- Urbanisme à toulouse
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Urbanisme à Toulouse
La ville de Toulouse est organisée en différentes zones à peu près concentriques :
- la ville romaine, caractérisée par ses rues étroites et tortueuses, qui ont très peu évolué jusqu'au Moyen Âge ;
- la ville médiévale retranchée dans ses remparts ;
- les faubourgs du XVIIIe au XIXe siècle ;
- la banlieue récente, construite autour de noyaux urbains basés sur des villages proches ;
Sommaire
Formation de la ville
Le cœur de ville s'est d'abord développé autour de la berge droite de la Garonne, au niveau du gué du Bazacle, seul moyen de franchissement naturel du fleuve. Cette berge est également celle qui est la plus élevée par rapport au fleuve, offrant ainsi une meilleure protection contre ses inondations. La position privilégiée de ce point d'inflexion du fleuve (qui vient du sud et part vers le nord-ouest) au contact de la vallée de l'Hers qui constitue un prolongement de voie naturelle de communication vers la mer Méditerranée au sud-est a fait de Toulouse un carrefour commercial.
Aux voies de communication que constituent les cours d'eaux naturels se sont ajoutées les voies radiales construites par l'homme reliant la ville aux marchés voisins dans toutes les directions : voie romaine de la Méditerranée aux Pyrénées à l'Aquitaine, Canal du Midi, liaisons routières et ferroviaires vers le nord (route de Montauban), vers le sud (route de Foix, aussi appelée route d'Espagne) et le sud-est (route de Muret), l'ouest (route d'Auch), l'est (routes d'Albi, de Castres).
Il a fallu attendre le Second Empire pour voir adopter, à l'image des grandes percées parisiennes réalisées par le préfet Haussmann un plan important d'urbanisme établi par l'ingénieur Magués. Ce dernier proposa d'établir deux grandes rues perpendiculaires se croisant au centre de la ville. Le Conseil Municipal en discuta et revit à la baisse la largeur initiale de ces axes qui était de 25 mètres (comme à Paris, Lyon, Marseille) pour un projet moins ambitieux de 16 mètres, dont 4 mètres de trottoir. Ces deux grandes rues furent finalement percées entre 1871 et 1874 et reçurent des noms de circonstance : rue d'Alsace-Lorraine et rue de Metz. Elles ne furent entièrement terminées qu'à la fin du siècle, par le dégagement de la place Esquirol, la jonction de la rue de Metz avec le Pont-Neuf, l'élargissement de la rue du Languedoc. En 1908, la rue Ozenne vint compléter cet ensemble.
Plus tard, avec la croissance des faubourgs au sud-est et à l'est, de nouveaux axes larges structurent la ville, et sont associés à la réalisation de trois parcs publics d'envergure (le Jardin des Plantes, à vocation botanique, le Jardin Royal et le Grand Rond). Les nouvelles voies sont les allées Jean Jaurès vers l'est, les allées Paul Sabatier, Paul Feuga et Saint-Michel au sud-est, qui ouvrent la ville vers l'extérieur et structurent des quartiers nouveaux à trame en quadrillage.
Les années 1960 à 1970 voient l'arrivée d'un nombre important de nouveaux habitants. Pour les accueillir, le projet d'une ville nouvelle est lancé sous l'influence du maire Louis Bazerque qui veut pousser la croissance économique de la ville. Le quartier du Mirail reste le principal emblème. Son ambition est de créer une cité satellite de 100 000 habitants dans 23 000 logements sur le territoire communal de Toulouse, avec tous les équipements d'une ville de cette importance[1]. Un territoire de 680 hectares est trouvé sur la rive gauche de la Garonne et dénommé ZUP du Mirail par arrêté ministériel[2]. Les plans de cette cité sont créés par une équipe d'architecte[3] lauréats en janvier 1962 du Concours international lancé par la ville de Toulouse.
État actuel
L'étalement urbain de Toulouse a souvent été qualifié d'extrême, avec une densité de population très faible pour une ville de sa taille (à titre de comparaison, Toulouse est deux fois et demi plus étendue que Lyon pour une population sensiblement équivalente). Conscients du potentiel de la ville, les politiques souhaitent aujourd'hui la densifier et de nombreux chantiers pharaoniques ont vu le jour. Cependant, ce phénomène s'est beaucoup atténué : la ville est devenue un vaste chantier au point qu'on assiste à une dégradation de la qualité de vie qui donnait probablement aux toulousains le meilleur de leur santé paradoxale[réf. nécessaire].
Le territoire de la commune étant particulièrement étendu, les trajets moyens sont longs, ce qui, combiné à une politique d'équipements routiers et autoroutiers tous azimuts, a contribué à rendre les déplacements en automobile majoritaires et à disqualifier les autres modes de transport. La construction de nombreux parcs de stationnement en centre-ville dans la décennie 1980-1990 a renforcé cette tendance, et la construction de la ligne A de métro n'a pas réussi à l'inverser[4]. Un projet d'un grand contournement autoroutier est d'actualité (débat public de septembre à décembre 2007).
Expansion récente
De nombreux projets
Face à l'afflux de nouveaux résidents (entre 15 000 et 20 000 habitants par an, actuellement), la ville fait face depuis quelques années à une phase nouvelle de construction et donc de travaux, comme une deuxième ligne de métro en service depuis 2007, la ZAC AéroConstellation pour la conception de l'A380 et bientôt la futur ZAC Andromède (3 700 nouveaux logements pour 10 000 habitants), le quartier Marengo (110 000 m² de surfaces dont 700 logements) et la nouvelle médiathèque José Cabanis installée dans l'Arche Marengo, le Zénith (2e de France par sa taille), le Théâtre national de Toulouse (TNT), le jardin urbain de la place occitane avec son réaménagement complet en sous-sol (centre commercial Saint-Georges sur 12 000m²), la rénovation du Muséum d'histoire naturelle, le Palais des sports, la technopole de Labège Innopole. L’Innopole de Labège a été lancée en 1990 sous la forme d’une Z.A.C. par un groupe de six communes de la vallée de l’Hers jouxtant l’ensemble scientifique de Rangueil : Auzeville, Auzielle, Castanet, Escalquens, Labège et Saint-Orens, constitué en un syndicat à vocation multiple dénommé SICOVAL[5].
On trouve de nouveaux quartiers en construction tout autour de Toulouse comme la Zac Borderouge (3500 logements pour 10 à 12000 habitants), la ZAC Cartoucherie (2750 logements), le quartier Moulis-Croix bénite (2600 logements en cours), la ZAC Montaudran au nord de l'Aérospace Campus(1500 logements), à Colomiers la ZAC des Ramassiers (1450 logements, 60 000m² de bureaux, un hôtel 4 étoiles), la ZAC Gramont en projet (275 000 m2 de surfaces de bureaux, commerces, services et 130 000m² totalisant 1100 logements), la ZFU Bordelongue (60 000 m2 de surfaces de bureaux et d'activités), ZAC EDF Sébastopol (80 000 m2 de surfaces de bureaux et 450 logements), la ZAC Niel (550 logements), la ZAC Job-Garonne (650 logements)ou la ZAC des Ponts Jumeaux sur 8 hectares totalisant 130 000m² (bureaux, commerces, école, services et 1300 logements).
Sans compter les périmètres d'études en cours concernant ce qui sera sûrement la future ZAC des Ponts Jumeaux 2 (jouxtant la ZAC des ponts Jumeaux 1), également le concours d'étude en cours du périmètre de 57 hectares de Matabiau-Marengo-Périole-Raynal concernant le projet de l'accès au pôle multimodal, de requalification urbaine et de constitution d'un pôle de centralité urbaine associée en vue de l'impact de l'arrivée du TGV sur ce secteur des gares vers 2016.
Un concours d'aménagement urbain est également lancé pour la future ZAC Aérospace Campus. Sur un total de 40 hectares, on y trouvera la plus grande concentration européenne en recherche aéronautique et spatiale. En décomposant cette ZAC, 12 hectares seront voués à l'histoire du site aéronautique de Montaudran sous le thème d'un musée de l'air, 7 hectares nommé Pôle Saint-Exupéry concentreront 87 000m² de bureaux, et ce notamment dans une tour phare de 120 à 140m de hauteur, siège du pôle de compétitivité espace aéronautique et systèmes embarqués, un centre de conférences international, le siège social du futur système européen de localisation par satellite Galileo, une cité des étudiants, sur 11 hectares on trouvera 65 000m² concentrant l'ONERA, ainsi qu'une « innopole » pour héberger les futures entreprises qui viendront rechercher des débouchés commerciaux, des centres de recherches, 9 hectares supplémentaires concentreront en 2è tranche environ 50 000m² supplémentaires.
En construction aussi le futur Cancéropôle sur 300 000 m² de surface (futur site de la lutte anti-cancer à dimension européenne) sur l'ancien emplacement de l'usine AZF ou l'on trouvera un nouvel hôpital sur 60 000m², des laboratoires de recherche publique et privée, 50 000m² de pôle tertiaire administratif, hôtel.
Le problème de l'expansion de la ville
Aujourd'hui, l'agglomération de Toulouse pose des problèmes de gestion des transports (saturation autoroutière aux heures de pointe), de par sa faible densité et son étendue. En effet, selon l'INSEE (1999), l'aire urbaine s'étend sur environ 40 kilomètres du nord au sud (de Saint-Jory à Muret) et sur 30 kilomètres d'est en ouest, de Léguevin à Castelmaurou.
Sept ans après le recensement de 1999, avec probablement 100/120 000 habitants supplémentaires (concernant l'agglomération), il est probable que la péri-urbanisation ait encore gagné du terrain sur la campagne environnante, surtout que la topographie assez plate de la cuvette toulousaine ne présente guère d'obstacles à la croissance urbaine. Cependant, depuis quelques années, divers organismes d'urbanisme qui gèrent l'agglomération et l'aire urbaine ont bien compris le problème.
Une des caractéristiques de la politique urbaine de Toulouse a été, à une période (comme dans de nombreuses villes françaises durant les années des trente glorieuses) de tourner le dos à son histoire, ainsi, on trouve :
- La cité Administrative et la fac de sciences sociales en plein périmètre historique
- Les parkings Victor-Hugo et des Carmes (ce dernier ayant connu un réaménagement, ces dernières années)
- L'hyper spécialisation des zones d'habitat et d'activité entraînant la généralisation des lotissements et de l'étalement urbain
Cependant Toulouse a réussi à sauvegarder in extrémis ses anciennes arènes romaines, à échapper à une autoroute dans le canal du Midi et à des voies sur berges qui auraient profondément modifié l'urbanisme du centre-ville. On peut même voir qu'aujourd'hui, de nombreuses façades sont ravalées et qu'elles retrouvent leurs couleurs rose/orangé/rougeoyant, de leurs briques naturelles. Il convient de voir qu'aujourd'hui, de nombreuses décisions se heurtent à un manque de consensus politique qui n'est pas sans retarder les projets entrepris.
Il est vrai que, Toulouse, agglomération millionnaire, cela ne sera supportable que si le développement est maîtrisé et planifié. C'est là tous l'objectif des schéma de cohérence territoriale et tous le regret de certains face à la non reconduite du PDU (Plan de déplacements urbains) pour les années à venir, faute de financement.
En 2008, l'hypothétique vote des quatre SCOT ((schéma de cohérence territoriale)) de l'aire urbaine, réunis dans un schéma de coordination territoriale encore plus global, appelé Inter-Scot, devrait permettre de confirmer une politique encore récente de frein à la multiplication des lotissements pavillonnaires. Cette forme urbaine très demandeuse d'espace empêche toute venue de transport en commun, tel le métro, les TCSP (transports en commun en site propre) ou le tramway car la rentabilité économique en est trop faible, laissant comme seul recours la voiture.
La ville est donc devenue une véritable métropole française qui ne cesse de croître démographiquement et économiquement, en pleine mutation en termes d'infrastructures, de logements et d'industries (capitale européenne de l'aéronautique et des industries spatiales), mais aussi en pleine diversification industrielle avec le futur Cancéropôle, l'Aérospace Campus et une future cité des chercheurs annoncée récemment.
Caractéristiques de l'habitat toulousain
Les petites toulousaines
Un élément caractéristique de l'habitat, autrefois réservé aux maraîchers en bordure de ville, est représenté par les petites « toulousaines »[6] : maisonnettes avec jardin, sans étage ni sous sol, mais pourvues d'un galetas et comportant une structure très définie. Elles disparaissent cependant petit à petit du centre-ville au profit d'immeubles de logements, sous la pression immobilière, mais surtout par le fait que la densité représente aujourd'hui le seul moyen de pallier l'extension démesurée de la ville. Combiné à une politique en faveur des transports en commun, la densité pourrait résoudre en partie les problèmes de déplacements de la ville tout en respectant les recommandations soulevés par la notion de développement durable.
Un habitat pavillonnaire important
Force est de constater qu'aujourd'hui, l'agglomération toulousaine s'est fort étendue en périphérie avec un modèle, le pavillon avec jardin et piscine. Ce modèle condamne les familles de ces quartiers pavillonnaires à utiliser la voiture, car ils sont trop éloignés des lignes de transport en commun rapide (type métro, TESP, bus réguliers et fiables) qui ne peuvent suivre que des parcours desservant des quartiers avec un minimum de densité, en raison d'une rentabilité économique nécessaire au maintien de ces lignes.
La brique toulousaine
Historique
La brique toulousaine remonte à l'époque romaine lorsque les romains installent la ville près de la Garonne. Ils construisent une ville qui va rapidement devenir prospère. Ne trouvant pas sur place de pierre de taille, les romains utilisent la glaise qu'ils trouvent en abondance dans la région pour construire les habitations et les bâtiments communs[7]. Les besoins étant important des briqueteries sont construites. La ville en dénombrait jusqu'à 33 qui chacune possédait sa propre estampille sur chaque brique produite.
Les tuiles sont aussi un élément important pour la couverture des toits. Ce sont des tuiles dites canal car elles possèdent une courbure qui devient un standard dans le bassin méditerranéen : 50 centimètres de long pour les tuiles normales et 80 centimètres pour celles situées sur le faîte du toit. Les murs sont construits en briques intercalées avec des galets issus des berges de la Garonne. Au Moyen-Âge, la brique est progressivement abandonnée dans les habitations classiques et orne seulement les monuments et maisons de maîtres. Les murs des habitations sont construits en charpente comblée avec de terre mêlée à de la paille. Mais, cette technique a ses limites car le centre-ville de Toulouse est fréquemment ravagé par les flammes du XIIIe siècle au XVe siècle. Les capitouls prennent alors la décision d'interdire le comblement de terre et de paille et imposent la brique dans les futures constructions[8]. Mais son usage reste faible car elle reste un matériau assez cher. Son utilisation se généralise au XVIe siècle grâce à l'argent du commerce du pastel, puis les constructions en brique deviennent majoritaires au XVIIe siècle dans la ville.
Ainsi, la brique est omniprésente dans les constructions toulousaines et la pierre est réservée aux parements des portes et des fenêtres et en embellissement des façades comme pour l'Hôtel d'Assézat. Pendant une longue période à partir du XVIIIe siècle, la brique était camouflée par du badigeon blanc comme pour le Capitole. Au XIXe siècle, ce badigeon est remplacé par une application d'argile pauvre en oxyde de fer conférant une couleur jaunâtre aux édifices sur lequel il était appliqué[9]. La brique sert aussi de motifs de décoration surtout grâce à Auguste Virebent en 1830 lorsqu'il invente un système de presse pour mécaniser la fabrication des briques[10].
Les populations rurales utilisent aussi la brique qu'ils intercalent avec des galets charriés par la Garonne. Ce style est caractéristique de la région et des maisons dites toulousaines. Puis progressivement, la brique réapparait et n'est plus cachée comme autrefois. L'architecte Urbain Vitry réalise de nombreux édifices en brique comme les Abattoirs, la Halle aux Grains, la prison Saint-Michel ou le temple égyptien du cimetière de Terre-Cabade. Au XXe siècle, la ville s'efforce de rénover ses façades de brique et reconstruire en utilisant la brique ou au moins un plaquage. Ainsi de nouveaux projet d'urbanisme utilisent la brique comme la médiathèque José-Cabanis, le palais de justice, le théâtre de la Cité TNT ou l'hôtel de région[11].
Caractéristiques
La brique toulousaine est constituée d'argile alluviale. Elle est issue d'une marne du bassin sous-pyrénéen[12]. Après cuisson, l'argile se solidifie et acquiert sa coloration rouge-orangé grâce aux sels de fer et de manganèse.
Autres matériaux toulousains
Le galet est un autre matériau très utilisé à Toulouse dans les constructions. Il provient des gravières de la Garonne et est utilisé depuis l'Antiquité. Il a longtemps été utilisé pour armer le mortier des fondations, pour monter des murets et des façades (alternés avec la brique) des maisons et pour paver les trottoirs ou les cours des hôtels particuliers[13].
Un matériau plus noble et plus rare a souvent été utilisé dans les constructions toulousaines : le marbre de Saint-Béat. Il était extrait des mines des Pyrénées.
Références
- ↑ "Les plans d'urbanisme de Toulouse au XXe siècle" par Jean Coppolani sur http://www.societes-savantes-toulouse.asso.fr/samf/memoires/T_58/cop001.htm consulté le 18/04/2007
- ↑ Arrêté ministériel du 15 septembre 1960
- ↑ L'équipe dite Candilis-Josic-Woods
- ↑ Source : Enquête ménage 2004 Partie 1 Partie 2
- ↑ "Ibidem, Jean Coppolani
- ↑ http://www.les-petites-toulousaines.com/ Photos de maisons typiquement toulousaines
- ↑ Sandrine Benassy et Jean-Jacques Germain, La brique, L'or rouge du Midi Toulousain, Tourisme Médias Editions, juin 2004, (ISBN 2-915188-04-1), p.20
- ↑ Sandrine Benassy et Jean-Jacques Germain, Ibidem, p.26
- ↑ Sandrine Benassy et Jean-Jacques Germain, Ibidem, p.34
- ↑ La briquetterie de Virebent, Mairie de Launaguet. Consulté le 30/09/2007
- ↑ Sandrine Benassy et Jean-Jacques Germain, Ibidem, p.67
- ↑ Ibidem, p.41
- ↑ Sandrine Benassy et Jean-Jacques Germain, Ibidem, p.42
Sources et Bibliographie
- Maurice Culot, Toulouse, les délices de l'imitation, avec Yves Boiret, Yves Bruand, Patrick Céleste, Thierry Corre, Odile Foucauld, Louis Peyrusse, Jean-Philippe Garric, Société académique d'étude architecturale, 1986, Institut français d'architecture, Bruxelles, Mardaga, 468 p.
- Les plans d'urbanisme de Toulouse au XXe siècle par Jean Coppolani, sur http://www.societes-savantes-toulouse.asso.fr/samf/memoires/T_58/cop001.htm consulté le 18/04/2007
- G. Jacquemyns, Langrand-Dumonceau, promoteur d'une puissance financière catholique, t. III (Bruxelles, 1963)
- Philippe Wolff, Histoire de Toulouse, Privat éditeur, (1974)
- Sandrine Benassy et Jean-Jacques Germain, La brique, L'or rouge du Midi Toulousain, Tourisme Médias Éditions, juin 2004, (ISBN 2-915188-04-1)
Voir aussi
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