Mérovée, fils de Clotaire II

Mérovée, fils de Clotaire II
Clotaire II - Wikipédia

Clotaire II

Clotaire II
Roi des Francs
Portrait Clotaire II roy de France.jpg
« Clotaire II roy des Francs (584-629) » par Jean Dassier (1676-1763). Buste du roi à droite ceint d'une couronne. Bibliothèque nationale de France.

Règne
613 - 18 octobre 629
Dynastie Mérovingiens
Titre complet Roi des Francs (613-629)
Roi de Neustrie (584-613)
Roi d'Austrasie et des Burgondes
Roi de Paris (595-613)
Prédécesseur Sigebert II (Réunion de tous les royaumes francs)
Successeur Dagobert Ier: Roi des Francs
Caribert II: Roi d'Aquitaine

Autres fonctions
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Biographie
Naissance 584
Décès 18 octobre 629
Père Chilpéric Ier
Mère Frédégonde
Conjoint(s) Haldetrude
Bertrude
Sichilde
Descendance Mérovée
Emma
Dagobert Ier
Caribert II
Signature Souscription de Clotaire II.jpg

Clotaire II, dit le Jeune, (Printemps 58418 octobre 629) est roi de Neustrie de 584 à 613 et roi des Francs de 613 à 629, après la conquête du royaume d'Austrasie. Il est le fils de Chilpéric Ier, roi de Neustrie, et Frédégonde.

Sommaire

Biographie

Clotaire II traite avec les Lombards.

Fils de Chilpéric Ier et de Frédégonde, Clotaire II devient roi de Neustrie à l'âge de quatre mois.
Élevé en secret dans la villa royale de Vitry en Artois pour le protéger d'un éventuel assassinat, dont ses parents pensent que ses défunts frères ont été victimes, ainsi que d'ambitieux qui profiterait de sa mort pour engendrer un conflit de succession, il ne reçoit pas de nom à sa naissance ; ceci dans le but de ne pas propager d'inquiétude liée à la symbolique du nom mérovingien.
Voulant choisir un parrain en fonction de l'évolution des troubles qui agitent le Regnum Francorum, son père ne le fait pas baptiser immédiatement[1].
En septembre 584, Chilpéric Ier est assassiné près de sa villa de Chelles, sans doute sur ordre de la reine Brunehilde[2], après une partie de chasse. Cette situation produit un désordre général. Les Grands de Neustrie pillent les trésors de Chilpéric, notamment son missorium d'or[3] et s'emparent de tous les documents importants, pour se réfugier en Austrasie.
La princesse Rigonde est attaquée à Toulouse par le duc Didier, engagé dans la conspiration de Gondobald, qui lui vole tout ce qui reste de sa dot, et en est réduite à abandonner son mariage avec Reccared[4]. Des guerres éclatent entre diverses cités rivales, ainsi Orléans et Blois se dressent contre Chartres et Châteaudun[5]. La reine Frédégonde réussit à sauver ses trésors personnels et les officiers Ansoald et Audon lui restent fidèles[6], contrairement au reste de l'aristocratie qui l'a abandonnée comme le chambrier Eberulf[7]. Elle fait voyager son fils de Vitry à Paris et envoie un message à Gontran pour qu'il accepte d'adopter l'enfant[8], âgé de quatre mois, et d'exercer la régence jusqu'à sa majorité.
Childebert II, qui était proche de Meaux au moment du meurtre de Chilpéric, se déplace à Melun afin de prendre Paris, mais Gontran le devance. Des pourparlers s'engagent alors entre Childebert II, accompagné de Brunehilde, et Gontran dans le but de rentrer dans la ville, ce que leur refuse Gontran.
Invoquant le régicide de Sigebert Ier, des princes Mérovée et Clovis et même de Chilpéric Ier, Brunehilde demande que Frédégonde leur soit livrée, ce que Gontran refuse également[9].
Un rassemblement des Grands de Neustrie se déroule sous l'autorité de Gontran et ils reconnaissent l'enfant de Frédégonde comme fils de Chilpéric Ier, bien que des doutes sur sa paternité demeurent[9],[10]. Ils lui donnent le nom de Clotaire[9], nom ayant été donné au père de Gontran et grand-père de Childebert II. Il est alors adopté par Gontran. L'officier Ansoald est chargé de reprendre le contrôle des villes neustriennes délaissées depuis la mort du roi.
Elles font alors serment de fidélité à Gontran et à Clotaire[11]. Gontran tente de remettre de l'ordre dans les affaires de Neustrie : contre l'avis de Frédégonde et peut-être pour montrer son autorité[12], il redonne son siège épiscopal de Rouen à Prétextat et démet de ses fonctions Melaine qui le remplaçait. L'évêque Promotus de Châteaudun, dont le diocèse avait été rétrogradé en paroisse à la suite du concile de Paris en 573 pour avoir été nommé à ce poste au mépris des lois canoniques, réclame sa restitution après avoir été exilé à la mort de Sigebert Ier. Il ne récupère que ses biens personnels[13]. Le duc Gararic et le chambrier Eberon, envoyés par Brunehilde, réussissent à faire passer Limoges[14], Tours et Poitiers sous influence austrasienne grâce à l'aide de Grégoire de Tours et de Venance Fortunat[15]. Gontran envoie des troupes récupérer les cités perdues qui sont toutes reprises et retourne dans ses états. Frédégonde est envoyée dans la villa de Vaudreuil, dans le diocèse de Rouen[16]. Durant l'été 585, Gontran se déplace à Paris pour parrainer Clotaire durant son baptême et fait jurer à Frédégonde, trois évêques et trois cents aristocrates de Neustrie, que Clotaire II est bien fils de Chilpéric Ier. Mais le baptême est annulé. Un concile doit se réunir à Troyes mais les Austrasiens refusent d'y participer tant que Gontran ne déshérite pas Clotaire. Le concile est donc déplacé à Mâcon et a lieu le 23 octobre 585.

Frédégonde visite Prétextat sur son lit de mort par Lawrence Alma-Tadema.

Alors que Gontran tente de s'emparer de la Septimanie wisigothique, Frédégonde tente de d'échapper à la surveillance de l'évêque Prétextat pour fuir Rouen. Il est poignardé sous l'aisselle durant une messe dominicale. N'expirant pas tout de suite, Frédégonde va se recueillir auprès de lui pour demander s'il a besoin de ses médecins. Celui-ci lui l'accuse ouvertement d'être à l'origine de son malheur et du meurtre des autres rois, et il jette une malédiction sur elle. L'évêque meurt peu après.
La reine utilise alors sa liberté pour rallier à son fils des nobles et des évêques sous la menace d'une guerre contre Gontran. Elle réinstalle Melaine à Rouen malgré l'interdiction de Gontran[17] et réussit à reformer le royaume de Chilpéric.

Gontran tente d'affaiblir la Neustrie en débauchant une partie de l'aristocratie pour conserver les terres qu'il avait récupérées entre Loire et Seine par le ralliement du duc Beppolène à ses côtés[18]. En 587, il réussit à reprendre à la Neustrie les villes d'Angers, Saintes et Nantes[19]. Frédégonde tente alors de négocier la paix et envoie des ambassadeurs chargés de tuer Gontran. Ils sont arrêtés et Gontran rompt ses relations avec la Neustrie[20].

En 593, même s'il s'agit d'une présence symbolique car il n'a que neuf ans, Clotaire II apparaît à la tête de ses armées qui mettent en déroute le duc champenois Wintrio qui cherchait à envahir la Neustrie. En 596, il ravage les environs de Paris. Sa mère meurt en 597 et ses cousins Thierry II et Théodebert II s'allient pour le battre à la bataille de Dormelles (600) et le forcer à signer un traité qui ne lui laisse que les régions de Beauvais, Amiens et Rouen en royaume.

Une première tentative de reconquête de son royaume se solde par un échec et la mort de son fils Mérovée en 604.
Clotaire change alors de stratégie et se rapproche de Thierry II en 607 et devient le parrain de Mérovée, un des fils de ce dernier.
En 608, Thierry II renvoie son épouse wisigothe et se brouille avec son beau-père Wittéric, qui forme avec Clotaire II, Théodebert II et Agilulf, roi des Lombards une coalition contre Thierry II, mais qui n'est pas suivie d'effets.

La haine entre les deux frères Thierry II et Thibert II croît jusqu'à ce que ces derniers s'affrontent en 611.
Thierry II demande l'aide de Clotaire, lui promettant la moitié nord de la Neustrie, écrase son frère en 612 lors des batailles de Toul puis de Tolbiac et le fait exécuter ainsi que ses enfants.
Comme convenu, Thierry donne à Clotaire le nord de la Neustrie, mais ne tarde pas à organiser une invasion de la Neustrie, quand il meurt de dysenterie à Metz en 613. Ses troupes se dispersent immédiatement, et Brunehilde place sur le trône d'Austrasie son arrière petit-fils Sigebert II.

Supplice de la reine Brunehaut. Grandes Chroniques de France de Charles V. XIVe siècle. Paris, Bibliothèque nationale de France.

N'acceptant pas la tutelle de Brunehilde, les nobles austrasiens font appel à Clotaire II, qui envahit l'Austrasie, met la main sur le jeune roi et ses frères, qu'il fait massacrer à l'exception de son filleul Mérovée.
Brunehilde paraît devant un tribunal pour être jugée du meurtre de dix rois :

En réalité, le prince Childebert, un des fils de Thierry II, a réussi à s'enfuir mais passe pour mort.
Sigebert Ier a été tué par des hommes de Frédégonde en 575 et Mérovée, fils de Chilpéric Ier, son second époux, a été abandonné à son sort après qu'elle se soit mariée avec lui en 577.
Sa culpabilité dans la mort de Thierry II, que l'on soupçonne d'avoir été empoisonné, est également remise en cause car celui-ci serait mort de maladie en 613.
Ce procès ne fait que justifier la condamnation de l'accusée dont les Grands veulent se débarrasser.
La déchéance suit le mode de déposition des rois où, depuis le Bas-Empire, le supplice est codifié de manière à faire perdre toute légitimité et rendre responsable l'accusée de tous les malheurs de son règne[23].

Ses vêtements royaux lui sont retirés[24], puis elle est torturée pendant trois jours[25].
Elle est montée sur le dos d'un chameau[26] et promenée parmi la troupe au milieu des insultes.
Cette pratique est issue de l'époque romaine pour sanctionner les usurpateurs ou les indésirables. Le choix d'un chameau sert a rappeler l'exotisme de l'Orient avec lequel elle entretenait des relations notamment avec l'Empire byzantin et les Avars.
Elle est attachée par les pieds à l'arrière d'un cheval indompté[27].
Cette mise à mort, rappelant une pratique thuringienne consistant à lier des prisonnières à des chevaux lancés au pas de course[28], ne correspond ni au droit romain ni au droit franc ou wisigoth.
Il est possible que cette mise en scène soit réalisée de manière à rappeler que Brunehilde est étrangère.
Son corps est ensuite brûlé, pour éviter qu'il ne fasse l'objet d'un culte dédié à une martyr[29].

Bien qu'il se retrouve seul roi des Francs, Clotaire II doit composer avec les particularismes régionaux.
Le Maire du Palais, qui était auparavant un auxiliaire du roi, devient le chef de la noblesse neustrienne, austrasienne ou bourguignonne.
En 623, les Austrasiens exigent d'avoir un roi particulier et Clotaire cède en nommant son fils Dagobert.

C’est du règne de Clotaire II que date l’inamovibilité des Maires du Palais (614) par l'édit du 18 octobre 614.
Il meurt le 18 octobre 629, laissant le trône à son fils, Dagobert Ier.

Postérité

Il épouse en premières noces Haldetrude, qui donne naissance à :

  • Mérovée, qui est envoyé avec Landéric, maire de palais de Neustrie, pour combattre l'austrasien Berthoald à Arele en 604, mais les deux sont tués au cours de la bataille.
  • Emma, mariée en 618 à Eadbald († 640), roi de Kent.

En secondes noces, il épouse Bertrude, citée en 613 et en 618, fille probable de Richomer, patrice des Burgondes, et de Gertrude d'Hamage. Elle a au moins :

et peut-être :

  • un fils mort jeune vers 617.
  • Berthe, épouse de Warnachaire († 626), Maire du Palais d'Austrasie[30].

En 618, il se marie avec Sichilde, sœur de Gomatrude, qui épousera Dagobert Ier, roi des Francs, et probablement de Brodulfe (ou Brunulfe), qui soutiendra Caribert II[31]. Sichilde était auparavant sa concubine et avait déjà[32] donné naissance à :

Notes et références

  1. Bruno Dumézil, La reine Brunehaut, Paris, Éditions Fayard, 2008, page 212.
  2. Frédégaire, Chronique, III, 93.
  3. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 4.
  4. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 9.
  5. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 2.
  6. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 15.
  7. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 21.
  8. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 5.
  9. a , b  et c Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 7.
  10. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VIII, 9.
  11. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 8.
  12. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 16.
  13. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 17.
  14. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 13.
  15. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 12.
  16. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 19.
  17. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VIII, 31.
  18. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VIII, 42.
  19. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VIII, 43.
  20. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VIII, 44.
  21. Frédégaire nomme Mérovée le fils de Théodebert II tué par les Burgondes (selon la Continuation de la Chronique d'Isidore), mais ce prince est appelé Clotaire dans la liste des victimes que dresse le tribunal jugeant Brunehilde.
  22. Frédégaire, Chronique, IV, 43.
  23. Bruno Dumézil, La reine Brunehaut, Paris, Éditions Fayard, 2008, page 388.
  24. Sisebut, Vita Desiderii, I, 21.
  25. Frédégaire, Chronique, IV, 42 ; Continuation de la Chronique d'Isidore.
  26. Vita Desiderii, II, 14 (MGH SRM, III, p.643).
  27. D'autres sources, telles que les deux Vies de Didier disent qu'elle est attachée à la queue de plusieurs chevaux. Jonas de Bobbio a également repris cette version.
    Frédégaire aurait mélangé les différentes versions, en la faisant attacher à un cheval par un pied et un bras. Bruno Dumézil, La reine Brunehaut, Paris, Éditions Fayard, 2008, page 386.
  28. Grégoire de Tours, Historia Francorum, III, 7.
  29. Bruno Dumézil, La reine Brunehaut, Paris, Éditions Fayard, 2008, page 387.
  30. Selon Léon Levillain, Études mérovingiennes : la charte de Clotilde (10 mars 673), 1944  qui s'appuie sur un passage de la chronique de Frédégaire.
  31. Caribert est le demi-frère de Dagobert. cf. la thèse de Wood : l'oncle de Caribert, Brodulf, était le frère de Sichilde
  32. Caribert ayant déjà un enfant en 632, il est forcément né avant 618. Cela signifie que Caribert II et Sichilde avaient une liaison avant leur mariage.

Annexes

Sources

  • Christian Settipani, La Préhistoire des Capétiens (Nouvelle histoire généalogique de l'auguste maison de France, vol. 1), éd. Patrick van Kerrebrouck, 1993 (ISBN 2-9501509-3-4), p. 92-100 .
  • Jean-Charles Volkmann, Bien connaître les généalogies des rois de France, Éditions Gisserot, 1999 (ISBN 2-877472086) 
  • Ivan Gobry, Clotaire II, Éditions Pygmalion, coll. « Histoire des rois de France », 2005 (ISBN 2-85704-966-8) .

Voir aussi

Précédé par Clotaire II Suivi par
Chilpéric Ier
Roi de Neustrie
584-629
Dagobert Ier
Sigebert II
roi d'Austrasie
613-623
de Bourgogne
613-629
Réunification du Royaume Franc
roi des Francs
613-629
 
roi en Aquitaine
Caribert II
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