Archipel des Glénan

Archipel des Glénan
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Archipel des Glénan
Îles de Glénan
Vue de l'île de Brunec depuis l'île Saint-Nicolas.
Vue de l'île de Brunec depuis l'île Saint-Nicolas.
Géographie
Pays Drapeau de France France
Localisation Golfe de Gascogne (océan Atlantique)
Coordonnées 47° 43′ 01″ N 4° 00′ 00″ W / 47.717, -447° 43′ 01″ N 4° 00′ 00″ W / 47.717, -4
Superficie 505 km2
Nombre d'îles 9 îles et plusieurs îlots et rochers
Île(s) principale(s) Île de Saint-Nicolas, île du Loc'h, île de Penfret
Point culminant non nommé (19 m sur l'île de Penfret)
Géologie Îles continentales, récifs, bancs de sable
Administration
Statut Îles privées ou du domaine public partiellement protégées par la réserve naturelle Saint-Nicolas-des-Glénan

Drapeau de France France
Région Bretagne
Département Finistère
Commune Fouesnant
Démographie
Population Aucun habitant
Autres informations
Découverte Préhistoire
Fuseau horaire UTC+1

Géolocalisation sur la carte : Finistère

(Voir situation sur carte : Finistère)
Archipel des Glénan
Archipel des Glénan

Géolocalisation sur la carte : France

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Archipel des Glénan
Archipel des Glénan
Archipels de France

L'archipel des Glénan ou îles de Glénan, localement appelé « les Glénan » est un archipel breton situé à environ 10 milles marins au sud de Fouesnant, dans le Finistère. L'école de voile « Les Glénans », implantée sur le site depuis 1947, se réserve l'orthographe avec un « s » final au moyen d'une marque commerciale.

Sommaire

Géographie

L'archipel de Glénan se composant de neuf îles principales et d'un grand nombre d'îlots. Cet ensemble géologique aurait autrefois été une seule et même île :

«  Les traditions racontent même que les neuf îlots des Glénan étaient jadis une île considérable : leur destruction par les flots de la mer est une œuvre géologique à laquelle les indigènes auraient assisté. »

— Élisée Reclus[1]

On suppose même que l'archipel aurait autrefois été la côte, comme le rapporte encore Reclus « Le Promontoire de Penmarc'h ou de la "tête de cheval", pilier jusqu'à présent indestructible de la côte dont l'archipel des Glénan faisait partie (...) »[1].

L'archipel actuel est extrêmement découpé, à tel point que sa superficie est difficilement calculable. Les cartes marines du lieu, malgré les efforts du SHOM, ne parviennent pas à cartographier l'ensemble des récifs du site.

L'archipel a parfois été décrit comme « un aperçu de Tahiti en Bretagne Sud ». Il est célèbre pour la clarté des eaux de La Chambre, zone protégée par le « cercle des Glénan », souvent comparée à un lagon. Cet espace s'étend entre les îles Saint-Nicolas, Drénec, Bananec et Cigogne, et sert de zone de mouillage aux plaisanciers.

Lors des grandes marées, la Chambre peut être traversée à pied et devient le paradis des pêcheurs à pied qui ramassent ormeaux et palourdes sous la surveillance de la gendarmerie maritime.

Histoire

Au néolithique le niveau des océans étant plus bas que ce qu'il est aujourd'hui, la zone de l'archipel des Glénan n'est pas insulaire. Au quatrième millénaire avant Jésus-Christ, un dolmen à couloir est érigé sur l'actuelle île de Brunec et des sépultures sont disposées à Saint-Nicolas, Drenec et Bananec. Cette population d'agriculteurs a probablement laissé d'autres traces que l'élévation du niveau de la mer (6 mètres en 5000 ans) a détruites. Le tertre de Brunec fait l'objet de fouilles en 1926 mais celles-ci révèlent que le tertre fut déjà visité et dégradé[Le Maître 1].

Au Moyen Âge l'archipel est une possession de l'abbaye de Rhuys[Le Maître 2]. En 1633, Henri de Bruc (alors abbé de Rhuys) trouve un locataire pour l'archipel. Claude Desbrosses restera jusqu'en 1637 payant 40 livres par an. Il sera suivi en 1651 par Pierre Levesque. Dans les années qui suivent l'abbé de de Rhuys est en retraite à Saint-Germain-des-Prés, l'abbaye de Rhuys nécessite quant à elle des travaux. Ainsi, des biens propriétés de l’abbaye sont mis en vente. Le 23 octobre 1658, Nicolas Fouquet (surintendant des finances du Royaume de France) se porte acquéreur de l'archipel. Les moines, souhaitant faire monter le prix, s'opposent à la vente. Un accord est trouvé le 17 août, mais Fouquet est arrêté le 5 septembre[Le Maître 3].

L'archipel constitue un abri intéressant pour les corsaires pratiquant la guerre de course. Dès lors qu'une guerre est déclarée, des forbans viennent se cacher dans ces îles. Différentes actions sont entreprises pour tenter de déloger ces marins de l'archipel, notamment par Pierre Mauclerc. En 1481, cinq navires sont armés avec 525 hommes pour « nettoyer la côte ». Les corsaires des Glénan ne prennent pas pour cible pour les gros convois armés, leurs cibles sont les barques de marchand. En 1647, cinquante navires sont ainsi rançonnés par des pirates de [[Biscaye]. L'année suivante, le marquis de Kerjean décide de chasser ces corsaires. Il trouve des navires ancrés proches de Penfret, il en coule trois, en arraisonne trois et chasse les trois autres. En 1688, la guerre reprend entre la France et l'Angleterre. Des corsaires de Guernesey descendent jusqu'aux Glénan. Le 4 avril 1704 la flotte royale est attaquée. Les pêcheurs de Locmaria fréquentent l'archipel, ils fournissent les corsaires en vivres diverses pour continuer à travailler[Le Maître 4].

En 1714 un marchand - Pastoureau - du Passage Lanriec obtient des moines de Rhuys d'établir un négoce de poisson sur Saint-Nicolas. L'accord, incluant une franchise d’impôt, stipulait la construction d'un fort que Pastoureau ne sera bâtira jamais. À la disparation de ce dernier, Pierre de Lhérétaire reprend ce négoce[Le Maître 5]. En juin 1717, un ingénieur (Isaac Robelin) vient choisir l'emplacement du fort. Il fait mention d'une presse à Saint-Nicolas pour préparer les sardines : « Depuis la paix plusieurs particuliers de Concarneau y font bâtir une grande presse pour préparer les sardines »[Le Maître 6]. La presse aux Glénan permettait aux pêcheurs de passer la semaine sur l'archipel, le poisson était préparé dans la presse et ramené sur le continent par chasse-marée. Suite à nouvelle guerre, les corsaires sont de retour dans l'archipel. Pierre de Lhérétaire quitte les Glénan peu après[Le Maître 7].

Le 26 juillet 1755, Emmanuel Armand de Vignerot du Plessis, nouveau gouverneur de Bretagne, fait un déplacement aux Glénan. Il visite Penfret, le Loch, Cigogne, Bananec, Saint-Nicolas en mouillant dans la Chambre. Se reposant sur l'expérience des Sept-Îles où un fort à éloignés les pirates, il préconise la construction d'un fort à Cigogne[Le Maître 8]. La construction du fort se déroule laborieusement. Cigogne étant sans eau les ouvriers doivent loger sur Saint-Nicolas. Un aumônier est exiger pour célébrer des messes pour les officiers chargés de la surveillance des lieux[Le Maître 9]. En 1763 la Guerre de Sept Ans s'achève, la paix stoppe les travaux du fort qui n'est pas achevé[Le Maître 10]. À la fin des années 1770, des corsaires anglais reviennent autour de l'archipel. De nombreux bateaux y sont capturés par des anglais, les marins locaux abandonnant leur navires de peur d'être ramenés au Royaume-Uni[Le Maître 11]. Les travaux reprennent au début de la révolution française.

On retrouve des sépultures préhistoriques sur l'Île du Loc'h.[réf. nécessaire]

Les îles ont été occupées à l'époque gallo-romaine, comme en attestent les amphores et autres traces retrouvées sur l'Île aux Moutons.[réf. nécessaire]

Le roi Gradlon aurait donné les îles de l'archipel aux moines de Saint-Gildas-de-Rhuys ; ils en revendiquent la propriété depuis l'an 399. [réf. nécessaire]

Au XIIIe siècle un prieuré a été édifié sur Saint-Nicolas, donnant ainsi le nom du saint très vénéré par les marins au Moyen Âge.[réf. nécessaire]

La plus ancienne carte mentionnant les îles remonte à 1313, où l'archipel figure sous le nom de grana. En 1466 elles sont nommées Glaram et c'est en 1585 qu'elles deviennent Gleran. [réf. nécessaire]

Administration

L'archipel des Glénan dépend de la commune de Fouesnant[2].

Les terrains de la réserve naturelle appartiennent au Conseil général du Finistère et sont gérés par une association de protection de l'environnement (la SEPNB).

Environnement

L'archipel abrite une plante endémique, le Narcisse des Glénans, Narcissus triandus ssp capax.

Narcisse des Glénans

Identifiée en 1803, et alors présente dans tout l'archipel, cette sous-espèce n'a cessé de régresser au fur et à mesure de la déprise agricole des îles : ce Narcisse se développe en pelouse rase et l'abandon de l'élevage a entraîné l'apparition de landes broussailleuses. Dès 1924, on notait sa disparition presque complète. En 1974, à l'initiative de Bretagne Vivante - Société pour l'étude et la protection de la nature en Bretagne, une partie de l'Île Saint-Nicolas fut classée en réserve naturelle dont l'accès fut interdit par une clôture.

Cette mesure faillit entraîner la disparition complète du Narcisse des Glénans : l'arrêt du piétinement et la poussée de la lande à fougères et ajoncs furent néfastes à la reproduction par graines (et non par bulbes) de la plante. En 1985, la réserve fut débroussaillée et la population de narcisse se remit à augmenter. Le maintien en pelouse rase est assuré désormais, soit par débroussaillage, soit par des animaux pâturant la réserve (moutons à l'origine, puis poneys et ânes).

À noter que les chercheurs ont récemment dû admettre que cette espèce n'était pas endémique, puisqu'elle existe également à l'état sauvage au Portugal et en Espagne. C'est à la fin du XIXème siècle qu'un bateau portugais rempli de bulbes et faisant route vers les Pays-Bas, s'échoua dans l'archipel avec sa cargaison.[réf. nécessaire] Le Narcisse des Glénans est donc présent dans deux régions du monde : la péninsule ibérique et l'archipel des Glénan.

L'archipel est aussi classé réserve de pêche sous-marine.

Urbanisme

Quelques maisons sont construites sur l'île Saint-Nicolas. Toute nouvelle construction est désormais interdite.

Économie

L'archipel a longtemps été un abri pour les pêcheurs. Au XIXe siècle, le vivier de Saint-Nicolas était le plus grand de France pour les homards et les langoustes.

La production de soude pour les verreries, par brûlage des algues, a cessé au début du XXe siècle.

On y exploite le maërl, d'abord à la pelle, sur les îlots, puis par bateaux sabliers utilisant des dragues: des bennes dans les années 1960, puis des dragues suceuses. Le maërl des Glénan est utilisé comme amendement pour les cultures mais surtout dans le traitement des eaux potables, dans une cinquantaine de départements. L'exploitation trop intensive menace la régénération du maërl et la biodiversité.

L'État a accordé, en octobre 2005, une dernière concession aux sabliers, avant la fermeture définitive du site en 2011. Pendant 6 ans, pour les seuls besoins du traitement des eaux et dans une zone de 50 hectares ils sont autorisés à extraire chaque année 45 000 tonnes de maërl.

L'archipel n'est plus fréquenté que par quelques pêcheurs professionnels qui font escale à Saint-Nicolas. Tourisme et loisirs sont désormais les activités principales: liaisons par vedettes pendant l'été, écoles de voile et de plongée, deux restaurants.

Les problèmes à résoudre pour la municipalité de Fouesnant sont l'approvisionnement en eau, en énergie et la gestion des détritus : l'eau provient de citernes ou de puits et n'est plus potable, la production électrique assurée par l'éolienne et les panneaux solaires sur Saint-Nicolas est insuffisante et les détritus doivent être évacués par barges au cours de l'été.

Îles principales

Île Saint-Nicolas

L'île Saint-Nicolas, dont les coordonnées sont 47°43′26″N 4°0′0″O / 47.72389, -4, est l'île principale. Elle est accessible en vedette, pendant l'été, depuis Concarneau, Fouesnant, La Forêt Fouesnant, Bénodet ou Loctudy. On y trouve un important vivier construit en 1872 par le baron Fortuné Halna du Fretay, deux restaurants (les viviers et le sac de nœuds (anciennement la boucane)) et quatre maisons construites dans les années 1960, utilisées comme résidences d'été (13 appartements au total répartis entre 12 propriétaires). L'électricité est produite par une unique éolienne. Les derniers habitants permanents ont quitté l'île au début des années 1960.

Le Centre International de Plongée des Glénan y est installé depuis 1959, d'abord dans l'ancienne ferme et actuellement dans un bâtiment appartenant au Conseil général du Finistère.

Une partie de l'île est classée depuis 1974 en réserve naturelle, la plus petite de France (1,5 ha), pour protéger le Narcisse des Glénans, plante endémique de l'archipel.

Île de Bananec

Tombolo entre l'île Saint-Nicolas et l'île de Bananec.

L'île de Bananec est reliée à Saint-Nicolas par un cordon de sable, un tombolo, découvrant à marée basse. L'école de voile (Les Glénans), propriétaire de l'île, y a construit un bâtiment moderne dans les années 1960.

47°43′22″N 3°59′30″O / 47.72278, -3.99167

Île du Loc'h

La seule crique où l'on peut mouiller à marée basse.

L'île du Loc'h, avec une ancienne ferme et un étang d'eau saumâtre, est la propriété de la famille Bolloré. C'est la plus grande en superficie.

Le baron Fortuné Halna du Fretay tenta l'exploitation d'une pisciculture dans cet étang. Il modernisa également les techniques de brûlage du goémon en faisant construire un véritable four d'usine en 1874. La cheminée de cette ancienne installation de fabrication de soude sert maintenant d'amer.

47°42′18″N 3°59′46″O / 47.705, -3.99611

Île de Penfret

Vue de l'île de Penfret.

Située à l'est de l'archipel, l'île de Penfret abrite un phare ainsi que le sémaphore de l'archipel. L'école de voile les Glénans est propriétaire de la presque totalité de l'île depuis 1952. Elle est locataire du sémaphore depuis 1964.

L'État est propriétaire du phare et de ses abords, du sémaphore et de l'ancienne maison des gardiens de phare. Le Conservatoire du Littoral est en passe de racheter le sémaphore et la maison des gardiens. Les Glénans, après avoir restauré la ferme au début des années 1950, ont bâti quelques bâtiments entre 1955 et 1965.

47°43′05″N 3°57′21″O / 47.71806, -3.95583

Île Cigogne

Fort Cigogne vu de l'île du Loch

L'île Cigogne tirerait son nom non pas de l'oiseau mais de la forme de l'île, seiz kogn signifie « sept coins » en breton.

L'île Cigogne, au centre de l'archipel est reconnaissable à son fort, construit à partir de 1756 pour interdire le mouillage de la Chambre aux corsaires anglais. Il a logé jusqu'à 80 soldats.

Propriété de l'État, il est loué à l'école de voile. Une tour y sert aussi d'amer.

47°43′1″N 3°59′36″O / 47.71694, -3.99333

Île de Drénec

L'île de Drénec, au sud de l'île Saint-Nicolas, abrite une ancienne ferme restaurée par l'école de voile. Propriété du Conservatoire du Littoral, Les Glénans en sont locataire depuis 1952.

47°43′2″N 4°0′35″O / 47.71722, -4.00972

Île de Brunec

« La prison » sur Brunec

L'île de Brunec, au nord de Saint-Nicolas, est surnommé « la prison », peut-être parce qu'un jour, au XVIIIe siècle, les Anglais qui occupaient Penfret y débarquèrent des pêcheurs de Concarneau accusés de transporter des vivres pour la garnison française de Fort Cigogne.

L'île est devenue propriété du Conservatoire du Littoral. On y trouvait une villa des années 1960, démolie au printemps 2008.

47°43′46″N 4°0′0″O / 47.72944, -4

Île de Guiautec

île de Guéotec

L'île de Guiautec (ou Guéotec), au sud-ouest de l'île de Penfret, servait de pâturage aux fermiers de Penfret. Elle est dotée d'une tour servant d'amer.

47°42′47″N 3°57′58″O / 47.71306, -3.96611

Île de Quignénec

Se situant à l'ouest du Loc'h, l'île de Quignénec est en fait un ensemble de trois îlots, avec un petit bâtiment en ruine, cabane de goémonier ou ancienne petite ferme.

47°42′32″N 4°0′51″O / 47.70889, -4.01417

Île de Guiriden

Située entre les pierre noires et l'île de Penfret, l'île de Guiriden est un banc de sable fin uniquement accessible en bateau.

Île aux Moutons

L'île aux Moutons

On rattache aussi à l'archipel l'île aux Moutons qui se situe à entre le continent et l'archipel.

L'île aux Moutons est en fait un petit archipel avec l'île aux Moutons en elle-même et la roche de Trévarec. Ce petit archipel même si inclus dans les Glénan en est assez éloigné. En effet, l'île aux Moutons est aussi éloignée de Beg Meil (sur le continent) que du centre de l'archipel.

À la fin des années 1940, les négociants de Quimper et les pilotes demandent l'installation d'un feu aux Moutons. Après l'expropriation du propriétaire des lieux, les travaux du phare débutent en 1877. Celui-ci est allumé le 1er janvier 1879.

L'île est désormais une réserve ornithologique où nichent deux espèces de sternes : sterne pierregarin et sterne caugek. Une grande zone qui sert de nichoir aux sternes est donc interdite au public.

Des fouilles archéologiques y ont été effectuées, montrant une présence de l'Homme au néolithique et à l'époque gauloise.

47°46′31″N 4°1′45″O / 47.77528, -4.02917 (Île aux Moutons)

Annexes

Bibliographie

  • Jean-Pierre Abraham, Fort Cigogne, 1995.
  • Louis-Pierre Le Maître, Les Glénan, Éditions Palantines, Plomelin, 2005.
  • Serge Duigou, Les Robinsons des Glénan, Éditions Ressac, Quimper, 1998.
  • Michel Guéguen et Louis-Pierre le Maître, Le cercle de mer, histoire des isles de Glénan, 1981.
  • Vicomte de Villiers de Terrage, L'archipel des Glénan en Basse-Bretagne, Imprimerie René Prudhomme, Saint-Brieuc, 1906, réédition par les éditions La Découvrance, 2003, (ISBN 9782842652111).
  • Élisée Reclus, Nouvelle géographie universelle, la terre et les hommes., Paris, Hachette, 1885, 1017 p. [lire en ligne] 
  • M. Villiers du Terrage, Petite histoire de l'archipel des Glénans, Éditions des Régionalismes (PyréMonde), Monein, 2010. réédition de la monographie publiée en 1906 dans la revue de l'Association bretonne d'Archéologie & d'Agriculture.

Notes et références

  • Louis-Pierre Le Maître, Les Glénan, Histoire d'un archipel, Éditions Palantines, Plomelin, 2005.
  1. p 32
  2. p 30
  3. p 35
  4. p 36 et 37
  5. p 37
  6. p 39
  7. p 40
  8. p 41
  9. p 42
  10. p 44
  11. p 44
  • Autres références

Articles connexes

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