- Casefabre
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Casefabre Administration Pays France Région Languedoc-Roussillon Département Pyrénées-Orientales Arrondissement Prades Canton Vinça Code commune 66040 Code postal 66130 Maire
Mandat en coursDaniel Moragas
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes de Roussillon Conflent Démographie Population 35 hab. (2007) Densité 5 hab./km² Géographie Coordonnées Altitudes mini. 236 m — maxi. 664 m Superficie 6,99 km2 Casefabre est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Orientales et la région Languedoc-Roussillon.
Sommaire
Géographie
Casefabre est situé à 11 kilomètres au sud d'Ille-sur-Têt (soit 8 kilomètres depuis Saint-Michel-de-Llotes).
Accès
L'accès au village se fait par une route étroite et sinueuse, qui redescend ensuite dans la vallée du Boulès.
Hydrographie
Géologie
Toponymie
En catalan, le nom de la commune est Casafabre.
Économie
Outre l’agriculture, l’économie de la commune est animée par un gîte rural[1].
Histoire
Casefabre est mentionné en 981 dans un précepte émanant du roi Lothaire de France (Catafabricae). Le lieu est alors possession de l'abbaye de Saint-Génis-des-Fontaines[2].
Au XIIe siècle Casefabre est cédé à l’abbaye Saint-Martin du Canigou, et ce jusqu'au XVIIIe siècle[3].
La population n'a jamais été très élevée, en raison de la situation du village sur un terrain assez escarpé.
Administration
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité mars 1983 réélu en 2008[4] Daniel Moragas Daniel Moragas a parrainé la candidature d'Antoine Waechter à l'élection présidentielle de 1988[5], celle d’Olivier Besancenot aux élections présidentielles de 2002[6] et de 2007[7].
Démographie
Évolution démographique
(Source : Insee[8],[9])1962 1968 1975 1982 1990 1999 2007 31 30 31 26 30 34 35 Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes Lieux et monuments
L’église paroissiale Saint-Martin, d’origine préromane (il en reste une partie du mur nord et le plan du chevet), est remaniée aux XIe siècle et XIIe siècles. Un collatéral est ajouté au sud au XIIIe siècle ou au XIVe siècle. Au XIXe siècle, un nouveau portail a alors été percé dans l'abside médiévale[2].
La petite route descendant depuis Casefabre sur le Minestrol, au pied du prieuré de Serrabone, offre des panoramas sur les gorges du Boulès, de même que celle redescendant sur Saint-Michel-de-Llotes.
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Liens internes
Liens externes
Sources
Bibliographie
- Géraldine Mallet, Églises romanes oubliées du Roussillon, Les Presses du Languedoc, 2003, page 165.
- Jean Tosti, Casefabre, (page consultée le 25 novembre 2007). < http://jeantosti.com/villages/casefabre.htm >
Notes
- Gite Rural
- Géraldine Mallet, Églises romanes oubliées du Roussillon, Les Presses du Languedoc, 2003, page 165.
- [1] Jean Tosti, Casefabre, (page consultée le 25 novembre 2007).
- Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010 Préfecture des Pyrénées-Orientales,
- Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 1988
- Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002
- Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2007
- Casefabre sur le site de l'Insee
- Historique des populations par commune depuis le recensement de 1962 (fichier Excel), mis à jour en 2010, consulté le 21 juillet 2010 Insee,
Catégories :- Commune des Pyrénées-Orientales
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