Cathédrale du Havre

Cathédrale du Havre

Cathédrale Notre-Dame du Havre

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Cathédrale Notre-Dame du Havre
Vue générale de l'édifice
Vue générale de l'édifice

Latitude
Longitude
49° 29′ 13″ Nord
       0° 06′ 30″ Est
/ 49.486944, 0.108333
 
Pays France France
Région Haute-Normandie
Département Seine-Maritime
Ville Le Havre
Culte Catholique romain
Type Cathédrale
Rattaché à Diocèse du Havre, qui appartient à l'archidiocèse de Rouen
Début de la construction 1575
Fin des travaux 1610
Style(s) dominant(s) architecture gothique
Classé(e) Monument historique

La cathédrale Notre-Dame du Havre est un bâtiment construit aux XVIe et XVIIe siècles, avec une façade baroque. C'est le plus ancien édifice du centre-ville (classé au Patrimoine mondial de l'UNESCO) et l'un des seuls qui soient rescapés des destructions de la Seconde Guerre mondiale — après restauration et reconstruction partielle.

Sommaire

Histoire

Le premier bâtiment créé en 1522 sur les lieux, était une petite chapelle en bois. Mais la « mâle marée » en 1522 emporta le bâtiment. Régulièrement, de 1525 à 1527, la chapelle est victime d'inondations. Ainsi en 1536 une chapelle en bois fut reconstruite avec des piliers en pierres. À ses côtés, une tour est construite en 1540 (elle sera rabaissée en 1563) ; ce bâtiment est élevé par Guillaume de Marseille, trésorier de la ville.

Ce bâtiment ayant été saccagé par les Huguenots, il est décidé de le construire en pierre. Après la reprise de la ville, qui avait été livrée aux Anglais par un gouverneur protestant de la ville, la flèche de style gothique (qui était semblable à celle de la tour de l'église d'Harfleur par son style) est détruite et un nouveau sommet est constitué. La construction commence en 1575 pour se terminer en 1610. La première pierre est posée en 1574 par le maître maçon Nicolas Duchemin qui construit l'église jusqu'à sa mort en 1587 ; il est inhumé dans le bâtiment, et un pilier du transept porte une ancienne stèle rappelant la présence de la sépulture de l'architecte dans la cathédrale. Les portails latéraux sont construits en 1604 et en 1605 par deux architectes différents (ce qui explique certaines différences entre les 2 portails). Les autels de l'église sont bénis par l'évêque in partibus de Damas en 1605. La façade principale, quant à elle, a été construite de 1611 à 1638. Pour en achever la construction, les architectes Pierre Hardouin et Marc Robelin (qui viennent de Rouen) sont appelés au Havre. En 1636 se termine la construction des bas-côtés et des voutes des chapelles. Mais en 1638 la façade principale, tout juste terminée, s'affaisse, et est relevée par le maçon Hérouard. Le rond-point n'est pas encore fini en 1768. En 1794 la couverture du toit (en mauvais état) est refaite.

Lors de la Révolution, l'église devient un temple de la Raison. Aussi l'église est saccagée pendant cette période de l'histoire française, alors que plusieurs sont détruites, mais seront refaites lors de la restauration de 1830. Ainsi l'église, ainsi que sa tour, ont dû être restaurées une première fois : un tympan est construit, le sommet de la tour est refait ; de plus, quelques pierres de taille ont été enlevées, et les trous comblés par des briques de saint-Jean. Pendant cette rénovation, un projet d'agrandissement du chœur a été proposé mais il n'a pas été réalisé.

En 1918 l'édifice est classé patrimoine historique[1].

Lors des bombardements de la ville de septembre 1944 par l'aviation britannique, l'église reste miraculeusement debout, sans être épargnée : une bombe détruit un tiers de la nef. La façade ouest (côté rue de Paris, l'entrée principale de la cathédrale) reste debout ainsi que la tour ; la nef, de la façade jusqu'au transept est détruite. Après le transept, le chœur subsistent[2]. Lors de la reconstruction plusieurs architectes veulent détruire l'église. Mais Auguste Perret, l'architecte en chef qui s'occupe de la reconstruction du centre-ville du Havre, sauve l'édifice en décidant de le reconstruire un peu plus à l'ouest (d'où la création du parvis).

Fondée comme église paroissiale, elle n'est devenue cathédrale qu'en 1974 lors de la constitution du diocèse du Havre sur la partie occidentale de l'archidiocèse de Rouen. Le diocèse du Havre a été créé après la fin des chantiers de reconstruction de l'actuelle cathédrale du Havre. Aussi la cathédrale fait partie de la paroisse Saint-Yves de la mer. Une partie de la vaisselle eucharistique (ciboires, calices, coupelle...) est classée[3] (par exemple un calice offert par Charles X). Mais quelques-uns de ces objets classés ont été transférés à Lillebonne, et ne sont jamais revenus dans la cathédrale. De surcroit, une autre partie de la vaisselle eucharistique classée provenant de la cathédrale a été mise en enchère (après la fin de la Seconde Guerre mondiale) à Montivilliers, et depuis ces objets sont introuvables.

Extérieur

Détail de la façade de la cathédrale, Le Havre

La tour clocher été érigée vers 1520. Elle était alors plus haute de 30 mètres ; mais en 1563 avec la complicité des huguenots, les Anglais envahissent la ville du Havre, et bâtissent le fort Warwick. En plus de ce fort, ils utilisent la tour de l'église (la tour était en pierre, mais l'église en bois) pour bombarder les hauteurs entourant la ville ; lors de la reprise de la ville par les Français, les autorités décident de détruire la flèche de la tour et de la rabaisser de 30 mètres. C'est la plus ancienne partie de la cathédrale.

À l'extérieur de la tour, on peut encore constater les éclats des obus, qui ont laissé des marques dans la pierre. Les parties non reconstruite (après le bombardement de 1944) sont abimées par la pluie, car la pierre utilisée lors de la construction est une pierre calcaire. En plus de la pluie, le vent marin transportant du sable prend part aussi à l'érosion des pierres de l'édifice (l'église Saint-Joseph du Havre, en béton, connait les mêmes problèmes que la cathédrale). Ainsi certaines gargouilles et le fronton au-dessus de la porte latérale nord menacent actuellement de tomber. Sur ce même fronton, la balustrade qui entoure le toit de la cathédrale, prend la forme de mots retranscrivant la phrase :

« AGNUS DEI
AVE MARIA GRATIA PLENA »
Tympan à l'entrée principale, datant de la restauration de 1830, avec Sainte-Marie tenant Jésus, au ciel, entourés d'anges.

Le parvis devant la cathédrale est récent, car il date de la reconstruction du Havre ; avant, les entrées principales (côté ouest) donnaient directement sur la rue. La petite tour, vers l'arrière de l'édifice, permet de monter sur le toit depuis la sacristie.

La façade principale est de style baroque. Elle est ornée de sculptures d'anges, qui sont actuellement dégradées. Les portes d'entrée ne sont pas d'origine ; au-dessus des 2 grandes portes sur les côtés, il y a des pièces métalliques qui permettaient d'accrocher des ornements de couleur noire lors d'un enterrement. Le toit de la cathédrale est entouré d'une balustrade. Les décorations extérieures (colonnes, balustrade, etc.) montre bien une forte influence de type renaissance sur ce bâtiment de type gothique. La façade nord (latérale) est ornée de colonnes nervurées. Deux statues d'anges entourent le vitrail circulaire, mais ces sculptures sont assez dégradées. Le vitrail circulaire de la façade nord ressemble un peu aux rosaces gothiques, mais cette "rosace" montre aussi une transition entre le gothique et l'architecture de la renaissance (baroque et plus tard classique). La façade latérale sud a été restaurée partiellement : un petit vitrail, de forme circulaire, n'a pas été refait. Au-dessus des deux façades latérales, se trouvent des vitraux circulaires. Le tympan, au-dessus de l'entrée principale (façade ouest), sur lequel il y a une statue de la Vierge Marie avec l'Enfant Jésus, n'est pas d'origine car il a été ajouté lors de la rénovation de 1830.

Visite intérieure

La nef de la cathédrale

Général

L'influence de la renaissance artistique se lit dans l'élévation dorique de la nef. La voûte n'est pas très haute à cause des difficultés posées par le terrain meuble. Aussi, on peut observer la transition architecturale entre le style ogival (voûtes et leurs nervures) et le style classique (arcades, piliers, chapiteaux et meneaux des fenêtres).

Mais la cathédrale est victime d'affaissement : la partie détruite fut reconstruite en béton, sous la toiture. Avec la différence de poids entre le béton et la pierre calcaire des parties intactes, la cathédrale s'enfonce, et le nouveau toit qui fut reconstruit aggrave la situation car, plus lourd que le toit d'origine, il accélère l'affaissement de la structure. Aussi il y a peu de temps, la partie sud de la cathédrale a dû être rénovée. En revanche, la charpente en bois (sous la toiture) n'a pas été reconstruite dans la partie qui fut détruite lors des bombardements, mais existe encore dans les parties du toit qui ne furent pas emportées.

La nef

Elle est constituée d'une voûte en ogive et de baies vitrées. Au niveau du transept il n'y a pas de baie vitrée mais une arcade de chaque côté de la nef. La nef a été refaite lors de la reconstruction partielle de la cathédrale, et restaurée sur les parties non effondrées. L'utilisation du béton au-dessus de la voûte (en dessous de la toiture) cause son affaissement.

La tour de la Cathédrale

Le plafond de la tour est en forme d'ogive, mais il n'est pas visible car, en raison de l'usage de pierres calcaires friables, de la poussière de calcaire et des petits morceaux de pierre tombent sans cesse ; certains trous ont été bouchés par des briques de Saint-Jean lors de la restauration de 1830. Aussi la municipalité havraise a installé un faux-plafond en bois à titre provisoire. Ce faux-plafond est démontable, car pour réparer les cloches, ou s'il faut remplacer le mécanisme qui les actionne, il faut disposer de l'ouverture nécessaire. Les cloches sont maintenant actionnées par des moteurs électriques. Dans le passé, quatre personnes étaient nécessaires pour faire sonner la plus grosse cloche. Actuellement la tour sert de chapelle pour les « petites » messes de semaine. Le clocher de la tour abrite 5 cloches.

Pour finir, la chapelle de la tour abrite le tabernacle de la chapelle du France (ou Norway). L'entrée de la tour (à l'intérieur de la cathédrale) était le portail de l'ancienne chapelle Notre-Dame. Dans le mur de la tour peuvent s'observer de petites encoches creusées dans la pierre, pour y installer un faux-plafond qui était plus bas, et qui divisait la tour en deux étages (en dessous de la voûte). Aujourd'hui la tour est en mauvais état (que se soit à l'intérieur ou à l'extérieur).

Les orgues de la cathédrale, 1637

Les grandes orgues

Les orgues ont été offertes par le cardinal de Richelieu, gouverneur de la ville, en 1637 ; d'ailleurs au-dessus le blason du cardinal y est représenté[4]. Le grand orgue cache le vitrail au-dessus de l'entrée principale, car il n'y avait pas d'orgue à cet endroit à l'origine. Endommagées lors des bombardements de 1940, les grandes orgues ont dû être rénovées. Cette rénovation s'est terminée en 1980, date de l'inauguration de l'orgue. Les parties sombres (en bois) sont les pièces d'origines qui ont pu être restituées ; le reste a été refait dans du nouveau bois. L'organiste titulaire actuel est Jean Legoupil.

Les vitraux

Les vitraux ne sont pas d'origine, car ils ont presque tous éclaté lors de l'explosion de la bombe qui a touché la cathédrale ; ces vitraux ont été réalisés en 1974[5]. Deux seulement n'ont pas été détruits ; ils se trouvent l'un au niveau de l'entrée de la sacristie et l'autre à l'entrée du chœur de la cathédrale. Un troisième aurait pu être refait, mais le projet fut abandonné, car il n'y avait pas suffisamment de restes du vitrail. L'un des vitraux représente une messe en l'honneur de la reprise du Havre par l'armée royale en 1693 ; l'autre vitrail représente une visite d'Henri IV au Havre dans la rue de Paris. Sur ce vitrail on aperçoit la future cathédrale en chantier. À noter qu'à l'issue de cette visite, Henri IV va donner de l'argent pour pouvoir accélérer la construction de l'édifice. Sur le vitrail au fond du chœur (qui n'est pas d'origine) la Vierge Marie est représentée. Les autres vitraux sont simples mais munis de motifs maritime (coquillages, étoiles de mers, etc.) mais sont en mauvais états à cause d'actes de vandalisme (jets de pierres, et tir à la carabine).

Sacristies

La sacristie a été très endommagée lors du bombardement. En effet la bombe a provoqué un incendie ; une très grande partie du mobilier, en bois, a été détruite dans le feu. Ce mobilier a été reconstitué à l'identique en bois de chêne. Une partie de la sacristie a été condamnée de l'intérieur pour pouvoir y installer une chaudière, et n'est donc accessible que par l'extérieur.

Vitrail représentant la Vierge Marie
Vitrail représentant la messe donnée après la libération du Havre par les troupes royales, après l'invasion des anglais.
Vitrail représentant une visite d'Henri IV au Havre.

Les Chapelles

À part la chapelle de la tour, il y a cinq chapelles disposées sur chacune des ailes droite et gauche de la Cathédrale. Elles ne sont plus utilisées, sauf celles de gauche : la chapelle du Saint-Sacrement (ou aussi nommée chapelle Saint-Sébastien), où se trouve le tabernacle (on y met le ciboire qui contient des hosties déjà consacrées) ; la deuxième de gauche possède aussi un tabernacle, mais elle est moins utilisée. Pendant la messe un diacre ou un servant d'autel vient chercher le Saint-Sacrement à l'une des chapelles. À côté de la chapelle Saint-Sébastien il y a une pierre avec un texte gravé, dont la lecture est rendue difficile à cause de l'effritement de la pierre. Le bas-côté nord possède donc deux chapelles actuellement, mais avant il y en avait initialement cinq ; deux n'ont pas été restaurées pour pourvoir installer une salle d'accueil, et faire des petites orgues.

La chapelle dans le bas-côté sud, côté est (la plus proche du chœur) est ornée d'un tableau de la Vierge Marie tenant l'enfant Jésus ; et le premier évêque du diocèse du Havre, Michel Saudreau (1928-2007), fut enterré au pied de l'autel de cette chapelle. Dans une des chapelles de l'aile droite (ou bas-côté sud), se trouve également une relique de Saint Yves ; cette chapelle possède un autel et un retable en bois d'une autre église du Havre (qui a été détruite puis rebâtie autrement), l'église Sainte-Cécile. La seconde chapelle au nord possède un autel et un retable en bois venant de la chapelle des Ormeaux du Havre. La chapelle symétrique de la chapelle de Saint-Sébastien n'a pas été restaurée, mais ce qu'il en subsiste (gravures et sculptures dans le mur) permet très facilement de déduire que cette chapelle était identique à la chapelle de Saint-Sébastien. Sur le mur de cette chapelle est disposée une statue en bronze de Jésus-Christ en croix ; à l'origine cette statue était sur un mur proche de l'entrée de la tour, mais qui n'a pas été refait. Cette statue possède un trou au niveau des côtes du Christ ; ce trou n'a pas était réalisé intentionnellement : il n'y était pas à l'origine, car ce dommage fut causé par le bombardement de 1944 ; cepandant il a été décider de le conserver car il représente la blessure de Jésus infligée par le centurion (qui avec sa lance transperça les côtes et le cœur de Jésus), et il symbolise de plus les épreuves de la guerre et l'histoire douloureuse de la Cathédrale endommagée par les combats.

Le chœur

L'autel se trouve dans le centre du chœur. Celui qui était au fond du chœur a été détruit, brûlé après l'explosion de la bombe ; maintenant, à cet emplacement, se situe la cathèdre (siège de l'évêque), recouverte de feuilles d'or, et scellée pour empêcher les vols. Le chœur est peu décoré aujourd'hui, mais avant le bombardement il y avait beaucoup de sculptures et statues dans le chœur ainsi qu'une balustrade devant l'autel. Aujourd'hui le chœur est entouré par les statues des apôtres de Jésus. Ces statues sont en bois et peintes, à part quelques une détruites pendant la révolution et refaites en plâtre.

Les bas-côtés

Les bas-côtés, tout comme la voûte principale, possède une voûte en ogive. Les bas-côtés abritent les chapelles ainsi que les petites orgues. Le bas-côté sud a été restauré récemment, tandis que le bas-côté nord est en plutôt mauvais état (piliers et voûtes dégradés).

Sur une des deux ailes, la municipalité a légèrement coloré les pierres, en tentant d'appliquer les mêmes couleurs qu'à l'origine.

Transept

Ce transept se fait remarquer par sa petite taille : en largeur il ne correspond qu'à une seule travée. En haut, la voûte en ogive possède des têtes sculptées. Au-dessus de chaque entrée est percé un œil de bœuf. À l'entrée sud il y en avait un deuxième (juste au-dessus de la porte), qui étrangement n'a pas été restauré lors des précédents travaux.

Autres équipements

Le chemin de croix est celui qui était dans le paquebot Normandie. De plus les panneaux d'affichage en bois qui sont dans la cathédrale proviennent aussi du paquebot Normandie ; ces panneaux avait été alourdis avec du plomb, car à l'origine ceux-ci ne devaient pas se déplacer dans le paquebot (lors d'une tempête par exemple).

Anecdotes et autres informations

  • En comparaison de la cathédrale Notre-Dame de Rouen, la longueur la Cathédrale du Havre et de moitié plus petite, mais elle est plus large que celle de Rouen.
  • Le mauvais état extérieur de la cathédrale du Havre et d'une partie de son intérieur s'explique par les problèmes de financement : en 1999 lors de la tempête, la cathédrale de Rouen a été gravement endommagée (la flèche était tombée dans le chœur) et pour réparer les dégâts, une grosse partie du budget consacrée à la cathédrale du Havre a été réaffecté au budget de restauration de la cathédrale de Rouen. Cela explique donc une restauration très lente de la cathédrale du Havre.
  • Sur le sol de la cathédrale on observe des étoiles « dessinées ». En fait lors d'un Noël, des étoiles (en papier) ont été collées sur le sol, pour décorer l'intérieur. Mais lorsque les étoiles ont étaient enlevées, la colle est restée et a laissé les traces de ces décorations.
  • Le parvis de la cathédrale se situe à un niveau plus bas que celui du reste de la ville. En fait le parvis a gardé le même niveau qu'avant les bombardements : la ville a été reconstruite sur les débris de l'ancienne, car les faire évacuer était trop coûteux. D'ailleurs, le parvis de l'église Saint-Joseph, et les jardins de l'hôtel de ville sont d'une altitude moins élevée, pour la même explication.

Liens internes

Notes et références

  1. Notice no IA00130130, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  2. Dommages de guerre, sur la base Mémoire, ministère de la Culture
  3. Vaisselle eucharistique, Notice no IM76003761, sur la base Palissy, ministère de la Culture
  4. Buffet du grand orgue, Notice no IM76003755, sur la base Palissy, ministère de la Culture
  5. Verrières, Notice no IM76002678, sur la base Palissy, ministère de la Culture

Liens externes

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