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Badminton
Pour les articles homonymes, voir Badminton (homonymie).Badminton Fédération internationale BWF (1934) Sport olympique depuis 1992 Autres appellations aucune autre appellation Clubs Licenciés Pratiquants Professionnels Champion/ne(s) du monde
en titreLin Dan
Lu LanChampions en titre inconnu modifier Le badminton est un sport de raquette qui oppose soit deux joueurs (simples) soit deux paires (doubles), placés dans deux demi-terrains séparés par un filet. Les joueurs marquent des points en frappant un volant à l'aide d'une raquette pour le faire tomber dans le demi-terrain adverse. L'échange se termine dès que le volant touche le sol.
Le volant, également appelé moineau au Québec, est un projectile aux propriétés aérodynamiques uniques qui lui donnent une trajectoire très différente des balles utilisées dans la plupart des sports de raquette. En particulier, les plumes créent une traînée bien plus importante, causant une décélération plus rapide. Le vent ayant beaucoup trop d'influence sur cette trajectoire, le badminton est toujours pratiqué en intérieur.
Le badminton est un sport olympique et comporte cinq épreuves : simple hommes, simple dames, double hommes, double dames et double mixte. À haut-niveau, il nécessite une excellente condition physique ainsi que de très bonnes qualités techniques et tactiques. Dans les faits, le badminton est l'un des sports les plus exigeants physiquement [citation nécessaire]; il se situe tout juste après la boxe et les autres sports de combat[citation nécessaire]. Il est aussi le sport le plus difficile pour les chevilles et le dos, puisque son joueur se trouve régulièrement dans des positions où le dos est en torsion[citation nécessaire]. C'est également le sport de raquette le plus rapide du monde [citation nécessaire], il n'est pas rare de voir une douzaine d'échanges en double en moins de 10 secondes (le record de vitesse est détenu par le chinois Fu Haifeng, dont le volant a atteint la vitesse de 332km/h[1]).
Sommaire
Historique
Pratiqué par les Indiens d'Amérique latine il y a quelque 2000 ans, on retrouve des images de jeu du volant au XVIIe siècle dans les peintures d'artistes célèbres de l'époque (voir par exemple "La Fillette au Volant" de Chardin). L’un des ancêtres du badminton est le battledore and shuttlecock pratiqué en Angleterre dès le Moyen Âge, l’objet du jeu étant de maintenir en l’air un shuttlecock (volant) à l’aide d’une battledore (raquette ou palette[2]).
Quant au badminton actuel, on raconte qu’un jour de 1873, des officiers anglais revenus des Indes se trouvant réunis dans le château du Duc de Beaufort à Badminton (ville anglaise du Gloucestershire), en viennent à évoquer le jeu indien du « poona », qui se pratiquait avec une raquette et une balle légère. Ils se mettent alors en tête d’y jouer. Mais n’ayant pas de balle sous la main, ils décident d’utiliser un bouchon de Champagne, auquel ils attachent quelques plumes. Amusés et séduits par leur trouvaille, ils décident de faire connaître ce jeu, sous le nom du château où il est né : Badminton. Quatre ans plus tard, ils publient les premières règles du jeu et s’en attribuent la paternité, bien qu’ils n’aient en fait rien inventé.
Il n’y a pas si longtemps, ce sport passait uniquement pour un sport de plage. Depuis 1934, date de la création de la fédération internationale de badminton (BWF), plus de 150 pays se sont affiliés à cette fédération, sur les 5 continents. Ce qui chiffre à plus de 100 millions le nombre de pratiquants sur la planète. Le comité olympique a donc décidé d’inscrire cette discipline aux Jeux olympiques de Barcelone en 1992, à la suite d’une démonstration à Séoul, quatre années auparavant.
Le simple et double messieurs, le simple et double dames ainsi que le double mixte sont les 5 épreuves présentées aux JO.
Actuellement, les meilleurs joueurs mondiaux sont originaires de Chine, d’Indonésie, de Corée, ou de Malaisie. En Europe, seulement deux pays rivalisent avec les Asiatiques : le Danemark et l’Angleterre.
Règles du badminton
Le badminton se joue à deux ou à quatre à l'aide d'un volant que l'on doit faire passer d'un côté à l'autre du filet sans faire de fautes (volant qui tombe en dehors des lignes ou qui touche le plafond). Celui qui a le volant dans sa partie de jeu perd le point.
Gagner un match
Le match est joué en deux sets gagnants de 21 points. Chaque échange remporté par un joueur est comptabilisé par un point à son actif. Lorsque les deux joueurs sont à un score de 20-20, le jeu continue jusqu’à ce qu’un des deux adversaires ait deux points d’écart. À 29-29, le premier à 30 est déclaré vainqueur du set.
Les matches se jouaient jadis en deux sets (ou manches) gagnants de 15 points, et de 11 points dans le cas du simple dame (SD). Un joueur ne pouvait marquer un point que sur son service. En cas d’égalité à 14 (10 pour le SD), le joueur qui était rejoint au score pouvait alors choisir de prolonger le set jusqu’à 17 (13 pour les dames) ou de finir en un point (15 pour les hommes et 11 pour les femmes). Lors de l’assemblée générale de la "Fédération internationale de badminton" en mai 2006, il a été décidé de mettre en place un nouveau système de comptage et de le tester pendant deux ans. Ce système a été entériné par l'assemblée générale de l'IBF en aout 2008.
Les arrêts entre les sets
Un arrêt de 120 secondes est autorisé entre chaque set. À ce moment les joueurs peuvent recevoir des conseils (deux entraineurs au maximum peuvent pénétrer sur le terrain, ils doivent le quitter 20 secondes avant la reprise du jeu). Un arrêt d’une minute au cours de chaque set lorsqu’un joueur (ou une paire en double) arrive à 11 points doit être respecté si un joueur le demande. Le joueur peut recevoir des conseils à tout moment entre les échanges (tant que le volant n’est pas en jeu et à condition de ne pas ralentir le match), de la part de son coach, et de lui seul, assis derrière lui au bord du terrain. Le joueur ne peut plus, avec les nouvelles règles, demander un temps mort de sa propre initiative.
Marquer un point
Chaque échange remporté est comptabilisé par un point en plus dans le score du joueur qui le remporte même si celui-ci ne possédait pas le service. Le joueur reprend le service après avoir marqué le point.
Les fautes
Au service, le serveur n’a le droit qu’à un seul essai, et doit toujours servir en diagonale.
Il y a faute s’il manque le volant ou s’il ne respecte pas un des points du règlement suivant :
- le volant doit être frappé sous la taille par le serveur (la taille correspond à une ligne imaginaire à la hauteur de la 2ème côte flottante) ;
- lors de l’impact, la tige de la raquette doit être inclinée vers le bas ;
- le serveur doit être dans la zone de service sans marcher sur les lignes ;
- le mouvement de la raquette doit être continu et aller vers l’avant;
- le serveur doit garder ses deux pieds au sol durant la durée de l'exécution du geste du service.
En jeu, il y a faute si :
- le volant tombe en dehors des limites du terrain, un volant tombant sur la ligne (même extérieure) est bon ;
- le volant passe à travers ou sous le filet ;
- le volant touche le plafond de la salle de sport ; plus généralement, si le volant touche un objet immobile ;
- la raquette ou le joueur touche le filet ;
- le volant est frappé dans le camp adverse ;
- le joueur distrait volontairement l’adversaire (cri, geste, injure, etc.).
À noter que si le geste se termine dans le terrain adverse alors que la frappe du volant a bien été portée dans son propre terrain et que l’adversaire n’a pas été gêné par ce mouvement, il n’y a pas faute.
Les limites du terrain
- En simple, les joueurs s’affrontent sur le terrain (ligne externe au fond et ligne interne sur les cotés). Au service, le volant doit, de plus, retomber dans le grand carré de service diagonalement opposé au serveur ou derrière la ligne de service court.
- En double, les équipes s’affrontent sur la totalité du terrain. Au service, le volant doit, de plus, retomber dans le petit carré de service diagonalement opposé au serveur ou dans le couloir extérieur accolé à ce petit carré.
Le placement des joueurs
En simple
- Le serveur se place dans sa zone de droite si son score est pair (0 étant compté comme tel).
- Il se placera dans la zone de gauche si son score est impair.
- L’adversaire se place dans la zone diagonalement opposée.
En double
- Contrairement aux anciennes règles, il n’y a plus qu’une seule main. Cela signifie que lorsqu’une équipe prend le service, il n’y a qu’un joueur qui sert. Si l’échange est perdu, il n'y a pas de second service mais le service revient à l’adversaire.
- Le service se fait en fonction du score : si le score est nul ou pair, c’est le joueur se trouvant dans la zone de droite qui sert et si le score est impair, c’est celui qui se trouve dans la zone de gauche qui sert.
- Les joueurs ne changent de côté de service (droite-gauche) que lorsqu’ils marquent un point sur leur service et c’est le même joueur qui sert à nouveau. Quand on marque un point en reprenant le service à l’adversaire, tout le monde conserve sa position sur le terrain. Ce système permet aux partenaires de servir alternativement à chaque changement de main.
Arrêt de jeu (let)
Il y a let, c'est-à-dire qu'on rejoue le point :
- quand le service est exécuté avant que le receveur ne soit prêt ;
- quand le volant se désintègre en jeu ;
- quand le volant ne peut être jugé ;
- quand le serveur et le receveur commettent tous les deux une faute ;
- quand le volant reste accroché au filet, après l'avoir franchi, sauf au service ;
- quand un cas imprévisible se produit.
Tirage au sort
Un tirage au sort - le toss - a lieu au début du match. Il consiste à poser le volant sur le filet (en compétition une pièce de monnaie est utilisée) et à le laisser tomber au sol. L’orientation du bouchon désigne le vainqueur du tirage qui peut alors choisir entre :
- servir ou recevoir ;
- choisir son demi-terrain.
Dans le cas où il choisit le service, le perdant peut alors choisir le demi-terrain. Dans le cas où il choisit le demi-terrain, le perdant peut choisir de servir ou de recevoir.
On peut également tirer au sort en frappant le volant vers le plafond. En retombant, l'orientation du bouchon détermine qui pourra choisir entre les deux possibilités mentionnées ci-haut.
La dernière façon de tirer au sort est de pointer son manche de raquette vers l'adversaire. On fait tourner la raquette sur elle-même et, comme à pile ou face, si le symbole au bout du manche est à l'endroit, la personne qui avait choisi à l'endroit au début peut choisir entre les mêmes possibilités qu'avec les deux autres méthodes.
Changement de demi-terrain
Les joueurs changent de demi-terrain à la fin de chaque set et dans le cas dun troisième set, dès que le score est de 11 points pour l'un des deux joueurs. Le joueur qui a remporté le set conserve le service pour débuter le set suivant.
Le matériel
Pour jouer au Badminton, il faut une raquette, et un volant. Détails ci-dessous.
Les raquettes
Les raquettes sont légères et mesurent environ 65 cm de long, la tête (tamis) mesure environ 20 cm de large. Il existe plusieurs formes de têtes (ovales ou isométriques) et plusieurs flexibilités. Le poids d’une raquette va de 80g pour les plus légères à plus de 100 g pour les raquettes métalliques avec une moyenne qui se situe entre 85 et 95 g. Les raquettes se différencient donc par leur têtes, mais aussi par les matériaux utilisés pour leur construction. L'aluminium est utilisé pour les raquettes loisirs, à bas prix, et ont l'inconvénient de ne pouvoir être recordée en cas de section. Le graphite est utilisé pour les raquettes de niveau supérieur; ce matériau permet une plus grande flexibilité, et une plus grande légèreté.
Les volants
Il existe trois types de volants :
- Le volant avec tête et jupe en plastique est utilisé par les enfants, les scolaires débutants (pas utilisé au sein d’un club) ou sur la plage : très léger et résistant, l’inconvénient majeur est qu’il vole très loin.
- Le volant avec tête en liège et jupe en plastique, c’est le modèle utilisé pour les joueurs non classés : très résistant, idéal pour le loisir ou le scolaire mais ayant une trajectoire courbe, appelée « trajectoire parabolique ».
- Le volant avec tête en liège et jupe en plume : utilisé en compétition, plus fragile, mais ayant une trajectoire idéale. Cette trajectoire est habituellement appelée « trajectoire parachute », le volant montant en ligne droite puis descendant presque à la verticale, n’ayant plus de vitesse horizontale. Les plumes utilisées sont des plumes d’oie.
Le prix de ces volants est fonction de leur qualité. Un volant plastique a une durée de vie nettement plus longue qu’un volant en plume. La durée de vie du volant dépend de la puissance des joueurs : certains sets de très haut niveau utilisent jusqu’à une dizaine de volants plume. Depuis l’épizootie de grippe aviaire, le prix des volants avec jupe en plumes d’oie a considérablement augmenté. Pour des volants de qualité, les coûts de production en Chine ont augmenté de 20 à 25% depuis 2004.
Le volant est composé de 16 plumes d'oie d'aile gauche.
Le terrain
Le terrain de badminton fait au total 13,40 mètres (6,70 m de part et d'autre du filet) de long et 6,10 mètres de large. Ce terrain est divisé en couloirs et en zones de service. Les couloirs latéraux, valables pour les matchs de double ont 48 cm de large. Les couloirs de fond, non valables au service en double, ont 78 cm de large. 2 mètres séparent le filet, au centre du terrain de la première ligne de service.
Les zones de service ont donc :
- En simple : 2,67 m de large pour 4,70 m de long.
- En double : 3,15 m de large pour 3,93 m de long.
L'habillement
L'habillement vestimentaire reste basique, à savoir un polo et un short. Cependant, le badminton étant un sport pratiqué en salle, il nécessite des chaussures adaptée, avec une semelle blanche en gomme, afin d'éviter d'abimer le terrain.
Les coups principaux
Article détaillé : Techniques de Badminton.- Le service long, court, tendu (« flick »)
- Le smash, demi-smash
- L’amorti du coup droit (main haute)
- L’amorti du coup droit (main basse)
- L’amorti du revers (main haute)
- L’amorti du revers (main basse)
- Le contre amorti (pour surprendre l'adversaire)
- Le drive
- Le rush, brush, kil
- Le dégagé du coup droit
- Le dégagé du revers
- Le lob du coup droit
- Le lob du revers
- L'overhead
- Le slice du coup droit
- Le revers slice du coup droit
- Le slice revers
- Le reverse slice revers
Compétitions majeures
Les tournois majeurs sanctionnés par la BWF[3] (Badminton World Federation) sont :
- Les Jeux olympiques
- Les BWF events : Thomas Cup[4], Uber Cup[5], Sudirman Cup[6] et les championnats du monde individuels
- les championnats continentaux
- Les Super Series : 12 opens prestigieux et une finale (Super Series Final) en fin d'année[7]
- Les Grand Prix Gold : principalement les Open anciennement 3 ou 4 étoiles
Bien que non sanctionnés par la BWF, deux autres évènements prestigieux viennent s'ajouter à la liste ci-dessus:
- Les Jeux asiatiques
- Les Jeux sud-asiatiques
Voici, par ordre chronologique, les 12 opens comptant pour les super series:
- Malaisie
- Corée
- Angleterre (All-England)
- Suisse
- Singapour
- Indonésie
- Chine (1)
- Japon
- Danemark
- France
- Chine (2)
- Hong-Kong
Ainsi que la Finale en décembre.
Les classements
En Belgique
En Belgique, on distingue quatre classements : A, B, C et D ; le classement A regroupant les joueurs du niveau le plus élevé.
Les classements B et C se subdivisent en B2, B1, C2 et C1.
En tournoi, seuls les joueurs classés de A à C1 ont l’obligation de jouer avec des volants en plumes. Les volants plastiques sont utilisés par les joueurs classés C2 et D.
En France
Le classement national est composé des séries Elite, A, B, C et D.
Chaque série est composée de quatre classements : par exemple B1, B2, B3, B4 (le meilleur étant B1).
Petite exception, les classements de la série Elite sont Top5, Top10, Top20, Top50 (en fonction de leur rang national).
Les joueurs classés Elite sont les meilleurs et les joueurs NC (non classés) sont ceux qui débutent ou qui ne disputent pas de compétition.
Un joueur a un classement propre à chaque discipline (simple hommes/dames, double hommes/dames et double mixte) et ses classements sont souvent exprimés ainsi : S/D/Mx. Par exemple : C1/C4/D1.
Le classement dépend d’un nombre de points comptabilisés en fonction des victoires ou des défaites. Le calcul est assez complexe et le classement du joueur est réévalué en septembre et en février sur la base des matchs joués lors des 12 derniers mois.
Au Luxembourg
Le Luxembourg a quatre classements A, B, C et D. Chacun de ces classements est subdivisé en 2 classes qui sont nommées comme suit : A00 (joueurs les plus forts) A05 B10 B15 C20 C25 D30 D35 (classement initial pour un nouveau joueur). Le classement individuel de chaque joueur est revu après chaque match de championnat national. On fait des points positifs pour chaque match gagné contre un joueur de même ou d'un classement supérieur et des points négatifs pour des match perdu contre un classement inférieur ou égal. On monte dans la catégorie supérieure à +12 points et on descend de classement à -6.
Au Québec
Le classement est divisé en 4 catégories : Élite, A, B et C. Il n’y a pas de sous-catégorie. Selon certains critères, des joueurs peuvent être promus à la fin de chaque saison. Cependant, il n’existe aucune démotion sauf si le joueur en fait la demande et que cette demande est acceptée par la fédération.
En Suisse
Le classement national comprend les catégories A, B, C, D et NC (non classé). Les catégories A à D sont subdivisées en degrés 1, 2 et 3 (par ex. B1, C3). Un joueur a un classement propre à chaque discipline (simple, double et mixte), mais le classement entre la meilleure et la moins bonne discipline ne doit pas excéder 2 degrés, afin que le match soit pris en compte pour le classement. La catégorie A est la plus élevée, suivie de la catégorie B, et ainsi de suite.
Dès la saison 2006/2007, swiss badminton conduit un nouveau système de classement. Deux différents classements sont en vigueur, à savoir d’une part le classement de licence et d’autre part le classement dynamique. Deux différents rankings sont également en vigueur, le ranking dynamique et le ranking statique.
Les grands joueurs
Parmi les stars actuelles les plus connues, on peut citer l'indonésien Taufik Hidayat, le danois Peter Gade ou le chinois Lin Dan chez les hommes, ainsi que les chinoises Xie Xingfang et Zhang Ning, ou la sino-française Pi Hongyan.
Des joueurs comme Heryanto Arbi ou Peter Rasmussen ont également marqué les années 1990.
Références
- ↑ Historique du badminton
- ↑ (fr) Définitions lexicographiques et étymologiques de Palette du CNRTL.
- ↑ anciennement IBF (Internationale Badminton Federation)
- ↑ championnats du monde par équipes masculines
- ↑ championnats du monde par équipes féminines
- ↑ championnats du monde par équipes mixtes
- ↑ seuls les huit premiers de chaque discipline d'après le classement des super series y participent
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- (fr) Databad, toutes les données du badminton français (joueurs, clubs, comités départementaux, ligues régionales)
- (fr) Fédération française de badminton
- (fr) Ligue francophone belge de badminton
- (fr) Annuaire des clubs de badminton
- (fr+de) Fédération suisse de badminton
- (fr+en) Badminton Canada
- (en) Fédération Internationale
- Catégorie badminton de l’annuaire dmoz
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Catégorie : Badminton
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