Sidi Bel-Abbès

Sidi Bel-Abbès

Sidi-bel-Abbès

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Sidi-bel-Abbès
سيدي بلعباس
Rue de Sidi-bel-Abbès.
Rue de Sidi-bel-Abbès.
Géographie
Pays Algérie Algérie
Wilaya Wilaya de Sidi-Bel-Abbès
Daïra Daïra de Sidi-Bel-Abbès
Superficie 9 150 63 dont:
3 660 80km² (soit 40%) : zone steppique
2 250 37km² (soit 24 59 %) : zone de montagne
3 239 44km² (soit 34 40 %) : zone plaine de l'espace de la wilaya km²
Coordonnées geo. 35°11'38"N
0°38'29"W
Démographie
Population 220 000 hab (2009)
Densité 60 hab/km²
Politique
Président de l'APC Miloud Mim
Mandat en cours 2007-2012
Autres informations
Code ONS 2201
Code postal 22000

Sidi-bel-Abbès ou Sidi Bel Abbès (arabe : سيدي بلعباس) est une ville au nord-ouest de l'Algérie et chef-lieu de la wilaya du même nom[1]. La ville, centre commercial et industriel dynamique situé à 82 km d'Oran, compte plus de 220 000 habitants en 2009 . L'activité de la ville est surtout axée sur les machines agricoles, le matériel électrique, les chaussures et les laiteries.

La ville sur les rives de la rivière oued Mekerra en arabe ﻭﺍﺩ se situe à 470 m d'altitude au centre d'une vaste plaine entre les monts de Tessala ou djébel Tessala au nord et le causse oranais ou monts de daya au sud[2]. Les villes voisines sont Mascara à l'est, Saïda au sud-est, Naama au Sud, Tlemcen à l'ouest, Aïn Témouchent au nord-ouest et enfin Oran au nord[3]

Sommaire

Aperçu historique

La petite région de Sidi-bel-Abbès a été depuis très longtemps le creuset d'une population aux mœurs sédentaires préoccupée d'agriculture et d'irrigations[4]. Au XIème siècle, la région enregistre des mouvements de population considérables nés de la poussée des tribus Bani Hillal et de la domination des Almoravides[5]. Au XIVème siècle, les Espagnols qui veulent s'implanter dans le pays sont repoussés à plusieurs reprises, après avoir eté tenu en échec par de multiples attaques dans la région de Sidi-bel-Abbès qui leurs coûtent plus de 1000 soldats. Leur refuge Oran est pris d'assaut.

Vers 1843, l'émir Abdelkader résistant à l'occupation française dirige plusieurs opérations contre les troupes du général Bedeau qui installe une redoute tenu par la légion étrangère à proximité du modeste mausolée du marabout Sidi-bel-Abbès, sur la rive droite de la rivière Mékkera. La ville de Sidi-bel-Abbès embryonnaire en 1843 est véritablement crée dès les années 1850 par l'occupant français[6]. Elle est la ville-garnison de la légion étrangère de 1843 à 1962, et en conséquence maison-mère de la légion étrangère jusqu'à l'indépendance de l'Algérie en 1962

Le premier nom de la petite ville est Biscuit-ville puis, en 1859, elle prend le nom de Bel-Abbes-Napoléon un très court temps pour devenir Sidi-bel-Abbès. En prenant le toponyme de la modeste kouba ou tombe près de la rive gauche de l'oued Mekerra proche de la redoute militaire protectrice, la ville reprend et porte à la postérité le nom d'un saint homme musulman "Sidi bel-Abbes Bouzidi".

Sidi-bel-Abbès : un nom de baptême emprunté à une légende

Armoiries de Sidi-bel-Abbès

La ville de Sidi-bel-Abbès doit son nom à un saint homme "Bel-Abbès" qui était un chârif puisqu'il appartenait à la descendance du prophète de l'islam Mahomet par son grand-père qui s'était établi au Maghreb afin de répandre la parole de Dieu (en arabe : Allah).

Bel-Abbès avait suivi son père à Tlemcen où celui-ci y enseignait, à la Madrasa de la ville. C'est alors qu'Allah lui aurait ordonné de porter sa parole aux deux tribus arabes qui s'étaient installées au Maghreb vers 1052 avec les Beni Hillal mais faisant partie de la confédération des Ma'qil[7]

En obéissant aux lois d'Allah prêchées par Bel-Abbès qu'on baptise à présent " le marabout (ﺍﻟﻮﻟﻲﺍﻟﺻﺎﻟﺢ) de Sidi-Bel-Abbès ", les autochtones connaissent paix, sérénité et prospérité. Sa mission est alors un véritable succès.

Cependant cette quiétude ne durera pas très longtemps car un démon prendra également les apparences d'un saint homme, trompera les indigènes et les encouragera à chasser le véritable marabout. Et c'est alors que, punition divine, se succèdent épidémies et famines dans les tribus de Amarnas et Ouled Brahim[8], qui vont finir par prendre conscience de leur erreur et décident de ramener Sidi-Bel-Abbès parmi eux.

Mais voilà qu'après avoir trouvé le saint homme, chaque tribu veut se l'accaparer, ce qui va donner naissance à d'énormes tensions entre les Amarnas et les Ouled Brahim qui finiront par se déclarer la guerre, celle-ci sera finalement remportée par les Ouled Brahim qui vont tenter de s'emparer de Sidi-Bel-Abbès. Mais ce dernier va réussir à leur échapper en se transformant en une colombe qui ira se poser par la suite sur la rive gauche de la grande boucle de la Mekerra, où il finira par reprendre sa forme initiale .

Témoins de ce miracle, les deux tribus déclarent forfait et c'est ainsi que Sidi-bel-Abbès va poursuivre son œuvre de paix jusqu'à ce qu'il s'éteigne en 1780. Il sera alors, enterré dans un mausolée (en arabe : ﻗﺒﻪ "qoubba") qui portera son nom, sur la rive gauche de la boucle de la Mekerra, à l'endroit même où s'était posée la colombe.[9]

Sidi-bel-Abbès : naissance d'une ville

Une naissance tardive

Rappel géographique

L'Afrique du Nord est organisée en quatre chaînes de montagnes agencées parallèlement au littoral. Du nord au sud, on retrouve: l'Atlas tellien, l'Atlas plissé, l'Atlas tabulaire et sans oublier l'Atlas saharien.

Au milieu des chaînes précédentes, se suivent du nord au sud: les basses plaines littorales, les plaines intérieures sublittorales, et enfin les hautes plaines (appelées également Hauts Plateaux). Ces basses plaines permettront du Maroc à la Tunisie, un passage sans contraintes aux envahisseurs Phéniciens, Romains, Vandales, Arabes, Turcs et Européens et ceci pour cause d'absence d'obstacles naturels.

Les communications entre la côte méditerranéenne et le Sahara se heurtent aux massifs montagneux des chaînes successives de l'Atlas et ne peuvent s'effectuer que par les rares trouées naturelles de ces massifs. Ce sont ces passages qui ont été empruntés, au fil des siècles, par les commerçants se rendant et revenant du Bled essoudân, l'Afrique Noire, et les nomades effectuant la transhumance d'été ("achaba") ou bien, lançant quelque razzia dans le Tell[10].

Naissance des premières villes d'Afrique du Nord

Les premières villes maghrébines seront fondées sur les sites stratégiques qui se trouvent aux croisements des voies de communications Est-Ouest et Nord-Sud par les Berbères (Homme bleu), première population à s'être établi au Maghreb et plus tard par les conquérants romains et arabes. Parmi ces villes, on cite: Siga (près de Béni-Saf), Oran et Mostaganem, dans l'Ouest. Nédroma, Aïn-Témouchent, Hammam-Bou-Hadjar, Sainte-Barbe-du-Tlélat, Saint-Denis-du-Sig, Perrégaux et Relizane, sur la route des plaines et dans la région du sud, on retrouve: Marnia, Tlemcen, Mascara, Tiaret.

Quant à Sidi-bel-Abbès, bien que son site soit stratégique puisqu'il permettait le contrôle des nomades de Sud venant dans le Tell et la route entre Mascara et Tlemcen, elle ne sera érigée qu'en 1835 par le conquérant français

Cette naissance tardive est essentiellement due à la géographie des lieux puisque n'oublions pas que cette région est caractérisée par ses marais qui ont permit le pullulement des moustiques et favorisé ainsi l'apparition du paludisme, ce qui a encouragé l'homme à fuir cette zone.

Cependant, cette atmosphère malsaine ne persistera pas très longtemps puisqu'en 1845, des travaux de drainage des marais seront entrepris par les légionnaires, ce qui permettra d'assainir les lieux et d'installer un camp militaire et par la suite une ville.

L'arrivée des Français

Arrivons maintenant à l'année 1830, depuis le débarquement des troupes du maréchal De Bourmont, les opération ne cessent de se développer[11]. En 1835, le maréchal Clauzel se lancera dans une grande expédition qui a pour but de détruire Mascara, capital établit par l'émir Abdelkader. Cette expédition débutera le 10 Novembre à Oran et se terminera comme convenu à Mascara le 5 décembre. Tout au long de ce trajet, le général ne manquera pas d'établir des relais fortifiés dans de multiples lieux stratégiques. Parmi ces endroits stratégiques, on retrouve le plateau de Sidi-bel-Abbès qui permettait de surveiller et ainsi de contrôler tous les déplacements des autochtones entre Mascara et Tlemcen mais également entre Oran et les hauts plateaux. Ce poste de surveillance sera érigé sur la rive droite de la Mékerra, face au mausolée de Sidi-bel-Abbès

Vers l'an 1840, le gîte d'étape sera transformé en campement provisoire puis en poste permanant deux ans plus tard qui permettra de mieux surveiller les tribus. Puis en 1843, le général Bugeaud y installe un camp retranché derrière, son fossé et ses remparts construits par les chasseurs d'Afrique et la légion étrangère[12]. Cependant, l'atmosphère de cette région demeure invivable; le climat était malsain, les légionnaires vivaient dans l'isolement total et étaient constamment confrontés à des difficultés de ravitaillement. Pour améliorer leurs conditions de vie dans cette région, ils s'investiront dans des travaux de drainage des marais, de débroussaillage du sol, le débarrassant ainsi des palmiers-mains( le doum), des genêts épineux, des jujubiers sauvages,...etc[13]

En 1847, le général La Marcière, qui était à l'époque commandant de la division d'Oran, a l'idée de concevoir une ville fortifiée qui permettra de mieux surveiller les tribus indigènes, mais aussi de faciliter la libre circulation entre Mascara et Tlemcen et entre Oran et les Hauts plateaux, cette proposition sera très bien accueillie par la commission, et le 10 Novembre 1848, le gouverneur général propose la création de cette ville en se basant sur les plans qu'avait dessiné le capitaine Prudon. Et c'est ainsi que par décret du 5 Janvier 1849, le président de la république le prince Louis Napoléon Bonaparte décide: " il est créé à Sidi-Bel-Abbès... un centre de population européenne de 2000 à 3000 habitants auquel on attribuera le nom de Sidi-Bel-Abbès[13].

La ville fut entourée de murs de protections avec 4 portes qui permettaient l'accès à la ville: au Nord la porte d'Oran, au Sud la porte de Daya, à l'Ouest la porte de Tlemcen et enfin celle de Mascara à l'Est[14]. Aujourd'hui il ne reste plus rien des fortifications et les portes laissent passer les avenues.

Les installations tels que les remparts et les rues se réalisent entre 1849-1857. Les casernes militaires et l'hôpital datent eux aussi de la même époque. Quant aux édifices publics et aux constructions privées, ils furent conçus plus tard[15],[16].

Le premier maire de la ville sera monsieur Roubière en 1870.[17]

Sidi-bel-Abbès: Patrie de la légion étrangère

C'est en 1843 que s'établit la légion étrangère en un lieu marécageux portant le nom de Sidi-bel-Abbès en hommage à un saint homme dont la légende se transmettait de génération en génération. Ainsi pendant plus d'un siècle, la petite ville de Sidi-bel-Abbès va être la maison d'accueil et la plaque tournante de la légion étrangère transformant des hommes venus de tous les pays et de toutes les couches sociales en forçats de la gloire

Dans les centres qui y sont rattachés (Saida, Bedeau et Mascara), le séjour des sous-officiers, des chevilles ouvrières e des mainteneurs de la légion n'est pas de tout repos. En effet, les marches forcées, les durs exercices de combat, la pelle et la pioche, la pelote (course au pas gymnastique avec vingt à trente kilos de pierre sur le dos que pratiquaient les légionnaires) aux quels se prêtent les légionnaires qui s'engageaient dans la plupart des cas sous le coup d'une crise, d'un échec ou encore d'une illusion, leur permettaient d'apprendre à tout supporter, à surmonter toutes les difficultés qu'ils peuvent rencontrer, en commençant par la déception des premiers jours et parfois leur révolte

Mais les instructions et le broyage n'ont qu'un temps. Une fois le terrain déblayé pour former l'esprit légionnaire, le nouveau képi blanc est initié aux mystères. Il acquiert une nouvelle fierté qu'on peut presque qualifier de snobisme, celle d'appartenir à une tribu, à une phalange[18].

Ainsi, tout au long de leur vie, l'ensemble des légionnaires et même les déserteurs restent à jamais marqués par cette grande expérience et gardent pour toujours la fierté d'y avoir participé

Le quartier Viénot est incontestablement le lieu où séjournaient les légionnaires transitaires ou en cours d'incorporation. En effet, c'est dans une grande caserne battie sur un plan rectangulaire ouvert, tenant de l'hôpital et du lycée, qu'étaient perpétués le culte des morts et le respect des traditions. Au fond de la grande cour, on retrouve un monument emblématique : Le monument aux morts, qui se constitue d'un considérable globe terrestre posé sur un socle en onyx, sur le quel veille aux points cardinaux quatre statues de légionnaires. Sur le globe on peut également apercevoir des taches d'or symbolisant tous les pays que la légion a contribué à ouvrir à l'expansion française

Après l'indépendance de l'Algérie en 1962, le 1er régiment étranger (la maison mère), s'est replié sur Aubagne dans les Bouches-du-Rhône (le monument aux morts y fut également transfèré), où il est toujours implanté[19].

Dans la littérature

En 1912, l'écrivain allemand Ernst Jünger est venu dans cette ville au cours de son bref engagement dans la Légion étrangère à l'âge de 17 ans. Il a raconté cette aventure et décrit une partie de la ville dans son récit Jeux africains publié en 1936.

Patrimoine

La ville de Sidi-bel-Abbès recèle un riche patrimoine archéologique et historique, qui est actuellement négligé. En effet, les vestiges historique et architecturaux recensés dans la région datent de l'ère coloniale (entre 1846 et 1890). Ces vestiges sont pour une grande partie soit abandonnés, en mauvais état (beaucoup ont subi de multiples actes de vandalisme et de dégradations), ou remaniés pour d'autres usages[20].

Ainsi au niveau de la wilaya de Sidi-bel-Abbès, neuf châtelets sont recensés, dont la plus grande partie est en état de dégradation. L'un d'entre eux qui est à présent occupé par la direction des douanes, fut l'une des résidences de Napoléon III[20].

En ce qui concerne les édifices religieux, la wilaya compte deux mosquées datant de plus d’un siècle actuellement en activité. Sidi bel-Abbès comprend également cinq églises, dont trois d’entre elles ont été converties en mosquées. Quant aux deux autres, l'une se trouve à Aïn El-Berd et a été aménagée en logis pour familles, tandis que l'autre demeure à l'abandon[20].

Il existe deux écoles datant du XIXe siècle, à l’image d’El-Médersa dans la cité Mekerra et celle de l’école située dans la commune de Bel-Arbi qui date de 1890 et qui est actuellement occupée par un organisme de sécurité[20].

La wilaya compte également trois grottes, l'une située dans la région de Boukhanéfis, et les deux autres à El- Hasaïba dans la daïra de Moulay Slissen. Une source se trouve aussi à Aïn Left[20].

Natifs célèbres de Sidi-bel-Abbès

  • Kader MEHDI, journaliste-écrivain, né en 1942 à Bel-Abbès, a publié en 2003 un roman autobiographique intitulé "La Misére Joyeuse" et, en 2006, un récit-témoignage "Dieu n'aime pas les Arabes...".
  • René Viviani (8 novembre 18637 septembre 1925) : homme politique de la Troisième République, Président du conseil lors de la Première Guerre mondiale.
  • Gaston Julia : mathématicien éminent, célèbre pour son "Ensemble de Julia" (Julia Set) dans la (Théorie du chaos).
  • Marcel Cerdan : boxeur français.
  • Mohammed Bedjaoui : ministre algérien des affaires étrangères. Ex Garde des Sceaux (1964-70), Ambassadeur d'Algérie en France (1970-79), délégué permanent auprès des Nations Unies (1979-82).
  • Mohamed Tayebi Larbi : ministre de l'agriculture et de la révolution agraire du Troisième Gouvernement Boumediène du 23 avril 1977 au 8 mars 1979.
  • Kad Merad : acteur et humoriste français.
  • Cheikh Naam : chanteur de raï, considéré par beaucoup comme le roi du raï.
  • Kendsi : acteur humoriste célèbre pour ses sketchs télévisés.
  • Jean-François Larios : membre de l'Équipe de France de football à la coupe du monde 1982.
  • Philippe Marie Hernandez : né en 1951, ingénieur agricole, mastère INAPG, économiste
  • le barde des beni amers mustpha ben brahim poète populaire
  • Ahmed Benharrat
  • Hmida Layachi écrivain et journaliste
  • Abbès Féraoun, homme de théâtre
  • Khiat Ahmed, écrivain
  • Saim el Haj homme de théatre et parolier de chansons
  • Meslem Seddik 'mahi' conteur et auteur (goual des beni amers) né en 1960
  • Mehaoudi Ahmed, journaliste et poète
  • Farid DAZ , artiste peintre

Notes et références

  1. Ministère de l'intérieur, Direction générale de la sûreté nationale
  2. Sidi-bel-Abbès "le site de Djamila"
  3. Voir la carte sur Google maps : ici
  4. Les archéologues ont prouvé cette activité millénaire utilisant la richesse du sol et le grand nombre de cours d'eau aménageable que compte la région.
  5. Aperçu historique sur la ville de Sidi-bel-Abbès
  6. Sidi-bel-Abbès
  7. Sidi-Bel-Abbès "la légende du marabout de Sidi-Bel-Abbès" par Georges Bensadou
  8. Sidi-bel-Abbès "la légende du marabout de Sidi-bel-Abbès" par Georges Bensadou
  9. La légende du marabout de Sidi-bel-Abbès par Georges Bensadou
  10. Sidi-bel-Abbès "Naissance d'une ville" par Georges Bensadou"
  11. Sidi-bel-Abbès "la ville des superlatifs"
  12. Sidi-bel-Abbès "la ville des superlatifs"
  13. a  et b L'arrivée des Français par Georges Bensadou
  14. Sidi-bel-Abbès
  15. Sidi-bel-Abbès [1]
  16. pour voir le plan de Sidi-Bel-Abbès en 1961 cliquez ici:[2]
  17. Sidi-bel-Abbès "La ville des superlatifs"
  18. Sidi-bel-Abbès: maison mère de la légion étrangère par François Delatour (extraits d'historia)
  19. Sidi-bel-Abbès : le site de Djamila
  20. a , b , c , d  et e (fr)histoire et patrimoine de Sidi-bel-Abbès, consulté le 28 octobre 2008

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