Père des nations

Père des nations

Abraham

Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Abraham (homonymie).
Un ange empêchant le sacrifice dIsaac. Abraham et Isaac, Rembrandt, 1634

Abraham (en hébreu : אַבְרָהָם /av.ra.'am/, « père dune multitude », « lami de Dieu »[réfnécessaire] est un personnage important de l'histoire des peuples sémitiques qui est donné par la Bible comme étant l'ancêtre des peuples juifs et arabes, ainsi que le père du monothéisme et de la religion primitive des Hébreux. Son histoire est racontée dans la Genèse, chapitres 11 à 25. Quand la Bible était encore vue comme un récit historique précis, les spécialistes dataient cette épopée à environ 1800 avant notre ère. Aujourdhui, elle est considérée comme mythique [1].

Sommaire

Un personnage mythique

La question de lhistoricité ou non du personnage biblique Abraham a fait lobjet dun travail scientifique considérable par les archéologues. Lexistence darchives extraordinairement abondantes (tablettes dargile) a permis de conclure que le nom « Abraham » se retrouve à différentes époques et en différents lieux de Mésopotamie, sans quaucune utilisation particulière à Ur puisse être notée[2]. De plus, les migrations en Mésopotamie sont désormais assez bien connues et aucune ne correspond[3] au trajet du récit biblique, depuis Ur jusquen Palestine. La conclusion de toutes ces études scientifiques[4] est la non-historicité dAbraham, personnage biblique, donc, et non pas personnage historique.

Selon la Bible

Abram

Abram (en hébreu : אַבְרָם, ābram, « père haut ») apparait dans la Genèse, au chapitre 11 (Ge 1121-29), dans la généalogie qui suit lépisode de la Tour de Babel. Il y est dit quAbram descend de Sem, lun des trois fils de Noé, lesquels étaient retombés dans lidolâtrie.

Il est le fils de Terah et a deux frères, Nahor et Haran. Haran meurt, laissant un fils, Loth (qui est donc le neveu dAbram). Abram épouse Saraï, sa demi-sœur, qui est stérile.

Terah quitte Ur vers le pays de Canaan avec Abram et Loth son petit-fils (verset 31). Ils se fixent à Harran (Harra ou Charan), connu pour être à la fois un grand centre caravanier et lun des deux principaux sanctuaires (avec Ur) qui soit dédié au Dieu-Lune Sîn vénéré par les Mésopotamiens.

Au chapitre 12 (Ge 12), Abram reçoit lordre divin de quitter Harran avec sa famille et ses troupeaux pour, à lâge de 75 ans, aller à lendroit que lui désignera Dieu, tandis que son père reste à Harran et que son frère Nahor est en Mésopotamie. Il est accompagné de Loth (verset 4). Abram traverse alors sans doute lEuphrate à Karkemish, puis il entre dans le pays de Canaan jusquau site de Sichem (verset 6), Dieu lui apparaît à nouveau et lui promet « de donner cette terre à sa descendance ». Abram construit un autel, puis continue sa route dans la région de Bethléem et , puis vers le Néguev d une famine le chasse vers lÉgypte.

, le Pharaon enlève Saraï quAbram avait fait passer pour sa sœur (pour que sa vie ne soit pas menacée par la beauté de sa femme). Il finit par la libérer suite à des plaies infligées par Dieu.

À son retour au pays de Canaan, Abram se sépare de Loth avec lequel des divergences apparaissent (Ge 13). Celui-ci sinstalle près de Sodome.

Dans le même temps, une coalition de quatre rois orientaux (Ge 14) tente de mater la rébellion de cinq rois cananéens. Les rebelles sont vaincus, Sodome et Gomorrhe mises à sac, Loth est fait prisonnier. Abram poursuit les assaillants et les défait près de Damas. Loth est ainsi libéré et le butin rendu intégralement. À son retour, Abram est accueilli avec bienveillance par les rois de Sodome et de Jérusalem. Il repart vers le Néguev et sinstalle dans loasis de Beer-Sheva.

Puis Abram reçoit la promesse de Dieu de multiplier sa descendance pour lesquels la terre de Canaan est destinée, « depuis le torrent dÉgypte jusquau grand fleuve dEuphrate » (Ge 1518).

Abraham recevant Agar.jpg

Pour assurer à son mari une progéniture, Saraï donne à Abram sa servante, Agar, comme concubine (Ge 16). Ismaël naît de cette union.

L'alliance d'Abraham

Quatorze ans après la naissance dIsmaël (Ge 17), Abram a 99 ans, et Dieu lui propose une alliance : « on ne tappellera plus Abram (אברם ābrm), mais ton nom sera Abraham (אברהם ābrhm), car je te fais père dune foule (hamon : ham est la fin du mot Abraham et le début du mot hamon), de nations (goyim). Je te fructifierai beaucoup, beaucoup, tu engendreras des nations, des rois sortiront de toi ».

Abram accepte cette alliance qui passe par la circoncision de tous les hommes de sa maison et devient Abraham : « Abraham prit Ismaël, son fils, tous ceux qui étaient nés dans sa maison et tous ceux quil avait acquis à prix dargent, tous les mâles parmi les gens de la maison dAbraham et il les circoncit ce même jour, selon lordre que Dieu lui avait donné. Abraham était âgé de quatre-vingt-dix-neuf ans, lorsquil fut circoncis. » La circoncision au huitième jour est le signe de cette alliance entre Dieu et la descendance dAbraham.

Saraï devient Sarah par la même alliance.

Abraham recevant la visite de lÉternel par Gustave Doré.

Le chapitre 18 (Gn 181-15) est celui de lannonciation à Abraham et Sarah, par lapparition de lÉternel et de trois hommes qui leur font la promesse davoir un fils, Isaac (« rire, joie »), qui devra être circoncis à son huitième jour en signe de lAlliance. Le nom de Isaac est lié à toutes les sortes de rires que provoque lannonce de lenfant : joie, émerveillement, mais aussi étonnement, incrédulité de Sarah qui est ménopausée et ne couche plus avec son mari.

Au cours de la même visite, la destruction de Sodome et Gomorrhe est annoncée à Abraham.

Sodome et Gomorrhe

Les deux chapitres suivants (Ge 19-20) sintercalent, comme sil fallait séparer le plus possible la conception dIsaac de sa naissance. Le texte enchaîne sur la condamnation de Sodome et Gomorrhe. Sodome est une ville règne la confusion sexuelle. Des enfants naissent, mais il nest pas possible de leur attribuer de père. Or pour quune ville se perpétue, il est fondamental quy siège un tribunal qui reconnaisse les filiations. Au verset 22, se mettent en place les deux interlocuteurs dun marchandage entre Abraham et lÉternel. Abraham marchande le nombre de membres de justes quil faudrait y trouver pour sauver la ville : 50, 45, 40, 30, 20 ? Finalement, dix justes auraient suffi pour sauver Sodome. Le miniane, le quorum nécessaire à toute cérémonie juive, est de dix membres.

Naissance et sacrifice d'Isaac

Lange intervient pour stopper le sacrifice dIsaac, peinture du Caravage

Isaac naît (Ge 21). Il est nommé du nom accepté en commun par Abraham et Sarah, il est circoncis au huitième jour. Isaac grandit. Un jour, craignant quIsmaël ne devienne le successeur dAbraham au détriment dIsaac, Sarah demande à Abraham de chasser Ismaël : « Chasse cette servante et son fils, car le fils de cette servante nhéritera pas avec mon fils, avec Isaac. »

Si Dieu réconforte Abraham sur lavenir de son fils Ismaël, il lencourage néanmoins à réaliser tout ce que Sarah lui demande : « Accorde à Sarah tout ce quelle te demandera car cest dIsaac que sortira une postérité qui te sera propre. Je ferai aussi une nation du fils de ta servante car il est ta postérité ».

Abraham renvoyant Agar.

Abraham renvoie donc dans le désert sa servante Agar et son fils, Ismaël, qui manque dy périr. Un ange apparaît alors à Agar, sauve son fils et lui promet den faire le « père dune grande nation. »

Pendant cet épisode (Ge 22), Dieu met Abraham à lépreuve et lui dit : « Prends ton fils unique ; va-ten au pays de Morija, et offre-le en holocauste sur lune des montagnes que je te dirai ». Abraham obéit. Ce faisant, il reconnaît ainsi celui dont il tient lenfant. Comme le jeune garçon, au verset 7, lappelle avi, « mon père », et que lui répond béni, « mon fils », ils se sont aussi reconnus mutuellement.

Dieu intervient par lintermédiaire dun ange qui ordonne à Abraham : « navance pas ta main sur lenfant, et ne lui fais rien car je sais maintenant que tu crains Dieu, et que tu ne mas pas refusé ton fils, ton unique ».

Au moment du rituel, un ange vient et ordonne à Abraham dépargner Isaac ; cétait une épreuve envoyée par Dieu pour tester Abraham.

Un bélier est sacrifié à sa place. La tradition juive place ce sacrifice interrompu sur le Mont Moriah, à lemplacement actuel du Dôme du Rocher à Jérusalem. La tradition musulmane situe, non pas le sacrifice dIsaac, mais dIsmaël, dans le désert.

Dans la tradition juive, le sacrifice dAbraham est plutôt désigné comme la « ligature » dIsaac (akeda). Le souvenir de ce sacrifice est commémoré à chaque nouvelle année juive, lors de la fête de Rosh Hashana. Dans la tradition musulmane, le sacrifice dAbraham est lacte fondateur de labandon total de la créature à son créateur : le symbole de la confiance absolue en la volonté divine. Son souvenir est commémoré chaque année par la fête du sacrifice ou Aïd el adha lon sacrifie rituellement un bélier.

Rappelons que dans la tradition islamique, ce nest pas Isaac mais Ismaël qui est concerné par cette tentative de sacrifice.
Cest une scène souvent représentée dans liconographie chrétienne (Rembrandt, Jean Goujon…)[5].

L'expérience de Milgram sur la soumission à l'autorité apportera au XXe siècle une vision nouvelle sur le comportement d'Abraham et sur les dangers qu'il y avait à ne pas critiquer immédiatement cette attitude.

Sacrifice d'Isaac contesté par les musulmans

Les musulmans contestent le fait quIsaac soit le fils sacrifié dAbraham mais Ismaël. Parmi les arguments avancées (entre autres) le Genèse 22.2 : « Dieu dit : Prends ton fils, ton unique », Isaac ne pourrait point être fils unique dAbraham puisqu'Ismael - son demi-frère d'une servante - est plus âgé que lui.

Sépulture de Sarah et mariage d'Isaac

Après la mort de Sarah (Ge 23), une négociation a lieu entre Abraham et les fils de Het (Hittites) à propos du champ et de la grotte de Hébron sera enterrée Sarah. Éphron, fils de Het, veut les lui donner, Abraham veut les payer. Finalement, il paye[6]. Le prix payé par Abraham pour le champ et la grotte est de 400 sicles (שקל, shekel) dargent « au cours du marchand »[7].

Abraham ordonne ensuite (Ge 24) à son serviteur (anonyme, mais que le Midrash assimile à Éliézer), daller en Mésopotamie (Aram) pour trouver une femme à Isaac. Éliézer choisit Rébecca, fille de Betouel, près dun puits de Paddan Aram, pour sa beauté et sa générosité : elle abreuve non seulement les voyageurs, mais aussi leurs chameaux. Il rentre avec elle à Hébron.

Après avoir marié son fils, Abraham prend une nouvelle épouse (Ge 251-10), Ketourah, de laquelle il a de nombreux fils : Zimran, Jokschan, Medan, Madian, Jischbak et Schuach. « Il fit des dons aux fils de ses concubines et, tandis quil vivait encore, il les envoya loin de son fils Isaac dans le pays dOrient » (Ge 256). Puis il meurt à lâge de 175 ans « dans une vieillesse heureuse ». Il est enterré aux côtés de Sarah au tombeau des Patriarches : « Isaac et Ismaël, ses fils, lenterrèrent dans la caverne de Macpéla, dans le champ dÉphron, fils de Tsochar, le Héthien, vis-à-vis de Mamré. »

Selon le Coran

Sur une enluminure ottomane, Gabriel arrête le bras dAbraham prêt à sacrifier son fils que la tradition islamique apparente à Ismaël.
Article détaillé : Ibrahim.

Abraham, connu comme Ibrahim par les musulmans est un des prophètes de l'islam les plus importants ; il est appelé « Père » ou « Abouna » par les musulmans qui se considèrent comme ses plus dignes descendants, à la fois en tant que prêcheur du monothéisme et en tant que père dIsmaël puis dIsaac. En effet, Ismaël, son fils aîné, est considéré comme le père des Arabes alors quIsaac est celui des Juifs, Juda étant fils de Jacob, lui même fils dIsaac et petit fils dAbraham (Jacob engendre douze fils, pères des douze tribus d'Israël).

Lislam enseigne que le fils quAbraham offre à Dieu en sacrifice est Ismaël en argumentant que la Bible a été réécrite par les rabbins : elle nomme Isaac mais le présente comme le fils unique. Or Isaac a un frère aîné qui seul, avant quIsaac ne vienne au monde, a pu être le « fils unique » du patriarche[8].

Le hajj (lun des cinq piliers de lislam) suit les traces dIbrahim, Agar et Ismaël alors quils erraient dans le désert jusquà La Mecque.

Sur le point de mourir de soif dans le désert, Ibrahim, Agar et son fils sont sauvés par lintervention divine par une source que les musulmans situent près de la Ka'ba et nomment Zamzam qui fournit toujours aujourdhui de quoi boire à plus de 3 millions de pèlerins chaque années.

Laïd el-Kebir, la fête la plus importante de lislam, termine le hajj et commémore surtout le sacrifice dIsmaël quAbraham voulait faire en signe dobéissance et de soumission à la volonté de Dieu. Les musulmans sacrifient, dans la mesure de leurs moyens, un mouton, un bouc, un taureau, un buffle ou un chameau pour rappeler le sacrifice dAbraham et en partagent la viande en famille et, en signe de charité, avec les pauvres.

Thèses sur la signification du sacrifice demandé

Laurent de La Hire, Abraham sacrifiant Isaac (1650), Musée des Beaux-Arts dOrléans.

En obéissant à lordre divin, et comme dit plus haut, Abraham "reconnaît ainsi Celui dont il tient lenfant. Comme le jeune garçon, au verset 7, lappelle aby, « mon père », et que lui répond bény, « mon fils », ils se sont aussi reconnus mutuellement."

Mais plutôt que cette triple reconnaissance, les enseignements religieux voient dans cet épisode un acte de foi, de confiance totale en Dieu. Le sacrifice demandé à Abraham est ainsi rapproché de deux autres épisodes :

  • La loi juive qui demande que tout premier soit consacré à Dieu, les hommes sont rachetés ainsi que les animaux impurs, les animaux purs sont sacrifiés (Nombres 18 versets 15 à 17). Dans ce cadre, le sacrifice dIsaac est lapplication de cette loi qui sera ensuite formalisée par Moïse.
  • La mort de Jésus sur la croix : Abraham était prêt à sacrifier son fils Isaac pour Dieu, Isaac se soumettant à son père ; Dieu a de même sacrifié son fils unique Jésus pour sauver les hommes, Jésus sest soumis à la volonté de Dieu (Philippiens 2:8). Cet acte serait donc une image du futur sacrifice de Jésus.

On a aussi avancé que le sacrifice dAbraham signifierait la fin des sacrifices humains, pratique qui aurait perduré chez dautres peuples sémitiques. Les Phéniciens (carthaginois en particulier) continuèrent à sacrifier les premiers nés mâles en gage de fécondité dans les sanctuaires de Tanit et de Baal Hamon. Les lieux se pratiquaient ces sacrifices sont appelés « tophets ». Ce rite se serait prolongé jusquau IIe siècle av. J.-C. daprès les fouilles effectuées en Sardaigne, en Sicile et à Carthage. Dans cette perspective, Abraham aurait accompli un rite ethnique cohérent avec la promesse dune nombreuse descendance.

Dautres récits relatent de la pratique des sacrifices humains ; le plus remarquable est lhistoire de Tantale : confronté à la même situation quAbraham, il réagit en refusant le sacrifice et en truquant le rite. Le résultat de cette révolte contre (les) dieu(x) napparaît pas convaincant puisque, si on en croit la mythologie, Tantale sera durement châtié et les sacrifices humains perdureront dans sa lignée et plus généralement chez les Grecs : Iphigénie devra être sacrifiée par Agamemnon par exemple.

De façon plus générale, le geste d'Abraham, bien qu'il ne soit resté qu'intentionnel, constitue historiquement un des premiers exemples de soumission à l'autorité et prend à ce titre valeur d'archétype.

Notes et références

  1. 1800 avant J.-C: Abraham inaugure lHistoire des Hébreux
  2. Cf. article "Chaldée"
  3. Dominique Charpin dans La Bible dévoilée (épisode 1 Les Patriarches), coffret 2 DVD, Thierry Ragobert, éditions Montparnasse (22 février 2006). (ASIN B000EBFVNG)
  4. Israël Finkelstein et Neil Asher Silberman, La Bible dévoilée. Les nouvelles révélations de larchéologie, 431 pages, éditions Bayard (11 avril 2002), p. 47-50 et p. 361-367. (ISBN 222713951X) (ISBN 978-2227139510)
  5. Le dossier pédagogique de la BNF
  6. Eber, ŒBR עבר (de ŒBR עובר, Over, passer) est lancêtre dAbram lHébreu, ABRM HŒBRY אברם העברי, Avram haIvry.
  7. ŒBR, over, littéralement « passant » chez le marchand) De même que lhébreu, la langue, « passe » de lun à lautre, largent « passe » de main en main.
  8. Lire à ce sujet : Le sacrifice dIsaac, ou dIsmaël ?.

Bibliographie

  • Raphaël Draï, Abraham, ou la recréation du monde, Fayard, 2006, 592 p. 
  • Soren Kierkegaard, Crainte et tremblement, Rivages
  • Th. Roemer, Israels Väter. Untersuchungen zur Väterthematik im Deuteronomium und in der deuteronomistischen Tradition (OBO 99), Academic Press / Vandenhoeck & Ruprecht, Fribourg / Göttingen, 1990
  • Abraham Segal, Abraham, enquête sur un Patriarche, Plon, 1995 (ISBN 2-259-02664-8)

Liens vers le récit biblique

Livre de la Genèse

  • Généalogie, Ur, Harran Ge 1126-32
  • Canaan, Égypte Ge 12
  • Séparation davec Loth Ge 13
  • Défaite des rois de Sodome et Gomorrhe, victoire dAbram, Melchisédek Ge 14
  • alliance avec lÉternel Ge 15
  • Naissance dIsmaël, fils dAbram et dAgar Ge 16
  • Renouvellement de lalliance, Abram devient Abraham, Saraï devient Sarah, circoncision des mâles Ge 17
  • Chênes de Mamré, annonce de la naissance dIsaac, annonce de la destruction de Sodome et Gomorrhe Ge 18
  • Sodome, sauvetage de Loth, statue de sel, Inceste de Loth et de ses filles Ge 19
  • Abimélec roi de Guérar, Abraham fait à nouveau passer Sarah pour sa sœur Ge 20
  • Naissance dIsaac, conflit de Sarah avec Agar et Ismaël, promesses de Dieu envers Ismaël Ge 21
  • Sacrifice dIsaac, renouvellement de lalliance Ge 22
  • Mort et sépulture de Sarah Ge 23
  • Mariage dIsaac et de Rebecca Ge 24
  • Fin de la vie dAbraham, Ketourah Ge 251-10
  • le Temps des Patriarches http://www.hebraica.org/histoire.php?id=99#99

Liens vers les parachiot

Voir aussi

Articles connexes

Tablesdelaloi.jpgPatriarches Tablesdelaloi.jpg
Enfant de :
Terah
Abraham (-2000--1825)*
épouse Sarah
concubine Agar
concubine Ketourah
Parent de :
Ismaël
Isaac
Zimran
Yokshan
Medan
Madian
Ishbak
Shouah


  • Portail de la culture juive et du judaïsme Portail de la culture juive et du judaïsme
  • Portail du christianisme Portail du christianisme
  • Portail de l’islam Portail de lislam
Ce document provient de « Abraham ».

Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Père des nations de Wikipédia en français (auteurs)

Игры ⚽ Поможем написать курсовую

Regardez d'autres dictionnaires:

  • Père des croyants — Abraham Pour les articles homonymes, voir Abraham (homonymie). Un ange empêchant le sacrifice d’Isaac. Abraham et Isaac, Rembrandt …   Wikipédia en Français

  • Justes des nations — Juste parmi les nations Pour les articles homonymes, voir Juste (homonymie). « Juste parmi les nations » (en hébreu : חסיד אומות העולם, Hasid Ummot Ha Olam, littéralement « généreux des nations du monde) » est une… …   Wikipédia en Français

  • Table des nations — Table des peuples Carte en T symbolisant le monde connu à travers une croix inscrite dans un cercle. Elle représente la géographie conformément à l iconographie chrétienne et identifie les trois continents connus aux descendants de Sem, Ham et… …   Wikipédia en Français

  • Société des Nations — Pour les articles homonymes, voir SDN. Société des Nations Sociedad de Naciones League of Nations Région Monde …   Wikipédia en Français

  • Richesse des Nations — Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations Richesse des nations Édition de Londres (1776) de la Richesse des nations Auteur Adam Smith Genre économie …   Wikipédia en Français

  • Richesse des nations — Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations Richesse des nations Édition de Londres (1776) de la Richesse des nations Auteur Adam Smith Genre économie …   Wikipédia en Français

  • Commonwealth des Nations — Commonwealth of Nations « Commonwealth » redirige ici. Pour les autres significations, voir Commonwealth (homonymie) …   Wikipédia en Français

  • Commonwealth des nations — Commonwealth of Nations « Commonwealth » redirige ici. Pour les autres significations, voir Commonwealth (homonymie) …   Wikipédia en Français

  • Théâtre des Nations — Théâtre de la Ville Théâtre de la Ville Sarah Bernhardt La façade du théâtre, place du Châtelet Type …   Wikipédia en Français

  • Tribunal spécial des Nations unies pour le Liban — 11° 31′ 13″ N 104° 47′ 35″ E / 11.5203, 104.793 …   Wikipédia en Français

Share the article and excerpts

Direct link
https://fr-academic.com/dic.nsf/frwiki/1390393 Do a right-click on the link above
and select “Copy Link”