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Vicomtes de Marseille
Les vicomtes de Marseille sont une famille vicomtale dont l'origine remonte au milieu du Xe siècle avec Arlulf de Marseille. Cette famille s'éteint en 1216 avec Roncelin de Marseille, abbé de l'Abbaye Saint-Victor de Marseille, puis vicomte de Marseille qui est le dernier de la lignée à posséder des droits sur la vicomté.
Sommaire
Origine
Le premier ancêtre connu de cette famille est Arlulf de Marseille ou Arlulfe[2] qui apparaît à l'occasion des donations des terres fiscales et des droits publics du val de Trets dont il bénéficie en 950 de la part du roi de Bourgogne-Provence Conrad III de Bourgogne[3].
D'après l'hypothèse de G. de Manteyer reprise par J.P. Poly, Arlulf serait le petit-fils du comte Teutebert, appelé aussi Thibert qui avait administré le Royaume de Provence pour le compte du roi Louis III l'Aveugle dans les années 890-908. Il appartient donc à l'aristocratie franque installée dans les pays du Bas-Rhône à l'époque carolingienne et plus probablement à celle originaire du Viennois venue à la suite d'Hugues d'Arles qui a su s'affranchir du clan aristocratique des Bosonides pour perpétuer son enracinement en Provence à la suite de la disparition d'Hugues et de celle de son neveu, l'archevêque d'Arles Manassès.
Pons de Marseille est le second seigneur. Son fils, Guillaume de Marseille, se marie avec Belielde de Marseille.
Le mariage des enfants de leurs deux enfants est une exception dans la Provence du Xe siècle. Contrecoup des troubles politiques violents opposent au début du Xe siècle les Bourguignons, venus du nord, comme Arlulf de Marseille et les locaux, comme Pons de Marseille. L'affrontement se mue en choc de cultures : partisans et adversaires des envahisseurs francs se battent à coups d'anthroponymes. Les premiers, tels les Châteaurenard ou les Agoult qui se proclament saliques, les Sabran, les Reillane ou les Lacoste rejettent les vieux noms sénatoriaux ; les seconds s'y raccrochent, comme les vicomtes de Marseille (qualifiés de romans), les Mévouillon ou les Castellane. Si un peu moins d'un cinquième des noms des grandes familles provençales reste gallo-romain entre 950 et 1020, il est porté par seulement quatre familles, qui refusent les Bourguignons. Néanmoins même Pons de Marseille, malgré son prénom, Poncius, est certainement d'origine germanique.
Les vicomtes de Marseille
Simples seigneurs de Marseille et de Trets avant 977, les vicomtes de Marseille réussissent à se soustraire à la domination des comtes. Ils se créent une sorte de souveraineté. Ils ne sont plus astreints qu'à un service de chevauchée envers leurs suzerains, et prétendent tenir leur vicomté de la grâce de Dieu et ne pas relever des comtes de Provence[4].
Le sel leur appartient. Leurs sceaux les représentent à cheval et armés de toutes pièces. Presque toujours un de leurs fils occupe le siège épiscopal du diocèse. Du reste, les évêques suivent les vicomtes dans cette voie d'indépendance, et Marseille passa sous un double despotisme. Les évêques ont la seigneurie de la ville supérieure, et les vicomtes, maîtres de la seigneurie de la ville inférieure, jouissent en outre de droits domaniaux dans tout le reste du district, qui embrasse le littoral depuis Fos jusqu'à l'embouchure du fleuve d'Argens, près de Fréjus, la vallée de l'Huveaune et le pays situé sur la rive orientale de l'étang de Berre.
Marseille comprend trois villes différentes qui sont : la cité abbatiale, la cité épiscopale et la cité vicomtale; la première soumise à la puissante abbaye de Saint-Victor de Marseille dont les possessions s'étendent jusqu'en Espagne et en Italie ; la seconde appartenant à l'évêque, et, comme toutes les villes placées sous l'autorité ecclésiastique, flanquée de tours, ce qui lui fait donner le nom de villa turrium ; la troisième, enfin, sous la dépendance des vicomtes de Marseille qui, dès le Xe siècle, y ont fait des constructions militaires importantes et l'ont entourée de remparts solidement établis[5].
Les vicomtes sont lieutenants des comtes de Provence. Il y en a ailleurs qu'à Marseille; il y en a à Sisteron, par exemple, à Fréjus, à Avignon ; c'est-à-dire dans les endroits qui, par leur situation, ont plus particulièrement besoin de la présence d'un officier qui veille sur tout le pays de sa dépendance. Quand le comte de Provence se sera rendu indépendant, il n'osera pas disputer aux vicomtes de Marseille la souveraineté d'une partie de la ville : il sera obligé de souffrir qu'à son exemple ils la transmette héréditairement à leurs enfants, à condition qu'ils lui en rendent hommage et à ses successeurs. En effet, le premier âge, où les vicomtes de Marseille sont appelles vassaux des comtes d'Arles, est de l'an 1038, cet acte est par conséquent postérieur de quelques années au temps où le comté de Provence commence de devenir héréditaire. Si l'on ne trouve point de vicomtes héréditaires dans les autres villes dont je viens de parler, c'est qu'ils n'eurent point de postérité, ou que l'évêque ou les habitants leur laisseront peu de droits. Il n'en est pas de même à Marseille, où les vicomtes sont au départ assez puissants pour se maintenir en possession d'une portion de la seigneurie. Leur généalogie est très difficile à faire, même d'après celle qu'en donnera Antoine de Ruffi. Comme il ne rapportera pas les chartes en entier, et qu'il supprimera les dates, au moins du plus grand nombre, ses omissions nous jettent dans de grandes difficultés[6].
Le lien, qui unit Marseille à ses comtes, se relâche néanmoins fréquemment. La ville ne tardera pas à secouer tout à fait le joug inhabile de ses vicomtes qui, en morcelant de plus en plus leur héritage, à chaque transmission, doivent leur surnom de roitelets[7] à leur ridicule prétention de prendre tous le titre de vicomte et de battre monnaie[8].
Mais, les vicomtes de Marseille, en divisant leurs domaines, en disséminant leurs richesses, laissent tomber chaque jour un lambeau de leur autorité, au profit de l'abbaye de Saint-Victor de Marseille, que leurs folles libéralités entoure d'un prestige énorme. Le pouvoir des vicomtes de Marseille, qui contient trop de germes de dissolution, et se heurte surtout aux résistances énergiques du conseil municipal de Marseille, habile à faire respecter, à étendre même ses prérogatives. Fidèle représentant et courageux défenseur des intérêts d'un peuple amoureux de son indépendance, le conseil tend avec ardeur à renverser le gouvernement de ces seigneurs qui ne lui inspirent que du mépris[9].
L’organisation sage et puissante de la bourgeoisie de Marseille est l'écueil où vient se briser le pouvoir des vicomtes. Déjà évincés des affaires publiques par le conseil municipal, ils ne gouvernent plus vraiment, et toute leur autorité se borne à la possession de quelques droits domaniaux.
Toutefois, les vicomtes de Marseille permettent à la marine des ordres du Temple et de Saint-Jean de Jérusalem, en Syrie, de fréquenter le port de Marseille[10].
Les vicomtes de Marseille qui avaient persécuté l’Église pendant quelque temps, finissent par s'en repentir et lui accordent, à leur tour, de grands privilèges. Ils lui font en outre beaucoup de bien. Roncelin seul lui donne, en 1215, trente mille sols royaux couronnés, plus la sixième partie du Château-Babon, avec tous les droits qu'il y possédait. Ces droits consistent en censes, trézains, édifices et juridictions. Ce Prince accorde de plus aux Chanoines, la faculté d'acquérir des biens dans le district de la dépendance. Les Vicomtes, au témoignage de Ruffi, sont des princes aussi religieux que charitables ; et pour preuve de leur parfaite vertu, nous recueillons, —dit l'annaliste de Marseille, qu'ils faisoient retraite pendant le Carême, l'un dans l'abbaye de Saint-Victor de Marseille, let l'autre tout auprès de l'église cathédrale de la Major[11].
Roncelin est le plus fameux de toute la race vicomtale. Malheureusement il ne doit sa célébrité qu'aux scandales de sa vie. Après avoir contracté une grande quantité de dettes, il prend l'habit de Saint-Benoît à l'abbaye de Saint-Victor de Marseille, et le quitte bientôt pour épouser sa nièce Adalasie, qu'il délaisse ensuite. Excommunié par Innocent III, il rentre dans le monastère, fait publiquement amende honorable et se rend à Rome pour recevoir l'absolution du pape. Mais ses nombreux créanciers, peu touchés de la conversion du pécheur, et préoccupés du danger que courent leurs droits avec le nouveau cénobite, obtiennent sa réintégration dans la gérance de son patrimoine, dont les revenus peuvent suffire à l'acquit de ses dettes. Alors, redevenu laïque, Roncelin partage en 1211 ses terres avec ses parents, Hugues IV des Baux et Gérard-Adhémar. Il vend à abbaye de Saint-Victor de Marseille, le château de Saint-Julhan , aliène une partie du port en faveur de Guillaume-Anselme, gentilhomme marseillais, et donne au monastère tout ce qu'il possède dans la cité vicomtale et le sixième de la seigneurie du port,ne se réservant que celle des tours du Château-Babon, parce que ce château fait partie du domaine de l'évêque[12].
Gérard-Adhémar, le dernier obstacle à l'indépendance de Marseille, est aussi le plus récalcitrant. Rien ne l'oblige à se dessaisir de sa souveraineté vicomtale. Sa fortune est énorme, et son orgueil se révolte à l'idée d'humilier son noble écusson devant la bannière de la bourgeoisie de Marseille. Maintenu dans ses dispositions de résistance par sa femme, il est sourd à toutes les prières, insensible à toutes les menaces.
Irrités de son inflexibilité, les citoyens ont recours à la raison suprême des majorités de tous les temps et de tous les pays, à la violence. Une émeute suffît pour chasser de la ville le seigneur entêté, qui faillit perdre, à ce terrible jeu des batailles populaires, les avantages qu'on lui avait proposés pour une cession volontaire de ses droits. Cependant, le conseil municipal, en vainqueur généreux, paiera au vaincu cinq mille sous royaux couronnés et lui assurera une pension annuelle et viagère de 100 livres, payable le jour de Saint-André. Marseille parvient ainsi à s'affranchir de la domination de ses vicomtes. L'année 1214 lui ouvre une nouvelle ère républicaine [13].
Les Marseillais, dans le but de porter un dernier défi à l'autorité ecclésiastique, renversent une colonne que Roncelin avait élevée, pour fixer les limites de la juridiction entre la ville et l'abbaye de Saint-Victor de Marseille. Afin encore qu'il ne reste plus aucune trace de leur ancienne sujétion et que la mémoire des vicomtes soit entièrement oubliée, dans un accès de ferveur républicaine, ils jugent bon de détruire et raser le palais seigneurial, dont la troisième partie appartenait au monastère[14].
Généalogie de la famille vicomtale
Les ancêtres
Leibulf de Provence (vers 750-835) x Odda ? | | --> Leibulf des Baux (milieu du IXe siècle)[15]. x ?? | | --> Pons d’Arles (fin du IXe siècle) x Blismodis de Mâcon | | --> Humbert, évêque de Vaison-la-Romaine (890-933) | | --> Ison d’Arles (vers 890-942), x Princesse ? de Bénévent | | --> Lambert Ursus seigneurs de Reillanne | x Galburge de Bénévent | | | | --> Seigneurs de Reillanne | | --> Pons de Marseille (vers 910-979), dit major x (1) Judith de Bretagne, fille d'Alain II de Bretagne | | --> Honoratus de Marseille(vers 930-978), évêque de Marseille | | --> Guillaume de Marseille (vers 935-1004) | x Bellilde, fille d’Arlulf de Marseille | | | | --> Vicomtes de Marseille | x (2) Belletrude | | --> (hyp) Pons de Fos (vers 945-1025) x Profecta de Marignane | | --> Seigneurs de Fos | | --> (hyp) Hugues des Baux (981-1060)
- Arlulf de Marseille ou Arlulfe (vers 920-964), premier seigneur de Marseille et de Trets, père de :
- Belielde de Marseille qui se marie avec Guillaume de Marseille
- Aicard reçoit en 988 un important domaine, identifié à Saint-Zacharie, au fond de la vallée de l'Huveaune, au sud de Trets.
- Pons de Marseille (vers 910-979), deuxième seigneur de Marseille et de Trets
- Guillaume de Marseille (vers 935-1004), qui suit.
- Honorat dit aussi Honoratus, évêque de Marseille de 954 à 977.
- Pons de Fos, peut-être ancêtre des seigneurs de Fos et de ceux des Baux[16].
Les vicomtes de Marseille
Guillaume de Marseille (vers 935-1004) x vers 950 Bellilde, fille d’Arlulfe de Marseille | | -->Guillaume II de Marseille (vers 952-1031) x en 1019 Étiennette de Forcalquier | | --> Pierre dit Saumade, tige des seigneurs de Solliès | x Odoara Thucia | | --> Étiennette de Marseille | x Geoffroi Ier de Provence | | | | --> Bertrand II de Provence | | | | --> Gerberge de Provence | x Raymond IV de Toulouse | x en 999 Accélena de Fos, fille de Pons de Fos : | | --> Pons II, évêque de Marseille | | --> Guillaume III de Marseille | | --> Aicard de Marseille, vicomte d'Arles et de Marseille | | --> Aimerude de Marseille | x Francon de Fréjus | | --> Geoffroi, dit aussi Jaufre Ier
1re génération
Guillaume de Marseille (vers 935-1004) porte pour la première fois le titre de vicomte en 977. Il se marie deux fois. De sa première femme, Billielis ou Belielde de Marseille, fille d’Arlulf de Marseille, il a :
- Pons Ier (vers 950-1015), évêque de Marseille, en 976.
- Guillaume II de Marseille (vers 952-1031), devient vicomte à la mort de son père en 1004.
- Fulco de Marseille (vers 955-1047 ?), vicomte, qui se marie vers l'an 1005 avec Odile de Vence, dont il a peut-être une fille mariée au comte de Luna.
- Billielis (vers 960-1036) mariée avant 1087 avec Adalelme d’Avignon, juge, Judex Provinciae à Avignon, en 1002. Il est le fils le fils d’Adalbert, juge de Provence à Avignon et de Teucide de Vence. Elle est l’une des ancêtres des Sabran.
- (hyp) Arlulfe ou Arnulphe, seigneur de Pierrefeu, d’où les seigneurs de Garéoult, Signes, La Garde[17].
Sa seconde femme, Hermengarde d’Arles (vers 982-1049), fille d’Aillon, vicomte d’Arles [18], lui donne une autre fille :
- Astrude (vers 995-1055), mariée en 1004 à Lambert, seigneur de Vence, dit Barbeta, fils d’Amic de Vence et de Belletrude.
(hyp) Astrude, veuve, se marie en seconde noce avec son cousin germain, Guy de Fos, fils de Pons de Fos (vers 945-1025) et de Profecta de Marignane. Ils ont cinq fils : Pons, Guillaume, Guy, Amiel et Rostan de Fos archevêque d'Aix (1056-1085).
- (hyp) Aicard, décédé avant 1008.
2e génération
Guillaume II de Marseille, vicomte avec ses frères à la mort de son père dit le Gros, vicomte de Marseille, décédé en 1031 se marie en 999 avec Accélena de Fos, fille de Pons de Fos :
- Pons II, évêque de Marseille, décédé en 1073.
- Guillaume III de Marseille
- Aicard de Marseille, vicomte d'Arles et de Marseille
- Aimerude de Marseille mariée avec Francon de Fréjus
- Geoffroi dit aussi Jaufre Ier, vicomte avec ses frères à la mort de son père
Guillaume II de Marseille se remarie en 1019 avec Étiennette , d'où :
- Étienne, mort jeune
- Bertrand, mort jeune
- Pierre dit Saumade, tige des seigneurs de Solliès
- Liégearde de Marseille, mariée en 1023 avec Alfant Ier, vicomte de Mézoargue.
- Étiennette de Marseille, mariée avec Geoffroi Ier de Provence
3e génération
- Aicard, fils de Guilhem II, vicomte de Marseille. Décédé après 1065.
- Guilhem III dit le Jeune, fils de Guilhem II, vicomte de Marseille. Décédé en 1085.
- Geoffroi dit aussi Jaufre Ier, fils de de Guilhem II, vicomte de Marseille. Décédé vers 1090.
- Aicard, archevêque d'Arles en 1070, décédé probablement en 1113.
- Hugues Geoffroi qui suit; vicomte de Marseille.
- Pons de Peynier qui suit; vicomte de Marseille.
4e génération
- Hugues Geoffroi fils de Geoffroi, vicomte de Marseille. Décédé en 1150.
- Pons de Peynier fils de Geoffroi, vicomte de Marseille.
5e génération
Notes et références de l'article
- ↑ Histoire de Marseille, de Augustin Fabre, p.266.
- ↑ Florian Mazel, La noblesse et l'Eglise en Provence, fin Xe-début XIVe siècle, pages 31,32
- ↑ Lorsqu'il prend possession de la Provence en 949, Conrad y nomme trois comtes auxquels il associe, pour en limiter les pouvoirs, des vicomtes.
- ↑ Les villes consulaires et les républiques de Provence au Moyen-Âge, Jules de Séranon,... p.27.
- ↑ Les villes consulaires et les républiques de Provence au Moyen-Âge, Jules de Séranon,... p.28.
- ↑ Histoire générale de Provence dédiée aux états ... de Jean-Pierre Papon, p.526.
- ↑ Reguli
- ↑ Histoire de Marseille, de Amédée Boudin, p.138 et suivantes.
- ↑ Histoire de Marseille, de Amédée Boudin, p.138 et suivantes.
- ↑ Histoire du commerce entre le Levant et l'Europe depuis les croisades, p.181.
- ↑ La Major, cathédrale de Marseille, de Casimir Bousquet, p.454.
- ↑ Histoire de Marseille, de Amédée Boudin, p.138 et suivantes.
- ↑ Histoire de Marseille, de Amédée Boudin, p.138 et suivantes.
- ↑ Les villes consulaires et les républiques de Provence au Moyen-Âge, Jules de Séranon,... p.28.
- ↑ The first Count of Les Baux, whose name alone we know, was Leibulf, whose son Pons, or Poncius, owned large lands in Argence Old Provence - Page 127, de Theodore Andrea Cook - 1905
- ↑ Phantoms of Remembrance : memory and oblivion at the end of the first millennium / Patrick Geary J, p.76 et Olivier d’Hauthuille, Héraldique et généalogie 89.I.160, généalogie tirée des ouvrages de Georges de Manteyer, La Provence du premier au douzième siècle, études d'histoire et de géographie..., de Juigné de Lassigny, Généalogie des vicomtes de Marseille..., de Fernand Cortez, Les grands officiers royaux de Provence au moyen-âge listes chronologiques..., de Papon, de Louis Moréri, du marquis de Forbin, Monographie de la terre et du château de Saint-Marcel, près Marseille : du Xe au XIXe siècle..., du président J. Berge, Origines rectifiées des maisons féodales Comtes de Provence, Princes d'Orange ..., de Poly, La Provence et la société féodale (879-1166), Paris, 1976, Saillot, Le Sang de Charlemagne... Sources également sur les vicomtes de Marseille : Édouard Baratier, Ernest Hildesheimer et Georges Duby, Atlas historique... et le tableau de Henry de Gérin-Ricard, Actes concernant les vicomtes de Marseille et leurs descendants...
- ↑ Gérin-Ricard, Actes concernant les vicomtes de Marseille…
- ↑ Jacques Saillot, Le sang de Charlemagne...
Sources
- Florian Mazel, La noblesse et l’Église en Provence, fin Xe – début XIVe siècle, éditions du CTHS, Paris, 2002, (ISBN 2-7355-0503-0).
Articles connexes
- Trets
- Histoire d'Arles à l'époque haute-médiévale
- Histoire d'Arles
- Peynier
- Famille de Roquefeuil
- Arlulf de Marseille,
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