l'Ecole polytechnique de Lausanne : 1953-1978, Presses polytechniques et universitaires romandes, 1999. (ISBN 9782880743958)
  • Michel Pont, Chronique de l'EPFL 1978-2000, Presses polytechniques et universitaires romandes, 2010. (ISBN 9782880748760)

Articles connexes

Lien externe



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